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samedi 31 janvier 2015

L I.R.F.M - C EST QUOI ?

                           L'    I.R.F.M

 INDEMNITÉS REPRÉSENTATIVES DES                          FRAIS DE MANDATS

     Quand des députés se font un patrimoine avec leurs frais de mandat

 
 Selon les informations de France Tv Info, plusieurs parlementaires se sont servis de leur indemnité de représentativité de frais de mandat pour devenir propriétaire. Explications.

                         LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

      Il ne faut même plus se gêner, chaque gouvernement, chaque députés, élus, chaque dirigeant de syndicat n a qu à se servir copieusement sur l argent du contribuable, le solliciter quand les caisses sont vides  , au fil des jours nous apprenons toujours des nouveautés qui nous étaient cachées jusqu à présent, mais nous en constatons les dégâts sur le plan économique, et notre chute brutale dans les profondeurs de la dette... Ces messieurs dépensent sans compter

90 millions d euros de primes versées à nos députés afin qu ils puissent le distribuer à qui ils veulent


Prime de chauffage des sénateurs :


     Mais qui alimentent les caisses, toujours le contribuables, ( je n ose pas dire les riches, un grand nombre d entre eux savent bien manœuvrer par l intermédiaire d avocats spécialisés pour éviter de payer ou trop payés d impôts) , pas les pauvres qui sont encore un peu non imposable, mais par l éternelle classe moyenne, qui ne peut échapper à l impôt, qui sera immédiatement rechercher et solliciter par des rappels en cas d oubli, de mise en demeure et j en passe, contrairement à tous nos députés fraudeurs et Dieu sait que nous venons d en découvrit un certains nombre.


     Aujourd hui nous apprenons que nos élus perçoivent l IRFM Indemnités Représentatives des frais de mandats ( inconnu jusqu alors par le citoyen lamda que je suis surement) environ 5770 euros par mois net d impôt (pas mal) et avec cet argent ils louent leur local de permanence et certains vont jusqu à l acheter et selon les régions, les villes je peux vous dire que ça flambe.

     Tant que nous n aurons pas compris que ce sont les politiques ruinent le pays, tant que nous n aurons pas compris que le nombre de députés et sénateurs est trop important, que 100 députés et aucun sénateur suffiraient amplement, et qu avec les économies réalisés nous comblerions une partie de notre dette, ou boucher certains trous.....

     Plus nous en avons plus les frais sont élevés, plus les chiffres grimpent, tout se multiplie..... et en plus ils fraudent, c est un comble......

     Oui nous avons le droit de savoir où passe notre argent

     Et vous voulez que l on soit content que nos retraités de soient pas payés.... que les autres aient la retraite gelé, que nos salaires n évoluent  pas alors que la vie et tous les prix continuent  d augmenter......


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                                                     En toute opacité

     L’indemnité représentative de frais de mandat (IRFM), dont l’usage par les élus et marqué par le sceau de l’opacité n’en finit pas d’interroger. Cette enveloppe mensuelle s’élève à 6412 euros par mois.

     Ce mardi 27 janvier, France tv info sort une enquête pointant ces députés soupçonnés de s’être constitué un patrimoine avec cette indemnité initialement destinée à "faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat". Si cela n’a pour le moment rien d’illégal, certaines pratiques posent des questions déontologiques voire morales. Voici donc les parlementaires épinglés par nos confrères.

     François Sauvadet (UDI)

     Député centriste de la Côte-d’Or, François Sauvadet (ci-dessus) a acheté sa permanence avec l’ IRFM plutôt que de la louer. Ce faisant, il se retrouve propriétaire de celle-ci sans avoir eu recours à son indemnité parlementaire (son salaire en somme). Selon ce dernier, cela profite à la communauté depuis que le bien est payé dans la mesure où cela "permet à [son] IRFM de servir à d’autres usages au service de [ses] concitoyens". 

  Jean Lassalle (MoDem)

     Le parlementaire  MoDem connu pour avoir sillonné la France à pied pour réconcilier les électeurs et les élus, a acquis sa permanence en 2003 avec l’argent de son IRFM.
     Selon ce dernier, la question éthique ne se posait même pas à l’époque et plusieurs de ses collègues l’encourageaient alors en ce sens.

     Et combien sont t ils comme ça ?

      Cinq questions sur l' IRFM, l'indemnité des députés qui fait polémique.

      L'indemnité représentative de frais de mandat, qui s'élève à 5 770 euros par mois, permet aux élus de régler leurs frais professionnels. Mais aucun contrôle n'est exercé sur la manière dont ils dépensent cet argent.

     C'est l'une des deux enveloppes versées par l'Assemblée nationale à chaque député. L'indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) permet à un élu de régler ses frais professionnels. Ce n'est ni son "indemnité parlementaire", qui correspond en fait à son salaire, ni du "crédit affecté à la rémunération de collaborateurs", une enveloppe qui lui permet de payer ses assistants parlementaires.

     En l'absence de tout contrôle, le député dispose de cet argent comme il l'entend et certains en profitent, comme le révèle francetv info mardi 27 janvier, pour se constituer un patrimoine immobilier.
Francetv info décortique pour vous cette enveloppe opaque.

                                 Quel est son montant ?

     Selon le site de l'Assemblée nationale, l'IRFM est aujourd'hui de 5 770 euros bruts par mois pour chaque député. Comme il ne s'agit pas d'un salaire, cette indemnité est exonérée d'impôts sur le revenu. L'Express.fr précise cependant qu'elle est sujette à la contribution sociale généralisée (CSG) et à la contribution pour le remboursement de la dette sociale (CRDS).

                                        A quoi sert-elle ?

     L'Assemblée nationale n'est pas très précise à ce sujet. Elle indique simplement que l'IRFM sert à "faire face aux diverses dépenses liées à l’exercice de leur mandat qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l'assemblée". A chaque député d'estimer ce qui relève, ou non, de l'IRFM.

     Elle sert, en général, à payer le loyer d'une permanence ou d'un bureau, l'essence nécessaire pour parcourir sa circonscription, des gerbes de fleurs pour les cérémonies officielles, des coupes pour les tournois sportifs, un site internet ou l'édition d'une lettre du député.

     "Je dépense principalement mon IRFM en frais de déplacement. Ma circonscription fait 120 km sur 60 km, je n'utilise que ma voiture et je parcours 5 000 km par mois", explique à francetv info Charles de Courson, député UDI de la Marne.

     Député socialiste de Charente, Jérôme Lambert loue, lui, un studio à Paris pour "les deux trois nuits par semaine" qu'il passe dans la capitale pour siéger à l'Assemblée. Montant : 1 800 euros par mois (charges comprises). Invités de l'émission "Complément d'enquête", Jean-Jacques Urvoas (PS) et Barbara Pompili (EELV) avaient expliqué qu'ils utilisaient leur IRFM également pour s'acheter costumes et tailleurs.

     Il existe, enfin, de fortes disparités parmi les députés : ceux qui exercent un autre mandat peuvent faire prendre en charge par leur mairie ou leur conseil général certaines dépenses que d'autres imputent à leur IRFM. Les députés d'un territoire rural éloigné de l'Assemblée ont également plus de frais de déplacement que les députés d'un territoire urbain proche de Paris.

                                 Quelles sont les règles ?

     Il n'y en a pratiquement pas. Ancien député UMP de Seine-Saint-Denis (2007-2012), Patrice Calméjane se souvient de la surprise qu'il a eue en arrivant à l'Assemblée nationale. "Le service administratif m'a dit : 'Il vous faut un deuxième compte pour y recevoir l'IRFM.' C'est la seule instruction qu'on m'a donnée. Il n'y a même pas un b.a.-ba de son utilisation pour les nouveaux députés", raconte-t-il à francetv info.

     L'Assemblée ne demande, en effet, aucun justificatif et ne contrôle pas comment est utilisé cet argent.
Contacté par nos soins, le déontologue de l'Assemblée nationale, Ferdinand Mélin-Soucramanien précise, tout de même, le cadre de cette indemnité. "Il est interdit d'utiliser l'IRFM directement ou indirectement pour concourir à l'organisation d'une campagne électorale. C'est la seule dépense juridiquement interdite", explique-t-il. Le Conseil constitutionnel l'a rappelé à plusieurs reprises (ici, et ) et un adjoint au maire de Marseille (Bouches-du-Rhône) a vu ses comptes de campagne rejetés en décembre 2014 pour ce motif.

