La colère des éleveurs s'étend, Le Foll refuse de nommer les coupables
LA PETITE INTRODUCTION DE BBR
Faut il être étonne, surpris, que ce ministre de l agriculture qui ne veut rien dire, ne fasse pas parti du lot de clowns qui nous gouvernent, il est de la même trempe, sort surement de la même école et à les idées aussi sombre pour les Français, surtout ceux dans le domaine qu il représente.
Lui aussi comme les autres, à art les promesses non tenues , faire du bla bla devant les micros, dire qu il comprend la colère des agriculteurs, et des éleveurs, qu il va réfléchir, faire le nécessaires, promettre quelques euros, on ne voit pas le bout du tunnel depuis que le temps que ça dure..
Il arrive un moment où ces professionnels qui bossent comme des bêtes pour gagner des misères au proratas de la grande distribution.
Ils connaissent en plus des tas de difficultés Gel, Sécheresse, Concurrence de l Europe et autres pas toujours égales ou loyale.
Alors la Normandie manifeste et montre son mécontentement mais comme pour les éco taxes cela vient toujours de la haut, et le reste de la France c est souvent le calme plat, mais ca va commencer peut être à bouger, et de cela nos gouvernants profitent sachant que le travail reprendra et que ça n ira pas au delà de quelques 100aines de râleurs. Ils risquent d être surpris par l ampleur que cette situation va prendre.... Il continuera donc à promettre, mais eux ne verront toujours rien ou si peu.
Il faudrait peut être profiter de cette situation pour que toutes les professions se joignent au mouvement des éleveurs afin que nous puissions faire plier l ensemble du gouvernement en leur exprimant le ras le bol général qui se situe dans tous les domaines.
Peut on encore croire que cela soit possible ?
Il faudra bien que la marmite pète , elle est de plus en plus bouillante, il tient a peu de chose qu elle explose....
Ce matin les infos parlent que le mouvement s éteint à part quelques coup d éclat sur Montauban comment LE FOLL et les autres pourraient dans ces conditions parler d échec.
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Face à la colère des éleveurs le gouvernement a voulu passer à la vitesse supérieure en promettant un plan d’urgence qui sera détaillé mercredi, sans parvenir à calmer la colère sur les barrages qui risque de s’étendre.
Un rapport d’un médiateur indépendant, très attendu par les producteurs de viande, a été remis mardi soir au ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll mais ne sera rendu public que mercredi.
Le ministre s’est refusé à répartir les responsabilités dans la faiblesse actuelle des prix, bien inférieurs aux coûts de production, entre les industriels de l’abattage et de la transformation et les distributeurs.
« Il y a eu une présentation détaillée, on a fait bouger les lignes c’est déjà ça » a-t-il seulement lâché.
Le médiateur avait été désigné par le ministre à l’issue d’une table ronde de la filière bovine le 17 juin, pour faire la lumière sur le rôle exact de l’industrie et de la distribution.
– La pression demeure –
Dans l’attente des annonces, la FNSEA a refusé d’appeler à la levée des barrages et même prévenu qu’ils « pourraient s’étendre à d’autres régions mercredi », a confié à l’AFP son président Xavier Beulin.
« Ce que relève le médiateur c’est que la situation reste sur le territoire plutôt hétérogène » a-t-il rapporté, promettant que la « pression » sur les « industriels, coopératives, abatteurs et distributeurs va continuer à s’exercer ».
Même déception chez Jean-Pierre Fleury, le président de la Fédération des éleveurs bovins (FNB) qui prévient, en attendant les mesures qui seront présentées mercredi, que « les éleveurs ne lâcheront pas tout simplement parce qu’ils sont en train de jouer leur peau ».
Pour le moment, regrette-t-il, « on est sur un traitement de conjoncture alors qu’on est dans un mal structurel, avec des difficultés de compétitivité sur le marché ».
M. Le Foll a estimé récemment que 10% des élevages, ou 22.000 exploitations, étaient au bord du gouffre. Leur endettement atteint un milliard d’euros cumulés selon la FNSEA.
Pourtant le gouvernement n’a pas ménagé sa peine jusqu’au sommet de l’Etat.
