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mardi 10 décembre 2013

FRANCE : LE GRAND DÉCLIN / QUEL DESASTRE



CES INFORMATIONS QU IL FAUT FAIRE PARTAGER
 

LE GRAND DÉCLIN... AVANT LE GRAND SURSAUT

POUR 75 % DES FRANÇAIS, LA FRANCE DÉCLINE - LE DÉSESPOIR ET LA COLÈRE...


La publication du sondage CSA est un vrai coup de tonnerre dans la sphère politico-médiatique.

Ce sondage mesure à la fois le désespoir et la colère de nos compatriotes, face à l'une des pires crises économiques, sociales et identitaires que la France ait connue.

Il montre clairement le rejet absolu des partis politiques, de la classe dite "dirigeante", et d'un gouvernement perçu comme inactif et incapable de diriger le navire France dans la tempête qui fait rage.

Face à cette situation d'une exceptionnelle gravité et jugée explosive, suscitant une terrible angoisse d'appauvrissement et de déclassement doublé d'un sentiment d'abandon, deux-tiers des sondés réclament une réforme en profondeur, 88% d'entre eux étant convaincus que « les gouvernants, qu'ils soient de droite ou de gauche, ne se préoccupent pas des gens comme eux ».

L'image des partis et des institutions sort de cette étude complètement laminée. Elle est majoritairement négative, tant pour les partis politiques (75%), que les syndicats (52%), le Parlement et les médias (50%).


L'ETUDE PISA : LA FRANCE AU PIQUET


L'étude PISA de l'OCDE, mesurant par pays les performances de l'appareil éducatif, (désastreuses, on s'en serait douté, pour la France), ne donne pas beaucoup de raisons de se réjouir. On ne s'étendra pas sur la déliquescence générale de notre pauvre Education Nationale, tout ou presque a été dit. Mais on remarquera le niveau zéro du débat qui a suivi cette publication, la droite accusant la gauche et la gauche accusant la droite "au pouvoir depuis 10 ans".

Aucun, je dis bien "aucun" homme politique digne de ce nom n'a simplement posé un début d'explication de ce désastre, et encore moins un début de projet pour reconstruire l'Education Nationale. C'est tellement plus facile de lancer des anathèmes et des invectives !

En s'accusant mutuellement, la gauche et la droite ont sans doute raison sur les faits, mais ne disent rien sur les causes, ou, pour être plus clair, "LA CAUSE" de cet effondrement : le pouvoir de fait exercé par les syndicats réactionnaires et corporatistes, bloquant toute tentative de réforme, et exigeant "toujours plus" de postes, de traitements, d'avantages, et "toujours moins" de travail et d'effort.

On aurait aimé entendre un responsable politique annoncer qu'il fallait maintenant conduire des réformes drastiques, sans se préoccuper des résistances morbides des syndicats de l'Education Nationale. Et que la solution ne résidait pas dans le recrutement frénétique de "toujours plus d'enseignants" (proportionnellement déjà beaucoup plus nombreux en France que dans les autres pays européens) mais dans la redéfinition des objectifs de l'Education et une réorganisation générale du travail en fonction de ces objectifs.


L'IMMIGRATION N'EST PAS UNE CHANCE POUR LA FRANCE


Tout aussi explosif que le sondage CSA, un autre sondage fait beaucoup moins de bruit dans les médias. Normal, celui là touche à un domaine sulfureux et "nauséabond" et est titré "l'immigration n'est pas une chance pour la France". Valeurs Actuelles rappelle à juste titre cette formule mensongère, lancée par un certain Bernard Stasi (faux-cul de première et qui prétendait apparaître comme un saint homme) au début des années 2000.
Rappelons à ce sujet que la fameuse "Commission Stasi", nommée à grands frais par Chirac pour réfléchir à "l'application des principes de laïcité républicaine" fut en fait à l'origine de tous les atermoiements, hésitations et reculades des gouvernements successifs face à l'explosion des "minorités vestimentaires visibles" et notamment le port du voile qui pourrit la vie des cités depuis plus de 20 ans. Bel exemple d'inspiration et de courage politiques...

Le sondage IFOP / Valeurs Actuelles est édifiant.

86 % des sondés pensent qu’“il faut passer d’une immigration subie à une immigration choisie”.
82 % des sympathisants de gauche,
96 % des sympahisants UMP et
92 % des sympahisants du FN partagent cette opinion !

Voici plus précisément ce qu'en dit Valeurs Actuelles sur le lien mis au début de ce paragraphe.