     Les députés ne doivent pas, non plus, confondre cette enveloppe avec leur argent personnel. "Cela reste de l'argent public. La partie privée réelle, c'est l'indemnité parlementaire, rappelle le déontologue. Nous sommes dans le cadre d'une indemnité pour frais professionnels. Dans l'hypothèse où elle n'est pas utilisée, elle doit être restituée" à la fin de la législature. Mais, dans la pratique, "il n'y a pas d'encadrement très strict", reconnaît Ferdinand Mélin-Soucramanien.

     Une façon de dire que rien n'oblige les députés à rendre le reliquat. En 2012, 500 000 euros avaient tout de même été restitués, selon un rapport établi en 2013 par la déontologue de l'époque.

                              Pourquoi fait-elle polémique ?

     Dans certains cas, il est difficile de faire la part des choses entre ce qui relève du mandat de député et ce qui ne l'est pas. "Il n'y a pas de fiche de poste pour un député. Personne ne peut dire que telle chose relève du mandat et pas telle autre, quand on est dans la zone grise", écrivait en 2012 l'ancien attaché parlementaire Samuel Le Goff.

     Mais, ces dernières années, plusieurs députés ont été épinglés. "Tout le monde sait qu’une partie de l’IRFM est utilisée à des fins totalement privées par certains collègues", rappelle Charles de Courson.

     En 2012, Mediapart et Marianne révèlent que le député socialiste de l'Ardèche Pascal Terrasse a payé, avec cette enveloppe, des voyages privés en Espagne, au Sénégal et en Egypte. D'autres élus sont critiqués parce qu'ils en ont profité pour se constituer un patrimoine immobilier. Dans "Complément d'enquête", on découvre, par exemple, que l'ancienne permanence de Muriel Marland-Militello rapporte entre 1 300 et 1 400 euros de loyer à l'ex-députée UMP des Alpes-Maritimes.

     De manière générale, ce système enrichit les députés. En janvier 2012, la Commission pour la transparence financière de la vie politique - l'ancêtre de l'actuelle Haute autorité pour la transparence de la vie publique -, avait constaté que, "s'agissant des parlementaires en fin de mandat, le montant de l'IRFM contribue, pour la durée d'un mandat, à un enrichissement oscillant entre 1 400 euros et 200 000 euros".

                         Pourquoi les choses n'évoluent pas ?

     "C'est tabou", regrette Charles de Courson. "Dans notre pays, sur ce genre de sujet, on vous dit : 'On faisait comme ça avant, il n'y a pas de raison de changer'", ajoute Patrice Calméjane. Les deux hommes sont bien placés pour le savoir : ils ont tous les deux tentés, en vain, de modifier les règles de l'IRFM.

     Le premier a déposé, en 2012, un amendement visant à fiscaliser la partie non utilisée de l'IRFM. Secrétaire de la commission spéciale chargée d'apurer les comptes de l'Assemblée, le second avait proposé d'interdire aux députés d'acheter leur permanence avec l'IRFM.

     Patrice Calméjane avait, en outre, souhaité contrôler l'utilisation de cette enveloppe. "J'avais dit : 'Tout le monde tient une comptabilité', et la Cour des comptes contrôle chaque année 5% des députés de façon aléatoire", raconte-t-il, affirmant que ce dispositif permettait de responsabiliser "100% des députés".

      La commission n'a pas adopté cette mesure. Mais le sujet devrait revenir prochainement sur la table. Le déontologue de l'Assemblée assure que cette dernière va bientôt prendre des mesures sur l'IRFM.

 

 

vendredi 30 janvier 2015

SCANDALEUX POUR NOUS RETRAITÉS


SCANDALEUX POUR NOUS RETRAITÉS 

     Des milliers de nouveaux retraités privés de pensions depuis des mois 


                                             LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

A T ON AUTANT ÉTUDIÉ POUR VERSER LES RETRAITES DE NOS EX PRÉSIDENTS?

     Oui j appelle ça un scandale car dans ces même temps j entends chaque jour ce que nous coûtent nos ex président, et ce que nous touchera donc aussi l actuel ( lire l article in fine)

     Il me semble très honnêtement qu un retraite se prépare bien à l avance, les personnes qui vont y être se rendent à cette caisse (CARSAT) afin de préparer leur dossier, ils ont des documents à remplir, à signer, on leur demande des tas de renseignements, le paiement de leur retraite ne va pas être faite pas l opération du St Esprit, et aujourd hui on entend que depuis des mois on ne la leur verse pas parce que l étude des dossiers n est pas terminée. 

     Mais de qui se moque t on ? Pour qui nous prend t on ? As t on autant étudié pour verser les retraites de nos ex président ? 
 
     J ai écouté les infos, certains retraités, ne touchant qu une retraite misérable (inférieure à un étranger de 60 ans qui pénètre sur notre sol qui va percevoir le minimum vieillesse sans avoir cotisé, ni jamais travailler, sans savoir même parler notre langue) ont puisé dans leurs économies, ils ne savent pas jusqu à quand cela va durer, on leur dit que leur dossier sont transmis dans d autres services, ils prévoient même de vendre leurs bien pour pouvoir vivre.

     Et dans le même temps nous écoutons tous les jours ce que nous coûtent nos ex présidents, tous ces incompétents qui ont et trainent encore notre pays dans la boue tel qu on le trouve encore aujourd hui, accumulant la dette, les trous de notre sécu, faisant grimper le taux du chômage, acceptant l immigration massive sans aucun contrôle (on voit les résultats)  PARIS a même débloqué 95 millions d euros pour eux, on entend aussi que 40 milliards d euros ont contribué à détruire et reconstruire des cités, ces cités dans lesquelles ont y trouvent un grand nombre de truand, de dealers, de bruleurs de voitures, de caillasseurs de flics, de pompiers et de médecins

     ET ON PEINE A VOULOIR PAYER NOS RETRAITÉS qui ont bossé des années, et pour certains depuis leur plus jeune âge. 

     Nos retraités, ne payent ils pas leurs loyers, leurs factures de EDF, de GDF, leurs mutuelles, cotisations sociales, leur nourriture, leurs assurances, leurs téléphones, leurs impôts......, je ne pense pas qu on leur accorde des délais et qu on leur demande d étudier toutes ces factures, s ils ne payent pas ces des rappels, de majorations, des mises en demeure..... PITOYABLE.

     On pousse les gens à bout, jusqu à ce qu ils n en peuvent plus, j éprouve un profond dégoût de voir à quel point on peut tout accorder aux uns et toujours au détriment des autres. Tous ces minables profiteurs de politiciens (du plus petit au plus haut se foutent bien de nous, de nos misères, de nos difficultés, ils ne pensent qu à eux et à leur portefeuille bien garnie par nous) 

577 députés, plus de 300 Sénateurs qui bouffent sur notre compte sans parler de la haute sphère qui vide les caisses....  Ce matin encore ils cherchent à nous prendre de l argent avec la CAF sur les APL qu on accorde aux jeunes, trouvant qu ils sont assez aidés par les parents ... LAMENTABLE.

                                                                       

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     Rebelote ! Après une première grosse alerte l’année dernière, la CARSAT a de nouveau pris du retard dans l’instruction des dossiers de demande de retraite. 
Résultat : des milliers de nouveaux retraités attendent désespérément le versement de leurs pensions.



                               À quoi sert la CARSAT ?

     La CARSAT (ex-CRAM), Caisse d’Assurance Retraite et de la Santé au Travail, prépare, calcule et paie la retraite par répartition. En 2013, la CARSAT Nord - Picardie, dont dépend la région, a payé 1 189 324 pensions dont 64 000 nouvelles retraites.

