Justice sociale,
justice sociale, nos politiques n'ont
que ce mot à la bouche alors que leur politique est de plus en plus inique. C
'Est le cas avec la préférence étrangère que nos élites ont hissée au rang de
dogme incontournable, véritable contre modèle de justice et d'égalité
républicaine.
- Où est la justice
sociale quand on repousse l âge légal de la retraite alors que
tout étranger de 65 ans n'ayant jamais travaillé ni cotisé en France, a droit à
une retraite de 780 euros par mois dès son arrivée ?
- Où est la justice
sociale quand une femme de paysan ayant travaillé 50 ans à la
ferme, n'a pas droit à ces 780 euros au prétexte que son mari et elle dépassent
le plafond de 1200 euros de minimum vieillesse pour un couple ?
- Où est la justice
sociale quand la sécu en faillite continue de payer à
l'étranger, sans le moindre contrôle, des retraites à d'innombrables centenaires
disparus depuis des lustres ?
- Où est la justice
sociale quand l'Aide Médicale d'Etat soigne 220000 sans papiers
chaque année, à raison de 3500 euros par malade, alors que la sécu ne dépense «
que » 1600 euros par affilié qui travaille et cotise ?
- Où est la justice
sociale quand des étrangers bénéficient de la CMU et d'une
mutuelle gratuite, alors que 5 millions de Français n'ont pas de mutuelle, trop
riches pour bénéficier de la mutuelle CMU mais trop pauvres pour s'en payer une
? 30% des Français ont différé leurs soins en 2011 !
- Où est la justice
sociale quand on sait que 10 millions de fausses cartes Vitale
sont en circulation et permettent de soigner des milliers d étrangers sous une
fausse identité, au détriment des ayant droit ?
- Où est la justice
sociale quand la France entretient des milliers de polygames,
certains d'entre eux percevant plus de 10000 euros par mois sans travailler,
alors que la polygamie est interdite et que nos comptes sociaux sont dans le
rouge ?
- Où est la justice
sociale quand une famille nombreuse étrangère est prioritaire
pour un logement social, alors qu'un jeune couple français doit attendre sept ou
huit ans son premier logement pour avoir un enfant ?
- Où est la justice
sociale quand on sait qu'un million de faux passeports, donnant
droit à la manne sociale, sont en circulation sur les sept millions de
passeports biométriques soi-disant « infalsifiables » ?
- Où est la justice
sociale quand un Français né à l'étranger doit prouver sa
nationalité à l'administration, ce qui se traduit souvent par un véritable
parcours du combattant, alors qu'on brade chaque année la nationalité française
avec des milliers de mariages blancs ?
- Où est la justice
sociale quand on veut donner le droit de vote aux étrangers,
alors que nos élus ont confisqué aux citoyens leur « non » au référendum sur la
Constitution européenne et que des millions d'électeurs, de droite ou de gauche,
ne sont pas représentés au Parlement ?
- Où est la justice
sociale quand on accueille chaque année plus de 200000 étrangers
non qualifiés, dont notre économie na nul besoin, alors que la pauvreté
augmente, que nous avons près de 5 millions de sans emplois et que le chômage
atteint déjà 40% chez la population immigrée ?
- Où est la justice
sociale quand le contribuable finance des associations qui ne
combattent que le racisme à sens unique alors que le racisme anti français est
systématiquement ignoré et les plaintes classées sans suite ?
- Où est la justice
sociale quand on condamne un journaliste pour avoir énoncé une
vérité sur la délinquance étrangère, alors que des rappeurs incitant à la haine
ne sont jamais inquiétés au nom de la liberté d expression ?
- Où est la justice
sociale quand la délinquance explose et que les droits des
voyous passent avant ceux des victimes ?
Car si l'intégration a
totalement échoué, c est tout simplement parce que nos dirigeants ont confondu
anti racisme et acceptation de l'autre, avec le renoncement à nos valeurs. Il ne
fallait rien changer au moule républicain qui a permis depuis des siècles à des
millions d'immigrés de devenir des citoyens français. Les règles d'intégration
qui ont fait leur preuve avec des générations d'immigrés, étaient la force de la
République. La faute majeure de nos élus est de les avoir ignorées.
Je suis né en Algérie (fraçaise). Je suis entré en Gendarmerie en 1969. Et bien la Gendarmerie me demandait tous les 5 ans de justifier ma nationalité, afin de mettre mon dossier de pension à jour. Pour 35 francs, payés au tribunal, j'étais Français pendant 6 mois, date de validité du document. A 55 ans, j'ai dû encore justifier de ma nationalité Française pour percevoir ma retraite.
RépondreSupprimerJ'arrête, j'ai les boules.
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