Mardi après-midi, le ministre de l’Agriculture s’est rendu inopinément à Caen pour y rencontrer les producteurs de lait de Normandie, premier bassin laitier, qui le réclamaient depuis dimanche.
Non concernés par le rapport du médiateur, ils se battent également pour une revalorisation du prix de leur travail de 3 à 4 centimes le litre, jusqu’à 330 ou 340 euros la tonne.
« Clairement », a jugé M. Le Foll devant les producteurs du principal bassin laitier de France, la filière est en crise: « 302 à 304 euros la tonne, c’est insuffisant ». Il a tenu à rassurer que l’élevage laitier n’était pas oublié par les autorités et annoncé « un recadrage des aides en faveur des exploitations les plus en difficulté ».
A la mi-journée, le Premier ministre Manuel Valls avait réuni les ministres concernés à Matignon (Agriculture, Economie, Budget et Commerce extérieur) et avait appelé à « la responsabilité de chacun », appelant « industriels » et « grande distribution » à agir sur les prix pour soulager les producteurs.
– Sauver l’élevage –
Mais les éleveurs attendent plus: le patron des Jeunes Agriculteurs (JA), Thomas Diemer, veut « des annonces fortes sur l’endettement et une mise au pas des acteurs de la filière qui ont refusé de s’engager sur les hausses de prix ».
« Des mesures d’urgence, c’est pas ça qui va sauver l’élevage », avait aussi mis en garde Samuel Bidert, secrétaire général adjoint de la FDSEA du Calvados.
Les atermoiements du ministre (qui au départ avait refusé d’aller à Caen) ont alimenté un tir nourri de critiques de l’opposition, tel Bruno Le Maire (Les Républicains) qui y a vu un signe de « mépris ».
Et sur le front des barrages, ils se sont intensifiés dans l’ouest, de Caen à Saint-Malo et se sont étendus à d’autres régions, au sud-ouest vers la Grotte de Lascaux 2 notamment et au nord vers la Picardie.
Les éleveurs de Rhône-Alpes s’apprêtaient à leur tour à rejoindre le mouvement et annonçaient des barrages filtrants dans la Loire. Pour Jean-Pierre Royannez, président de la FRSEA Rhône-Alpes, la sécheresse vient de plus s’ajouter à la baisse des prix de la viande dans la région.
« Les exploitations ont atteint un tel niveau de fragilité que les agriculteurs ne peuvent plus faire face. Avant on avait un peu de trésorerie pour nous aider à passer ces coups-là, mais plus maintenant car on n’a plus de bonnes années » explique t-il.
Bonjour BBR, les amis
RépondreSupprimerComme d habitude, encore et encore " le on s en fou de nous", que représente pour eux l agriculture à part aller faire les beaux au Salon pour bouffer comme des Gras qu ils sont... je suis écœurée , c est à vomir.
Moi aussi j ai entendu ce matin que le mouvement qui s était enflammé est en train de s éteindre , c est trop rapide, pas assez nombreux, et tout va s arrêter et revenir comme s il ne s était rien passé. Je ne pense pas que c est comme ça qu on arrivera à les faire plier ni obtenir gain de cause...
La Normande
Bjr les @mis
RépondreSupprimerTitulaire d’un BTS Tradicopa (transformation, distribution et commercialisation des produits agricoles) obtenu au lycée agricole d’Amiens, Stéphane Le Foll était évidemment tout désigné pour devenir ministre de l’Agriculture. Il ne lui manque qu’un peu d’expérience et avoir pris au moins une fois dans sa vie une bêche pour planter quelque chose. Car Monsieur Le Foll est avant tout un fonctionnaire qui a fait sa brève carrière professionnelle à l’Éducation nationale avant d’intégrer l’administration du PS rue de Solferino où, malin, il s’est fait remarquer par le Secrétaire général de l’époque, François Hollande, qui l’a mis sur une liste sûre pour qu’il soit élu député européen.
