TOUCHE PAS A MON DESPOTE
LA PETITE INTRODUCTION DE BBR
Mais oui, je parle souvent, des alliances que font nos gouvernants, de leurs nouveaux amis, j essaye de démontrer que souvent ils se trompent de cible, d ennemi, comme pour la Russie à qui on a refusé de se rendre au JO, où pire au 60ème anniversaire de la victoire des alliés sur notre ancien ennemi (l Allemagne) des millions de Russes ont laissé leur vie pour que nous vivions aujourd hui....
Nos dirigeants ont opté pour ce choix.... Ainsi ils font les yeux doux et courbe l échine devant le Riche Qatar en faisant participer nos athlètes à la coupe du monde de hand ball, en leur vendant des avions qui peut être un jour se retourneront contre nous dans la mesure où ce pays aide le pire ennemi qui soit sur la terre et qui massacre des milliers d innocents, de chrétiens, détruisant tout ce qui contraire à leur religion.
Oui nous avons supprimé la peine de mort mais nous pactisons avec ceux qui la pratiquent de manière atroce....Oui nous sommes devenus contre les dictatures (mais juste celle des personnes qui gênent). N oublions pas qu il y a encore peu de temps, nous avons reçu tous les dictateurs en grande pompe avec tapis rouge à l Elysée, mais ça c était avant.....Nous avons voulu faire ami ami avec la Chine qui ne respecte toujours pas la déclaration des droits de l homme, nous ne nous en prenons pas au dictateur de la Corée du Nord (car trop puissant) nos autorités semblent vouloir se diriger où "le vent des intérêts" les conduit
Il est vrai que si La Syrie avait eu du Pétrole il y a longtemps que nous aurions fait le nécessaire pour nous débarrasser de l envahisseur (surtout les Américains) qui ne cherchent pas en Syrie des armes de destructions massives.
Pas de vague, pas d amalgame, pas d islamophobie, continuons à construire des mosquées et laisser entrer les loups dans notre bergerie... Le temps de regrets viendra.... mais il sera peut être trop tard.
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Mais qu’est-ce que notre République démocratique et sociale, des personnes qui mais qu’est-ce que le pays des Lumières et de la Déclaration des droits de l’homme a à faire avec ce régime anachronique, cette monarchie absolue, ce despotisme obscurantiste ?
Comment notre République laïque, multiethnique et multiculturelle peut-elle s’acoquiner avec une théocratie raciste, sectaire et bornée où toute la vie politique, professionnelle, familiale et sociale est régie par la charia et tourne autour d’un cube noir, obscur objet d’une idolâtrie qui n’ose pas dire son nom, de pèlerinages et de processions où les fidèles se pressent et se bousculent comme un troupeau de moutons conduits à l’abattoir ?
Comment les dirigeants d’un État qui se flatte d’avoir aboli la peine capitale peuvent-ils serrer la main sanglante de rois, d’émirs et de princes qui la pratiquent avec la même intensité et font sauter aussi allègrement les têtes que la reine folle d’Alice au pays des merveilles (cent trente-neuf exécutions depuis le début de l’année, et non soixante-dix-neuf comme je l’écrivais hier par erreur) ?
Quel est ce royaume de cauchemar où l’on paye indifféremment de la prison, de la torture, du supplice et de la vie le vol avec récidive, l’opposition politique, le blasphème, l’hérésie, l’adultère et l’apostasie ?
Parmi les vices publics et privés des fondateurs, des rejetons, des parents, des dignitaires et des courtisans de cette dynastie surgie du désert, assise sur un tas d’or qui fleure bon le naphte et pourrie jusqu’à la moelle, on ne mentionnera que pour mémoire la tartufferie de ces parangons de vertu qui portent le masque de la piété et de l’austérité à l’intérieur des frontières du royaume et vont s’en fourrer jusque-là comme le Brésilien d’Offenbach dans tous les palaces du monde.
Quant à la corruption qui est là-bas consubstantielle à tous les marchés, à commencer par ceux de l’État, il semble qu’elle n’ait jamais posé problème aux interlocuteurs occidentaux de la famille Saoud and Co.
