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mardi 31 décembre 2013

BONNE ANNEE 2014




    A TOUS MES LECTEURS QUE JE REMERCIE


     Comme chaque Année la tradition veut que l on se souhaite une Bonne et Heureuse Année

     Je ne vais donc pas faillir à cette tradition et je souhaite à tous mes lecteurs fidèles ou pas la meilleure année possible ainsi qu à tous ceux qui me mettent des commentaires toujours très enrichissants me permettant d élargir la variété des informations.

     Partant de là, nombreux sont les souhaits que l on formule à zéro heure qui marque l année nouvelle avec bien sur la coupe de champagne à la main.

Une bonne santé
L Amour
L Argent
Du travail
Mais sont-ils bien au Rendez Vous Annuel ?
Croyons-nous tant que cela à toutes ces formules ??
La santé est elle bien présente ?
N’y a-t-il pas plus de chômeurs ?
L argent va-t-il aux nécessiteux ? Ou gagne-t-on davantage aux jeux ?
N y a t  il plus de guerre ?
Si simplement la seule SANTE était au rendez vous, elle permettrait déjà de remédier à de nombreux soucis et on pourrait l associer à des mots tels que :
*La sagesse
*L écoute
*l attention
*Le partage
*La réconciliation
*Les Sentiments
* La sincérité
*La Tolérance
*L amitié
*La compréhension

     Pour y parvenir des efforts devraient être consentis par tous et notre monde deviendrait meilleur.

     Malheureusement, tout cela semble irréalisable tant la formule «CHASSEZ LE NATUREL IL REVIENT AU GALOP» refait surface avec la réalité  à laquelle nous sommes confrontés grâce aux acteurs associés réunis que sont L HYPOCRISIE - LE MENSONGE ET LE PROFIT.

      On aurait préféré « TOUT VIENT A POINT A QUI SAIT ATTENDRE » mais attendre combien de temps?

      On retrouve donc le SHAKESPEARE avec sa fameuse LA EST LA QUESTION

BONNE ANNÉE QUAND MÊME, CHERS AMIS , POUR VOUS ET CEUX QUE VOUS AIMEZ












lundi 30 décembre 2013

MADAME MERKEL CHANCELIÈRE ET SES CONTRATS

              Madame Merkel et ses “contrats”


                                               Rédigé par Jacques Sapir le Jeudi 26 Décembre 2013 à 14:35


     Il est caractéristique, et à vrai dire symptomatique, que Madame Merkel, Chancelière désormais à la tête d’un gouvernement dit « de grande coalition » en Allemagne, ait pu déclarer le 19 décembre dernier sans provoquer d’émoi particulier dans la presse au sujet de l’Euro que : «Tôt ou tard, la monnaie explosera, sans la cohésion nécessaire »

      1.Au premier abord, cette déclaration est parfaitement juste. Sans « cohésion », c’est-à-dire sans l’existence d’un système de transferts financiers extrêmement importants, l’Euro n’est pas viable. 
     On le sait, et le calcul de ce qu’il faudrait consacrer pour que fonctionne ce système fédéral a été fait par plusieurs auteurs. 
     Pour ma part, j’ai estimé entre 8% et 10% de son PIB le montant que l’Allemagne devrait fournir.

2. Il est parfaitement clair qu’elle ne peut le faire sans détruire son « modèle » économique et, de ce point de vue, exiger de l’Allemagne un « solidarité » avec les pays de l’Europe du sud pour des montants de 220 à 232 milliards d’euros par an (aux prix de 2010) équivaut lui demander de se suicider.

     3.Mais, c’est la suite de cette déclaration qui est plus particulièrement intéressante. Madame Merkel, parfaitement consciente de ce que les pays de la zone Euro renâclent devant de nouveaux abandons de souveraineté, proposent alors des « contrats » entre ces derniers et l’Allemagne. 
     
     Dans les faits, cela aboutirait à construire, à côté des institutions européennes un autre système institutionnel ou, le contrat valant loi pour les Allemands, les différents pays seraient liés à l’Allemagne de manière contraignante. 
     
     On voit bien l’intérêt d’une telle formule. Madame Merkel ne se berce d’aucune illusion sur un quelconque « peuple européen ». 
     
     Elle sait très bien ce qu’en pense la cour constitutionnelle de Karlsruhe qui, à ce sujet, a été très clair dans son arrêt du 30 juin 2009. 

     4.Il est important de comprendre que, pour la cour de Karlsruhe, l’UE reste une organisation internationale dont l’ordre est dérivé, car les Etats demeurent les maîtres des traités.

     5. De ce point de vue, il est clair que l’Allemagne ne partage pas, et ne partagera pas dans un avenir proche, les fumeuses vues sur un « fédéralisme » européen. 
     Pour les dirigeants allemands, faute de « peuple » européen, ce qui est logique au vue de la conception germanique de ce qu’est un « peuple », il ne peut y avoir d’État supra-national. Par contre, l’Union Européenne et la zone Euro peuvent exercer un pouvoir dérivé. Mais, de ce point de vue, l’Allemagne le peut tout aussi bien. Et c’est là le sens des « contrats » proposés par Madame Merkel à ses partenaires. 
     En échange d’une garantie de souveraineté, car vous aurez « librement » accepté ces « contrats », engagez-vous à respecter certaines règles contraignantes dans une structure de contrats vous liant à l’Allemagne.


     La question de l’Union bancaire, saluée récemment à grand son de trompe, confirme cette démarche. À l’automne 2012, les pays du sud de la zone Euro avaient, de concert avec la France, arrachés le principe d’une « Union bancaire » qui devait être à la fois une mécanisme de surveillance et de régulation des banques de la Zone Euro, mais aussi un mécanisme assurant une gestion concertée des crises bancaires. 

