A LIRE JUSQU AU BOUT BIEN ENTENDU
M. HOLLANDE VOUS RIDICULISEZ LA
FRANCE.
Comment pouvez-vous croire tous
ces mensonges ? Pourquoi vos services ne vous apportent pas les preuves qu’il
s’agit de mensonges ? On abuse de votre crédulité, on se gausse de votre
« normalité » et vous sombrez dans le ridicule.
On vous raconte le 17 octobre 1961
et vous les croyez :
« Ce fut un « massacre », une
hécatombe de corps, 300 Algériens assassinés et 2300 blessés. Vraiment les
forces de l’ordre parisiennes ont fait fort, les mains des gardiens de la paix,
des gendarmes mobiles, des CRS et des forces auxiliaires de Harkis, sont
couvertes de sang à jamais ».
Il est de notre devoir, à nous
journalistes présents sur les lieux, de rétablir la vérité quand elle est
évidente et incontestable.
À l’époque j’appartenais à la
rédaction du quotidien « L’Aurore » et j’ai enquêté dès le lendemain
auprès de la morgue et des services hospitaliers, également auprès des
établissements et des riverains qui longeaient la Seine. J’ai accompagné le
colonel Raymond Montaner, commandant de la Force Auxiliaire des Harkis de Paris,
dont le rôle principal était la protection des Algériens de la région parisienne
contre les exactions du FLN, qui a enquêté en compagnie de ses deux adjoints le
capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin et voici le résultat absolument
vérifiable de ses conclusions :
Il n’y eut cette nuit du 17
octobre aucune intervention anormale des pompiers parisiens, ni de police
secours, ni de la croix rouge, ni d’aucun service d’ambulance.
Aucun service d’urgence des
hôpitaux de Paris et de la banlieue n’a reçu un afflux anormal de blessés. 2300
blessés en une seule nuit cela laisse pourtant des traces, non ?
Toutes les
urgences et même les cliniques privées auraient dû être totalement débordées. Où
sont donc passés ces 2300 blessés ? Disparus comme par magie ! Il paraîtrait
qu’ils auraient été jetés dans la Seine en même temps que les 300 morts !
L’enquête auprès des barrages en aval de Paris n’a révélé aucune découverte de
noyés. Pourtant 300 corps ne se dissolvent pas dans l’eau de la Seine. Les
berges sur des kilomètres auraient dû être parsemées de cadavres mais aucun
riverain n’en a signalé !!
La réalité est tout autre. En
vérité il n’y eut au cours de cette nuit du 17 octobre que 7 morts, dont 2
seulement sont imputés aux forces de l’ordre, Achour Belkacem et Amar Malek,
tous deux agents du FLN. Les 5 autres morts sont 4 Algériens et un Français, Guy
Chevalier.
Voilà le bilan exact de ce «
massacre » du 17 octobre 1961.
En revanche voici un autre bilan
qu’il ne faut pas laisser sous silence mais dont on ne parle jamais : entre
janvier 1955 et juillet 1962, les groupes armés du FLN ont assassiné, en France,
plus de 6.000 Algériens, tués par balles, strangulation, égorgement.
Également
9.000 cas de mutilations (ablation du nez, des oreilles, des lèvres) soit une
moyenne de 5 tués ou blessés par jour, pendant 7 ans !
Au cours de ces 7 années il y eu
en métropole, 120 gardiens de la paix et 150 civils français
assassinés.
Il faut que cela se sache : il y
avait la guerre en Algérie mais il y avait également la guerre en France
métropolitaine.
Malheureusement la très grande
majorité du peuple français qui n’a pas vécu ces évènements ignore la vérité qui
est souvent déformée et parfois même occultée.
Quand donnera-t-on enfin la parole
à ceux qui peuvent apporter la contradiction à ces menteurs qui salissent
l’histoire de la France ??
Bonne
lecture !
HARKIS :
RépondreSupprimerlien vers http://www.dailymotion.com/video/xl0lyn_hocine-le-combat-d-une-vie_news
En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des arbres, dans le département du Gard. Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. A l'époque, depuis 13 ans, ce camp de Saint Maurice l'Ardoise, ceinturé de barbelés et de miradors, accueillait 1200 harkis et leurs familles. Une discipline militaire, des conditions hygiéniques minimales, violence et répression, 40 malades mentaux qui errent désoeuvrés et l' isolement total de la société française. Sur les quatre membres du commando anonyme des cagoulés, un seul aujourd'hui se décide à parler.
35 ans après Hocine raconte comment il a risqué sa vie pour faire raser le camp de la honte. Nous sommes retournés avec lui sur les lieux, ce 14 juillet 2011. Anne Gromaire, Jean-Claude Honnorat.
Sur radio-alpes.net - Audio -France-Algérie : Le combat de ma vie (2012-03-26 17:55:13) - Ecoutez: Hocine Louanchi joint au téléphone...émotions et voile de censure levé ! Les Accords d'Evian n'effacent pas le passé, mais l'avenir pourra apaiser les blessures. (H.Louanchi)
Interview du 26 mars 2012 sur radio-alpes.net