                      Comment explique-t-on ce retard ?
     Du côté de la direction de la CARSAT Nord-Picardie, on parle d’un « pic d’activité » sans vouloir, pour l’instant, préciser les chiffres. On nous indique simplement que « le pic d’activité est similaire dans pratiquement toutes les CARSAT de France ».

     Rassurant ? Le 25 septembre 2013, nous faisions paraître dans nos colonnes un dossier qui traitait déjà de l’engorgement dans le paiement des pensions des nouveaux retraités. « L’année dernière, nous avions mis en place un plan d’action et on était revenus à une situation satisfaisante », nous précise-t-on encore.
     Une situation qui, visiblement, s’est de nouveau dégradée. « On met en place des plans d’action innovants qu’il nous faut soumettre au personnel. On est vraiment mobilisés. » Mais pour en savoir davantage, il faudra attendre une « très prochaine » conférence de presse. « On a répondu à toutes les sollicitations médiatiques, maintenant on veut gérer notre communication. On ne peut plus se permettre de détourner nos moyens pour répondre à la presse. »

« Sur le littoral, une assurée sociale a menacé de faire sauter l’agence »
     Si la direction de la CARSAT se refuse, pour l’heure, à communiquer des chiffres, Patrice Bardet, délégué CGT, n’a pas les mêmes scrupules. On apprend ainsi que le stock de demandes de droits à la retraite était de 25 000 début septembre. Soit 22 % de plus qu’à la même époque l’année dernière. Plus inquiétant encore, 35 % de ces dossiers en stock seraient en retard.
     Autrement dit, dans la région et en Picardie, 8 750 personnes attendent le versement de leur retraite depuis un mois au moins. « Sur le littoral, une assurée sociale a menacé de faire sauter l’agence. » La situation est donc préoccupante : « La direction a déclenché mardi un plan d’urgence. »
     Des économies de personnel qui coûtent chers aux retraités. Plan d’urgence examiné hier lors d’un comité d’entreprise extraordinaire. Pour Patrice Bardet, l’explication est purement mathématique : « Quand vous ne remplacez pas un départ sur deux, vous ne pouvez pas vous attendre au même niveau de performance. De 2014 à 2016, 300 départs en retraite sont programmés, 150 personnes ne seront pas remplacées. »

                                          REPORTAGE 

     Jean-Pierre Donner passe une nouvelle couche de peinture dans sa maison d’Emmerin, au sud-ouest de Lille. Depuis le 1er juillet, il profite des jours plus tranquilles de la retraite pour faire quelques travaux.
     « Tranquilles » sur le papier seulement. Le jeune retraité est plutôt agité. Et pour cause. Il n’a toujours pas perçu le moindre euro de sa pension. « C’est inadmissible ! J’ai travaillé de l’âge de 16 ans à 60 ans et demi et je n’arrive pas à toucher ce qu’on me doit. Quand j’ai été reçu en juillet, on m’avait prévenu qu’il y aurait un léger décalage et que je devrais être payé entre le 12 et le 20 août », rouspète l’ancien employé dans les transports pendant 44 ans.
     Deux mois que ça dure. « Et le pire, c’est qu’ils sont incapables de me donner une date ! Pourtant, on m’a bien signalé que mon dossier ne comportait aucune anomalie. Tout est bloqué. Du côté de la caisse complémentaire, c’est prêt mais ils attendent la notification du régime général… »
     Les traites, elles, n’attendent pas, même si Jean-Pierre Donner s’estime heureux d’être propriétaire et de ne pas avoir de loyer à payer. « Il reste quand même l’électricité, l’eau, les impôts, l’assurance voiture… Je ne perçois rien mais il faut bien que je paie. Ils ne réfléchissent pas à comment on doit faire pour vivre… »

                        Une association pour aider les victimes
     À Guînes, près de Calais, Patricia Duvieubourg en a plus qu’assez d’être confrontée aux retards de paiement de la CARSAT. Présidente d’une association caritative, elle a multiplié les rencontres avec des retraités en attente de leurs pensions : « Ce sont des gens qui ont travaillé toute leur vie et qui viennent me voir parce qu’ils ont faim. Ce n’est pas possible. »
     Du coup, Patricia Duvieubourg a créé une adresse e-mail où les personnes concernées peuvent témoigner (patricia.retraites@gmail.com).
     Parmi les témoins, on comptera très probablement Claire (prénom d’emprunt). Cette veuve du Calaisis attend le versement de sa pension de réversion depuis décembre 2013 : « C’est une situation terrible. Au début, vous puisez dans vos économies, puis vous demandez des prêts à vos proches. Ensuite, on se retrouve dans des épiceries sociales. Là, on n’est pas à sa place, on a l’impression de prendre aux autres. Ça vous met dans une détresse pas possible. »


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      Budget de l'État. Les ex-présidents nous coûtent 6 millions par an 

      Logement, sécurité, personnel... René Dosière, député PS de l'Aisne, spécialiste du budget de l'Elysée, a évalué le montant des dépenses publiques dédiées à nos ex-présidents.

     Valéry Giscard d'Estaing est l'ancien président qui coûte le plus cher au budget de l'Etat, avec 2,5 millions d'euros par an, devant Nicolas Sarkozy (2,2 millions) et Jacques Chirac (1,5 million), selon une nouvelle évaluation du député PS René Dosière à partir de données des ministères.

                                            6 millions d'euros par an

     « Plus de six millions d'euros par an, c'est le coût global à la charge de l'Etat des anciens présidents », écrit sur son blog M. Dosière, spécialiste de longue date du budget de l'Elysée.

     Ce budget ne comprend pas le traitement mensuel des anciens présidents (environ 6 000 euros), ni la rémunération mensuelle de membre du Conseil constitutionnel (12 000 euros) que VGE est le seul à toucher.

     Le député de l'Aisne rappelle que le statut d'ancien président est réglé « sur la seule base d'une lettre personnelle » en 1985 de Laurent Fabius, alors Premier ministre, à VGE.


mercredi 28 janvier 2015

11 JANVIER - AVANT OU APRÈS - QUELLES DIFFÉRENCES ?

                               11 JANVIER

                       AVANT OU APRÈS, 

                 QUELLES DIFFÉRENCES ?

                                       §§§§§

                                                   LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

     Il faut reconnaitre qu on ne cherche pas à simplifier la tâche première des Français qui est celle de comprendre, je dirais même qu on fait tout pour qu ils ne comprennent rien.

     Mais nos politiques, nos journalistes, nos grandes personnalités, savent ils eux mêmes ce qu ils veulent. Il disent tout et son contraire, tantôt blanc, tantôt noir selon le souffle du vent.

    Ils refusent de voir l immigration massive et musulmane dans notre pays, dans toute l Europe, ils refusent de parler d amalgame quand nous constatons des attentats ou des meurtres sur notre sol, mais que leur faut il pour admettre toutes ces vérités qui font le mal dans notre pays.

      Ce matin encore j observais dans une grande surface, des femmes voilées, des hommes en djellaba, mais ça veut dire quoi ça, n est t on pas en France, imaginer un instant que chaque étranger venant s installer en France face de même et que toutes les femmes de par leurs origines se cachent le visage que tous les hommes portent leurs costumes, pourrions nous encore dire que nous sommes chez nous.

     S ils sont si bien dans leurs accoutrements, s ils sont si bien à pratiquer leurs us et coutumes du  , s ils sont si bien à appliquer leur loi, leur religion, pourquoi ne retournent ils pas dans le pays de leurs ancêtres où la pratique est autorisée naturellement. 

    Je pense comme nombreux d entre nous qu ils viennent chercher chez nous ce que l on ne accorde pas chez eux, c est à dire, davantage de liberté, des aides financières, sociales, des soins gratuits grâce à la CMU et l AME, des études, des bourses, toutes les facilités qu on ne nous accorde plus, et lorsqu ils ne savent pas écrire sur un document réclamé par l administration on se charge de faire une croix pour eux, alors qu un citoyen normal, on lui fera faire de nombreux aller et retour pour obtenir le bon document.