     À peine l’encre de cet accord était-elle sèche que l’Allemagne a tout fait pour le vider de toute substance. Et, bien entendu, elle est arrivée à ses fins. L’accord qui a été signé dans la nuit du 18 au 19 décembre 2013, et qui a été salué par certains comme « un pas décisif pour l’Euro »
     6. n’a strictement rien réglé
     7. Le mécanisme de supervision ne concerne que 128 banques sur les 6000 que l’on compte dans la zone Euro. 

     Quand au fond de résolution des crises, il n’atteindra son montant de 60 milliards, somme par ailleurs ridiculement faible, qu’en…2026 !

     Que conclure de tout cela ?

      Tout d’abord, il est vain de continuer à mettre un quelconque espoir dans une Europe « réellement » fédérale, et il est profondément trompeur de continuer à présenter cette possibilité comme une alternative à l’UE telle qu’elle fonctionne aujourd’hui. 

     Ce discours est profondément mensonger, et il ne peut que contribuer à nous enfoncer aujourd’hui un peu plus dans le malheur. 
     Il n’y aura pas d’Europe fédérale parce qu’en réalité personne ne la veut réellement et personne n’est disposé à la faire. Opposer ainsi une « perspective fédérale », qui est parfaitement hypothétique et dont pour tout dire la probabilité de réalisation est moindre que celle d’un débarquement des martiens, à la situation actuelle n’a plus aucun sens, si ce n’est de tromper le chaland et de lui faire prendre des vessies pour des lanternes ! 

     Le rêve fédéraliste s’est révélé être un cauchemar. Il convient donc de se réveiller.

     Deuxièmement, l’Allemagne est parfaitement consciente de ce qu’une forme de fédéralisme est nécessaire à la survie de l’Euro, mais elle ne veut pas – et l’on peut parfaitement le comprendre – en payer le prix. 

     Donc, ce qu’elle propose en fait à ses partenaires ce sont des « contrats » qui les conduiront à supporter la totalité des coûts d’ajustements nécessaires à la survie de l’Euro alors que, elle-même, sera la seule à tirer profit de la monnaie unique. 

     Mais, ces « contrats » plongeront alors l’Europe du Sud et la France dans une récession historique, dont ces pays sortiront industriellement et socialement laminés. 

     Accepter ces contrats sera la mort rapide de la France et des pays de l’Europe du Sud. Laurent Faibis et Olivier Passet viennent de publier une tribune dans Les Échos qu’il convient de lire avec attention

     8. Ils expliquent pourquoi l’Euro ne peut profiter qu’à un pays, qui s’est installé au sommet de la chaîne industrielle, et pourquoi au lieu de mettre l’Euro au service de l’économie, c’est l’économie qui est sacrifiée au profit de l’Euro. Une telle situation serait pérennisée si nous devions, par malheur, avoir un gouvernement qui accepte de passer sous les fourches caudines des « contrats » de Madame Merkel.

     Troisièmement, il faut entendre le non-dit, l’implicite, dans la déclaration de Madame Merkel. 
     Puisqu’une Europe fédérale n’est pas possible et n’est en réalité même pas concevable d’un point de vue allemand, et si une mise en « cohérence » qui ne signifie rien d’autre que d’accepter la totalité des conditions allemandes ne se fait pas, alors l’Allemagne est prête à faire son deuil de l’Euro. 
     Madame Merkel voudrait faire de cette alternative une menace pour nous forcer à accepter l’idée de ses « contrats ». 
     Au contraire, nous devons la prendre au mot et lui proposer au plus vite la dissolution de la zone Euro. 
     Mais, pour cela, il faudra un autre gouvernement, et un autre Premier Ministre, que celui que nous avons.

     Les déclarations de Madame Merkel sont en un sens inouïes. Pour la première fois peut-être, depuis 1945, un dirigeant allemand expose aussi crûment le projet de domination de l’Europe par l’Allemagne. 
     Mais, ces mêmes déclarations ont cependant l’immense avantage de jeter une lumière crue sur notre situation. 

     Nous devrions nous en souvenir et nous en en inspirer lors des prochaines élections européennes. 
     Non pas pour obéir à Madame Merkel, mais pour la prendre au mot et lui dire que, de son Euro, nous n’en voulons plus !


[2] J. Sapir, « Le coût du fédéralisme dans la zone Euro », in RussEurope, 10 novembre 2012,


[3] Patrick Artus, « La solidarité avec les autres pays de la zone euro est-elle incompatible avec la stratégie fondamentale de l’Allemagne : rester compétitive au niveau mondial ? La réponse est oui », NATIXIS, Flash-Économie, n°508, 17 juillet 2012.

[5] M-L Basilien-Gainche, L’ALLEMAGNE ET L’EUROPE. REMARQUES SUR LA DECISION DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE FEDERALE RELATIVE AU  TRAITE DE LISBONNE, CERI-CNRS, novembre 2009,


[6] Voir le ridicule et trompeur éditorial « Union bancaire : un bon accord qui corrige les failles de la zone euro » in Le Monde, du 19 décembre 2013. URL :


[7] D. Plihon, « Union bancaire: une réforme en trompe l’œil » , La Tribune, 23 décembre 2013,


[8] L. Faibis et O. Passet, « L’euro pour tous et chacun pour soi : le nouveau débat interdit »,  Les Échos, 23 décembre 2013, 

MANIFESTATION DU 26 JANVIER 2014 - NOTRE SURVIE


         C’est notre survie qui est en jeu ! 

      Pourquoi je manifesterai le 26 janvier


     Comme tous les observateurs de la vie politique, je constate une exaspération croissante dans la société française. Mais je ne suis pas sûr que tous les Français exaspérés se soient encore rendu compte que c’était bel et bien notre survie comme nation, comme peuple et comme civilisation qui était en jeu.

