Nous aurons beaucoup du mal à changer le monde, les gens, les politiques, les trafiquants de tout bord, les guerres de religion qui existent toujours par de multiples désaccord, les guerres tout court, l avidité du pouvoir, le fric qui mène le monde, l assistanat de plus en plus important, les faux chômeurs et malades qu il y aura toujours grâce a un système trop tentant, la vie de plus en plus chère avec de plus en plus d augmentation de produits même "indispensable pour vivre", les impôts anciens et nouveaux en quantité de plus en plus lourds à supporter.
Où Allons nous ?? Je ne sais pas mais je pense qu on y va.
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L article ci dessous dont je vous donne lecture n est pas de moi, il a le mérite de dire quelques vérités, et on sait qu elle ne sont pas toujours bonne à dire.
Aux abris, revoilà la religion
d’État antiraciste !
Le
changement n’étant pas pour maintenant, retour à la case antiraciste. Mais
déjà, ils se prennent les pieds dans le tapis avec l’arrestation du tireur de
Libération.
En 1983, un virage antiraciste
offrit au pouvoir socialiste une manœuvre de diversion pour masquer l’échec de
sa politique économique et servir de substitut idéologique à la promesse
trahie du changement.
L’historienne Annie Kriegel le théorisa, la première, en
1985. Le subterfuge antiraciste permit au parti socialiste de se refaire une
santé en faisant oublier ses promesses électorales. Il est à craindre qu’on
assiste aujourd’hui au même stratagème.
Que signifie
faire « bloc » (Hollande), par un « rassemblement des forces les plus avancées
», pour un « sursaut républicain » (Ayrault), contre des « factieux » (Valls) ?
Ce langage est destiné à envoyer des signaux de fumée antifascistes aux élites
médiatiques, à rameuter l’extrême-gauche et à culpabiliser le centre pour le
détacher de la droite, bref, à ressouder ses propres troupes et à semer le
doute et la discorde chez l’adversaire.
Au moment
même où la gauche abandonne la République pour se convertir au communautarisme,
elle surenchérit dans les proclamations de République menacée par un péril
aux portes de la Cité.
Contre un prétendu regain du racisme, sont orchestrés un
meeting le 27 novembre prochain et une manif le 30… « Nous devons
pourchasser, lutter, éradiquer le racisme et l’antisémitisme », assène François
Hollande.
François Mitterrand, pour se faire réélire en 1988, écrivit dans
sa Lettre aux Français : « Je vous conjure d’éloigner de vous l’égarement
raciste ».
Arrestation
du militant d’extrême-gauche Abdelhakim Dekhar
Le filon est
inépuisable, on le voit avec l’affaire du tireur du journal Libération.
Aussitôt, le patron de Libé met en cause « le climat de violence »
et « des mots qui sont prononcés ». Suivez mon regard…
C’est révélateur « d’une
ambiance », selon Jean-Luc Mélenchon, tandis que François Fillon énonce : « Il
n’est pas anodin que son premier geste meurtrier fut perpétré au sein d’un
journal qui participe à la vitalité de notre démocratie. Face à cette violence,
nous devons tous faire bloc ».
Plus
explicite, le radical de gauche Jean-Michel Baylet dramatise : « s’en prendre à
la presse c’est s’en prendre à la République ». Et il accuse le « contexte
actuel marqué par une multiplication des attaques contre les valeurs
républicaines ».
Cet ancien candidat à la primaire socialiste, accusé par la
justice de prise illégale d’intérêts, est toujours prompt à dénoncer le « jeu
dangereux du populisme » et « une droite décomplexée qui a d’ores et déjà
montré qu’elle était prête, ici et là, à l’alliance avec l’extrême-droite ».
Autre
adversaire du populisme, la journaliste Caroline Fourest incrimine Internet, «
bistrot global… où se libère une parole qui encourage les passages à
l’acte violents… Mais la plus grande responsabilité, aujourd’hui, est à droite,
où l’absence de complexe et la surenchère ont libéré une parole mortifère.
On entend décidément trop peu la droite républicaine. Où est-elle ? Quand des
gens de son propre camp dérapent et tiennent des propos à droite de l’actuel
Front national… », etc.
Las ! Comme
le remarque plaisamment un internaute : « En fait, le tireur a certainement
plus souvent acheté Libération que Le Figaro, et on peut être sûr
qu’il n’a jamais acheté Minute ».
En effet, le coupable présumé avait
déjà été condamné dans l’affaire Rey-Maupin, du nom de ces militants
d’extrême-gauche qui avaient abattu des policiers.
Plusieurs
conclusions s’imposent. Une nouvelle fois, comme dans l’affaire Merah, ceux qui ont parlé trop vite
auraient mieux fait de se taire. Cela conforte ceux qui, lors de l’affaire
Méric, ont d’emblée renvoyé dos-à-dos l’extrême-droite violente et
l’extrême-gauche violente.
Cela infirme, une nouvelle fois, la pertinence des
âneries antiracistes sur la « parole qui se libère » et « les mots qui tuent ».
Enfin, cela
devrait inciter à la sobriété ceux qui donnent dans la boursouflure
mélodramatique en incriminant, au premier fait divers, une
attaque-au-cœur-de-la-République et contre-la-liberté-d’opinion.
Comme le
remarque un internaute : « Il y a 100 fois moins de moyens policiers déployés
et de unes médiatiques quand chaque semaine en France une grand mère est
égorgée ou un chauffeur de bus tabassé. Cette histoire confirme que les médias
et les politiques sont une caste au dessus du peuple français ».
Je ne suis pas raciste, mais depuis des années, je suis agressé par l'Afrique, du nord et du sud, et depuis des années, les gens qui nous gouvernent, me disent que c'est moi le méchant, et eux les gentils. Ils me volent mes droits, pour leur donner. Aujourd'hui, je n'ai que des devoirs, alors qu'ils ont tous les droits et mon argent. J'ai peur, et ne suis plus objectif, tolérant. Je suis traqué, et dans un esprit de légitime défense pour que VIVE LA FRANCE.
RépondreSupprimer@
Tout cela est la faute de l'état,c'est un jeu pervers ils permettent et excusent à certains et punissent et condamnent les autres.
RépondreSupprimer"Il y a quelque chose de pourri" dans le royaume de France.
Je souhaite pour la France que son peuple fasse bloc pour chasser ceux qui nous dressent les uns contre les autres et que la France redevienne ce qu'elle était
Vive la France.