    On leur accorde tout voile, niqab, djellaba, ils ont des mosquées, ils ont le ramadan au même titre que les juifs ont leur chicha, leur chabat, même les chinois ont leur nouvel an,   on ne peut pas dire que la France y met de la mauvaise volonté. La France à reçu et accepté l accueil de nombreux étrangers dont nombreux se sont adaptés, il y en d autres qui ne veulent pas s adapter, s intégrer et en plus ils veulent que nous adaptions à eux. Une véritable aberration.

     Essayer de faire  chez eux  (le pays de leurs ancêtres) tout ce qu ils font chez nous  je précise parce que beaucoup sont soit disant Français , il n y a pas la justice de taubira, il y a même la charia. Ils ont même supprimer tous les dictateurs avec l aide de l occident, pour placer des islamistes radicaux à la tête de ces pays et ils s en mordent les doigts aujourd hui.

     Nos politiques n ont pas su contrôler tous ces débordements, les frontières, ajoutez y notre justice laxiste et  nous en payons aujourd hui le prix fort avec les évènements des ces derniers jours, et le pire est à venir.

     Que l on ne croit surtout pas que cette accalmie va durer, elle est temporaire, eux aussi attendent que ça se calme côté sécurité.  Les hollande,  valls, cazeneuve et taubira ne pourront pas dire qu ils ne savaient pas.

     J avais publié l article sur la la propagande à la haine raciale " LA VOIE DU MUSULMAN" vendu à carrefour

 http://pourquinousprendton.blogspot.fr/2014/07/propagande-islamiste-chez-carrefour.html

     Comme celui de "JE NIQUE LA FRANCE" vendu par amazone
  http://pourquinousprendton.blogspot.fr/2013/11/le-torchon-du-livre-nique-la-france-une.html

     Et c est nous qui serions raciste, et on nous interdit de nous exprimer en parlant de liberté d expression, qu on arrête de nous faire rire, nos lèvres vont gercées

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     Il paraît qu’il y aura « un AVANT et un APRÈS 11 janvier 2015 » (M.Valls).
     Voyons !
     Le crime qui a provoqué le sursaut de la France s’est passé les 7 et 9 janvier.
     Le 11 n’est qu’un épiphénomène consécutif.
     Mais voyons quand même.

     Avant, le 5 août 2014, il y a moins de 6 mois, B. Cazeneuve disait « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad« . S’il le répétait aujourd’hui il tomberait sous le coup de la loi (si elle est votée !) et encourrait jusqu’à 7 ans de prison, comme les directeurs de magasins Carrefour et la FNAC qui vendaient des livres faisant la promotion du djihad.



     Avant, Vincent Peillon, pour notre bonheur enfin disparu des écrans médiatiques, avait asséné à l’université de Neuchâtel, en Suisse, l’ineptie suivante montrant qu’il n’a jamais lu le coran ou le moindre hadith : « le catholicisme est incompatible avec la liberté, contrairement à l’islam« .

      S’il se convertit un jour par lâcheté et opportunisme avec tous les universitaires, comme le prévoit Houellebecq, il apprendra qu’islam signifie « soumission » et que renier l’islam est passible de la peine de mort. Ce n’est pas le cas dans la chrétienté qu’il est permis de critiquer et de quitter.


      Avant, le 16 décembre, le journaliste socialiste (un pléonasme) de L’Obs Bruno Roger-Petit a écrit : « Oui, il y aura un jour, avant la fin de ce siècle, un président de la République française dont le prénom sera Mohamed, ou Ahmed, ou Norredine, c’est une perspective formidable« . 
     Félicitons-le d’abord de donner raison à Houellebecq, et conseillons-lui de quitter L’Obs, journal de la bobocratie friquée, pour Charlie Hebdo, journal critiquable mais où l’on prend des risques en caricaturant l’islam au lieu de lui lécher les babouches.

  
     Avant, il y a le grand délateur, Edwy Plenel, qui a dit « c’est une immense chance pour la France d’être le premier pays musulman d’Europe« . 

     Lui aussi lèche toujours l’islam dans le sens du poil et devrait faire un stage d’apprentissage du courage à Charlie ou à Valeurs Actuelles, un hebdo encore plus courageux que Charlie, et surtout beaucoup mieux écrit, gardé jour et nuit par la police.



     Avant, revenons pour terminer « l’avant » à Cazeneuve, ministre des Cultes qui, tout aussi ignorant de l’histoire de France que Peillon l’est de l’islam, a déclaré : « Évoquer les racines chrétiennes de la France, c’est faire une lecture historique frelatée… qui a rendu la France peu à peu nauséeuse« .

     Si la tradition chrétienne de la France qui a porté la liberté de penser, l’égalité des femmes avec les hommes, des pauvres avec les riches et la fraternité avec l’injonction divine de s’aimer les uns les autres lui donne la nausée, pourquoi ne quitte-t-il pas la France pour l’Arabie, Singapour ou les Iles Vierges ? Ce n’est pas nous qui le forçons à rester.

      Un type qui a déclaré que « si je n’avais pas été ministre j’aurais été manifester à Barbès » à hurler avec les islamo-fascistes « Mort aux Juifs » a-t-il sa place en France ? Qu’il aille donc profiter de ses rentes de haut fonctionnaire sous les cocotiers.

      Le conseiller financier de Hollande détenteur de comptes « légaux » aux Iles Caïman lui donnera des adresses, il s’y connaît en offshore.

      Et si les Iles Caïman c’est un peu voyant, son associé n°1, Xi Shu, lui donnera de bonnes adresses aux Iles Vierges ou bien le n°2, Jacques Rougeaux, le conseillera pour se domicilier fiscalement à Hong Kong ou Singapour.
     C’est qu’il en a de bons copains, Hollande, je ne parle pas de Macron de chez Rothschild ou de Laurence Boone de la banque Merrill Lynch, ses deux autres proches conseillers financiers, mais de Jean-Jacques Augier qui a racheté à Pierre Bergé le journal des pédérastes, Têtu.

     Ça, c’était avant, mais après ? Après, il y a ceux à qui profite le drame.

Mix et Remix: À qui profite le drame ?

     Contrairement à ce que l’on tente de nous faire croire, la plupart des Français qui ont manifesté le 11 janvier ne l’ont pas fait pour Charlie-Hebdo, bien que la presse dûment sermonnée n’ait montré que des gens portant le badge « Je suis Charlie« , mais contre l’islam meurtrier, comme il l’a toujours été depuis quatorze siècles, assassinant en France des journalistes, des policiers et des Juifs .

     Après, les Français ne veulent pas que leurs rues, leurs villes, la France deviennent le champ de bataille où l’islam radical s’affrontera aux chrétiens, aux juifs et aux musulmans qui ne seront pas sunnites fondamentalistes.

     Parce que, quoi qu’ils en disent, à l’exception du pape François qui reconnaît l’existence d’un djihadisme musulman planétaire et parle d’une « troisième guerre mondiale livrée par morceaux« , une autre façon de parler de la guerre « multipolaire » ou « hors limites » que j’ai mentionnée dans un précédent article, et à l’autre exception du président égyptien Al-Sisi pour qui placer la frontière entre musulmans modérés et fondamentalistes est une erreur parce qu’il faut la placer entre l’islam religieux et l’islam idéologique, politique et militaire, le djihad, cinquième pilier de l’islam, et l’islamisme SONT aussi l’islam.

     Et cet islam-là, qui s’est manifesté bruyamment et violemment ces dernies jours dans tous les pays musulmans du Maroc à l’Afghanistan, en passant par les banlieues, les écoles  françaises et par le Niger « allié » où dix chrétiens ont été massacrés et une cinquantaine d’églises brûlées pour Charlie, cet islam-là a désigné la France comme son ennemie et espère bien lui faire payer cher son engagement contre l’islam, car c’est ainsi qu’ils le voient, du Mali à l’Irak où Chirac avait eu l’intelligence de ne pas nous impliquer en supplétifs de Bush, ce que l’ignorant Fabius a fait.

