L'auteur de ce texte a écrit sous les liens suivants à consulter
http://www.bernard-raquin.fr/blog/?p=622
http://www.bernard-raquin.fr/blog/?p=694
http://www.bernard-raquin.fr/blog/?author=1
FAIT PEUR MAIS ÇA Y RESSEMBLE TELLEMENT alors BONNE LECTURE A TOUS
A-t-il la capacité psychologique d’assumer ses nouvelles responsabilités ?
Le 6 mai 2012, François Hollande est entré dans la période la
plus dramatique de sa vie.
Le stress de la promotion :Il
s’agit d’une pathologie, plus ou moins légère, bien connue des
psys.
Lorsqu’un employé obtient une promotion, il subit un très
fort stress.
Surtout s’il ne se sent pas capable d’occuper son
nouveau poste.
Face à de nouvelles responsabilités, nous sommes
partagés entre l’enthousiasme et l’inquiétude.
Le stress de la
promotion se manifeste par une euphorie, suivie d’une euphorie paradoxale, pour
masquer le déni de réalité.
Ensuite c’est la dépression larvée,
masquée par l’activisme.
Puis enfin, c’est la dépression, et
parfois le burn-out (l’effondrement).
François Hollande est
victime du « principe de Peter » : il a atteint son niveau d’incompétence,
depuis longtemps.
Il occupe maintenant l’un des postes les plus
difficiles du monde, sans aucune préparation.
Car, de l’avis
général de ses amis, Hollande est tout à fait incapable d’occuper la fonction de
président de la république.
Il est décrit comme paresseux,
manipulateur, inactif, calculateur, trompeur, cynique, magouilleur, tricheur,
menteur, et incapable de prendre une décision.
Tous ces jugements
sur lui sont tellement connus qu’il est inutile de les rappeler. (Martine Aubry,
Ségolène Royal, Laurent Fabius, Arnaud Montebourg, Claude Allègre, Jean-Luc
Mélenchon, Jean-Marie Bockel, etc).
Non seulement parce qu’il n’a
jamais été ministre ni secrétaire d’État, mais également parce que le choix de
devenir président n’est pas le sien, mais celui de sa concubine Valérie
Trierweiler.
Pour plaire à sa belle, il s’est lancé dans un
mécanisme qui l’a happé, et qui risque de le broyer.
Hollande est
fragile :Depuis le début de sa carrière politique, il n’a rien
fait.
Il s’en vantait même dans une vidéo
célèbre.
Hollande a toujours pratiqué un double
langage.
Il a protégé les innombrables corrompus du parti
socialiste (voir sur ce même site : « J’aimerais bien être de gauche, mais…
»).
Cela est en contradiction avec la prétendue morale qu’il
affiche.
La honte qu’il éprouve au fond de lui-même, sera masquée
par toutes sortes de magouilles destinées à museler la liberté
d’expression.
De même, le capital qu’il annonce posséder,
largement sous-évalué, est en contradiction avec son mépris affiché des riches.
Il est entouré de riches, de fraudeurs et d’exilés fiscaux, et même sa concubine
est millionnaire.
Cela provoque une schizophrénie, fréquente en
politique.
Le déni de réalité (quand il feint de voir qu’il n’y a
pas de dérives racistes francophobes en France), et le mensonge permanent,
peuvent être refoulés longtemps, jusqu’à l’explosion.
Le risque
de nouvelles émeutes raciales, comme en 2005, est réel.
Par
exemple, se prétendre proche du peuple, en mangeant dans des restaurants à 140
euros, peut certes satisfaire la nouvelle classe des élus, cupide et
cynique.
Mais le peuple déteste les hypocrites, les tartufes et
les profiteurs.
Le parti socialiste, distribuant des leçons de
morale à tout le monde, sera confronté à ses contradictions.
Il
n’y a que 2 sortes de citoyens. Ceux qui se contentent des médias
officiels.
Et les internautes. Ces derniers, massivement
informés, informeront toute la population, en quelques mois.
En
2012, malgré la censure des médias officiels, tous les Français connaîtront
l’histoire des jets privés, des drapeaux étrangers,
etc.
Il est fragilisé par la modification de son identité, en peu de
temps.Il est, de très loin, le politicien le plus photographié avec
des expressions ridicules. On trouve, sur Internet, de nombreuses photos de lui,
où justement, il manque de sérieux.
Il aurait pu faire carrière
dans le comique (ce que je respecte infiniment), comme plusieurs de ses copains
de lycée.
Il faut bien savoir que lorsqu’une personne modifie en
apparence son identité, sans démarche thérapeutique, cela ne dure
pas.
Quand il se regarde dans le miroir, quand il s’entend
parler, il ne se reconnaît pas.
