Rechercher dans ce blog

mercredi 15 janvier 2014

HOLLANDE - 500 JOURNALISTES POUR CA ??? INCROYABLE



DALIDA, nous laisse ce souvenir impérissable de sa chanson PAROLES PAROLES

Des mots, toujours des mots, toujours les mêmes........................................................

HOLLANDE JOUE AVEC LES MOTS

Boite à Outils
Pacte Social
On inverse la tendance
maintenant c est le tour de :

SOCIAL DÉMOCRATE - Pas mal celui la - Il fallait le trouver


Lisez ou Relisez UNE PHRASE IMPORTANTE que j ai publié dans mon article titré L ENA
(Une bombe l article) qui disait :

"Lune des seules choses enseignées à l ENA est La pratique de LA LANGUE DE BOIS qui permet de répondre à toutes les questions en formulant quelques généralités hors sujet".

     C est exactement ce qui s est passé pendant 3 heures.


     Pas besoin d avoir vu sa conférence de presse pendant 3 heures pour comprendre. Les quelques images que j ai aperçu étaient très significatives - Du cousu main  - du pain bénit pour le chef de l Etat.

     Soit les journalistes ne posent pas les bonnes questions (par peur de perdre leur job), ils ont la mine triste,   soit on leur a demandé de poser ces questions là.

     Le Président,  avec son air habituel, son sourire narquois qui donne l impression au journaliste,  qu il a posé une question idiote, répond par saccades, les paroles hachées comme à son habitude.

     Exemple :

     Le Journaliste qui pose la question sur les guerres où nous sommes engagés MALI, CENTRE AFRIQUE - Pourquoi sommes nous seul ?????

     Et là,  ironiquement, le président trouve la question stupide bien sur,  et dit  mais nous ne sommes pas seul, nous sommes avec les armées africaines. Il avait même très satisfait de lui. Faut  dire que la modestie n étouffe pas notre Président "MOI JE"   Il n a aucun complexe de ce côté là.

     Plus de parole,  à ce journaliste qui avait surement voulu dire Pourquoi d autres pays Européens ne sont pas intervenus???? Pourquoi les Américains ne sont pas intervenus?????.

     Un vrai feu d artifice  §§§§§ l Elysée est tout illuminé §§§§§,  devant se parterre  du  gouvernement présent avec son chef de file. Ils rient tous aussi béatement que leur DIEU aux questions des journalistes.

     Que pouvaient ils faire de mieux-   Même à l issue de la conférence notre ZAYRAUTL NATIONAL indiquait que le Président était courageux et qu il voulait entreprendre de nouvelle chose.

    "ON SAIT COMBIEN CA NOUS COÛTE QUAND IL RÉFLÉCHIT A DES NOUVEAUTÉS"

     Les Promesses, les mensonges, on s y habitue, certains,  arrivent même à s y résoudre et nous en avons jusqu à 2017.

     Et lorsque l on entend le président parler de ses promesses qui s étalent entre 2015 et 2017 - ça ne lui pose pas de problème d attendre la fin de son mandat - Ben voyons.

     Mais le côté positif bien sur, ce sont  les entreprises qui vont bénéficier de 30 milliards d euros.
     Au départ c était 20 milliards qui allaient être prélevés sur notre compte avec des promesses d embauches qui n ont pas été réalisées, maintenant ça va être  30 , soit 10 milliards de plus
avec des je te donne tu me donnes. ON CROIT RÊVER et RETOURNER EN ENFANCE.

     Bien entendu le patronat est très satisfait. Il saisit cette aubaine à bras ouverts, sachant très bien que même si les entreprises n embauchent pas ce qui est pris n est plus à prendre.

    Concernant les 50 milliards d économies que notre président,  en les étalant jusque  en 2017 tout le monde se demande sur le compte de qui va t il les récupérer - et Nombreux sont ceux qui pensent déjà sur le notre. Comme d habitude

     Quand à l affaire GAYET et sa vie privée, elle ne date pas d hier, mais de presque 1 an ou plus, mais le président indique que ce n est ni le lieu ni le moment de parler de ça - Il a bien raison - c est sur. Il y a des choses plus importantes à traiter ou les poissons à noyer.

     On apprend même,  par les informations que Julie GAYET est nommée par le gouvernement Membre du Jury Médicis - Déjà le favoritisme - Ça va très vite là, elle voulait même en être la présidente, ce qui a faillit être fait, mais compte tenue de la situation actuelle, ils on renoncé à la nommer - cela a été  dis au infos cet après-midi.

     En clair - Toujours plus de chômeurs - Toujours plus d entreprises qui ferment, le  15.01.2014 les infos annoncent que 63000 entreprises ont déposé le bilan  en 1 an, toujours le trou de la sécu, toujours un important déficit en France, toujours plus d impôts et taxes, toujours seul à faire la guerre mais une maîtresse supplémentaire.