     Après, notre élite qui ayant « fait » deux ou trois grandes écoles se croit cultivée et compétente et pense avoir obtenu un brevet d’intelligence (ce qui n’a rien à voir avec l’instruction), va-t-elle maintenant comprendre qu’il ne suffit pas de dire que nos djihadistes « français » sont des « terroristes », mais qu’il faut les reconnaître comme nos ennemis, guerriers d’un islam qui veut venger – il ne s’en cache pas – ses échecs militaires historiques à Poitiers, Vienne et Cordoue ?

     L’avenir nous le dira, mais je n’y crois guère. Le naturel reviendra vite au galop chez tous les politicards du royaume de France.

     Après, il y a aussi le grand appel au respect de la liberté d’expression et d’opinion aussitôt contredit par Valls (inculper Dieudonné) et les associations relais du ministère de l’Intérieur qui continuent à harceler Zemmour, Houellebecq et Tesson. Puis dans les discussions pour, toujours sous couvert de liberté, dire ce qui « définit les limites du langage et de la pensée, décide du digne, de l’indigne et du tabou » (Éric Branca, V.A.).

     Après, en même temps, et sans le moindre scrupule moral, l’Elysée mobilisait à son seul profit l’émotion légitime qui submergeait le pays, rameutait sous sa coupe l’opposition de droite tétanisée sous prétexte « d’unité nationale » et tous, de Bayrou à Sarkozy sont tombés dans le panneau, Marine Le Pen n’y ayant échappé que grâce à Hollande qui lui a interdit de participer à l’unité nationale républicaine où elle avait pourtant sa place.

     Après, va-t-on enfin s’interroger sur ce qui se passe dans les mosquées françaises où des imams appellent en arabe au djihad et poussent de jeunes garçons désœuvrés à aller égorger les infidèles en Syrie et les filles à les rejoindre pour être les filles à soldats de l’islam ?

     Après, va-t-on prendre conscience et arrêter de dire que « l’islam est compatible avec la République » alors que les plus hautes autorités religieuses de l’islam disent qu’il y a incompatibilité entre l’islam et l’a démocratie, entre l’islam et la laïcité, entre l’islam et la liberté, entre l’islam et l’égalité hommes-femmes, entre l’islam et les non-musulmans, entre l’islam et l’homosexualité, entre l’islam et la monogamie, entre l’islam et l’éducation des filles, entre l’islam et la liberté d’expression… parce que le prophète en a décidé ainsi ?

     L’islam tel qu’il est actuellement est une théocratie à la fois religieuse, politique, sociale et militaire, il est forcément incompatible avec une République laïque, issue de la philosophie des Lumières et de la Révolution, il n’y a pas besoin d’avoir deux neurones pour le comprendre.

     Recevant il y a quelques jours David Cameron, Barack Obama a souligné l’incapacité de la France à assimiler les musulmans, même ceux « de France ». La raison en est claire : nos élites, recrutées non en fonction de leur capacité à réfléchir, mais en fonction de leurs diplômes et de leur capacité à reproduire le système en psalmodiant « les sourates de la culture officielle » (Camille Pascal), dans un pays où les musulmans modérés font alliance avec le Parti socialise pour faire barrage au Front National.

      Cela « rappelle avec cruauté que le suffrage universel peut, un jour, comme dans l’Allemagne de 1933, voter contre la démocratie » (Camille Pascal, V.A. du 22-01)
Maurice D.

mardi 27 janvier 2015

LES EFFETS KOUACHI

          BRAVO LES FRÈRES KOUACHI

                     le terrorisme cela paye !

                             Les « côtés positifs » de cet attentat tragique.

                             LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

      Je ne sais même pas s il y a besoin d en rajouter, l auteur de cet article est assez précis et aucun de ces paragraphes ne peut être contester, les faits étant là.

      On peut dire en effet que l action des frères kouachi  et leur ami coulibaly  (notez au passage que je me refuse de mettre des majuscules à leur nom ayant toujours appris que celles ci ne devaient être mises qu au nom propre) qui a fait de nombreux morts, à aussi fait couler beaucoup d encre, mais aussi augmenter et attiser la haine que nous vouent les islamistes comme en témoignent toutes les actions qui ont suivi dans de nombreux pays.

     Charlie Hebdo (allias ROTSCHILD si on se réfère à son rachat ) n aurait jamais pu  imaginer qu il allait faire autant bouger les choses après de tels dégâts....

     Tout est bousculé, à commencer par la sécurité, 

     Nous avons eu des renforts de militaires alors qu on était sur le point d en supprimer (mais pour combien de temps) ils disparaitront lorsque le calme sera revenu et c est bien à ce moment là que nous courrons le plus de risque, 

     Notre Éducation Nationale se remet à l apprentissage des valeurs oubliés, notre ( (non, je préfère dire votre) président tente de rallier à son panache (je n ose même pas dire blanc tellement je le trouve sale et responsable de la tragédie) tous les politiques Français et étrangers, 

     Les frères kouachi à n en pas douter vont faire des émules, ils ont voulu mourir en martyr au nom de leur prophète, au nom de l islam, de leurs idéaux, et il n en faudra pas plus pour qu ils servent d exemples à d autres fêlés, et même s il ne faut pas faire d amalgame, si on ne veut pas employer des mots comme islamophobies, on ne pourra pas empêcher les gens d y penser, car qui peut croire que les affaires vont en rester là... qui peut croire que le calme va être maintenu..... qui peut croire que nous ne connaitrons plus d autres attentats.....

     Pour tous ceux qui ne veulent pas s intégrer, s adapter, respecter je dis ALLAH   PORTE........ 

                                                         Pour Rappel à Manolito  

 http://fr.novopress.info/181534/les-salafistes-inaugurent-leurs-distributions-corans-paris/

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     Les frères Kouachi et Coulibaly ont été enterrés seuls et dans l’anonymat… mais ils ont réussi leur coup et fait avancer leur cause : celle de l’islamisation de la France, de l’Europe et du monde.

• 1- Des foules immenses ont défilé pour condamner leurs actes : mais dans ces foules, à part quelques notables jouant la partition de la taqiya, leurs coreligionnaires et leurs « frères » étaient absents. En Ile-de-France, il y a plus de 20% d’immigrés dans la population mais les foules qui défilaient étaient de race blanche et de civilisation européenne. Les Kouachi et Coulibaly n’ont pas été désavoués par les leurs.

• 2- Pire, dans les écoles, les collèges et les lycées de banlieue, des centaines, voire des milliers d’incidents, ont eu lieu lors de la minute de silence : beaucoup d’immigrés noirs ou arabes (à la deuxième ou troisième génération !) ne se sont pas sentis « Charlie », Charlie, ce journal qui avait blasphémé leur prophète.

 • 3- Allons plus loin : les manifestations et commémorations du 11 janvier 2015 ont eu pour thème « la liberté d’expression ». Et les semaines qui ont suivi ont été consacrées aux… limites à fixer à la liberté d’expression. Pour le double bénéfice des minorités musulmanes. Côté liberté d’expression, beaucoup de jeunes de banlieue demandent : Mais alors, s’il y a liberté d’expression, pourquoi n’a-t-on pas le droit de rire avec Dieudonné ? Pourquoi interdit-on ses spectacles ? Pourquoi ne peut-on pas critiquer Israël et les juifs ? Jouant les proviseurs de banlieue, le premier ministre Manuel Valls s’est fait mettre en difficulté sur ces questions par des collégiennes en dreadlocks… Misère de l’État !

http://www.fdesouche.com/556687-pontault-combault-77-collegienne-interpelle-valls-dieudonne
 
• 4- Dans le même temps l’interdit du blasphème progresse. Pour une raison : la peur et le conformisme. Depuis l’attentat contre Charlie Hebdo, on sait que représenter le prophète peut coûter la vie. Or la peine de mort, c’est dissuasif… D’ailleurs les Danois du Jyllands Posten (les premiers à avoir caricaturé Mahomet en 2005) se sont bien gardés de récidiver. Et le directeur pourtant courageux de ce journal reconnaît que la terreur cela marche !

http://www.fdesouche.com/551383-ces-gens-pretendent-defendre-liberte-dexpression-cest-du-vent-les-terroristes-gagne

• 5- D’autant qu’un nouveau conformisme se met en place : ne pas respecter les interdits mahométans, ce serait manquer de respect aux musulmans. Dans la novlangue politiquement correcte c’est déjà assimilé à « un discours de haine » et à de « l’islamophobie » ; « l’islamophobie », un délit en cours de création, soit par un nouveau texte législatif, soit par une interprétation de plus en plus extensive de la loi Pleven de 1972.