Il est vrai que la politique, et particulièrement dans sa partie diplomatique, doit tenir compte des réalités, et l’on ne va pas se brouiller avec un État qui porte la plus lourde responsabilité dans l’encouragement, le financement, la croissance et l’expansion d’Al-Qaïda, puis de Daech, ni le chicaner sur le double jeu qu’il mène depuis des années entre alliance occidentale et soutien à la subversion djihadiste, quand ce même État joue un rôle si positif pour notre tourisme, notre industrie du luxe, nos affaires et nos ventes d’armes.
L’Arabie saoudite n’a-t-elle pas sorti son carnet de chèques à trois reprises depuis deux ans pour payer les joujoux modernes et français, les Rafale et les Mistral que le Liban et l’Égypte avaient la pressante envie mais pas les moyens de s’offrir ?
Le régime syrien est-il plus autoritaire, plus archaïque, plus dangereux, plus hypocrite, plus cruel que celui de notre allié le roi Salman ? La faute inexpiable, les crimes impardonnables de Bachar el-Assad, ce pestiféré, sont-ils ce que l’on nous dit ?
Cherchez ailleurs : le péché originel de la Syrie, c’est de n’avoir pas de pétrole.
Comment notre République laïque, multiethnique et multiculturelle peut-elle s’acoquiner avec une théocratie raciste, sectaire et bornée où toute la vie politique, professionnelle, familiale et sociale est régie par la charia et tourne autour d’un cube noir, obscur objet d’une idolâtrie qui n’ose pas dire son nom, de pèlerinages et de processions où les fidèles se pressent et se bousculent comme un troupeau de moutons conduits à l’abattoir ?
Comment les dirigeants d’un État qui se flatte d’avoir aboli la peine capitale peuvent-ils serrer la main sanglante de rois, d’émirs et de princes qui la pratiquent avec la même intensité et font sauter aussi allègrement les têtes que la reine folle d’Alice au pays des merveilles (cent trente-neuf exécutions depuis le début de l’année, et non soixante-dix-neuf comme je l’écrivais hier par erreur) ?
Quel est ce royaume de cauchemar où l’on paye indifféremment de la prison, de la torture, du supplice et de la vie le vol avec récidive, l’opposition politique, le blasphème, l’hérésie, l’adultère et l’apostasie ?
Parmi les vices publics et privés des fondateurs, des rejetons, des parents, des dignitaires et des courtisans de cette dynastie surgie du désert, assise sur un tas d’or qui fleure bon le naphte et pourrie jusqu’à la moelle, on ne mentionnera que pour mémoire la tartufferie de ces parangons de vertu qui portent le masque de la piété et de l’austérité à l’intérieur des frontières du royaume et vont s’en fourrer jusque-là comme le Brésilien d’Offenbach dans tous les palaces du monde.
Quant à la corruption qui est là-bas consubstantielle à tous les marchés, à commencer par ceux de l’État, il semble qu’elle n’ait jamais posé problème aux interlocuteurs occidentaux de la famille Saoud and Co.
Il est vrai que la politique, et particulièrement dans sa partie diplomatique, doit tenir compte des réalités, et l’on ne va pas se brouiller avec un État qui porte la plus lourde responsabilité dans l’encouragement, le financement, la croissance et l’expansion d’Al-Qaïda, puis de Daech, ni le chicaner sur le double jeu qu’il mène depuis des années entre alliance occidentale et soutien à la subversion djihadiste, quand ce même État joue un rôle si positif pour notre tourisme, notre industrie du luxe, nos affaires et nos ventes d’armes.
L’Arabie saoudite n’a-t-elle pas sorti son carnet de chèques à trois reprises depuis deux ans pour payer les joujoux modernes et français, les Rafale et les Mistral que le Liban et l’Égypte avaient la pressante envie mais pas les moyens de s’offrir ?
Le régime syrien est-il plus autoritaire, plus archaïque, plus dangereux, plus hypocrite, plus cruel que celui de notre allié le roi Salman ? La faute inexpiable, les crimes impardonnables de Bachar el-Assad, ce pestiféré, sont-ils ce que l’on nous dit ?