Il va devoir affronter une grave
crise d’identité, aux conséquences seront dramatiques.
On ne se
révèle pas à 57 ans.
Bien sûr, en qualité de psychothérapeute, je
sais bien qu’on peut changer à tout âge.
Encore faut-il le
vouloir.
Or ce qu’a fait Hollande, c’est juste de changer
d’emballage.
L’affaire des jets privés, payés par des
milliardaires et des Saoudiens, l’obligera à cacher sa culpabilité sous de
fausses déclarations moralistes.
Hollande est un « peut-être ben
que oui peut-être ben que non », déguisé en bisounours.
On peut
feindre beaucoup de choses. Mais on ne peut feindre de savoir
décider.
Étapes de son évolution psychologique :
-
L’euphorie (de mai 2012 à juillet 2012) :L’ivresse de la
victoire.
Plaisir sadique, dissimulé, d’avoir triomphé de son
ancienne concubine, Ségolène Royal.
Intense satisfaction d’avoir
pris le dessus sur toute la direction du parti socialiste, qui le
méprise.
Joie enfantine d’avoir séduit sa concubine, Valérie
Trierweiler, qui a cru en lui, et qui la poussé.
- La dépression
larvée, masquée par une euphorie paradoxale (été 2012) :Les
incohérences, les manquements, les abandons, et les trahisons, qui ont commencé
dès le 6 mai 2012, deviendront de plus en plus visibles.
Il
mettra cela sur le compte d’une très longue campagne, trouvant normal d’être «
fatigué ».
Sa dépression sera masquée par les plaisirs réservés
au président de la république : réception des corps constitués, réception des
ambassadeurs, repos dans les résidences présidentielles, etc.
Il
satisfera à la vanité humaine des courbettes, des réceptions officielles, d’un
train de vie luxueux, des honneurs, des fanfares républicaines, et des tapis
rouges.
Mais cela le lassera vite, car ce n’est pas dans sa
nature.
La rigueur des protocoles, et la pesanteur des
déclarations officielles dans les réunions internationales, l’useront en moins
d’un an.
- La dépression larvée sera ensuite masquée par la fuite en
avant dans l’activisme (à partir de septembre 2012) :Son principal
problème ne sera pas la dette.
Il accusera le bilan de son
prédécesseur, Nicolas Sarkozy, ainsi que les contraintes
européennes.
Son principal problème sera son élection : il a été
élu à la faveur d’une inquiétante dérive raciale.
93 % des
musulmans ont voté pour lui.
Les départements d’outre-mer ont
largement voté pour lui.
Le soir de son élection, il a fait son
discours devant des drapeaux étrangers.
Il est, d’ores et déjà,
sous la menace des délinquants, qui le voient comme plus favorables à leurs
actes antisociaux.
Il est prisonnier de la classe sociale des
élus, aux avantages indécents.
Il est prisonnier de l’immobilisme
conservateur, notamment celui des permanents syndicaux, héritage de 1945, une
petite minorité qui a la capacité de bloquer plusieurs secteurs publics, et
d’organiser des manifestations de rue.
Il en sortira par la fuite
en avant dans l’illusion : il intensifiera la langue de bois, les discours
contre la finance, la haine contre les patriotes, et le discours des
associations à l’antiracisme très sélectif.
Là encore, ce déni de
réalité sera contredit par les faits en quelques mois.
Hollande est
clivant :Hollande a la réputation d’être un modéré, qui s’efforce
d’être un conciliateur.
En réalité il est extrêmement clivant :
Il diabolise ses adversaires, et dresse les minorités
ethniques contre la majorité de la population.
Il est aussi
clivant sur le plan économique : hostile aux entrepreneurs, hostile aux
dirigeants d’entreprises (sauf les mondialistes qui le
soutiennent).
Il est clivant sur le plan politique : droit de
vote aux immigrés, légalisation des immigrés clandestins, refus de voter les
lois anti-burkas…
Il est clivant sur le plan sociétal : mariage
homosexuel, avortement généralisé, discours flous sur la drogue, reniement de la
laïcité…
Il est clivant sur le plan social : syndicats contre
usagers, magistrats contre victimes, préférence étrangère…
Non
seulement il n’a aucune réserve d’opinions favorables dans la population, mais
le très faible pourcentage de gens qui le soutiennent, sans illusions,
s’effritera très rapidement.
Hollande sera confronté à un choix
:Le plus probable, c’est de satisfaire l’extrême gauche (15 % des
voix), comme l’a fait avant lui Mitterrand, en creusant massivement la
dette.
C’est parce qu’il n’a satisfait aucune des attentes des
électeurs du Front National, que Nicolas Sarkozy a été
battu.
Pourtant, Sarkozy a fait plus de réformes, en 5 ans, que
Mitterrand et Chirac en 24 ans.