     C’est ainsi que les interdits musulmans sont en train de s’étendre à l’ensemble de la société, voire du monde. A terme, c’est le voile islamique qui s’imposera au moins dans certains quartiers (pour ne pas choquer), le porc qui sera interdit (y compris aux non-musulmans) et l’abattage halal généralisé (c’est déjà en partie le cas). Comme dirait Houellebecq, cela s’appelle la « soumission ».

• 6- Pour faire bonne mesure Hollande, Valls, Taubira et les médias de propagande ont recouru à la culture de l’excuse : les frères Kouachi et Coulibaly seraient des victimes de la société, voire d’un « apartheid à la française ». Il est pourtant difficile d’avoir été plus choyé qu’eux par la société : logements aidés, vacances offertes, sport payé, emplois aidés, accès privilégiés à la télévision et aux médias, invitation à l’Elysée, que de bonnes fées se sont penchées sur eux ! Mais cela n’a pas suffi, alors il va falloir en faire davantage. Grâce aux frères Kouachi des milliards d’euros supplémentaires vont se déverser sur les banlieues : merci qui ?

• 7- Il n’y a d’ailleurs pas lieu d’être surpris de cela. Le terrorisme est, comme la diplomatie, un moyen au service de fins politiques. Il a toujours joué un rôle en histoire : les Résistants étaient des « terroristes » aux yeux de l’occupant allemand (qui aurait pu leur reprocher leur « germanophobie ») ; les Irlandais ont conquis leur indépendance à coups de bombes ; tout comme le FLN algérien dont la première action fut l’assassinat d’un couple d’instituteurs (les obsédés de la défunte école républicaine et les enseignants devraient méditer ce fait…).

• 8- Comme pour bien d’autres causes les partisans de l’islamisation la font progresser en marchant en crabe : les uns font peur par le terrorisme ou simplement en « tenant » les trottoirs et les cages d’escalier, les autres rassurent par de bonnes paroles. C’est aussi comme cela dans les salles d’opération : il y a le chirurgien qui ampute et l’anesthésiste qui endort. Les deux sont au service de la même cause. Le recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, a joué les patenôtres en défilant le 11 janvier 2015 mais il avait déclaré, lors de l’affaire des caricatures sur Mahomet : « Qui sème le vent récolte la tempête. »

• 9- C’est le dernier succès des frères Kouachi : avoir offert, grâce à la veulerie et à la complaisance des journalistes, une formidable audience médiatique aux imams et aux divers représentants du culte musulman (CFCM, UOIF, etc.). Vous savez, cet « islam modéré » financé par… l’Arabie Saoudite et le Qatar. Et surtout pas d’amalgame !

• 10- Que conclure ? Que les frères Kouachi et Coulibaly ont bien mérité le paradis d’Allah. Et que nous, nous pourrions connaître son enfer si nous ne mesurons pas, tant qu’il en est encore temps, le risque de Grand Remplacement humain et civilisationnel que nous courons. Ce qui est sûr, c’est que ceux qui, dans les partis politiques et les médias, le nient finiront aux poubelles de l’histoire.

 Jean-Yves Le Gallou est le président de la Fondation Polémia.

 

lundi 26 janvier 2015

LA GRÈCE - SYRIZA ET L EUROPE

    LA VICTOIRE DE  SYRIZA  EN GRÈCE

       Un test pour l’Europe... et pour Syriza

                                                    LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

     En voila une information, La Grèce à qui on a pas arrêté de prêter des wagons d euros pour la maintenir dans l Europe, la Grèce qui malgré toute les aides reçu vivait l austérité, le peuple n avait plus d électricité, avait des salaires si bas que c était à peine vivable, les impôts ,du chômage comme une  vrai crise sans précédant.


    La Grèce en avait assez, la Grèce s est battue, et avec ses élections elle a gagné une grosse bataille, le peuple semble satisfait, plus d austérité parait il, les salaires en hausse, l électricité revenu, tout est super quant à leur dette s élevant à 300 milliard d euros, j entendais encore ce matin les 3 hypothèses envisageables.

1 - La Grèce ne rembourse que la moitié de sa dette (échelonnée sur une cinquantaine d année) le reste serait à régler par les contribuables que nous sommes ( les plus gros prêteurs ayant été La France et l Allemagne) nous avions compris les réticences de la Chancelière qui ne voulait plus injecter pour la Grèce.

2 - La Grèce ne rembourse pas du tout sa dette , et la les économistes ne veulent pas envisager cette situation catastrophique.

 3 - La Grèce sort de l Euro, et nouvelle catastrophe 

Dans les deux derniers cas ce serait encore et toujours les pauvres contribuables  (nous)

Mais moi je pense aussi à la situation de LA FRANCE, elle n est pas dans l austérité, nos gouvernant refusent d employer se mot, à peine si on trouve qu elle vie une crise.......

.....pourtant notre dette est énorme, le trou de notre sécu se creuse, notre chômage continue de grimper, nos aides pour l immigration se poursuivent dans le tout naturel et sans relache, notre Éducation Nationale va descends dans  les profondeurs comme l avait souligné le rapport PISA, notre Justice chouchoute la délinquance au détriment des victimes, nos salaires et retraites sont gelés depuis quelques années, nous avons des attentats meurtriers, de nombreux Djihadistes sur notre sol, nos impôts continuent de grimper aussi, mais nous n avons pas à nous plaindre, Bien sur on peut toujours trouver plus malheureux

     L Europe aura les yeux fixés sur cette Nouvelle GRÈCE et de son nouveau meneur.

     Peut être que l exemple de LA GRÈCE pourra donner quelques idées à L ESPAGNE, LE PORTUGAL, L ITALIE et Pourquoi pas AUX FRANÇAIS

                                                                  -----ooo0ooo-----

     Liesse des partisans de Syriza, le 25 janvier 2015 au soir à Athènes, après la victoire historique de leur parti (LOUISA GOULIAMAKI/AFP)

     L’Europe a peut-être changé d’époque dimanche avec la victoire du parti de gauche radicale Syriza aux élections grecques. Le parti emporté par Alexis Tzipras est arrivé largement en tête avec 36,3% des voix (après le dépouillement de 99% des bulletins).

     Seule incertitude, la majorité absolue en sièges, qui n’était pas assurée dimanche soir, même si Syriza s’en approcherait grandement (147 à 149 sièges prévus alors que la majorité est à 151). Il faudra sans doute attendre la fin du dépouillement pour le savoir avec certitude.




     Projections en sièges au parlement grec sur la base des sondages sortie des urnes (ABM/S.Ramis/A.Bommenel/AFP)

     Dans sa première déclaration devant des milliers de personnes rassemblées sur l’esplanade de l’université d’Athènes, Alexis Tsipras a déclaré :
« Le peuple grec a écrit l’Histoire et laisse l’austérité derrière lui. Le verdict du peuple grec signifie la fin de la troïka. »
     C’est un événement considérable à l’échelle européenne, puisque la victoire du parti de gauche radicale, aux dépens des partis traditionnels grecs (la déroute des socialistes du Pasok est spectaculaire), est largement le contre-coup des mesures d’austérité dictées par l’Europe ces dernières années.

                           Casser le clientélisme grec

     C’est un double test qui commence :
  • pour Syriza, qui va devoir montrer que sa radicalité en paroles peut se traduire en actes, d’abord pour casser le système clientéliste et népotique grec, mais aussi, évidemment, vis-à-vis de l’Europe et de la finance internationale, FMI et marchés. Comment avoir le temps de réformer en profondeur la société grecque sans être pris à la gorge par les marchés ? C’est l’équation à laquelle doit répondre Syriza ;
  • pour l’Europe aussi, qui sait que les Grecs ont voté contre l’austérité made in Bruxelles et Berlin, mais ne veulent pas pour autant quitter l’euro et tout faire voler en éclat. Les Européens sauront-ils faire preuve d’intelligence politique pour profiter du vote grec pour réorienter leur politique, comme n’a pas réussi à le faire François Hollande en deux ans ; ou voudront-ils « punir » les Grecs qui ne veulent plus jouer le jeu ?
     La victoire de Syriza aura également des conséquences sur la vie politique du continent, avec la montée de Podemos en Espagne, sur des bases relativement comparables, et les émules qui pourraient suivre.