     
       COMME QUOI TOUS LES ARTICLES SUR CETTE CONFÉRENCE DE PRESSE
   
      *ONT  LA MÊME VISION DES CHOSES,
      *ONT LES MÊMES CONCLUSIONS
     
       MÊME SI ELLES SONT DITES DIFFÉREMMENT
       




               ----------------------------------------ooo0ooo--------------------------------------------




      LA CONFÉRENCE DE PRESSE DE PÉPÈRE

     
Pépère a fait son show de chef énergique et chef de guerre toujours vainqueur. 

     Ceux qui espéraient qu'il clarifierait la situation de la première girl friend de France en ont été pour leur argent, car ça a été bref : circulez, y'a rien à voir c'est un problème privé. 

     On a cru comprendre que la question sera réglée pour le 11 février. Si Valérie espérait avoir une réponse elle peut continuer à déprimer au Val de Grâce, et Julie aussi d'ailleurs devrait s'y mettre, car si elle pensait l'emporter par sa jeunesse et son charme face à la vieille madame Bidochon, elle s'est fourré le doigt dans l'œil. Pépère préfère semble-t-il rester dans l’ambiguïté parce qu'il a un principe : ce qui et privé est privé, qu'on se le dise.

    "J'ai un principe", "moi je…", "j'ai décidé", "je veux", "j'ai voulu", "je ne laisserai pas faire", ce président se prend vraiment pour le chef qu'il n'a jamais été et tient mal le rôle. 

     Un vrai chef, j'en ai fréquenté beaucoup dans ma vie professionnelle, ne parle pas ainsi, ses conseillers en communication devraient le lui dire. 
     
     Un vrai chef utilise le plus souvent possible le "nous" et le "vous" pour associer ses hommes, ses femmes et ses équipes à ses décisions.

     Dans ses réponses aux journalistes, il a réutilisé aussi et beaucoup trop l'anaphore, ce truc qui consiste à reprendre en début de phrase toujours le ou les mêmes mots et qui avait scotché Sakozy avec 

                                                "Moi, président, je serai irréprochable"
     
     Aujourd'hui ce fut "Quand on a vingt-cinq ans…", grâce à lui "le pays est plus fort", "qu'est-ce que c'est qu'une politique progressiste ? C'est…", on est tenté de lui dire, une fois, ça va, trois fois, bonjour les dégâts.

     Il y a eu plus grave : 

     Les statistiques et les chiffres arrangés pour faire croire ce qui n'est pas, comme la réaffirmation qu'il y a eu, en 2013, 

15 milliards de réduction des dépenses réalisées par l'État, alors qu'il s'agit en fait de 20 milliards de dépenses en plus, les 15 milliards venant de la soustraction des 35 milliards que le gouvernement avait prévus au départ. 
     
     Comment croire alors que le gouvernement va faire vraiment 50 milliards de vraies économies d'ici 2017, pour soulager les ménages, plus 30 milliards pour soulager les entreprises ?

     Optimiste, Pépère ! Mais il ne supprimera les trente milliards de charges d'allocations familiales qui incombent aux entreprises d'ici 2017, que si elles embauchent en contrepartie, condition sine qua non… à partir de 2017 donc ? 
     
     C'est ça la nouvelle date fixée pour l'inversion de la courbe du chômage ? 
     En attendant, l'État va embaucher encore 50 000 "emplois d'avenir" par an pour peser sur cette saloperie de courbe qui refuse de s'inverser.

     Il va aussi créer un paquet d'usines à gaz : Un "Conseil de simplification", des "Assises de la fiscalité des entreprises", une "Grande conférence sociale de printemps", un "Conseil stratégique de la dépense" à sa botte (pour contrer la Cour des comptes trop contrariante), un "Conseil de l'attractivité" visiblement inventé sur le tas près une hésitation pour clouer le bec à un journaliste, et  un "Conseil des ministres franco-allemand" mensuel. Car il tient à renforcer l'Europe et pour cela il veut un axe franco-allemand fort. En Europe, c'est lui le chef.

     Il renouvelle sa promesse de candidat de "réorienter l'Europe". Angela Merkel est-elle prête à le suivre ? Pas sûr du tout, mais c'est le chef Pépère, elle suivra ! Il va donc y avoir une convergence économique et sociale avec l'Allemagne sur la fiscalité, la transition énergétique et la défense.

     Évidemment, si les Allemands se mettent à payer autant d'impôts que les Français, nous serons deux pays à couler au lieu d'un, enfin à égalité avec l'Allemagne ! 
     Si nous nous mettons comme eux à transformer nos centrales nucléaires en centrales à charbon ou à gaz, nos serons comme l'Allemagne dépendants de l'URSS et nous polluerons comme elle deux fois plus qu'aujourd'hui, mais si c'est ça le progrès apporté par la transition énergétique, place à la modernité écolo ! 
     Et si nous fusionnons nos deux armées pour contraindre les Allemands à nous suive dans nos guerres tropicales, il faudrait ne pas commencer par supprimer l'une des deux brigades franco-allemandes actuelles comme cela vient d'être fait par Le Drian !