     N’en donnons que deux ou trois exemples, sachant bien que c’est toute la politique de l’actuel gouvernement qu’il faut rejeter en bloc – précisément parce qu’elle menace l’être même de la France.
Le plus frappant réside sans doute dans ce que l’on appelle maintenant la substitution de population. 

     Le récent rapport remis au Premier ministre sur la politique d’intégration (lisez : désintégration !) en est un nouveau signe. 

« Nos » dirigeants ne veulent pas admettre que la France est d’abord faite par… des Français. Ils veulent nous forcer à reconnaître des apports civilisationnels parfaitement imaginaires, nous contraindre à avoir honte de notre histoire et de nos aïeux. 

     Et, corollairement, de repentance en laxisme judiciaire, ils n’ont jamais assez d’excuses pour les barbares qui terrorisent tant de nos villes et villages.

     Les réformes « sociétales » engagées depuis mai 2012 ont été également pensées comme des « changements de civilisation » selon le mot de Mme Taubira. 

     Faire de la filiation une pure construction de l’imagination est d’une redoutable efficacité pour priver chacun de ses racines familiales.  
     Mais ce que veut le gouvernement socialiste, c’est la guerre de tous contre tous, la loi de la jungle dans tous les recoins de la société. 
     Il veut nous apprendre à haïr nos parents, à assassiner nos anciens qui coûtent trop cher à une Sécu déjà exsangue, ou aduler les assassins multi-récidivistes (« malheureuses victimes d’une société répressive, patriarcale et réactionnaire », n’est-ce pas ?) – le tout, comme toujours, sous les délicieux atours compassionnels qui ont si bien fonctionné depuis la révolution de mai 68.

     La fiscalité elle-même est envisagée par les tenants du totalitarisme « soft » comme une arme massive de destruction de toute inégalité, de toute propriété et donc de toute indépendance à l’égard du Moloch étatique. 
     Les fous furieux qui nous gouvernent si mal prétendent vouloir étendre sans limite la progressivité de l’impôt. 
     Et, comme toujours en régime marxiste-léniniste, ce qui en ressort, ce n’est pas la société sans classe ; c’est l’appauvrissement généralisé et une nomenklatura arrogante qui se goinfre sur le dos du peuple.

« Nous sommes ici chez nous. Nos aïeux ont fait ce pays. Nous voulons y vivre, y travailler et y mourir. Si vous ne le comprenez pas, c’est vous qui dégagerez ! »

     On pourrait encore évoquer la haine anti-chrétienne de tant de ministres, la politique étrangère anti-nationale ou les coupes suicidaires dans le budget de la Défense qui nous livrent aux barbares et nous contraignent à la vassalisation… 
     On pourrait évoquer tant de sujets. À vrai dire, on pourrait évoquer toutes les politiques menées depuis bientôt deux ans. Je dis bien : toutes !
     Oui, il est urgent de mettre un terme à cette politique. Et, pour cela, je ne vois qu’une seule solution : utiliser tous les moyens à notre disposition pour résister et accélérer la prise de conscience de nos compatriotes.

     Il faut naturellement profiter des campagnes électorales pour dénoncer sans relâche cette politique nihiliste. 
     Mais il faut, plus encore, harceler le gouvernement. Qu’il sache que les Français, non seulement ne lâchent rien, comme le dit très bien le slogan du grand mouvement populaire que nous avons vu avec émerveillement se lever l’année dernière, mais ne les lâcheront pas avant qu’ils ne soient partis ou qu’ils n’aient radicalement changé de politique.

     Cette stratégie de harcèlement doit nécessairement être aussi subsidiaire que possible. On n’agit pas de la même façon en milieu rural ou à Paris, selon que l’on proteste contre la spoliation fiscale ou que l’on défend le droit des enfants, ou selon que l’on manifeste à Nantes ou à Lyon. 

     Contrairement à ce que j’entends souvent, je crois qu’il est extrêmement sain et souhaitable que les mouvements soient nombreux et variés. Je ne crois pas aux vertus du « centralisme bureaucratique ». Mais il faut aussi, de temps en temps, montrer que nous sommes capables d’avoir une vision globale de la société et que, pour notre survie, nous sommes capables, par-delà nos différences, de nous réunir pour une gigantesque clameur de protestation. 

     C’est la raison pour laquelle je serai le 26 janvier à Paris pour participer au Jour de Colère qui s’y organise.

     Non, nous ne voulons pas que la civilisation française disparaisse. 
     Monsieur le Président, ne comptez pas sur nous pour rester impassibles devant vos incessantes agressions contre notre patrie, notre peuple, notre histoire, notre religion – notre civilisation en un mot ! 
     Je puis vous prédire une chose, sans risque de me tromper : notre colère, que vous pourrez constater par vous-même le 26 janvier, ne va pas cesser d’enfler. 

     Devant cette vague gigantesque, devant ce tsunami, vous n’aurez qu’un choix : vous soumettre ou vous démettre (ou être démis par vos « amis »…). 
     Je suis certes conscient qu’il s’agit là d’un dilemme pénible et je veux bien éprouver toute la compassion dont je suis capable pour un homme, que je suppose sympathique. 
     Mais vous-même ne nous laissez qu’un choix : la valise ou le cercueil. 
     Or, nous sommes ici chez nous. 
     Nos aïeux ont fait ce pays. 
     Nous voulons y vivre, y travailler et y mourir. 
     Si vous ne le comprenez pas, c’est vous qui dégagerez !


MON SEUL VŒU - HOLLANDE DU BALAI

                    Un seul vœu pour 2014 : 

Que le Président Hollande et sa clique s’en aillent !   

