Cet article ne disant que des vérités, qui, même si elles ne sont pas toujours bonnes à dire
je me permets de le retransmettre intégralement pour avoir de plus en plus de lecteurs
QUE JE REMERCIE TOUJOURS A CETTE OCCASION POUR VOTRE FIDELITE
Brétigny-sur-Orge, Trappes : à quand la vérité ?
C’était
bien vrai !
La
réaction des médias et des pouvoirs publiques est
affligeante !
Quelque
part ils cautionnent carrément ce genre d’actes !
Si vous avez des
difficultés à visualiser ce message correctement, cliquez-ici
Madame Monsieur,
OUI, des voyous sans foi ni loi ont bien
cherché à dépouiller les victimes encore ensanglantées de la catastrophe SNCF de
Brétigny-sur-Orge.
OUI, des jeunes ont bien agressé des
secouristes, forçant la préfecture de police à envoyer des CRS pour leur
permettre de sauver les blessés graves.
Et oui, hélas, le premier réflexe du
gouvernement, relayé par de nombreux médias, a été de minimiser, et même de
camoufler la réalité.
Le Ministre du Transport a d'abord nié tout
pillage des victimes, puis expliqué que les forces de l'ordre, caillassées,
avaient simplement été accueillies « de façon un peu rude ». Harlem Désir, sur
Europe 1, a pour sa part qualifié ces exactions de « rumeurs » et a préféré
saluer la solidarité exceptionnelle (sic) des habitants de Brétigny.
Ceci, alors que les policiers ont trouvé ce
SMS, retrouvé dans le téléphone d'un des suspects : « T'as trouvé
quoi dans les bagages ? ». Christophe Crépin, porte-parole du
syndicat UNSA, qui était sur place, l'a d'ailleurs affirmé de manière formelle :
« Il y avait des gens qui étaient en train de perdre leur bras ou leur jambe, et
d'autres sont venus voler leur montre ou leur portable ».
Le plus inquiétant, c'est que cette façon de
nier la réalité devient une habitude. Ce week-end encore, pour parler des scènes
d'émeutes et de guérilla urbaine de Trappes, de nombreux médias
ont utilisé les termes « d'échauffourées », de « tensions » ou de « heurts
».
Pour vous, la leçon de tout ceci doit être
claire :
Vous ne pouvez malheureusement plus
compter sur les médias ou les autorités officielles pour vous informer
correctement sur ces sujets « sensibles ». Pour prendre des exemples
récents, je suis certaine que vous n'étiez pas au courant :
En fait, je suis convaincue que, même si vous
êtes sympathisants de longue date de l'Institut pour la Justice, vous n'êtes pas
au courant du quart, voire du dixième de ce qui se produit réellement dans notre
pays.
J'en veux pour preuve les réactions de
beaucoup de lecteurs au livre « Quand la Justice crée l'insécurité », du
secrétaire général de l'IPJ.
Beaucoup sont restés
abasourdis devant les réalités révélées dans ce livre. Je vous
cite quelques-unes de ces réactions spontanées, qui nous ont été envoyées par
email ou qui ont été postées sur le site d'Amazon (vous pouvez lire la totalité
de ces dernières en vous rendant ici)
:
Alors si vous voulez nous aider à ouvrir les
yeux de nos concitoyens, merci de transférer ce message autour de vous et, si
possible, faites comme Charlotte P. !
« Je fais la promotion autour de moi de
votre livre car il est l'explication de la terrible réalité dans laquelle nous «
survivons », honnêtes citoyens français, abandonnés par la « Justice. »
Charlotte P.
Et, si vous ne l'avez pas encore fait, vous
pouvez bien sûr vous procurer ce livre en vous rendant ici
(lien cliquable)
Avec tous mes remerciements pour votre
aide,
Laurence
Havel
|
|
Institut pour la Justice -
140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
|
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