Nous sommes devant un
gouvernement terroriste
Alors que Nicolas vient
d’écoper de deux mois de prison ferme à Fleury-Mérogis, avec les délinquants et
les criminels de tout acabit, nous pouvons nous demander ce qu’est cette
Révolution chrétienne qui, hier et aujourd’hui fait des martyrs. Car il faut
appeler les choses par leur nom. Un chrétien qui écope d’une condamnation
judiciaire ferme parce qu’il a défendu l’institution du mariage, d’une manière
ou d’une autre c’est un martyr. Manuel Gaz fait des martyrs. Cela vous
étonne ?
Pour les
inquiets, je précise que le seul tort de Nicolas est d’avoir été repris après
une première garde à vue et d’avoir refusé la procédure inquisitoriale qu’on
lui imposait, après avoir été arrêté à l’intérieur de la Pizza Pino, sur les
Champs-Élysées par des policiers en civil (qui l’ont tellement abîmé qu’ils ont
eux-même dû acquitter 1300 euros d’amende. 1 300 euros ? Ce que vaut la gueule
d’un jeune catholique français).
Nous sommes
devant un gouvernement terroriste, au sens précis où il utilise la terreur des
gardes à vue abusives d’abord, le tabassage et des condamnations à la prison
ferme (m’est avis que cela ne fait que commencer) ensuite, pour éviter le débat
public (et éventuellement le referendum) sur la question du mariage homosexuel.
Pas de débat. Mensonge d’État à tous les étages sur l’ampleur de la réaction
populaire (300 000 pour un million). Mépris. Tout pour casser le contrat social
ou ce qu’il en reste. Cette manière de mépriser le Contrat social est
significative : nous n’avons plus affaire à un gouvernement de gauche, mais à
un gouvernement simplement nihiliste, décidé à casser par tous les moyens ce
qui reste de la dernière institution chrétienne : la famille.
C’est ce
mépris gouvernemental qui a tellement sensibilisé les jeunes et qui a fait (de
rien) des militants. Si le Gouvernement veut une rentrée chaude, il n’a qu’à
continuer !
« Nous sommes devant un
gouvernement terroriste, au sens précis où il utilise la terreur des gardes à
vue abusives d’abord, le tabassage et des condamnations à la prison ferme
(m’est avis que cela ne fait que commencer) ensuite, pour éviter le débat
public (et éventuellement le referendum) sur la question du mariage
homosexuel. »
Ces jeunes,
catholiques et français, ont un idéal, une certaine image de la France. Ils
n’avaient besoin de personne pour la transmettre. Tant que l’État ne s’est pas
attaqué à la famille institution bi-millénaire, ils continuaient d’être et
d’agir selon ce que le Général De Gaulle, lui-même représentatif de cette
France-là dans ses origines, avait appelé « une certaine idée de la
France ». Mais parce que l’État veut redéfinir la famille, parce que
l’État veut faire subir à cette vénérable institution, pierre d’angle de notre
civilisation, la loi de l’offre et de la demande, en élargissant à l’infini les
conditions donnant droit à l’appellation contrôlée, alors ces Français-là ne
sont plus silencieux. On les atteint dans ce qui est leur cœur.
Quel est
l’enjeu ultime : je l’ai dit dans le post sur « le CUC
plus dangereux que le mariage homosexuel ». Il s’agit de remplacer une
institution fondée sur la nature de l’homme et de la femme et sur la religion
de l’amour, par un contrat adaptable à toutes les situations: le papier
supporte tout : tous les couples, les troupes les associations polygames, le
polyamour. L’enjeu est considérable Il s’agit de remplacer l’œuvre conjointe de
la nature et de la surnature par du papier !