                               DU BALAI  

MENTEUR - TRICHEUR - INCAPABLE ET INCOMPÉTENT





     Le Président Hollande va présenter ses vœux aux Français. 

     L’exercice est périlleux. Il s’agit pour lui de chercher un second souffle alors que le premier a commencé de s’éteindre à l’été qui suivit son élection. 

     Depuis, il n’a pas fait ce qui s’imposait : muscler la compétitivité de notre économie. 

     Il a fait ce qu’il fallait éviter : opposer les Français sur une loi marginale absurde pour plaire aux médias en suscitant un rejet massif du socle le plus solide de la population. 

     Il fallait rassembler. Il a divisé. Il a tenu un discours contradictoire et mené une action confuse, multipliant les impôts et les taxes bien au-delà du slogan visant les riches. 

     Mais il a aussi, pour sauver les meubles, créé des dispositifs compliqués en vue de faire autrement ce que son prédécesseur avait, trop tardivement, entrepris. Le CICE à la place de la TVA sociale en est le meilleur exemple. 

     Mal entouré, en premier lieu par des ministres politiques dont l’incompétence le dispute à l’idéologie militante et provocatrice, quand elle ne se cache pas sous la communication habile de l’ambition, Monsieur Hollande apparaît de plus en plus comme l’homme qu’il ne fallait pas à une place qui n’est pas la sienne. 

     Ses maladresses, ses échecs de plus en plus humiliants sur la scène internationale nous rappellent que, pour la première fois, un apparatchik de parti, un spécialiste des crises de courants était chargé de représenter la France dans le monde et de superviser sa politique, sans même avoir été lui-même ministre.

     Pour pallier cette carence, il fallait du génie. 
     Cela supposait une vision et des objectifs plus précis afin de la faire partager et de mobiliser les énergies en vue de lui donner une réalité. 
     Le « réenchantement du rêve français » aurait dû inquiéter. La poésie pour midinettes n’a pas l’éclat d’un ordre du jour politique. 
     La « nouvelle frontière » de Kennedy ou « la peur de la peur » de Rooseveelt étaient à la hauteur.          Le « rêve français » en quoi consistait-il, sinon dans les illusions de l’assistance généralisée, de l’Etat omnipotent, de la nation universelle ? 
     
     On a vu le résultat : l’incapacité de réduire la dépense publique, l’Etat gesticulateur et impuissant, la France multiculturelle qui efface son identité avec application. Si l’on excepte l’intervention malienne menée par une Armée qui fait les frais des économies budgétaires, le reste des politiques suivies est allé d’échec en échec. 
     
     À l’extérieur, le chef d’État novice, confondant Chine et Japon, Egypte et Tunisie, blaguant sur l’Algérie, s’aventurant sur la Syrie, abandonné par les Anglais, méprisé par les Russes, négligé par des Allemands qui le guident par la main, a fini par se prendre les pieds, seul, dans le nœud de vipères africain. 

     L’indépendance ni la grandeur ne trouvent leur place dans des actions de commandite qui nous font oublier nos vrais amis. Le comble : des « Français » participent au Djihad syrien que notre pays a, sans doute involontairement, encouragé et armé, en oubliant sa tradition protectrice à l’égard des Chrétiens d’Orient.

     À l’intérieur, la croissance poussive, la courbe du chômage persistante, l’effondrement de notre industrie témoignent de l’incapacité du pouvoir à rétablir la confiance par des réformes structurelles, par un plan de redressement à la hauteur de la situation. 
     Une politique de technocrates et de comptables n’est pas une politique. Or, les politiciens qui n’ont ni la compétence ni le courage de réformer, de trancher le noeud gordien, abandonnent le pouvoir aux spécialistes des noeuds, aux artistes de la complexité, aux virtuoses de la mesurette et se réfugient pour compenser dans le discours idéologique, dans l’action « sociétale ». 

     Ils ajoutent aux problèmes qu’ils ne résolvent pas ceux qu’ils inventent. 
     Faute d’assimiler les étrangers ou de les ramener chez eux, on va intégrer les Français aux nouveaux arrivants. Faute de juguler la délinquance, on va vider les prisons surpeuplées. 
     Faute d’arrêter la chute des résultats scolaires, on va demander d’arracher les enfants aux déterminismes familiaux.
     On ne sait quels vœux le Président va formuler. Beaucoup de Français n’en expriment qu’un : qu’ils s’en aillent, lui et sa clique, le plus vite possible.





ECONOMIE MONDIALE 2014 - 10 PRÉVISIONS QUI FONT PEUR




     Lorsque le public lui demande si ses prédictions se révèlent souvent exactes ou non, Steen Jakobsen assure que ce n’est pas le plus important. 

     D’après lui, ces prédictions servent d’abord à faire réfléchir « outside the box », en dehors de la norme et de la pensée unique. 

     Avant d’asséner que « de nombreuses mauvaises décisions seront prises au nom des inégalités et de la déflation ».

     Mais
ECONOMIE MONDIALE 2014 - 
       LES 10 PRÉVISIONS QUI FONT PEUR


     Il y a une dizaine d’années, quand il a commencé cet exercice original, l’économiste en chef de Saxo Banque Steen Jakobsen pouvait compter les membres de son auditoire sur les doigts des mains. 

     Mardi 17 décembre, ils étaient une centaine à se presser dans une petite salle du très huppé Cercle de l’Union interalliée à Paris. Journalistes, financiers ou encore simples épargnants écoutaient avec curiosité les « prédictions chocs » (« outrageous predictions ») de l’analyste pour 2014. 

