ENCORE ET TOUJOURS NOS POLITIQUES
Quand accepterons nous sérieusement de régulariser nos entrées en FRANCE ???
IL y a toujours des affaires Léonarda et tant que nos gouvernements laisseront faire nous subirons ce genre de situation.
A l origine l immigration était réglementée, il y avait un pourcentage légal autorisé, maintenant
la France est devenu un moulin dans lequel pon entre sans difficulté et où l on trouve des tas d avantages sociaux dont les Française d origine n ont pas droit et que eux ne trouvent pas chez eux.
La France avait même passé un temps payé des étrangers pour qu ils retournent chez eux, mais ils partaient avec un nom en avion et ils revenaient en bateau avec un autre.
Non seulement aucune solution n a été trouvée mais le problème persiste et s intensifie.
On entend même dire par certaines femmes étrangères et enceintes, se touchant le ventre, que c est par là qu ils boufferont la FRANCE.
Les Nouvelles cartes démographiques le prouvent. Il suffit de les consulter.
Le Cas LEONARDA va surement se multiplier et faire comme les cas de Jurisprudence.
Moi, Leonarda, victime de
l’hypocrisie ambiante
Les belles âmes se scandalisent, une
frêle enfant, brutalement arrachée à l’affection de ses camarades de classe.
L’horreur est d’autant plus grande qu’elle n’était pas en train de subir un
ennuyeux cours magistral, mais une passionnante activité périscolaire… Hggnnnn
! On se calme et on réfléchit un instant !
Toute cette
affaire est l’occasion d’un déluge d’hypocrisie. L’extrême gauche voit
s’ouvrir devant elle un boulevard et se paye la tête de Manuel Valls, avec le
soutien actif de la classe politico-médiatique.
Don Manuel
ne doit pas non plus être complètement mécontent. Il passe pour le sérieux, le
raisonnable et les supporters naïfs de l’UMP sont ravis.
La fermeté, la
lepénisation des esprits assumée par un « responsable » de gauche, quelle
victoire pour la « droite ». Quelle blague, oui !
La gauche
morale n’a pas tort quand elle souligne le problème que pose l’expulsion de
personnes qui ont eu le temps de commencer à tisser des liens. Elle s’est par
contre mise en situation difficile en défendant la famille d’une personne qui
n’a pas réussi à travailler et à parler français en quatre ans de présence
clandestine en France. Elle défend par-là l’idée destructrice qu’il faudrait
ouvrir les frontières sans aucune condition.
Elle utilise
par contre avec beaucoup d’habileté sa technique visant à créer un scandale dès
qu’on tente d’appliquer une mesure qui lui déplaît pour que les lois contre
l’immigration n’existent que sur le papier, avant de les détruire totalement.
La fausse «
droite dure » confond la brutalité et l’efficacité. Elle raisonne en termes de
groupe au lieu de partir des choix effectifs des individus et de leurs causes.
La meilleure
manière de lutter contre l’immigration clandestine n’est pas forcément d’aller
pourchasser les clandestins, mais de viser ceux qui les emploient et les lois
qui favorisent le travail clandestin et l’immigration en quête de protection
sociale sans contrepartie.
Il vaut
mieux arrêter les pompes aspirantes, fermer les portes et ne pas persécuter les
aspirés. Il faudrait plus d’inspecteurs du travail et plus de sanctions contre
les entrepreneurs qui préfèrent exploiter le travail au noir. Il faudrait aussi
un coût du travail raisonnable et une TVA sociale qui fasse payer la sécurité
sociale sur tous les produits et pas uniquement sur le « made in France ».
Il faudrait
aussi avoir assez de personnel pour traiter rapidement les véritables demandes
d’asile politique qui existent et une justice assez ferme pour mettre en
application des décisions d’expulsion sans attendre quatre ans avant de les
mettre en œuvre quand un début d’intégration a déjà eu lieu.
La réforme des nombreux et coûteux abus de l’aide médicale d’État a été
demandée maintes fois pour supprimer une pompe aspirant l’immigration, mais
n’occupe pas le débat public. On préfère se nouer le cerveau avec une belle
petite histoire bien émouvante.
Plus
largement, on ne pose pas non plus la question de la gestion européenne de
l’immigration qui préfère remplacer les enfants que nos société avortent par
des immigrés.
Les larmes
que nous versons sur Leonarda resteront des larmes de crocodile si nous
n’allons pas aux racines de cette affaire.
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