« On observe, sur la question de l’immigration, un durcissement très net de la société française,
commente Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l’Ifop. Ce durcissement s’est même accéléré ces dernières années, et ce, sur toutes les questions que soulève ce débat. »

En effet, 67 % des sondés affirment qu’“on en fait plus pour les immigrés que pour les Français”. En avril 2006, ils n’étaient que 40 % à le penser. Cette hausse flagrante n’épargne pas la gauche (38 % des électeurs de Mélenchon et 41 % de ceux de Hollande partagent ce constat !) mais touche particulièrement la droite, où elle atteint 41 points dans l’électorat UMP et 27 dans celui du FN.
Plus révélateur encore, c’est dans les catégories supérieures (61 % à partager l’affirmation) que le rejet de l’immigration est le moins prononcé. Dans les classes populaires, en revanche, 73 % des employés et 80 % des ouvriers ressentent cette “préférence immigrée”. On observe, de même, un crescendo de l’exaspération selon que les sondés vivent ou non éloignés des beaux quartiers parisiens d’où viennent les leçons de morale de la gauche bien-pensante. Ainsi, 76 % des habitants des communes rurales répondent oui à cette question, tout comme 66 % de ceux des villes de province. Les habitants de l’agglomération parisienne ne sont en revanche “que” 59 % à partager cette opinion.
« Tous les indicateurs vont dans le même sens », poursuit Jérôme Fourquet. À la question “Trouvez-vous que les pouvoirs publics luttent efficacement contre l’immigration clandestine ? ”, les Français apportent un cinglant désaveu à la caste médiatico-politique, qui jette un voile pudique sur la question.
En février 2007, ils étaient 45 % — sous un gouvernement de droite — à penser que la réponse du gouvernement était adaptée. En octobre 2013, ils ne sont plus que 24 % ! Au PS, seuls 50 % des sympathisants jugent satisfaisante la politique menée en la matière par “leur” gouvernement, quand, à l’UMP, seuls 8 % se disent satisfaits, et 6 % au Front national ! Là encore, confirmant les thèses du géographe Christophe Guilluy, théoricien de cette “France des invisibles”, périurbaine et rurale, « beaucoup moins habituée au métissage et au multiculturalisme, sujette à un réflexe très marqué », selon Fourquet, 18 % seulement des Français des catégories populaires se disent satisfaits.
Cinglant démenti, enfin, à l’affirmation de Bernard Stasi. Repris dans une question de notre sondage, le titre de son livre, l’Immigration, une chance pour la France, fait aujourd’hui la quasi-unanimité contre lui. Les Français ne sont plus que 37 % à partager sa conviction — ils étaient encore 49 % en février 2007. Un discrédit généralisé envers la doxa politiquement correcte de nos gouvernants actuels».
Tous les éléments semblent donc réunis pour une explosion générale. La marmite mijote dangereusement. Ceux qui connaissent notre histoire savent que, quand il se réveille, le peuple français ne s'arrête plus.

 

ET SI LE PS PILOTAIT UN GENRE DE "PRINTEMPS ARABE" POUR LA FRANCE (C. TASIN) ?


Sursaut ou réaction ? Là est la question !  Christine Tasin nous alerte sur les risques sérieux de l'utilisation de cette colère par les ennemis de la France, pour l'abattre encore plus vite. Nous vous conseillons vivement la lecture de son article en cliquant ICI.

Comme le conclut Christine, "il devrait y avoir beaucoup de monde, le 8 décembre, entre Denfert Rochereau et Place d'Italie, dans cette atmosphère de fin de règne !"

Pendant ce temps, mes chers compatriotes, nos coûteux et subventionnés médias font leurs gros titres sur une info de première importance pour l'avenir de la France :

Hollande aurait été opéré de la prostate en 2011.

Effectivement, ça change tout !

2 commentaires:

  1. La France a besoin de sang neuf à la tête de l’État.Les partis politiques, les médias, les syndicats ne sont plus crédibles. Il faut réformer tout le système. Mais voilà : qui est capable de faire cette transformation en profondeur ? Avec qui ? Quand et comment ?
    Faudra-t-il en passer par une révolution ? Et quel sera le comportement des forces de l'ordre : police, gendarmerie, armée ? Qui saura fédérer toutes ces énergies ?
    Que Dieu nous assiste car nous ne savons plus où nous allons.
    La lectrice d'Auvergne.

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  2. Madame la lectrice d'Auvergne,
    Notre beau Pays a simplement besoin d'un homme qui aime et qui respecte la FRANCE avec toutes ses valeurs, et non pas uniquement sa monnaie.
    Bien cordialement et respectueusement
    @

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