     D’ailleurs, pour fêter l’événement, Saxo Banque s’était offert une fausse couverture en Une du Financial Times du jour, rien que ça.


     Si l’on y regarde de plus près, il a parfois fait mouche par le passé. 

     En 2009, il prévoyait la chute du taux d’intérêt des Bunds (les obligations souveraines allemandes à 10 ans) à 2,25% pour l’année d’après (la baisse sera même plus importante). 

     En 2010, il estimait possible que le cours de l’once d’or passe la barre des 1.800 dollars en 2011, ce qui fut effectivement le cas. 

     Et en 2011, il prévoyait une chute du cours en Bourse d’Apple de 50%. Un chiffre pas loin de la réalité : -44% pour l’action de la firme de Cupertino mais entre septembre 2012 et avril 2013. 



1. L’Europe vote en faveur d’une taxe sur le patrimoine de 5 à 10%

     La déflation menaçante et le manque de croissance va entraîner le Vieux Continent dans une spirale infernale. Pour renflouer le système, l’Union européenne décide l’entrée en vigueur d’une taxe de 5 à 10% sur l’épargne, au-delà de 100.000 euros. 25 ans après la chute de l’URSS, le soviétisme et la fin de la propriété privée seraient de retour.

     Dans ce domaine, la fiction serait déjà presque dépassée par la réalité. Après la ponction des épargnants chypriotes, l’UE a décidé la semaine dernière que les épargnants participeraient aux prochains renflouements des banques avec leurs dépôts (au-delà de 100.000 euros). Et récemment, le FMI avait aussi émis l’hypothèse d’une supertaxe de 10% sur la richesse des ménages.
 
2. Une alliance anti-UE en tête au Parlement européen

     En mai prochain, les Européens exprimeront leur colère et leur ras-le-bol dans les urnes. Steen Jakobsen verrait bien un raz-de-marée des partis d’extrême-droite (comme le Front national) et des hommes politiques anti-UE (comme l’Independence Party britannique). En cas de rassemblement, ils deviendraient le premier groupe européen au Parlement.

3. Les grands groupes technologiques se réveilleront avec la gueule de bois

     Aujourd’hui, les actions du secteur américain des technologies de l’information sont négociées près de 15% au-dessus de la valorisation du S&P américain. On est loin de la bulle internet du début des années 2000. Mais certaines valeurs sont surcotées. Saxo Banque en a cinq dans le viseur qu’elle surnomme les « fat five » : Amazon, Netflix, Twitter, Pandora Media et Yelp.

4. Le Japon va effacer sa dette

     En 2014, la reprise économique pourrait s’essouffler, ce qui ferait plonger les actifs risqués. Les investisseurs pourraient alors se ruer sur le yen et le faire remonter. La Banque du Japon (BoJ), qui tente de sortir le pays de la déflation dans laquelle il se débat depuis près de 20 ans, serait forcée de réagir. Elle pourrait procéder à un tour de passe-passe comptable et effacer la dette gouvernementale qu’elle détient (environ 15% de la dette publique). Cela provoquera-t-il le retour de l’inflation ? Mystère.

5. Risques de déflation aux Etats-Unis

     La fragilité du marché immobilier américain est encore prégnante. Cela pourrait entraîner dans sa chute le reste de l’économie et amorcer une phase de déflation.

6. La Fed orientera sa politique monétaire vers l’hypothécaire

     Face à un marché immobilier américain moribond et le ralentissement de la croissance, la Réserve fédérale américaine poursuit sa politique monétaire accommodante, avec un QE3 (rachats de titres) poussé à 100 milliards de dollars par mois (contre 85 milliards aujourd’hui), mais orienté à 100% vers les rachats d’emprunts hypothécaires.

7. Le baril de pétrole de Brent passera sous la barre des 80 dollars

     Le ralentissement de la demande avec une croissance mondiale moins forte que prévu pourrait se conjuguer avec le retour de l'Iran comme producteur de premier ordre.

8. L’Allemagne entre en récession

     Le miracle allemand se révèlera être un mirage en 2014. Le pays espère une croissance de 1,7% en 2014 mais il pourrait être largement pénalisé par plusieurs éléments. 
     Ses excédents commerciaux sont dans la ligne de mire des autorités européennes, tandis que les autres membres de la zone euro font des efforts pour rattraper leur retard de compétitivité.
     Par ailleurs, avec l’abandon du nucléaire, les prix de l’énergie outre-Rhin vont être de moins en moins compétitifs, en particulier face aux Etats-Unis et leur gaz de schiste.
     Enfin, la nouvelle grande coalition allemande va adopter un Smic, ce qui devrait augmenter le nombre de chômeurs.

9. Le CAC 40 s’effondre de 40%

     Les investisseurs se rendent compte que les politiques monétaires ont alimenté une gigantesque bulle sur les marchés actions. 
     Dans le même temps, la France est très mal gérée. Les prix de l’immobilier finissent par effectuer un « saut de l’ange » et plongent, ce qui plombe un peu plus la consommation et la confiance des ménages. 
     En outre, la Chine ralentit, ce qui pèse sur le secteur du luxe français. Le CAC 40 recule de 40%.

10. Les monnaies des pays émergents s’écroulent

     Le flux d’argent en provenance des autres régions du monde commence à se tarir. Ce qui finit par faire imploser les monnaies des pays émergents les plus fragiles de 25% en moyenne.
     Les pays visés par Saxo Banque sont le Brésil, l’Inde, la Turquie, l’Afrique du Sud et l’Indonésie.