Pour
l’instant, s’opposer publiquement à cela vaut deux mois de prison ferme…
Cet enjeu
n’a rien de nébuleux. Je regrette que C, le dernier à avoir vu Nicolas au
Commissariat où ils avaient été sauvagement embastillés tous deux, signe sur
les réseaux sociaux de cette formule fausse : « un idéaliste ». Le
mariage chrétien, monogame et fidèle, rayonnement d’amour, c’est un idéal,
certes, mais ce n’est pas de l’idéalisme. C’est une réalité concrète. La
famille est une véritable citadelle, « une tour de force », turris
fortitudinis, comme l’appelle la liturgie traditionnelle du mariage.
Récemment les Moulin Fournier, déposant à la télévision après une
captivité de plusieurs mois au Nigéria entre les mains de coupeurs de
route-coupeurs de tête, ont montré la force d’une famille chrétienne. Il
suffisait de les écouter, d’entendre non seulement ce qu’ils disaient mais le
son de leur voix, leur manière d’être, ce souci prioritaire pour leur quatre
enfants prisonniers comme eux, ce souci dont on sentait bien qu’il ne les avait
jamais quitté. Ce n’est pas de l’idéalisme, cela ! C’est le miracle de la
famille, ce grand vaccin contre l’égoïsme naturel.
J’entendais
mercredi soir Béatrice Bourges, au Journal de la nuit de Paul-Marie
Couteaux sur Radio Courtoisie, expliquer que, pour un tel enjeux, la prison
ne lui fait pas peur. Elle n’est pas la seule. Je remplace Catherine Rouvier
aujourd’hui jeudi. Je la reçois à mon tour tout à l’heure à 19h30, sur la même
radio. Le 20 juin est le dernier jour du printemps, occasion d’un bilan de ce
printemps français qui continue, alors qu’il n’y a plus de saison. Nous
répondrons à toutes les questions des auditeurs.
VN:F [1.9.22_1171]
Veuillez patienter…
Note: 4.7/5 (49 votes enregistrés)
Nous sommes
devant un gouvernement terroriste, 4.7 sur 5 basé sur 49 votes
Mots-clefs :"mariage"
homosexuel, abbé Guillaume de Tanoüarn, Béatrice
Bourges, François Hollande, injustice,
justice,
loi
Taubira, Manuel Valls, mariage,
Nicolas,
scandale,
violences policières
Deux mois fermes pour Nicolas
Nicolas a
été condamné a deux mois de prisons fermes et 2 autres mois avec sursis.
6 JOURS DE
PRISON ARBITRAIRE POUR UN PACIFISTE, CO-FONDATEUR DES VEILLEURS : QUE DIRE DU
RÉGIME ?
N. toujours
en prison, ça fait maintenant le 6ème jour.
Deuxième période de trois jours, deuxième passage au « dépôt » au
milieu des criminels pris en flagrant délit.
Le jeune pacifiste est traité comme le pire des terroristes. Quelle
autre critique avoir envers ce régime? À voir seulement le traitement inhumain
d’un étudiant pacifiste, l’acharnement à vouloir en faire un prétendu chef qui
paierait pour les autres, on peut comprendre que le mot justice a peut être
un sens dans ce pays, mais qu’il n’a pas de ministère.
Aujourd’hui
dans ce pays il y a un Incompétent en chef, un ministre Zayro, un responsable
de l’oppression, de la police politique et des gazages, et une chargée de la
destruction des familles, de l’injustice en bande organisée.
Qui ne reconnaîtrait pas les personnes concernées?
Si tout le monde comprend c’est qu’il faut dépasser la critique et passer
aux actes…
Hier soir…
On était nombreux à chanter.
Les policiers ont essayé de mettre un double vitrage pour que notre ami
opprimé n’entende pas nos chants de soutien, mais nos voix pouvaient
rejoindre les oreilles de notre compagnon!
Son avocat nous a chaudement remercié, sa mère était émue,
fragilisée par la crainte pour l’avenir de son fils, outrée par ces persécutions
ciblées…
Et nous avons chanté… Car c’est un camarade derrière les barreau…
Aujourd’hui,
au Tribunal, autour de lui, nous serons là.
N’en déplaise à Taubira.
