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> Rien d'inquiétant! puisque les autorités sont au
courant
> > > > >
> Lettre de H. AXELRAD
>
> > > > > Chercheur au Laboratoire de Physiologie La
Salpêtrière,
Herbert AXELRAD est un maître de conférence à la FAC de
Jussieu. « Bonjour,
> > > >
> > Je sais que je suis un pessimiste né, mais je ne pense pas être un
paranoïaque. Je voudrais, néanmoins, vous faire part de quelque
chose que je viens de vivre à 14 h 30 ce vendredi, aussi incroyable que cela
puisse
vous paraître.
> > >
> > > Je sortais du campus Jussieu pour revenir à mon labo à la Fac, et
je passe sur la petite place en face de l'entrée de Jussieu devant un
attroupement.
> > > > > > C'était un prêcheur musulman,
barbu bien entendu, avec micro qui parlait moitié en arabe, moitié en français.
Devant une trentaine de musulmans sur leurs tapis de prière, femmes voilées ...,
des jeunes avec le foulard palestinien montant la garde tout
autour.
> > > > > > Le prêche était concentré sur les
"sionistes" qui veulent détruire les palestiniens, qui veulent détruire la mosquée de
l'esplanade à Jérusalem, etc ... Je n'en croyais pas mes oreilles.
> >
> > > > A un moment l'imam est monté d'un ton en disant
explicitement "que les musulmans du monde entier vont se lever
et détruire tous les sionistes, Israël et leurs suppôts, dans le monde entier".
Là, j'avoue, j'ai piqué un coup de colère et ai engueulé l'imam, en disant que
c'était absolument inadmissible.
> >
> > > > Je me suis fait agripper manu militari et poussé violement
assez loin, avec des propos plus que menaçants. Quand j'ai essayé de prendre
une photo avec mon portable, alors là ça a été pire : menaces de me "saigner
à blanc
au couteau".
> > > > > >
Il y'en a même un qui est intervenu sur un ton plus diplomatique en me disant
"mais pourquoi, tu
défends les juifs puisque tu n'en est pas un toi-même ?".
>
> > > > > J'en suis resté baba. Et quand j'ai insisté en disant
qu'ici en France ce
genre de propos est interdit par la loi, on m'a réplique verbatim
"bientôt ce sera à nous".
> > > > > > Cerise sur le
gâteau, quelques centaines de mètres plus loin, trois cars de policiers. Je
m'arrête, leur explique.
> > > > > > Réponse : "Oui, on
sait, on a même des collègues en civil sur place. Mais que voulez-vous,
Monsieur,
on ne peut pas intervenir car ils ont une autorisation
préfectorale, et ce genre de chose se reproduit de plus en plus souvent et partout
». > > > > > >
Bien à vous. » (fin de citation)
> >
> > > > Herbert AXELRAD, MCU-PH
> > > > > > Chercheur au Laboratoire de Physiologie La
Salpêtrière
> > > > > > Membre du conseil scientifique de
la Faculté
> > > > > > Directeur du Club Réforme et
Modernité À diffuser largement, au cas ou vous
auriez envie que vos amis ou d'autres le sachent
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c vraiment honteux font rien c sur on peur de tous c etranger il y arrive a voler notre france c ecoeuraant
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