Mais comme Hollande aura peu de
marge de manœuvre, il se contentera de mesures cosmétiques et
sociétales.
Cela occupera le débat public, avec le gros
inconvénient de masquer les vrais problèmes, notamment l’immigration, le racisme
francophobe, la dette, la délinquance, la destruction du tissu social, et
l’angoisse identitaire vécue par de très nombreux
compatriotes.
Le plus surprenant serait de réduire l’influence du
Front National, en expulsant les clandestins, en organisant une chasse
impitoyable aux trafiquants d’êtres humains, en luttant contre la
délinquance.
Mais c’est très improbable, car les dirigeants du
parti socialiste sont immigrationnistes, et plusieurs sont membres du club Le
Siècle, et du Grand Orient de France.
Pour échapper aux
contraintes psychologiques intérieures, Hollande choisira la fuite en
avant.
Il pratiquera la chasse aux sorcières, contre les
journalistes, les patriotes, les dirigeants d’entreprises publiques, les hauts
fonctionnaires.
Sa concubine a déjà donné le ton, en faisant
licencier un journaliste de RTL.
Il devra affronter une double
opposition résolue :D’un côté, l’UMP, le FN, et
DLR.
De l’autre, le FDG et les autres trotskistes (voir sur ce
site : « L’échec programmé de la fédération des génocidaires
»).
Le but du FDG est de canaliser les mécontents, de servir
d’exutoire, de faire croire aux gauchistes qu’existe encore une gauche en
France.
Puis, en diabolisant leur adversaire, de les faire voter
pour les tenants du système, à savoir les mondialistes et les milliardaires du
parti socialiste.
Tous ces opposants, à des degrés divers, le
maintiendront sous une surveillance constante.
Cela générera de
très nombreuses frustrations, qui s’exprimeront dans les élections, ou dans la
rue.
La solitude de François Hollande :On est passé d’un
président pressé (Sarkozy) à un président stressé.
Une des choses
les plus stressantes du monde est de prendre des
décisions.
Surtout des décisions graves, dans des réunions
internationales.
Beaucoup de décisions seront très graves,
concernant l’immigration, la délinquance, la dette, le chômage, le terrorisme,
les engagements militaires, les traités internationaux, et la force de
frappe.
Il ne pourra toujours se défausser sur son
entourage.
Il ne pourra utiliser un langage vague, selon son
habitude, pour ne déplaire à personne.
Il sera seul, face à
lui-même.
Fera-t-il face ? Non.
Aucun état de
grâce bien sûr, mais un baptême du feu intense, et des responsabilités
auxquelles il n’est pas préparé.
Est-il armé pour affronter des
lynchages publics permanents, comme en ont connu Chirac, Le Pen (père et fille),
et Nicolas Sarkozy ? Non.
D’autant qu’il devra s’appuyer sur
d’autres membres du parti socialiste, pour le conseiller lors de ses prises de
décision.
Il y aura, aussi bien au gouvernement qu’à l’intérieur
du parti socialiste, de violentes guerres intestines, pour manipuler le leader
incompétent.
Certains d’ailleurs ont déjà fait allégeance à sa
concubine, qui prend des décisions en toute
illégitimité…
Aujourd’hui entouré de courtisans, de rapaces,
d’hypocrites, soutenu par une minorité des électeurs, naïfs ou roublards, il n’y
a qu’une réalité :
François Hollande est seul. Et ce n’est pas
Valérie Trierweiler qui pourra y changer quoi que ce soit.
Pas un
instant, je ne crois qu’Hollande sera apte à trouver en lui une force
supérieure, comme l’ont fait tant de grands leaders sur terre.
Il
a tellement fermé les yeux sur la corruption, les viols, les détournements de
fonds, et les mensonges de ses amis politiques, que la réalité se chargera de
les lui ouvrir.
Et ce qu’il verra devant lui l’effraiera chaque
jour davantage.
Il court même le risque d’exploser en vol, et
d’adopter de plus en plus un comportement incohérent.
Il est le
président le plus mal élu, ayant le moins d’expérience, ayant le moins de
capacités psychologiques, le plus rejeté dès le soir même de son élection, de
toute la Ve République.
Alors, je peux bien lui souhaiter « bonne
chance », par politesse.
Mais ce dont nous avons vraiment besoin
aujourd’hui, c’est de trouver notre force intérieure, de chercher de nouvelles
issues, pour mettre un terme au déclin entamé depuis tant
d’années.
Tenter, par tous les moyens, de limiter les dégâts que
ses trop grandes responsabilités l’obligeront à
improviser.
Préparer l’après Hollande est, dès maintenant, la
seule manière de garder l’espoir, et de se tourner vers
l’avenir.