Aujourd’hui, l’agriculture est en ruines. Le Foll n’est évidemment pas responsable de tout. Le nombre d’exploitations agricoles a été divisé par 3 en quarante ans, il en reste environ 600 000, mais c’est parce que pour faire face à la concurrence européenne et mondiale, elles ont dû grossir, se robotiser, devenant de plus en plus performantes, mais perdant aussi beaucoup de salariés qui sont souvent restés en chômage permanent quand ils ne pouvaient pas émigrer vers les villes pour se recycler dans l’industrie elle-même déclinante.
Mais la cause de la cause, c’est que les gouvernements successifs depuis ceux de Mitterrand jusqu’à ceux de Hollande n’ont ni anticipé ni géré cette tendance lourde qu’est la baisse des prix d’achat aux producteurs, n’exigeant des ministres de l’agriculture successifs qu’une seule chose : qu’ils fassent tout et n’importe quoi pour faire taire les revendications des paysans. Et chaque fois, la solution trouvée, très socialiste dans la forme et le fond, a été de débloquer des subventions ou d’autres formules financières, c’est à dire de faire payer aux Français ou à l’Europe l’incurie des ministres et des gouvernements pour « arroser » les agriculteurs et les éleveurs tout en leur susurrant à l’oreille « voyez comme nous faisons des efforts pour vous aider (« pas cher, c’est l’Etat qui paye » comme dit Hollande), pensez à nous aux prochaines élections.
Ce n’est pas de subventions dont les agriculteurs ont besoin, et la plupart ne demandent pas non plus l’arrêt de toute concurrence étrangère. S’ils le font c’est parce qu’ils savent le gouvernement incapable de prendre les mesures dont ils ont réellement besoin : diminution de leurs charges d’exploitation devenues dantesques, essentiellement du fait de réglementations tatillonnes et contraignantes qui se multiplient à l’infini et de normes européennes et nationales souvent absurdes, sur la courbure des concombres, l’interdiction de faire monter les jeunes sur une échelle pour cueillir les fruits, etc.
Un agriculteur se suicide tous les deux jours.
Monsieur Le Foll pérore à tort et à travers, mais il est content, il est ministre et le président l’aime.
Que peut-il demander de plus ?
La France est généreuse avec notre argent pour la Grèce, elle l’est également, toujours avec notre argent, pour l’algérie pays de nos égorgeurs. On ne peut pas, en plus, lui demander de verser à nos éleveurs Français, et à nos agriculteurs Français, ce qu’ils sont en droit de recevoir, et depuis des années.
@
Bonjour ami
SupprimerOui @ votre commentaire ne peut pas nous laisser indifférent, il laisse apparaître que tous nos politiciens qu ils soient de droite ou de gauche se foutent bien de l avenir du peuple que nous représentons... qu ils ne sont là que dans leurs propres intérêts après avoir appris l ensemble de leurs mensonges dans la même école celle des ânes.....
Droite ou gauche = Bonnet Blanc et Blanc Bonnet. Nous savons.
La folle est le même que les autres et fait aussi mal.....
On ne peut pas en effet donner aux Etrangers, à l Europe et dans le même temps donner aux Français. Pour nous les caisses sont toujours vides .
Merci pour ce commentaire
BBR
Bonjour les amis, BBR
RépondreSupprimerLe mouvement même avec quelques coups en force, ne va pas .....affoler LA FOLL , ni le gouvernement ni notre pustule de tulle qui s en fou royalement , et sans une action générale et durable toutes professions confondues jusqu à ce que nos pourris se cassent rien ne changera. Tout le monde est mécontent mais chacun manifeste dans son coin...
Où voit on la solidarité avec cette union qui fait notre force... Où entend t on encore le Tous ensemble, tous ensemble.... si le mouvement s arrêtait dès a présent, quelle déception.... J avais cru et espéré que cette action donnerait l envie aux autres de suivre, il semble qu il n en soit rien....
Nicole PLEY
Bonjour à vous les amis, BBR
RépondreSupprimerPas de quoi s emballer, ni être pleinement satisfait, je comprenais le mouvement , je comprenais même son durcissement , mais je ne comprends pas son effondrement dans un délai aussi court.
