ceci avec une pointe d humour, quelle est la différence entre
des œillets et les emmerdes
Ne cherchez plus - Il n y en a pas
Les deux viennent de HOLLANDE
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JE NE FERAIS PAS CET ARTICLE MIEN, mais je le trouve assez intéressant pour m empresser le vous le retransmettre.
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Le pouvoir actuel est-il
légitime ? Sinon, qu’il s’en aille !
La France ne se gère pas comme le
parti socialiste.
On n’ose même plus dire « dirige » ou
« gouverne », tant les demi-mesures et les non-choix relèvent d’un
amateurisme qui fait honte à notre pays et à son État.
Qu’on aime ou non le
Général, lorsqu’il a écrit que « la France ne peut être la France sans la
grandeur », il a rappelé un idéal qui est au cœur de notre identité, qui
anime tous les Français qui portent l’espérance et l’avenir de notre pays.
Or,
jamais sans doute ne s’est retrouvé au sommet de l’État quelqu’un qui soit à ce
point éloigné de cette idée et manifestement incapable d’en ressentir la
nécessité.
L’entremetteur des courants, le fabricant de petites blagues faisait
illusion dans les rédactions. Comme les chats gris la nuit, la médiocrité ne se
voit plus tant elle fait partie du paysage.
On a de la peine à imaginer que
celui qui représente notre pays aux yeux du monde puisse parfois s’interroger
sur sa responsabilité de successeur de tant d’hommes exceptionnels qui ont
conduit la France .
Certes, c’est plus facile lorsqu’on fait commencer la
France en 1789…
Mais, ne trichons pas, la France c’est le Philippe-Auguste de
Bouvines, le Saint-Louis de la Renaissance capétienne, le Louis XIV du triomphe
de l’âge classique et de Denain.
C’est aussi une série d’hommes d’État qui
n’ont pas été les chefs de cet État mais ont incarné admirablement le service
du pays, de Richelieu à Clémenceau en passant par Colbert, et aussi par ceux
dont les idées n’ont malheureusement pas su s’imposer à la désastreuse lecture
idéologique de notre histoire, comme Turgot ou Guizot.
La comparaison avec
l’occupant provisoire de l’Élysée fait naître la curieuse impression d’un siège
vide, d’une « absurde anomalie », comme écrivait encore de Gaulle.
Lorsque
Bertrand de Jouvenel s’interroge sur les raisons de l’obéissance au pouvoir, il
en évoque plusieurs.
La plus importante qui conditionne toutes les autres est
le sentiment de la participation, plus efficace que la crainte, l’idée que nous
sommes dans le même bateau et que nous participons à l’effort commun parce que
nous le voulons.
C’est pourquoi le but que poursuivent le pouvoir et celui qui
le détient est une seconde raison de lui obéir.
Or, personne ne peut
actuellement préciser l’objectif du Chef de l’Etat, qui n’est pas formulé
clairement par l’intéressé lui-même, mais est contesté dans son gouvernement,
sa majorité législative et son parti lui-même.
L’idée d’inverser la courbe du
chômage à coups d’emplois artificiels financés par des déficits qu’on prétend
par ailleurs réduire est un minimum insuffisant, lorsque sur des questions
comme l’économie, la fiscalité, l’environnement, la sécurité et l’immigration,
on entend tout et son contraire.
Jouvenel se réfère aussi à la
« majestas », ce prestige dont le Général considérait qu’il était
inséparable de l’autorité et n’allait pas sans une certaine distance.
Ces
derniers jours, le roi est tombé de son trône, car il s’est mêlé d’une affaire
qui n’était pas de son niveau et s’est fait donner la leçon par une gamine mal
élevée.
Qui plus est, il a montré qu’il était incapable de faire des choix
clairs.
Bref, il a involontairement révélé qu’il n’avait rien compris à
la charge qui est la sienne et n’en situait pas la hauteur. Il a abaissé la
fonction présidentielle en avouant du même coup qu’il ne possédait pas les
qualités requises pour l’exercer.
Dans la
situation diminuée de la souveraineté à l’heure présente, le Président de la
République sait que la politique étrangère est la partie la plus résistante de
la peau de chagrin.
Suivre aveuglément les États-Unis dans le monde et se
soumettre à la suprématie allemande en Europe ne sont pas les meilleurs moyens
pour la sauvegarder.
Aucun de ses prédécesseurs n’a été aussi inexistant sur ce
terrain, à l’exception d’une intervention au Mali qui n’était, certes pas,
prévue au programme.
À l’intérieur, le paradoxe est éclatant : n’osant
rompre avec aucun des pouvoirs, des syndicats, des groupes de pression qui
sclérosent la démocratie française, le Président a remis en cause une donnée
anthropologique fondamentale pour « faire mode » et satisfaire un
lobby tout-puissant.
Casser un peu plus une institution fondamentale comme la
famille pour faire plaisir à une minorité remuante est une curieuse conception
du pouvoir et de ses devoirs. Il ne s’agit pas d’un accident, mais d’une ligne
: c’est aussi pour caresser dans le sens du poil les lycéens mobilisés par la courroie
de transmission du PS auprès d’eux que le Président a commis la double faute de
proposer une solution illégale à une personne qu’il devait ignorer.
Il ne reste
donc qu’une seule cause au pouvoir du Président : son origine. Il a été élu.
Est-ce suffisant ? J’observe que le député M. Boutih disait récemment qu’il ne
reconnaîtrait en aucun cas la victoire démocratique du Front national.
Cette
étrange conception de la République doit nous interpeller. Si les partisans du
Chef de l’État refusent de reconnaître la légitimité qui suit immédiatement une
élection, pourquoi ne pas défendre l’idée qu’un pouvoir qui reçoit aujourd’hui
le soutien de moins d’un Français sur quatre, et voit monter la marée
déferlante des mécontentements, doit se poser la question de sa légitimité non
plus légale, mais réelle et interroger celui qui est le vrai Souverain : le
Peuple. C’est ce qu’a fait le Général de Gaulle, parfois à son détriment, mais
lui savait ce qu’était le Pouvoir, l’Autorité et la véritable légitimité.
Article très réaliste et objectif....@
RépondreSupprimerSi ce gouvernement n'est plus légitime,et il n'y a plus de doute la-dessus quand on voit monter la colère du peuple de France. Si la droite et la gauche se ressemblent tellement qu'on ne voit plus de différence entre elles. Si les extrêmes sont dangereux...Quel choix nous reste -t-il ? Une Révolution ? Au profit de qui ?
RépondreSupprimerCacaboudin.
il n'y a plus de capitaine sur le bateau France,
RépondreSupprimerles petits capitaines de droite, les petits capitaines de pédalo de gauche ne s'occupent que de spolier les carguaisons du bateau France,
alors il est grand temps de se réveiller Peuple de France de se mettre les bonnets rouges et de mettre dehors tous ces capitaines de mer.. avant que la France coule.
la petite fraise des bois