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vendredi 18 janvier 2013

PROBLÈME A LA RATP

   
     Je me demande de plus en plus pourquoi ces individus qui ne s adaptent pas chez nous , ne restent pas chez eux, mais je pense que la réponse est quand même très simple

    Chez eux ils ne pourraient rien réclamer de tel, alors qu'ici ils sont écoutés, soutenus et obtiennent ce qu' ils veulent d une manière ou d une autre. C EST GÉNIAL EN FRANCE




      A la RATP, la récente turbulence marquée par la misogynie de la gent  masculine, de plus en plus islamisée et wahhabo-salafisée, nous a conduits  à mener une enquête sérieuse pour connaître les raisons du comportement de  ces conducteurs qui refusent de s’asseoir sur leur siège si une  conductrice les a précédés.

     Nous avons d’abord interrogé Omar (*), son explication est très crédible.

     Pour lui, « Il n’est pas question de conduire un bus quand les fesses  d’une femme et ses parties intimes se sont frottées sur le siège du  conducteur ». Il nous explique aussi que « le Prophète (Que la prière  d’Allah soit sur lui et lui accorde la paix !) ne montait jamais sur le  dos d’une chamelle : elle est de sexe féminin !

    Omar justifie sa  répugnance à l’égard des femmes qui conduisent un bus en disant qu’elles  chauffent le siège pendant les longues heures de conduite et que,  lorsqu’il se met au volant, un désir sexuel insurmontable le prend à la  gorge, ô pardon, au niveau du pantalon, ce qui le perturbe et lui fait  craindre de provoquer un accident de la circulation ou de l’amener à  importuner une passagère…

    Omar a pensé à conduire le bus tout en étant  debout. Pour cela, il a fait une demande officielle, fortement soutenue  par les syndicats CGT, CFDT, FO, CFTC et Autonome. Il a été éconduit par  le PDG de la RATP, un islamophobe, ennemi de la classe ouvrière, qui  refuse obstinément de revoir le tableau de bord des bus.

    Pour Omar,  modifier la façon de conduire un bus pour des raisons religieuses ne  représente pas grand-chose pour une grande société parisienne. Il y en a «  qui jouent du piano debout », pourquoi ne pas conduire un bus debout ?

    La situation étant bloquée, Omar envisage d’arrêter son travail pour une  durée indéterminée pour raison médicale car il est devenu incapable de  travailler assis. Le médecin qui l’a reçu en consultation a été plus  compréhensif que le PDG de la RATP : il lui a prescrit, par un certificat  médical à l’appui, l’obligation de travailler debout, avec une ordonnance  d’intrait de marron d’Inde, à renouveler pendant 6 mois.

    Nous avons interrogé également Bakkar-Ali (*), un gros gaillard de 105  kilos. Il nous a expliqué que « conduire un bus n’est pas un travail de  femme. Surtout qu’ une femme ne peut pas conduire des hommes au boulot ! Et  qu’elle ne doit pas être devant les hommes. Les femmes doivent rester chez  elles à s’occuper du ménage et des enfants. Dans ce métier, il faut des  biceps d’homme, malgré la direction assistée des bus. Le problème de  Bakkar-Ali est qu’il est constamment perturbé par les femmes qui  conduisent les bus car elles se parfument et se maquillent (متبرّجات), ce  qui est condamné dans l’islam (1).

    En quittant la cabine du chauffeur, les  conductrices laissent derrière elles l’odeur de leur parfum, ce qui le  gêne énormément et déclenche en lui un rut immédiat. Sans son sang-froid, sans la maîtrise de ses pulsions, il serait capable d’agresser  sexuellement la première passagère de son bus. D’où sa décision d’asperger  la cabine au moment de la relève par un déodorant à la camomille qui  chasse les mauvaises odeurs funestes à sa sexualité.

> Nous avons voulu aussi interroger les services techniques de la RATP et  nous leur avons fait part de notre compréhension du refus des conducteurs  musulmans de prendre le volant après une femme. Le directeur technique,  dont nous ne pouvons divulguer l’identité, a manifesté son étonnement de  voir cette affaire prendre des proportions catastrophiques pour la  réputation de la RATP. Il nous a fait part de sa conviction que les  arguments avancés par ces conducteurs récalcitrants ne provenaient pas  uniquement du fait que les musulmans refusent de succéder au volant à une  femme mais tout simplement parce qu’en plus, les sièges des bus sont en  cuir de porc.

Car tout le monde sait que dans le cochon tout est bon. La  RATP a adopté les sièges en cuir de porc aussi bien pour ses bus dans  Paris et la banlieue ainsi que dans toutes les rames de métro, en complète
> coordination avec les constructeurs des rames, Alstom et Bombardier.

> Nous sommes sortis perplexes du siège de la RATP. Nous avons voulu élargir  le débat et nous sommes allés nous enquérir de ce qu’il en est à la SNCF.

> L’accueil ne fut pas très chaleureux quand nous avons annoncé que nous  venions de la part de Riposte Laïque. Mais, après quelques instants de  froid glacial, l’atmosphère s’est réchauffée et nous avons pu aborder  notre entretien en toute courtoisie et sérénité.

> Effectivement, la SNCF se plaint du même comportement chez ses conducteurs  musulmans depuis que des femmes, même de grade ingénieur, conduisent les  TGV. La situation est presque identique à celle de la RATP.

   Abordant le  problème des sièges, le directeur du trafic nous a révélé que tous les  sièges dans les voitures circulant sur le sol français sont couverts de  cuir de porc de premier choix et labellisé. « Nous respectons les parties  intimes de notre clientèle qui peut souffrir de la position assise,  surtout quand il y a des arrêts de longue durée en rase campagne ». Le  cuir de porc de la SNCF évite les coups de froid en cas de panne de  chauffage, autant dans les voitures-salles, les Vtu des trains Corail ou  les Btu des TGV Téoz que dans les compartiments.

> Avant de quitter les sièges (administratifs) de la RATP et de la SNCF,  nous avons été tancés et menacés de procès au cas où Riposte Laïque  divulguerait l’origine animale du cuir des rames. Car cette révélation  d’un fait patent risquerait fort d’entraîner un désarroi considérable dans  une partie de la population, de provoquer une chute brutale de la  fréquentation des lignes, un effondrement de la rentabilité de ces deux  fleurons de la technologie française et du service public français.

> Evidemment, les propos ont été recueillis par Bernard Dick

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