Ce poème n est pas de moi, mais il m a bien plu aussi ais je décidé de le partager avec vous.
Le p’tit coq nain de Tulle est venu jeudi soir
Nous dire qu’il était nul, qu’on s’était fait avoir
Que si le blé manquait, ce n’était pas de sa faute
Que tout son poulailler dansait d’une patte sur l’autre
Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides
Plaçait tous leurs copains inutiles et avides
de ne jamais rien faire, à part un peu de lard
Que si l’on voulait bien, il n’était pas trop tard
Pour mettre notre pays au niveau de la Grèce
Et que de toute façon nous l’aurions dans… les fesses.
Le p’tit coq nain de Tulle est venu jeudi soir
Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir
Nous dire: bande d’imbéciles, ne perdez pas espoir
J’ai coulé la Corrèze, je n’en tire nulle gloire.
Patientez, patientez ! car je suis-là maintenant
Pour couler la France aux bons emplacements.
Je n’ai pas beaucoup à faire, on m’aide constamment
Les quarante inutiles s’appliquent à tout moment
Et pendant ce temps là, je m’occupe des poules
Qui tournent autour de moi, vraiment, il y a foule!
Le p’tit coq nain de Tulle est venu jeudi soir
Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir
Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs
L’empêchant lui et ses copains de faire leur beurre!
Le jabot de travers toujours évidemment
Il aurait bien voulu se faire croire compétent.
Bien d’accord sur ce mot, en le coupant en deux
Sachant depuis longtemps qu’il nous restait les yeux
Pour pleurer sur la France, vidée, exsangue et nue
Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.
Le p’tit coq nain de Tulle est venu jeudi soir
Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes fait avoir.
Si l’important pour lui, ce n’est pas le chômage
Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage
En s’occupant des gays, des drogués, et puis des émigrés
Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités
Ceux qui ont voté pour lui, c’est bien pour leur malheur
Il n’en a rien à foutre de tous les électeurs
Maintenant qu’il a la place, il y met tous son cœur
Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur.
Le p’tit coq nain de Tulle est venu jeudi soir
Il dit qu’il nous em…fume, qu’on est de bonnes poires
Qu’ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons
C’est bien fait pour not’ gueule puisqu’on est assez cons
Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir
Il n’y avait pas de crise, il ne l’a pas vue venir….
Le p’tit coq nain de Tulle est un triste vautour
Il s’est bien déguisé sous de jolis atours.
Il voudrait nous faire croire qu’il était socialiste,
Quand lui et ses copains sont tous capitalistes.
Alors, n’attendez rien de ces tristes fumistes
Que des impôts nouveaux ajoutés à la liste.
Un conseil pourtant : gardez quelques écus,
Achetez de la vaseline et planquez votre cul !
mdrrr pas mal joli poeme mercii bbr de nous le faire partager
RépondreSupprimerIl vaut mieux en rire car il y aurait vraiment de quoi pleurer.
RépondreSupprimerTous ces minables coquelets s'engraissent pendant que leur chef, non content de mener le pays à la ruine veut aussi, maintenant, aller guerroyer en Syrie pour pouvoir lécher le cul du noir américain et faire massacrer le peu de chrétiens qui vivent encore dans ce pays et dont il n'a rien à foutre.
Mais qu'il se méfie le petit nain de Tulle : quand il aura aidé à faire mettre en place un pouvoir islamiste pur et dur, c'est lui qui cherchera la vaseline avant de se faire empapaouter.
L'indien en colère.