     Cet article (sourcé Challenge) est visible dans son intégralité sur le site actuwiki via le lien ci-dessous.

samedi 28 décembre 2013

INVERSION DE LA TENDANCE (COURBE DU CHÔMAGE) J -3



     Chers Lecteurs,

     Soyez rassurés, il ne reste que quelques jours à " MOI PRÉSIDENT NORMAL" pour gagner son pari, c est à dire inverser la tendance (ou la courbe du chômage) dont il avait fait une de ses priorités lors de sa campagne à l élection présidentielle.

     Depuis il s est écoulée beaucoup d eau sous les ponts "LA MÉTÉO PEUT EN TÉMOIGNER"

     Notre gouvernement parle d une seule et même voie , tous les membres  croient dur comme fer à cette inversion, à commencer par Notre Premier Ministre qui le précisait au Journal Télévisé de 20 H.

     Nous pensons tous,  qu avec une légère magouille sur les chiffres (ils savent faire),  il pourra y arriver, il suffira d un ou quelques chômeurs de moins pour réussir ce qu il clame haut et fort depuis un an et demi, il veut même arriver à nous en persuader un changeant le système du calcul pour privilégier celui trimestriel. (ça doit être plus facile).

     Le tout joyeux SAPIN (normal c est Noël) a son sourire béa pour essayer de nous  persuader que les efforts consentis entrent,  dans le positif,  sur le nombre des emplois qui ont été créés.

     Quant à ceux des économies et des finances , CAZENEUVE, et  MOSCOVICI , "les jumeaux", ils sont très fiers de pouvoir nous en prélever et nous presser davantage.

     Il ne faut pas être surpris, LA CROISSANCE va reprendre avec l activité et le plein emploi.

     Il va, avec l aide de tous ses ministres PLUS INCOMPÉTENTS les uns que les autres et son "NUMBER ONE"

*Combler LE TROU DE LA SECU en nous massacrant d impôts et taxes qui sont déjà au programme pour 2014.

*Diminuer notre déficit du Commerce Extérieur, renflouer celui de l Intérieur

*Aidez tous les actifs à travailler plus pour être prélevé plus.

*Aidez les entreprises à Fermer ou Délocaliser avec notre très grand  homme "Le Célèbre Productif" MONDEBOURG  "Roi des repreneurs".

*Aidez les retraités à se soulager en les prélevant davantage, "LA REFORME ARRIVE"  même la Mariesol TOURAINE précise que les cotisations vont augmenter de 3% alors que dans le même temps le SMIG n augmente que de 1 % c est remarquable de justice.

*Aidez aussi les étrangers en leur accordant davantage de droits et du social, les aider aussi à mieux se soigner avec leur carte CMU (couverture maladie universelle ou l 'AME (aide médicalisée de l état) au détriment des Français qui payent de plus en plus leurs médicaments non remboursés.

*Aidez les associations, les sans abris avec notre courageuse DUFLOT qui dès qu elle a vu le sort de son amie Écolo Delphine BATHO  éjectée du gouvernement, est restée tranquillement à son poste en ne l ouvrant plus,  malgré les désaccords.

*Aidez aussi peut être aussi, notre sénateur Écolo  PLACE  qui n a pas les moyens, à payer ses 18000 euros de procès verbaux.

*Aidez à la Sécurité des Français dans tout l hexagone grâce à nos deux HÉROS que sont le sieur
Kalachnikov VALLS et la très sombre Justice TAUBIRA, (moins de policiers sur le terrain et plus de taulards même récidivistes dehors).

*Il va continuer à essayer de maintenir la paix dans tous les pays africains où il règne des tensions avec des guerres de religions CATHOLIQUES /  MUSULMANS risquant ainsi la vie de nos soldats dans des conflits qui ne nous regardent pas (pour preuve c est que nous sommes le seul pays d Europe à intervenir) mais les pauvres on les décorera de la médaille à titre posthume qui va si bien dans ses cas là.

     Ne parlons même pas du coût,  que reviennent SES PETITES GUÉGUERRES, nos soldats seraient surement plus utiles à assurer la sécurité de notre Pays.

*Sa très grande Fierté est d avoir incontestablement TENU sa plus grande promesse, avec le MARIAGE GAY par un vote en TRICHERIE à L ASSEMBLÉE.

*Avoir accepté le changement du code Pénal par des lois si chères à TAUBIRA et à tous les taulards au détriment des victimes (classées en seconde zone) dont on se soucie moins ou pas du tout.

     Il y aussi de nombreux Ministres dont on évoque JAMAIS LES NOMS, peut être ne servent ils à RIEN.


DEVENEZ UN POLITIQUE ET APPRENEZ A MENTIR, VOUS RÉUSSIREZ DANS LA VIE.

                             IL Y DES ECOLES POUR CA ( l ' ENA) par exemple

ET LE PIRE DANS TOUT CA,

C EST QUE POUR NOUS MENTIR EFFRONTÉMENT ILS GARDENT LA TÊTE HAUTE ET VOUS REGARDENT DROIT DANS LES YEUX COMME SI DE RIEN N ÉTAIT.

ILS SE MENTENT MÊME ENTRE EUX ( Souvenez vous de CAHUZAC).

                              PAS UN NE VAUT LA CORDE POUR LE PENDRE




vendredi 27 décembre 2013

L AFFAIRE DU TRAIN AVEC DEBBOUZE ET UN MORT



      Le moins que l on puisse dire, c est que les articles ne manquent pas sur l affaire du train ayant causé la mort  d une personne avec une possible du mise en cause de DEBBOUZE.

     Nous avons toujours entendu parler de cette affaire dans laquelle DEBBOUZE passait pour un Héros en perdant un BRAS pour aider une personne. 

    La réalité serait elle tout autre ?? 

    Si tel était le cas, comment peux t on vivre avec ce cauchemar qui devrait hanter les plus honnêtes, être bien sans sa peau, comment peux t on faire du spectacle et du fric , comment peux t on être reçu à l Elysée???????

