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mercredi 25 mars 2015

PEDOPHILE : STUPEUR ET CONSTERNATION


        PEDOPHILE : STUPEUR ET CONSTERNATION


     Directeur d’école soupçonné de viol : quand le laxisme de la justice rejoint l’incompétence de l’Éducation nationale

                                                 LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

NOS CRIMINELS, DELINQUANTS ET PLITICIENS VEREUX SONT PROTEGES PAR NOTRE JUSTICE

     La justice française est ainsi faite : des photos comparant un ministre à un animal sont punies de neuf mois de prison ferme, des photos pédopornographiques de six mois avec sursis

     Comment peut on en effet faire de telle comparaison ? Comment est ce possible ?

    Comment peut on nommé un homme déjà reconnu et condamné à 6 mois avec sursis pour son caractère pédophile , peut il être nommé directeur d un établissement scolaire où se trouvent des enfants ?

     Encore et toujours des lacunes dans notre système judiciaire, pas assez pour de vrais coupables de faits graves comme le viol, la pédophilie, les assassinats. et  trop pour des affaires minimes, toujours notre justice a deux vitesses, toujours une justice aussi injuste protégeant les détenus et les récidivistes, au détriment des victimes et dans le cas présent les victimes sont des enfants.

Comment peut employé un homme dans une administration aussi fragile que le scolaire sans se renseigner sur son casier judiciaire  et si cela a été fait et les renseignements non divulgués, quel énorme erreur commise.....

Nous avons la fâcheuse habitude de nous rendre compte de l importance des faits qu après qu ils se soient manifestés et nous parlons de regrets.. d incompréhension, de stupeur, et revoilà les discours, les mesures et les précaution à prendre, les réunions vont bon train, valls , cazeneuve, taubira et belkacem nous re bassinerons encore des toujours de leur discours à la gomme ayant pris la précaution et les renseignement sur les établissement afin d assurer la sécurité de leurs propres enfants.

UNE FOIS ENCORE IL N Y AURA AUCUN RESPONSABLE

     Chacun fuira ses responsabilités se rejetant la faute les uns sur les autres, une chose est sure est que le mal a été fait, il était présent sur les lieux du crime, et on l a laissé agir


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   Directeur d’école soupçonné de viol : quand le laxisme de la justice rejoint l’incompétence de l’Éducation nationale

     Le directeur d’une école de l’Isère a été placé en garde à vue lundi matin.

    Quand le laxisme de la justice rencontre l’incompétence de l’Éducation nationale, le résultat est explosif, et les deux institutions se renvoient tour à tour l’affaire comme une grenade dégoupillée. Et au milieu de cet imbroglio de responsabilités partagées, deux petites filles de six ans et demi, violées au cours d’une « semaine du goût » (sic) très spéciale, et sans doute, encore, d’autres enfants.

     Les gendarmes ont trouvé, chez ce directeur nouvellement nommé, des photos et un film à caractère « pédopornographique ». Instituteur depuis 2001, il avait déjà été condamné en 2008, pour recel d’images du même genre, à six mois de prison avec sursis, avec obligation de soins et mise à l’épreuve. Mais aucune interdiction d’exercer un travail avec les enfants n’avait alors été prononcée.

     Selon la présidente de l’Union syndicale des magistrats, tout est normal : « Il s’agit d’une peine complémentaire qui n’a rien d’automatique » car « la consultation d’images n’entraîne pas automatiquement un passage à l’acte ».

     Pas « automatiquement »… mais donc « parfois » ? Et « parfois », n’est-ce pas encore affreusement « trop » ? Mais quid de cet outil dont nos gouvernants raffolent tant, qu’ils dégainent à l’envi pour les toutes petites choses dérisoires, qu’on appelle « le principe de précaution » et qui vise, précisément, à anéantir le « parfois » : dans les écoles primaires, plus de chaîne ni d’écharpe autour du cou, à cause des étranglements ; plus de gâteau fait maison, à cause des intoxications alimentaires ; plus de Mercurochrome après une chute dans la cour, à cause des allergies… mais des maîtres condamnés pour pédophilie ?