Cherchez ailleurs : le péché originel de la Syrie, c’est de n’avoir pas de pétrole.
Dominique Jamet Journaliste et écrivain
Bonjour BBR, les amis
RépondreSupprimerJe suis toujours aussi scandalisé de lire ce genre de situation (nous pactisons et nous lions d amitié avec des diables sanguinaires) qu ils soient prince, émir ou rois importe peu, la réalité des évènement est là... Une fois de plus L INTERET prime sur LA VIE.
La Normande
Bonjour a vous les amis,BBR
RépondreSupprimerMerci pour ces rappels BBR, non il ne faut pas oublier toutes ces réceptions Elyséenne, ......nos gouvernants ressemblent un peu à notre bayrou national, tournant le dos à l ami, pour rejoindre l ennemi celui qui a du Fric, nous en revenons toujours et inlassablement à ce petit mot si important à leurs yeux...Oui comment a t on pu en arriver là ? C est Lamentable
Olivier TREQUEL
Bonjour les amis, BBR
RépondreSupprimerNous ne changerons jamais rien, et ce que nous écrit ce journaliste est terrifiant mais plein de réalisme.... Je ne sais même pas ce que je pourrais ajouter..... Tout est dit....Il suffit de lire.....
Nicole PLEY
Bonjour les amis, coucou BBR
RépondreSupprimerPeut on encore prétendre que nous respectons la déclaration des droits de l homme dans ces conditions, être contre la peine de mort (qui nous serait bien utile pour essayer de dissuader nos assassins) et être l ami de ceux qui la pratique de manière horrible me semble inconcevable... Une fois encore nos politiques déçoivent , mais somme nous à cette déception près....Nous avons notre dose, et elle n est pas prête de se terminer......
Nathalie
Bonjour BBR, les amis
RépondreSupprimerCarrément scandaleux, mais nous le savions, il faut quand même un certain courage pour l écrire, combien sommes nous à le penser et là encore rien ne bouge, nous acceptons ce que nos gouvernants nous concoctent.... Démocratie, République, Droit de l homme et du Citoyens, ne sont que des mots dont je ne sais même plus s ils ont une quelconque valeur,....les nouvelles valeurs étant comme vous le dites si bien.... Pas d amalgame etc... inutile que je répète je crois..... C est Ecœurant.
Jean BOUVARD
Bonjour à vous tous mes amis, BBR
RépondreSupprimerJe reste convaincu qu il n y a plus que l argent qui compte, et nos politiques vont où il y en a ....et quand ils n y vont pas , ils savent nous le prendre....se servir en toute légalité, et quand ce n est pas légal, ils le prennent quand même sachant qu ils n auront aucune sanction.
L article est assez clair pour savoir que nous accordons notre confiance à des gens qui financièrement ont aidé Daesch, et pratiquent des peines horribles, c est scandaleux, mais nous avons aussi aidé la rébellion contre le régime de Bacha El Hassad, nous sommes contre les dictatures mais nous l appliquons aussi de différente manière....
Tout n est qu injustice, le monde est devenu fou, nos gouvernements sont fous et nous le sommes aussi de ne rien faire, ou plutôt de laissez faire..... Je me pose aussi la question sur nos valeurs, qu en reste t il ?.... Je suis toujours aussi écœuré....
André BERGERAC
Mes amis, nous sommes tous sur la même longueur d'ondes. Mais ça sert à quoi ?
RépondreSupprimerNous voyons bien toute la pourriture ambiante, nous voyons bien que l'on nous conduit à la ruine d'abord et à la mort ensuite...mais comme des moutons, nous suivons sans rien dire, sans rien faire, les élucubrations des politiques qui participent à notre disparition.
Je crois que vu l'état de léthargie dans lequel nous nous trouvons, seul un miracle peut nous sauver. Reste à savoir si nous prions Dieu pour cela.
Salut à tous et à vous BBR qui nous faites partager ce que vous savez.
L'Indien.
NB Notre ami @ me manque, avec ses commentaires pertinents et sa lucidité.