   Même avec le non lieu obtenu, bien des questions se posent ?


   Comme chez les politiques "beaucoup de non lieu" et toujours autant de doute.

     Les différents articles ci-dessous vous éclairerons peut être mais il semble que pour le DEBBOUZE les choses ne soient pas si claires 


     2 PHOTOS  DIFFÉRENTES DE  CET HOMME QUE JE N APPRÉCIE MÊME PAS.

     COMME QUOI ON PEUT APPARAÎTRE SOUS DES VISAGES  DIVERS























                La « sale affaire » de Jamel Debbouze

     Dans Jamel Debbouze, l’as de cœur, qui vient de paraître, l’écrivain-journaliste Bernard Violet dresse un portrait très élogieux de l’artiste franco-marocain. 
     Un surdoué de la scène, du cinéma, de la télévision. Toutefois, la vie de Jamel ne manque pas de zones d’ombres, à commencer par l’accident qui lui a fait perdre l’usage d’un bras.
     Le chapitre est intitulé « Une sale affaire »
     Le 17 janvier 1990, peu après 20 heures, deux jeunes gens sont fauchés par le rapide Nantes-Paris en gare de Trappes. Jean-Paul Vaïty, un Réunionnais, est tué sur le coup. Jamel Debbouze s’en sort avec de graves blessures. 
     Après avoir risqué l’amputation, il perd définitivement l’usage de son bras droit. Est-ce un malheureux accident ou autre chose ?
Voleur de vestons
     Pour la famille Vaïty, leur fils Jean-Paul était doux et sociable, «  toujours prêt à rendre service »
     En revanche, Jamel, alors âgé de 14 ans et demi, traîne derrière lui une réputation de « voyou »« de casseur et de dépouilleur ». Il aurait tenté de voler le superbe blouson au col de fourrure, avec plaque de shérif sur le cœur, de Jean-Paul. 
     En se défendant, ce dernier serait tombé sur les voies, entraînant son agresseur.
     L’accusation est très grave. 
     Elle n’a pas été retenue par la justice, qui a prononcé à deux reprises un non-lieu. 
     Mais les parents de Jean-Paul continuent à mettre en cause l’artiste à la « tchache » légendaire. 
     Ils ont même recruté un détective privé pour relancer l’affaire, en vain. Bernard Violet, qui a passé près de deux ans pour écrire sa biographie, a interrogé beaucoup de témoins.
« L’attitude de Jamel Debbouze n’est pas claire dans ce drame. Quand je lui ai posé la question en février 2008, lui, habituellement si bavard, s’est contenté de répondre : "Pour moi, c’est une affaire on ne peut plus claire. 
     Il y a eu un non-lieu. La justice a parlé"  », raconte le biographe. Bernard Violet constate que Jamel Debbouze « n’est jamais allé voir la famille de la victime ».
Un témoin muet
     Devenu riche et célèbre, « il n’a jamais non plus fait un geste en leur faveur »
     Interrogés par le magistrat instructeur, certains témoins disent avoir vu deux garçons sur les voies, mais sans assister à une bagarre. En revanche, une jeune femme, Edwige A., raconte à des amies qu’elle a bien vu Jamel pousser Jean-Paul sur les voies. 
     Mais pour elle, pas question de témoigner devant les policiers. On est en banlieue, et elle a bien trop peur car il s’agit d’un meurtre.

     Edwige A., âgée de 17 ans au moment du drame, refuse, selon Bernard Violet, à trois reprises de déférer aux convocations du juge. Faute de témoins, les magistrats de la cour d’appel de Versailles confirment en mars 1993 l’ordonnance de non-lieu signifiée deux ans plus tôt. 
     Interrogée en septembre 2007 par Bernard Violet, Edwige A. déclare par téléphone : « J’ai peut-être pu dire que j’avais vu l’un des garçons pousser l’autre, mais le mot "meurtre" me semble très grave et ne faisait en tout cas pas partie de mon vocabulaire »
     Quant aux trois convocations du tribunal, Edwige A. prétend n’avoir jamais été au courant.

              Jamel Debbouze a commis un meurtre ?

     Le 17 Janvier 1990, soit il y a quinze ans, Jean Paul ADMETTE, fils de Michel et 
Marlène ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes. 

     Un train qui arrive à 150 km à l’heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Debbouze, cette célèbre main qu’il cache obstinément dans se poches. 

     Marlène ADMETTE est catégorique : « c’est bien Jamel Debbouze qui a tué mon fils » annonce Marlène.

« J’affirme que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils, c’est lui qui a poussé mon fils sous le train » ne cessera d’admettre Marlène ADMETE. 

« Immédiatement après l’accident plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c’est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée. 

     Et c’est à ce moment là Que Jamel a lui-même été blessé à la main. 

     Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de St Cyr l’Ecole, tous sauf une jeune fille africaine Edwige ANZOUANA qui persistera dans ses déclarations »

     Jamel fut poursuivit pour homicide involontaire suite a la plainte déposée par les ADMETTE mais il obtiendra un non-lieu, et Jamel n’aura jamais dénié présenté ses excuses à la famille ADMETTE venu dans l’Ile de la Réunion pour rendre hommage à leur fils disparu. 

     Jamel était venu dans l’Ile de la Réunion du comique en Janvier, à cette occasion les ADMETTE ont rappelé à l’humoriste le passé, un passé que l’enfant de Trappes avait intérêt, semble-t-il, à dissimuler. Ses représentations ont donc été annulées pour cause de « maladie ».

« Il n’est pas malade. Il a eu peur c’est pour cette raison qu’il n’est pas venu. Mais on ne lâchera pas. 

     Il faut que la vérité éclate » conclut Michel. 