      L’inspectrice d’académie, nous explique-t-on, ne « savait pas », elle n’est donc pas responsable. Mais attendu qu’il est peu probable qu’un tel homme claironne lui-même ses perversions lors de l’entretien d’embauche – « Mes hobbies, dites-vous ? Eh bien, je suis assez cinéphile, et puis un peu pédophile à mes heures » – n’aurait-elle pas dû… vérifier ?

      Elle n’y était pas tenue. La vérification du Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (FIJAIS) n’est faite qu’une seule fois par l’Éducation nationale, au moment du recrutement initial, pas à chaque changement d’école. L’homme n’a été condamné que sept ans après son intégration, personne n’a donc rien remarqué. Diantre ! Si la nomination d’un directeur d’école fait l’objet d’un tel soin, on imagine avec quelle vigilance ont été recrutés en masse et dans l’urgence les « animateurs » indispensables à la réforme des rythmes scolaires.

     Puis le monsieur n’avait fait l’objet que d’une condamnation « avec sursis », donc la mention sur le bulletin B2 du casier judiciaire avait été effacée. Car la justice française est ainsi faite : des photos comparant un ministre à un animal sont punies de neuf mois de prison ferme, des photos pédopornographiques de six mois avec sursis.

     On pourrait aussi, en regardant plus loin, se demander si de « semaine du goût » en « exposition du zizi sexuel », l’école de 2015 n’offre pas un cadre « flou » bien plus propice à tous les comportements déviants que celle qui ne comportait naguère que d’austères cours de maths ou de français, parfaitement codifiés, devant un tableau noir.

     Mais il y aurait, dans ce cas, tellement à dire que l’on préfère s’arrêter là.
 
    

7 commentaires:

  1. Je suis outrée, scandalisée d entendre encore une telle information, notre justice est pitoyable au même titre que nos politiciens, elle suis le système pourri qui fait que notre pays est décadent.

    Les fait sont très graves, et nous ne sommes plus en sécurité nulle part, entre les faits horribles qui viennent d être signalés, les attentas, les accidents d avions, de bateaux, de trains, sans parler des agressions, des viols, des vols, où sont nos pédés de ministres qui font assurer notre sécurité, celles de nos enfants, où sont ils tous ces cons qui parlent pour rien dire avant et après...
    ou sont ils tous ces clowns, ils vont s apitoyer sur les morts de l avion, sur les enfants victimes du pédophile récidiviste.....

    J ai de plus en plus honte d eux, ils me dégoutent tous et me donner envie de vomir.....

    La Normande

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  2. Vous avez raison La Normande c est écœurant, savoir qu il avait été pour de tels fait avec sursis il y a quelques années est déjà une erreur, mais de le laisser exercer la profession de directeur d un établissement scolaire où se trouvent des enfants sans avoir pris la précaution de se renseigner sur son casier judiciaire relève de la plus grande incompréhension. C est inacceptable.

    Trop de questions restent en suspend, et trop de choses sont à revoir dans notre système éducatif et judiciaire....

    Nicole PLEY

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  3. Je suis resté sans voix à l annonce de cette information. Savoir qu il s agissait du directeur de l établissement, savoir qu il avait déjà été condamné avec sursis pour avoir découvert chez lui des vidéos à caractère pédophile relève du débile et accepter qu il occupe un tel poste....On dirait que nous vivons dans un monde SURNATUREL , de la folie, Oui La Normande, je comprends votre émotion et votre honte vis a vis de tout ce système et ceux qui l ont mis en place et se charge de l appliquer. Nous en subissons lourdement les conséquences.

    Et dire que les Français dans leur grande majorité continuent à leur faire confiance ayant peur du changement , moi je n ai pas peur. Notre Justice telle qu elle est appliquée je n en veux plus.... JE VEUX QU ELLE SOIT JUSTE et QU ELLES FASSENT PAYER TOUS LES COUPABLES , que l ont crée d autres établissements pénitentiaires s il n y a pas de place, nos fainéants de députés , sénateurs et leur personnel si nombreux n ont qu à s employer à cette tache, ils sont assez grassement payés.

    Toujours est t il que les victimes sont des enfants et que cela devient insupportable

    Jean BOUVARD

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  4. Oui BBR, c est une fois encore la Stupeur, et la consternation, et les responsabilités de l éducation nationale et de notre justice sont engagées au plus haut niveau.

