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vendredi 1 novembre 2013

CES QUESTIONS SONT ELLES GÊNANTES ????


 
                    IL APPARTIENT A CHACUN DE  SE FAIRE SA PROPRE IDÉE.

                    CE QUI EST SUR, C EST QUE DE NOMBREUX FRANÇAIS SE LES POSENT et POUR CERTAINS LE VOIENT CHAQUE JOUR.

                   ET COMPTE TENU DE TOUT CE QUI SE PASSE, CE N EST PAS DEMAIN QUE LES CHOSES VONT CHANGER. CA FAIT PEUR.






Q U E S T I O N S  G E N A N T E S

- Où est la justice sociale quand on repousse l'âge légal de la retraite alors que tout
étranger de 65 ans n'ayant jamais travaillé ni cotisé en France, a droit à une retraite
de 780 euros par mois dès son arrivée ?


- Où est la justice sociale quand une femme de paysan ayant travaillé 50 ans à la
ferme, n'a pas droit à ces 780 euros au prétexte que son mari et elle dépassent le
plafond de 1200 euros de minimum vieillesse pour un couple ?

- Où est la justice sociale quand la sécu en faillite continue de payer à l'étranger,
sans le moindre contrôle, des retraites à d'innombrables centenaires disparus depuis
des lustres ?

- Où est la justice sociale quand l'Aide Médicale d'Etat soigne 220000 sans papiers
chaque année, à raison de 3500 euros par malade, alors que la sécu ne dépense « que »
1600 euros par affilié qui travaille et cotise ?

- Où est la justice sociale quand des étrangers bénéficient de la CMU et d'une mutuelle
gratuite, alors que 5 millions de Français n'ont pas de mutuelle, trop riches pour
bénéficier de la mutuelle CMU mais trop pauvres pour s'en payer une ? 30% des
Français ont différé leurs soins en 2011 !

- Où est la justice sociale quand on sait que 10 millions de fausses cartes Vitale
sont en circulation et permettent de soigner des milliers d'étrangers sous une fausse
identité, au détriment des ayant droit ?

- Où est la justice sociale quand la France entretient des milliers de polygames,
certains d'entre eux percevant plus de 10 000 euros par mois sans travailler, alors
que la polygamie est interdite et que nos comptes sociaux sont dans le rouge ?

- Où est la justice sociale quand une famille nombreuse étrangère est prioritaire
pour un logement social, alors qu'un jeune couple français doit attendre sept ou huit
ans son premier logement pour avoir un enfant ?

- Où est la justice sociale quand on sait qu'un million de faux passeports, donnant
droit à la manne sociale, sont en circulation sur les sept millions de passeports
biométriques soi-disant « infalsifiables » ?

- Où est la justice sociale quand un Français né à l'étranger doit prouver sa nationalité
à l'administration, ce qui se traduit souvent par un véritable parcours du combattant,
alors qu'on brade chaque année la nationalité française avec des milliers de mariages
blancs ?

- Où est la justice sociale quand on veut donner le droit de vote aux étrangers, alors
que  nos élus ont confisqué aux citoyens leur « non » au référendum sur la Constitution
européenne et que des millions d'électeurs, de droite ou de gauche, ne sont pas
représentés au Parlement ?

- Où est la justice sociale quand on accueille chaque année plus de 200000 étrangers
non qualifiés, dont notre économie n'a nul besoin, alors que la pauvreté augmente,
que nous avons près de 5 millions de sans emplois et que le chômage atteint déjà
40% chez la population immigrée ?

- Où est la justice sociale quand le contribuable finance des associations qui ne
combattent que le racisme à sens unique alors que le racisme anti français est
systématiquement ignoré et les plaintes classées sans suite ?

- Où est la justice sociale quand on condamne un journaliste pour avoir énoncé une
vérité sur la délinquance étrangère, alors que des rappeurs incitant à la haine ne
sont jamais inquiétés au nom de la liberté d'expression ?

- Où est la justice sociale quand la délinquance explose et que les droits des voyous
passent avant ceux des victimes ?

Car si l'intégration a totalement échoué, c'est tout simplement parce que nos dirigeants
ont confondu anti racisme et acceptation de l'autre, avec le renoncement à nos valeurs.
Il ne fallait rien changer au moule républicain qui a permis depuis des siècles à des
millions d'immigrés de devenir des citoyens français. Les règles d'intégration qui ont
fait leur preuve avec des générations d'immigrés, étaient la force de la République. La
faute majeure de nos élus est de les avoir ignorées.
























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