« Jamel Debbouze dont je peux encore vous donner l’adresse à Trappes, 19 rue du Moulin de la galette, était connu comme un délinquant comme un voleur de voiture à Trappes. 

     Il est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes des « zoulous ». Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. 

     Et ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n’a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu’ils était accompagné de voyous qui en voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs jamais retrouvé. 

     On ne nous a rendu que le corps. Oui je c’est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée » dénonce Marlène.

     Avec tout ce qu’on entend dans les médias, je ne sais pas quoi penser de cette histoire. Malgré le fait que j’aime beaucoup Jamel, je ne connais pas son passé, et j’ai cru entendre à plusieurs reprises de drôle d’histoire sur ce personnage, donc je n’apporterai pas de jugement à cette affaire. 

     J’espère bien sûr qu’il n’est pas coupable de ce qu’on l’accuse, mais je n’ai pas de preuve, donc je reste neutre. 

     Et en ce qui concerne ça main, même si cela pourrait effectivement être une explication au fait qu’il laisse toujours sa main dans sa poche, j’ai également, entendu à plusieurs reprises qu’il avait une malformation de la main. 

     Que croire ?

     LE RÉCIT INCROYABLE D’ UNE FEMME MEURTRIE, PERSUADÉE QUE SON FILS A ÉTÉ TUÉ PAR JAMEL DEBBOUZE.

     Voici les faits tels qu’elle les raconte :

     Le 17 Janvier 1990, Jean Paul ADMETTE, fils de Michel et Marlène ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes. Un train qui arrive à 150 km à l’heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel Debbouze, cette célèbre main qu’il cache dans sa poche.

« C’EST BIEN JAMEL DEBBOUZE QUI A POUSSÉ MON FILS SOUS LE TRAIN. »

     Marlène Admette est catégorique : « C’est bien Jamel Debbouze qui a tué mon fils », annonce t-elle.

« J’affirme que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils, c’est lui qui a poussé mon fils sous le train », ne cessera d’admettre Marlène Admette. 

     « Immédiatement après l’accident, plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c’est Jamel Debbouze qui a poussé mon fils sur la voie ferrée.

     C’est à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de Saint Cyr l’École, tous sauf une jeune fille, Edwige Anzouana, qui persistera dans ses déclarations. »

     Toujours selon ses dires, Jamel fut poursuivi pour homicide involontaire suite à la plainte déposée par la famille, cependant, il obtiendra un non-lieu. La dame ajoute que Jamel n’aurait jamais dénié présenter ses excuses à la famille Admette.

     Jamel était venu dans l’Île de la Réunion en janvier, à cette occasion les Admette ont rappelé à l’humoriste le passé, un passé que l’enfant de Trappes avait intérêt, semble-t-il, à dissimuler. Ses représentations ont donc été annulées pour cause de « maladie ».

« JE PEUX VOUS DONNER L’ADRESSE DE JAMEL À TRAPPES. C’ÉTAIT UN DÉLINQUANT, UN VOLEUR DE VOITURES. »

     « Il n’est pas malade. Il a eu peur c’est pour cette raison qu’il n’est pas venu. Mais on ne lâchera pas. 

     Il faut que la vérité éclate », conclut Michel. « Jamel Debbouze dont je peux encore vous donner l’adresse à Trappes, 19 rue du Moulin de la galette, était connu comme un délinquant, comme un voleur de voiture, à Trappes. »

     « Jamel est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 heures. Jamel était accompagné de deux autres personnes. 

     Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n’a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu’ils était accompagné de voyous qui en voulaient, tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs jamais retrouvé. »

                                 JAMEL, SON CRIME LUI AURAIT COÛTÉ SA MAIN

     « On ne nous a rendu que le corps. Oui je sais bien que Jamel a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée », dénonce Marlène.

     Si par hasard cela pouvait être vrai, comment peut-il vivre avec ce poids sur la conscience ? En tout cas, il n’a pas encore démenti les dires de cette famille, dires qui commencent à faire le buzz sur la toile.

                       Jamel Debbouze rattrapé par son passé
     Comme pour toutes célébrités, les journalistes creusent dans leurs passés afin de faire ressortir des erreurs de jeunesse.

     Bien évidemment, Jamel Debbouze n'échappe pas à la règle et les journalistes n'hésitent pas à lui rappeler l'accident qui lui a coûté son bras et la mort de Jean Paul Admette, fils de Marlène Admette, le 17 Janvier 1990.

     Ce jour la, Jean Paul Admette, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes. 

     Un train qui arrive à 150 km à l'heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel Debbouze, cette célèbre main qu'il cache dans sa poche.

      Madame Admette fût catégorique et dénonça ce qui suit : 

     "c'est bien Jamel Debbouze qui a tué mon fils". 

     "Jamel Debbouze dont je peux encore vous donner l'adresse à Trappes, 19 rue du Moulin de la galette, était connu comme un délinquant comme un voleur de voiture à Trappes. 

     Il est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes des « zoulous ». 

     Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n'a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu'ils était accompagné de voyous qui en voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l'on d'ailleurs jamais retrouvé. 

     On ne nous a rendu que le corps. 

     Oui je c'est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée."

     " J'affirme que Jamel Debbouze est l'assassin de mon fils, c'est lui qui a poussé mon fils sous le train » 

     " Immédiatement après l'accident plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c'est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée. Et c'est à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de St Cyr l'Ecole, tous sauf une jeune fille africaine Edwige ANZOUANAqui persistera dans ses déclarations "

     L'affaire fût menée en justice et Jamel Debbouze poursuivit pour homicide involontaire suite a la plainte déposée par la famille Admette

     Le comique obtiendra un non lieu.