    Mais comme vous le dites , ils vont encore s en tirer à moindre coût et personne ne sera sanctionné, pas même ce directeur horrible qui va prendre quelques malheureuses années de prison, bénéficiera de circonstances atténuantes, ou d un détraquage de cerveau nécessitant un petit internement en milieu psychiatrique...

    Les nouveaux discours doivent être prêts et se feront au cours d une petite apparition, peut être uniquement par le maire ou le sous préfet qui représenteront l état, pour réconforter les familles, on mettra de suite des cellules psychologiques en place, et dans quelques temps tout sera oublié..... Tout pourra continuer .... Nos ministres seront soulager, et pourront repenser à leurs élections et stigmatiser le FN

    Nathalie

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  5. Une aberration de plus dans notre système scolaire et notre justice, Impensable ce qui vient de se passer, et on ose nous dire que c était un récidiviste en la matière, que l administration n a pas été renseigne sur son casier judiciaire, et l on mis en place dans un établissent avec des enfants.... Nous sommes outrés que de tels faits puissent se reproduire, si on leur coupait les couilles et la zezette pour qu ils ne puissent plus avoir aucun effet, nous trouverions surement moins de pervers et de cas similaires.

    Oui LES RESPONSABLES ne seront encore pas sanctionnés permettant de nouvelles récidives et action du même genre.
    Je suis écœuré.

    Olivier TREQUEL

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  6. Bonjour mes amis,bonjour BBR,
    Merci BBR pour cette effroyable info.
    Nous vivons dans un monde qui inverse les valeurs,où l'enfant n'a plus d'enfance,où les jeunes ne respectent plus leurs aînés,où la religion et la morale s'éloignent de jour en jour...
    Comment peut-on accepter une telle situation,comment un directeur d'école peut-il être choisi pour nos diriger et encadrer nos petits ,lorsque celui-ci est déjà connu des services de police pour détention de cassettes à caractère pédophile ?
    Comment peut-on croire que l'Éducation Nationale et la Justice n'étaient pas au courant du casier judiciaire de ce pervers ?
    Il y a faute et grosse faute ,ce pervers ne serait pas passé à l'acte avec des bouts de chou de 6 ans ,s'il avait été mis à l'ombre!!!
    On bassine le cerveau de nos enfants avec la théorie du gender ,l'acceptation des déviances homosexuelles,on leur fait des cours dès le plus jeune âge ,d'éducation sexuelle ,on ne punit pas le pédophile et on lui confie nos enfants...
    Et les enfants qui ont subi toutes les saloperies de ce pervers,et les enfants qui ne pourront plus se reconstruire,qui en fait cas ?
    Cette histoire n'est malheureusement ni la première ni la dernière et souvent et très souvent ces prédateurs pervers et déglingués trouvent des emplois auprès de la petite enfance pour mieux trouver leurs proies!!
    Honte à cette éducation nationale,honte à la justice!!!
    Mais déjà en 1948 B.F Skinner psychologue de Harvard disait dans son livre "Walden II":Nous avons besoin d'un ordre nouveau et plus que parfait,dans lequel les enfants sont élevés par l'État plutôt que par leurs parents,et sont formés dès la naissance à ne faire preuve que du comportement et des caractéristiques désirés."
    Bienvenu aujourd'hui dans ce monde sans valeurs où les robots ont remplacé l'Homme!!!
    "Je me révolte,donc nous sommes" disait Camus et il est urgent aujourd'hui de passer à l'action.
    Fleur de lys.

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  7. Il faut limoger le juge qui n'a pas jugé utile de demander que le pervers en question ne soit plus au contact des enfants.
    Il faut limoger le responsable de l'Académie qui ne s'est pas préoccupé de savoir les antécédents du pervers.
    Il faut limoger la ministre naja qui se préoccupe davantage du gender et de l'apprentissage de visu et de tastu des enfants au zizi, que de la moralité des enseignants.
    Ce n'est pas la première fois que nous sommes confrontés à l'incompétence et à l'incurie de nos dirigeants mais là, c'est trop !
    L'Indien.

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