Ce n est surement pas ainsi que nos politiques seront sur les genoux, il est tellement rare qu ils s y mettent avec leurs airs supérieurs et dédaigneux, leurs mensonges permanent, qu ils doivent bien rire de nous quand ils sont tous attablées pour se raconter à leur façon nos petites misères sachant très bien qu ils ne feront rien si ce n est quelques effets d annonces (comme d habitude),
Je les vois d ici.... " Ha bon Le foll, ça bouge un peu chez toi" "tu n as qu à leur promettre un petit million d euros", "tu veux que je dise à valls de le faire " Il sait lui, il le fait tout le temps et ça marche, les sans dents ils le croient.
"Comment ils ne sont pas content des mesures qu on va prendre contre la pollution....On leur a supprimée l éco taxe mais on va compenser, on va leur faire payer quelques millions d euros d une autre manière"
"Ha bon Marie sol , ils sont pas content du déremboursement des médicaments.. c est pas grave augmente leur les cotisations"
Tout ca m énerve à peu point que je ne saurais le dire....Bonne journée à tous quand même
Olivier TREQUEL
Bonjour les amis, coucou BBR
RépondreSupprimerPas vraiment de quoi affoler nos gouvernants en effet....si le mouvement s estompe déjà , il n y a plus de solution et c est eux qui auront une fois encore gain de cause... Oui comme vous le dites les amis sans un mouvement d ensemble rien ne bougera jamais, rien ne changera, rien n évoluera...Et comme nous n avons toujours pas trouver le providentiel qui nous mènera à ce mouvement commun, je pense que nous avons encore du soucis à nous faire pour l avenir et ceux de nos enfants et petits enfants.
Vive la Révolution, il n y a qu elle qui peut nous sortir du trou dans lequel tous ces connards nous ont mis
Nathalie
Bonjour BBR, les amis
RépondreSupprimerSur l article d hier, j évoquais le fait que nous ne bougions pas (et je remercie ceux qui m ont attribué dans leur commentaire des réponses montrant leur solidarité) aujourd hui ça bouge un peu, mais pas trop, du moins pas assez et surtout pas assez suivi par tout le monde, je ne pense pas que même ces quelques coups de décharges devant des préfectures ou grandes surfaces celle puisse perturber nos menteurs de promesses. Je doute que nos éleveurs ou agriculteurs puissent obtenir ce qu ils réclament depuis des années et qu on a fait tenir à coups de jolie phrases
Jean BOUVARD
Bonjour à vous tous mes amis, BBR
RépondreSupprimerNon, je ne suis pas content d avoir entendu l affaiblissement du mouvement des éleveurs, on dirait que nous faisons trois p ti tours et puis s en vont, et c est comme ça que rien ne change.. Il semble plus qu évident que nos politiques ne sont pas trop perturbés par ce mouvement, d ailleurs l ont ils déjà été pour d autres, je ne crois pas, ils jouent toujours la montre, gagnent du temps et savent très bien que quelques jours après tout le monde aura repris son boulot, et qu il faudra se battre à nouveau dans quelques temps faute de ne pas avoir vu venir les promesses qui ont encore été faite....
Tant que nous ne changerons pas notre façon d exprimer notre mécontentement, notre ras le bol général, mais d une façon ferme, radicale et déterminé nous en resterons toujours à voir le sourire narquois et moqueur de nos gouvernants
André BERGERAC
Bonjour à tous et à toi BBR
RépondreSupprimerce qu'il faut à mon avis, pour venir en aide aux agriculteurs, ce n'est pas seulement leur apporter des aides pour maintenir à flot ce système qui ne fonctionne pas et n'a jamais fonctionné et ça depuis que nous sommes entrés dans l'Europe, ni faire la course à la compétitivé, qui profitera toujours à la grande distribution, mais c'est de les accompagner, pour aller vers un autre modèle plus vivable et plus soutenable (donc moins de dépenses) et de meilleure qualité des produits , privilégier la production d'aliments pour les bêtes sur la ferme, au lieu d'importer du soja, et également privilégier les circuits courts
(logique) et produire ainsi une meilleure qualité de viande plutôt que la quantité que l'on trouve aujourd'hui médiocre certes moins chère, mais qui se répercutera tôt ou tard sur notre santé . Là aussi notre sécurité sociale ne s'en porterait que mieux
Ça serait une vrai vision de l'avenir
Petite fille de laitier, je sais la pénibilité du travail du monde agricole et encore aujourd'hui ça a évoluer en mieux
je suis d'accord avec vous tous, et particulièrement avec André quand il dit que tant que nous ne changerons pas d'une façon façon ferme et déterminé, et d'une manière forte et que tout le monde descende dans la rue, ne paie plus ses impôts
et manifeste le ras le bol général de ces gouvernements qui ont eu qu'une seule école ,l' E N A (école nationale des ânes et non pas l'école de la vie
Christine)
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Je crois que nous sommes bien les veaux que dénonçait, je crois, le général de Gaulle.