     En France, c’est le site parodique Gorafi, sur un mode humoristique, qui résume le mieux la situation dans un tweet :

dimanche 25 janvier 2015

HAUT LES COEURS ! LE COMBAT C EST MAINTENANT ! LE COMBAT C EST MAINTENANT


  HAUT LES CŒURS ! LE COMBAT C EST MAINTENANT




                                                 LA PETITE INTRODUCTION DE BBR


       L affaire Charlie Hebso se tasse quelque peu, celles des affaires courantes vont reprendre leur droit, et nous aurons à faire inlassablement nos mêmes constats, suivre leur même politique en nous faisant comprendre qu ils vont tenir compte des évènements qui viennent de se produire. Cela tiendrait du Miracle.

     Personnellement je ne peux pas oublier et à voir ce qui se passe dans le monde avec les massacres des Chrétiens, à voir la haine que nous vouent les Islamistes suite aux insultes de leur prophète, je me dis que rien n est terminé.

     Le peuple Français ne peut pas être dupe de cette mascarade de la grande manifestation qu hollande et valls ont considéré comme l union sacrée, comme leur nouveau départ. Comment pourraient ils changer toute leur politique mis à part le problème sur la sécurité qui sera éphémère lorsque les sauvages se seront temporairement calmés, ils veulent aussi changé (je dirais encore) le programme scolaire (faire revenir ce que l on nous enseignait avant et  évoquer la Laïcité) mais n est ce pas déjà un peu tard.

     Tout le reste restera inchangé SAUFque la Banque Centrale Européenne va fabriquer des billets (je me demande pourquoi cela n a pas été fait avant si  toute la résolution des problèmes était là) et distribuer 1 milliard 100 millions d euros à toute l Europe, le CAC 40 se frotte déjà les mains et se remet à flamber,  les grands vont pouvoir en tirer une fois encore d énormes bénéfices, nos gouvernants vont pouvoir distribuer tranquillement à leur amis, s en mettre aussi plein les poches au passage, les classes moyennes n en tireront aucun profit  et que dire des petites..... Malgré cela l Europe est en haleine et attend impatiemment le résultat des élections de LA GRÈCE.

     Peut être n entendrons nous plus le mot crise qui sera de retour lorsqu ils auront tout dépensé sans compter. Peut être que nous n entendrons plus parler de hausse d impôts (mais là on serait dans le rêve).

     Tout va bien, hollande voit arriver 2017 avec un large sourire, il se dit que tout se qui vient de se produire joue en sa faveur, il aura même la prétention de donner des leçons aux autres, que les vilains sarkozy, jupé, fillon et Marine Le Pen n ont qu à bien se tenir... El Goléador est là

     Ne pensons plus à la dette, au trou de la sécu, au chômage, aux grèves, à l immigration, aux accidents, aux attentats, à notre justice laxiste, ne pensons plus à rien MAGIC HOLLANDE à tout résolu avec sa baguette.

     Mais n oubliez pas ....Chassez le Naturel il revient au galop

POUR TOUS CEUX QUI ETAIENT CHARLIE - OUVREZ CE LIEN  ET VOUS COMPRENDREZ TOUT


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Tandis que s'accroît notre submersion, et que perdurent l'échec de l'Europe, la faillite de l'État, la ruine du pays, notre décadence économique et la démission de tous... 

     Najat qui se convertit héroïquement à « La Marseillaise » dans les écoles, ainsi qu’à quelques autres cautères sur une jambe de bois.

     Taubira – elle se dépêche de parfaire son œuvre destructrice avant sa mise à pied – qui entend renforcer les lois « antiracistes », c’est-à-dire liberticides, en vue d’interdire un peu plus à quiconque de penser mal.
Valls qui ressort l’excusologie sociale et les prétendus « ghettos » (pour dire les territoires conquis) afin de légitimer une nouvelle amplification de la « discrimination positive », de nouveaux déversements d’argent public en vue d’acheter des électeurs, et pour obtenir que l’on en reste à une guerre à bas bruit contre les autochtones.

     Valls encore, accusateur public du peuple français, le déclarant coupable « d’apartheid », ni plus ni moins, afin de vite lui remettre la tête sous l’eau, et lui imposer une nouvelle cure de « vivrensemble » forcé, comme il y avait jadis des travaux…

     Tout le beau monde politique, « droite » comprise, qui fait du cinéma sur ce fichu Schengen « qu’il va falloir améliorer », ce que l’on sait impossible et inutile – la responsable européenne de conclure les premiers travaux sur ce sujet en indiquant qu’il fallait en toute priorité « apprendre la langue arabe » pour mieux faire passer nos messages envers le monde musulman et mieux comprendre le leur… pourtant assez explicite, me semble-t-il.

     Bref : bousculez un peu le naturel, et l’impuissance comme l’aveuglement reviennent au grand galop.
Les effets de la commotion de la semaine dernière sur nos politiques se dissipent vite, sans compter que les ligotent le lacis de règles et traités dans lesquels ils sont pris, et la fidélité inévitable à leurs discours irresponsables de 40 ans.

     Hiatus entre rêve des « élites » et cauchemar de la population, choc du réel à l’encontre des incantations mensongères ou iréniques, impuissance et irresponsabilité politiques : leur prolongation, après un léger ravalement de façade, ne peut qu’aboutir à une aggravation de la situation – les mêmes causes ayant obstinément tendance à produire les mêmes effets.

     Plus que par idéologie mortifère, impuissance politique ou incurie gouvernementale, il en sera ainsi tant que l’on n’aura pas regardé en face les sources et la nature des problèmes, reconnu l’adversaire et nommé correctement ce qui survient. Or, après la sidération, une décantation politique va s’effectuer chez nos concitoyens malgré la surdose anesthésiante qu’ils ont eu à subir en sus d’un matraquage idéologique plus massif et extravagant qu’à l’ordinaire. Il n’a, au fond, convaincu que les incurables de la gauche.

     Je vois dans notre camp trop de réactions de dépit, de doute, et même de défaitisme, de capitulation devant la mousse médiatique et les manipulations. Qu’on ne s’y trompe pas : l’unanimisme est un confusionnisme passager. La réaction « populaire » a été plus partielle et contrastée qu’on le dit, alors que pour une large part elle était fondée.

     La fracture culturelle (pour ne pas dire pis…) s’est élargie. La chute de Hollande dans les sondages était « hors norme », sa « remontée » l’est nettement moins (le retour provisoire des enfants prodigues), et sa prévisible rechute le sera de même : tout cela dit surtout l’imprévisibilité de la situation, sa volatilité, son instabilité.

    Tandis que s’accroît notre submersion, et que perdurent l’échec de l’Europe, la faillite de l’État, la ruine du pays, notre décadence économique et la démission de tous.

     Haut les cœurs ! Le combat, c’est maintenant…

vendredi 23 janvier 2015

UN LIVRE AUX RÉVÉLATIONS QUI FONT PEUR

    
    UN LIVRE AUX RVÉLATIONS QUI FONT PEUR 
                                    La  France va payer très cher son "politiquement correct"

 
                                            LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

      On aime ou on aime pas, mais une chose est sur  c est qu il y a de nombreuses vérité, peut on le traiter de raciste, islamophobe pour les écrire.  

     Je ne crois pas, cet auteur  s exprime en disant comment il voit les choses, nombreux sont les constats qu il détaille, que nous avons fait nous même, que nous avons dénoncé, publié, mais sommes nous lu, écouté, entendu..... Les statistiques in fine parlent d elles mêmes et personne ne peut les contester, les nier.

