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mercredi 11 décembre 2013

PROSTITUTION : TAXE SUR LE SEXE UNE SOURCE INTARISSABLE


     On est pour ou on est contre la PROSTITUTION mais il y a des limites à respecter sachant qu elle a toujours existé et que c est bien la première fois qu on envisage de faire payer le client et aussi cher.

     L auteur du texte ci-dessous n y va pas pas 4 chemins, et il ne parle pas de ce que la taxe sur le sexe à des clients de prostituées peut engendrer sur le plan d éventuels viols supplémentaires.

     LA PROSTITUTION existe depuis des lustres et si certaines sont forcer de la faire  par cause de (souteneurs, maquereaux) tout ce que vous voulez, d autres filles sont volontaires pour vendre leur charme et se faire du fric.

     C est avant tout ces hommes qu ils faut verbaliser, arrêter , mettre en prison.

     De plus par prostituées,  il ne faut pas voir uniquement celles qui sont dans des rues malfamées, ou en bordure de route, il y a aussi les filles très chics,du style  (PRETTY WOMAN ) qui font souvent Escort Girl ou autre nom dans des lieux privilégiés et très chers et dont on ne connait pas l issue de ces rencontres ( ou tout au moins on sait pas là on ne dit rien).

RICHARD GERE AURAIT DU AVOIR UN WAGON DE PV A 1500 EUROS (Trop drôle)

Les prostituées sont donc aussi consentantes, et le client consent à payer, à priori cela ne regarde qu eux.

     Mais les socialistes vont dans la continuité sur la création de rentrées financières par n importe quel moyens (de ce côté la, ils savent réfléchir, fouiner, chercher, renifler), certaines sous forme d impôts, d autres de TVA, d autres de taxes, d autres de procès verbaux,   mais je ne suis toujours pas convaincu du bien fondé de leurs décisions concernant la sécurité et le bien être de nos citoyens.

     Et je pense aussi que nombreux sont nos têtes pensantes d'aujourd'hui qui ont du aussi en profiter avant et peut être encore maintenant (chez eux l argent n a pas d odeur,  il circule d une magouille à une autre).



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     BMS (Bordel Machiavélique Socialiste), 
     par Aimable de Pourceaugnac

     Ça y est, les socialos sont parvenus (sans la moindre difficulté, d’ailleurs, puisque les députés socialos sont de simples machines à acquiescer) à un nouveau coup d’éclat. 

     S’accouplant une nouvelle fois avec les mouches afin de détourner l’attention de la pelle de tous les jours (celle avec laquelle ils sont en train d’enterrer la France), un escadron de glorieux représentants du mensonge public (qualification plus conforme à leur fonction que l’étiquette de représentants du peuple) a entrepris de sanctionner pénalement les malheureux esseulés de la misère sexuelle qui ont recours à des prestations tarifées. Officiellement tarifées, pourrions-nous dire de manière à clarifier sur un plan moral cet épineux problème.

     Le service sera taxé à 1.500 € l’unité.

     Bizarrement l’administration qui, en général, prévoit des barèmes très précis et très étudiés n’a pas fait, cette fois, dans la dentelle : c’est le principe de  la facturation de la prestation qui est taxé, quelle que soit la forme que l’acte puisse prendre (ce qui, parfois, pourra être délicat en termes d’appréciation pour les fétichistes et autres amateurs de talc ou de fessées car ces derniers puisent leur émois dans des mises en scène tarifées sans qu’il y ait à proprement parler d’acte sexuel sauf dans leur imagination volcanique). 

     Cependant, aucune loi de la République n’étant infaillible lorsqu’elle est prise sous l’effet de l’excitation, celle-ci n’aurait aucune raison de faire exception à la règle.

     Retenons donc le coût marginal supplémentaire de 1.500 € qui grèvera le coût de chaque relation (quelle que soit la forme de celle-ci) pour l’utilisateur de prestations tarifées, l’amende étant forfaitaire.


     Ainsi, il sera infiniment moins coûteux (au moins pour ceux dont les caisses publiques ou privées ne prennent pas en charge leurs menus plaisirs) de procéder avec leurs relations sexuelles – les personnes, et non l’acte – en singeant (que personne ne se méprenne sur le terme singer, il s’agit seulement de feindre, ou d’imiter) le temps d’une soirée ou encore d’un ou d’une après-midi la galanterie au lieu de “procéder” dans l’efficacité de l’abattage. 

     Plus question de se comporter comme un brave militaire en opération et de se rendre – avec la bénédiction (et la logistique) – des autorités au BMC, au bordel militaire de campagne si vous préférez. 

     Il sera plus avisé d’emprunter le circuit plus traditionnel de la restauration (gastronomique ou non), du cinéma, de la promenade romantique éventuellement simulée ou du salon de thé, puis de se faire livrer sa prestation chez soi ou dans un grand hôtel plutôt que dans un minable hôtel borgne ou dans la cabine d’un 15 tonnes en rase campagne ou au bord d’une route traversant un bois.

     En procédant ainsi, et en considérant seulement l’intérêt pour les Finances publiques, l’État – qui, dans notre régime semi parlementaire dicte ses consignes à la représentation populaire dont on insiste beaucoup sur le rôle législatif – croit faire une bonne affaire.  

     À première vue c’est ce que l’on pourrait penser, en effet, car ces dispositions surgissent alors que les recettes fiscales plongent. 

     Pourquoi plongent-elles ? Parce que les goinfres de Bercy ne savent pas se contenter de la graisse des contribuables : ils s’en prennent maintenant à leur viande. 

     Alors le troupeau est si mal en point que les recettes baissent à vue d’œil. 

     Quoi de plus naturel ?

     Mais cela n’est pas du goût des Bercydivistes. Le contribuable peine-t-il à les satisfaire ? 

     Eh bien ils se vengent : c’est  en spécialistes du trouble de jouissance qu’ils ont décidé de porter l’estocade là où, dans sa solitude, le pauvre hère vient chercher sa consolation.

     Devant la mauvaise passe budgétaire de notre pays, et en considérant la tonicité de l’activité sexuelle – objet de tous les encouragements de la part des autorités civiles, médiatiques et intellectuelles qui ne font qu’encourager la sexualité adolescente, la distribution gratuite de préservatifs dans les établissements scolaires, la sodomie et toutes les sortes de fantaisies qui ont aujourd’hui statut d’identité de mœurs au nom de l’égalité des différences entre adultes consentants de même sexe ou de sexes différents, etc. –, les stratèges de l’administration ont donc réussi à convaincre les godillots de l’Assemblée dite nationale que le remplissage des caisses serait désormais assuré, à condition de puiser de nouvelles ressources à cette source de vie qu’est l’acte sexuel, et en tirant parti de l’intarissable ressort qu’est la sexualité. 

     Comment nos ardents députés pourraient-ils être insensibles à des perspectives de rentrées fiscales, sachant qu’ils sont de gros consommateurs d’argent public et qu’il est très rare qu’ils ne soient pas systématiquement intéressés à la partie, sous forme de retraites, de primes d’éviction, de prêts à taux zéro et autres avantages en nature de toutes sortes ?

2 commentaires:

  1. Quand on roule, on paye.
    Quand on s'arrête, on paye.
    Quand on "tire", on paye.
    Quand on ne tire plus ! ! ! on se fait baiser. Je ne comprends plus rien.
    @

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  2. Vous avez tout compris @,au finish ce qui est sûr c'est que nous l'avons dans le Fion!!!
    La petite fraise des bois.

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