RépondreSupprimerLes éleveurs, les agriculteurs ont initié un mouvement de colère mais qui les a suivis ?
Les médecins, les infirmiers, les sage femmes ont également manifesté leur colère. Qu'avons-nous fait ?
Les bonnets rouges, en Bretagne , ont eux aussi crié leur ras le bol. Où étions-nous ?
Tant qu'il n'y aura pas un effet boule de neige, un effet dominos, rassemblant tous ceux qui en ont assez de payer sans cesse,d'être exploités, pillés, au profit de ceux qui sont assez malins pour profiter du système? le gouvernement ne changera rien à sa façon de faire et de détruire le pays.
Combien de temps encore allons-nous nous contenter de beugler sans rien faire, de bêler et de nous laisser tondre sans réagir ?
J'espère pour nous et surtout pour nos enfants, qu'il n'est pas déjà trop tard.
Salut à tous, les amis.
L'Indien.
Bonjour mes amis,bonjour BBR,
RépondreSupprimer"Les Français n'ont qu'à payer leur viande plus chère!" voilà la solution préconisée par notre Pustule nationale.
Une nouvelle fois c'est donc au con sommateur de mettre la main à la poche!!!
Dans son étude notre Pustule n'a pas solutionné le problème en supprimant les charges qui écrasent les éleveurs,il n'a pas non plus proposé d'enlever la TVA sur l'alimentaire ce qui aboutirait à faire baisser les prix et à élever la consommation.
Il n'a pas non plus ,lui et sa fine équipe ,proposé de baisser les bénéfices des actionnaires ni baisser la marge des grandes surfaces!!!!
À Marennes en Charente Maritime les agriculteurs mènent une opération dans l'hypermarché Leclerc,,selon le "littoral de Charente Maritime":"ils vident les rayons de viande et redistribuent aux clients!!"
Comment ne pas être solidaire avec les revendications de ceux qui nous permettent de nous nourrir,un de leur slogan était "on vous nourrit,et nous on crève!!"
Mais comment aussi ne pas être en colère contre le monde paysan qui s'est laissé acheter à coups de primes par les gros semenciers pestilenciels de Monsanto pour planter leur poison de semences OGM enduites de pesticides !!
Comment ne pas être en colère contre eux quand ils encaissent des primes à l'herbe pour diffuser des nitrates sur le sol pour faire pousser les semences,ou quand ils obtiennent des primes à l'arrachage des arbres pour en faire des copeaux ,dénaturant ainsi le paysage et à court terme le climat!!!
L'argent,toujours l'argent le roi de la Terre frappe encore et fait croire aux incrédules qu'ils pourront en avoir plus!!!
Le monde paysan détenait une richesse qui lui permettait de vivre et les mettait à l'abri du besoin ,aujourd'hui le toujours plus a abouti au plus que moins ,et beaucoup d'agriculteurs ne pouvant plus rembourser leurs dettes finissent par vendre l'exploitation ou même se suicider.
Où sont passés les josé bové ??
Il est plus que grand temps de revenir à la raison et devancer les événements pour stopper cette descente en enfer .
Le but étant bien sûr les créations des fermes à 1000,2000,3000 vaches qui ne voyant jamais le jour grossiront les étals des grandes surfaces ,grossiront les bénéfices des actionnaires mais ne grossiront en aucune façon le porte monnaie des agriculteurs!!!
Fleur de lys.