      Je n ai pas besoin d en rajouter, depuis que je publie sur le blog, chacun sait ce que je pense sur de tels sujets, sur les évènements, sur les injustices mais aussi de nos politiques...... Nous avons tous nos idées, notre façon de comprendre, il nous reste encore un peu ça pour nous.

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Voici un livre qui frappe fort en France et en Europe et qui est d’actualité, avec ce qui vient de se passer.
 
Il porte à réfléchir ...
  

  Christopher Caldwell : La France va payer très cher son "politiquement correct". »
 Pour ceux qui ne veulent pas y croire...
Le Figaro a interviewé Christopher Caldwell, journaliste américain, dont le livre « Une révolution sous nos yeux : Comment l'islam va changer la France et l'Europe » vient de sortir en France. Extraits.
     
  Christopher Caldwell : « L'immigration, quelles que soient les circonstances historiques, produit toujours des conflits économiques, sociaux ou culturels. La diversité n'est pas une richesse comme le proclament certains politiques de gauche comme de droite lorsqu'elle est subie.
 
Christopher Caldwell : « Aux États-Unis, nous connaissons aussi le phénomène de l'immigration. La grande vague migratoire, au cours des dernières décennies, est surgie du Mexique, d'Amérique centrale ou d'Amérique du Sud. Or cette culture n'est pas étrangère aux États-Unis, pays qui compte depuis l'origine une forte minorité catholique. Les gens qui viennent d'Amérique du Sud sont très pauvres mais leurs références et leurs façons de vivre sont à peu près similaires à celles des Siciliens, dont descendent la grande majorité des citoyens italo-américains. Avec nos immigrés, nous n'avons donc pas un problème culturel comme vous car ce sont des judéo-chrétiens et nous aussi.
 
Christopher Caldwell : « L'islam est une culture religieuse qui veut structurer la société. Est-ce compatible avec la tradition européenne? Non. La France va imploser dans 15 ou 20 ans dans le sang et les larmes. C'est maintenant irréversible. Sauf.... Tous vos dirigeants, hormis De Gaulle, n'ont pas été responsables et visionnaires. Aujourd'hui, ceux qui gouvernent la France n'ont pas la capacité à réagir face à ce drame programmé. D'autres, demain, vont se plier aux exigences des islamiques et vont collaborer. Vous subirez la Charia.
   

Christopher Caldwell : « Vous me demandez en quoi l'immigration en Europe concerne les Américains. Ce n'est pas pour en tirer des leçons pour les États-Unis car la situation est très différente. En fait, les Américains s'y intéressent pour des raisons géostratégiques : leur interrogation porte sur les populations non assimilées de l'Europe, vues comme des sources potentielles de terrorisme ou d'antiaméricanisme.»
 
Christopher Caldwell : « Dans une démocratie, il faut partager des règles. Or deux cultures incarnant des visions différentes du monde ont du mal à s'accorder sur de telles règles. Cela ne veut pas dire qu'il est impossible d'y parvenir, mais que c'est difficile.»
 
Christopher Caldwell : « Verrons-nous un jour un féminisme musulman ? Je ne sais pas. Ce que je sais, aujourd'hui, c'est que la conception occidentale de la femme ne s'accorde pas avec la conception arabo-musulmane de la femme. »
  
Christopher Caldwell : « Ce sont les mêmes problèmes qui reviennent d'une manière ou d'une autre (partout en Europe). Pour commencer, l'intégration des immigrés s'apparente globalement à un échec. Et les mêmes questions sont posées partout : les taux de chômage et de délinquance supérieurs à la moyenne dans les quartiers peuplés de migrants, les revendications concernant les prescriptions alimentaires islamiques, les demandes de séparation des sexes à l'hôpital ou dans les activités sportives, la recherche d'interlocuteurs musulmans modérés… Quand on voyage d'un pays européen à l'autre, comme je l'ai fait pendant plusieurs années, on entend les mêmes préoccupations, les mêmes mots, et jusqu'aux mêmes blagues...Quand vous allez vous réveiller il sera trop tard.»
 
Christopher Caldwell : « Si l'on cherche une différence entre pays européens quant au traitement de l'immigration, elle est précisément là : en France, la parole est verrouillée, contrairement à la Grande-Bretagne, à l'Italie ou à l'AllemagnePierre-André Taguieff a raison quand il évoque l'idéologie de l'«immigrationnisme ». Chez vous, il est presque illégal d'avoir une réflexion négative sur un phénomène qui, comme tout fait de société, ne devrait pas échapper à l'esprit critique. La France va  payer très cher son "politiquement correct". »
 
Christopher Caldwell : « Ce qui m'inquiète pour vous, c'est que la situation européenne commence à ressembler au problème racial qui a longtemps empoisonné la vie américaine. Cela ne veut pas dire qu'il n'existe aucune solution pour l'Europe, ni que deux groupes ethniques ne peuvent pas travailler ensemble pour bâtir quelque chose qui soit mutuellement satisfaisant. Mais il faut avoir conscience que l'Europe fait désormais face à un problème durable. Chez nous, il a duré trois cent cinquante ans… Je pense que les enjeux de ce problème sont encore plus grands que ne le pensent les Européens.
    
Christopher Caldwell : « Une culture religieuse forte et un système contractuel basé sur la tolérance sont difficiles à concilier parce que, dans une telle rencontre,c'est toujours le côté qui ne veut pas négocier qui a l'avantage. Une religion qui ne doute pas de soi et qui prétend structurer toute l'organisation sociale mondiale, comme l'islam, n'est pas prête à transiger. »
 
Christopher Caldwell : « En Belgique, la communauté belgo-marocaine, relativement bien intégrée, affiche un indicateur conjoncturel de fécondité deux fois et demie plus élevé que celui des Belges autochtones. A Bruxelles, où le quart des habitants sont des citoyens étrangers et où plus de la moitié des enfants nés en 2006 sont nés de musulmans (56 %),les sept prénoms de garçons les plus courants parmi ces nouveau-nés étaient Mohamed, Adam, Rayan, Ayoub, Mehdi, Amine et Hamza.» Boumédienne avait bien dit en 1974 à la tribune de l'Onu que les ventres des femmes musulmanes remplaceront les fusils et les canons pour conquérir l'Europe".
 
Christopher Caldwell : « Le problème fondamental de l'Europe avec l'islam, et avec l'immigration en général, c'est qu'en Europe, les communautés les plus fortes ne sont, culturellement parlant, pas du tout européennes. Malgré la grande variété de mesures prises pour le résoudre – multiculturalisme en Hollande, laïcité en France, laisser-faire en Grande-Bretagne, pointillisme constitutionnel en Allemagne, ce problème existe dans tous les pays européens. C'est avec l'islam et l'immigration que l'Europe a un problème et non avec l'usage impropre de certains moyens mis en place pour le traiter.
 
Christopher Caldwell : « Il est sûr que l'Europe sortira changée de sa confrontation avec l'islam. Il est bien moins sûr que ce dernier se révèle assimilable. Pour l'heure, l'islam est en meilleure position pour l'emporter à la fois démographiquement, c'est une évidence, et philosophiquement, même si cet avantage paraît moins net.»
 
Christopher Caldwell :« Quand une culture peu sûre d'elle, malléable et relativiste, rencontre une culture ancrée, confiante et renforcée par des doctrines communes et surtout religieuses, c'est généralement la première qui change pour s'adapter à la seconde car elle a perdu les moyens de réagir.” 
 
Il n'y a que le nationalisme qui pourra vous sauver. La guerre en ex-Yougoslavie en est un exemple

Les musulmans, craintifs et soumis lorsqu'une autorité les domine, n'imposeront pas leur manière de vivre à celle-ci, à l'instar de chez vous. Allez visiter la Croatie, la Serbie ou bien plus près de chez vous la Corse.Pourtant, dans cette île, ils représentent 10% de la population autochtone et n'inquiètent pas outre mesure les Corses. N'oubliez pas que ces trois peuples, comme par hasard, était les seuls en Europe à se libérer du joug nazi sans l'aide de personne. Il en est ou sera de même avec l'occupation musulmane car le patriotisme est leur ciment .. 
   
On dit bien, chez vous, "on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs" ?