À 14h30,
Nicolas est inculpé sous les chefs d’accusation suivants, d’après le collectif
Prisonniers Politiques :
- Rébellion ;
- Atteinte aux biens prives ;
- Refus de prélèvement ADN.
Le procureur
demande deux mois de prisons fermes et deux mois avec sursis ainsi que 1500€
d’amende pour Nicolas, et 2500€ d’amende pour les policiers qui l’ont étranglé.
« L’AVOCAT
— La police a chargé sur des jeunes a qui il n’a rien été reproché ! Aucune
infraction. Poursuites à 10 sur un jeune de 23 ans. Taser sorti. Et
il n’avait rien fait ! Alors oui il a eu peur ! Il
s’est réfugié dans un restaurant ! »
« 16h35
: juge, ton hargneux « déclaré coupable » ; 2 mois ferme et 2
mois avec sursis. 1000€ pour les policiers qui l’ont étranglé.
Prison immédiate
pour Nicolas. Coupable d’avoir couru devant des flics. Qui le
traquaient. On invente le délit, on poursuit et on condamne. Bienvenue en
Normalie »
« …
sous le choc … » C. un ami, codétenu. (le 25 pour avoir chanté)
A. une fille avec qui il a souvent manifesté, sortie précipitamment de la salle
d’audience : elle ne pouvait retenir ses larmes.
Nicolas est
condamné :
1. Parce qu’il s’appelle Bernard
Busse et que dans la violence de l’arrestation il a dit
« Bernard » ;
2. Parce qu’il s’enfuyait devant la
charge. Qu’il s’est réfugié dans in restaurant par peur, qu’il a crié
hollande démission dans le restaurant. « Démence »
« rébellion » ; pourtant, les témoignages de flics ne concordent
pas : il semblerait qu’ils le suivaient ;
3. Parce qu’il a énervé madame le juge
en voulant rappeler des précisions avant de répondre à des questions
fermée »La vérité est donc déjà écrite ?! », n’a-t-il pu s’empêcher
de demander.
L’avocat a
constaté, aucun fait initial d’interpellation n’a été retenu. C’est donc
qu’il n’était pas poursuivi pour un délit. Aucun méfait. Simplement il
était poursuivi arbitrairement. Par des flics, tasers en main. Qui
n’aurait pas couru?
« Il y a un malaise dans le pays »
Pour Mme le
Juge, aucun malaise. Direct en Prison : c’est un jeune.
La
« gazette-en-ligne » Le Rouge et le Noir note que le
prisonnier aurait crié « On ne lâche rien ! » avant de
sortir. La gazette note aussi :
« À
noter que les personnes présentes au dépôt afin de soutenir le moral de Nicolas
ont été violemment parquées par les forces de l’ordre. Des téléphones portables
ont été arrachés.
Voilà la
Justice de la République. »
Sous Taubira, Valls et
Hollande, mieux vaut se masturber avec les mains d’une fillette de 11 ans que
manifester contre la dénaturation du mariage !
Après la condamnation de Nicolas,
jeune manifestant anti-dénaturation du mariage, à deux mois de prison ferme
(et deux mois avec sursis) ce mercredi, un lecteur de Nouvelles de France
propose une petite comparaison qui fait froid dans le dos :
VN:F [1.9.22_1171]
Veuillez patienter…
Note: 4.7/5 (204 votes enregistrés)
Sous
Taubira, Valls et Hollande, mieux vaut se masturber avec les mains d’une
fillette de 11 ans que manifester contre la dénaturation du mariage !, 4.7 sur
5 basé sur 204 votes
ET je ne vous parle même pas des légères condamnations obtenues par les braqueurs des voyageurs du train , ni de celles des casseurs lors de la fête de la victoire du PSG qui selon Mr VALS devaient avoir des peines exemplaires. On pourrait peut être aussi parler du MUR DES CONS déjà évoqué dans le blog
NOUS AVONS BIEN EN FRANCE UNE SACRE JUSTICE