     Il tacle Sarko sur une question posée par un journaliste qui lui demande s'il ne se sent pas glisser vers le libéralisme : non, "je ne suis pas gagné par le libéralisme", la preuve en est qu'avec lui "c'est l'Etat qui agit". 
     S'il est libéral, "alors Sarkozy était d'extrême gauche". 
     Je n'ai pas bien compris ce que Sarkozy venait faire dans cette comparaison. Mais je suis bête.

     Par contre, on l'a compris, plus d'État partout, c'est effectivement plus de socialisme, il n'y a aucun virage, "si on prend un virage, on ralentit, moi je continue tout droit, j'accélère", dit-il. 
     On va dans le mur, il accélère, on est au bord du gouffre, il fait un grand pas en avant. Un téméraire Pépère !

     Même la liberté doit être encadrée. 
     Il le rappelle en évoquant deux cas : 

Closer qu'il ne poursuivra pas parce que finalement l'immunité présidentielle qu'il avait reprochée à Sarkozy et, candidat, promis de supprimer, c'est pas si mal, 

et Dieudonné que Valls, qui en a souri de plaisir sur sa chaise, a bien fait d'interdire, car le président "ne tolèrera pas le moindre mot antisémite, antimusulman, antichrétien". 
     
     On aimerait le croire, mais quel écart entre le personnage et son discours et la réalité des faits ! 
     
     Car si Dieudonné est interdit de parole antisémite, pourquoi les Femen antichrétiennes sont-elles subventionnées et logées par la ville de Paris, pourquoi aucune indignation gouvernementale après leurs profanations d'églises ? 
     
     Pourquoi les rappeurs musulmans anti-blancs et antifrançais sont-ils portés aux nues par Lang et Filipetti, la vilaine lécheuse de babouches présidentielles qui vient de nommer Julie Gayet au jury de la Villa Médicis, une belle promotion canapé pour l'actrice qui vient d'intégrer le harem présidentiel ?      
     Deux poids, deux mesures retient-on de son discours, et une menace de plus sur nos libertés, car la surveillance d'internet par le ministre de l'Intérieur "on y travaille". 
     
     Et pourquoi supprimer le dernier espace de liberté ? Là il se redresse sur sa double estrade, la première couverte d'un tapis, la seconde plus étroite en bois pour le faire paraître plus grand qu'il n'est, et que croyez-vous qu'il ose affirmer ? 
     
     Asseyez-vous car vous n'allez pas en croire vos oreilles : "Parce que je suis surtout  un patriote !" a-t-il le culot de dire haut et fort.

     "Le président aime débattre, c'est un exercice où il est bon" avait dit la veille Catherine Nay à C dans l'air
     
     Mais où était le débat hier soir ? Une carpette de journalistes qui avaient droit à une seule question déposée à l'avance auprès du service de com de l'Élysée, c'était clair au vu des réponses présidentielles préparées elles aussi, c'était tout aussi clair, à qui l'on retirait le micro aussitôt qu'ils l'avaient posée et qui ne pouvaient ni contester ni commenter la réponse faite, priés de la fermer dès que l'oracle avait délivré son message. 
     
     Même quand il était énorme de mensonge et d'outrecuidance comme "Jamais un gouvernement n'en a fait autant (de réformes et d'économies), d'ailleurs la reprise est là".

     Le premier à poser une question fut Larbin 1er, président de l'Association de la presse présidentielle, un certain Alain Barhuet dont la mission était visiblement de déminer sur ordre le terrain de la vie privée de Bidochon-l'étalon, qui déclara en se tortillant : 

     "Monsieur le président, j'ai comme l'an dernier l'insigne honneur d'être le premier à vous poser une question, elle ne va pas vous plaire je le sais et je m'en excuse un million de fois par avance, mais vous comprenez, ô mon maître vénéré, que si je ne la pose pas je risque gros, vos admirables conseillers en communication que j'admire m'ont prévenu, alors bien que j'en pisse dans mon froc et que j'en aie déjà sali mon caleçon par avance, je vais vous la poser quand même en implorant votre immense clémence : 

     madame Trierweiler est-elle toujours la première dame de France ?" "QQQUOI ? (temps mort, car Pépère s'en étouffe d'indignation et a besoin de reprendre son souffle pour tancer l'impertinent) Sachez que j'ai un principe : les affaires privées se traitent en privé et je ne répondrai plus à aucune question sur ce sujet". 
     
     Fermez le ban et circulez, la vie privée de mon admirable zizi ne vous regarde pas. 
     
     Quelques journalistes étrangers, les carnes, tenteront bien de revenir en douce sur le sujet par des voies détournées, mais chaque fois Pépère montera sur ses ergots pour les rabrouer.

     Bref, il reste socialiste, le gouvernement ne sera pas remanié avant 2017, il gardera peut-être le même ensuite, et sa majorité sera là pour l'épauler et l'aider à poursuivre la même politique socialiste et répressive. 
     
     Sa popularité il s'en fout (dit-il) et il garde (pour le moment) ses deux maîtresses. 
     
     Si Valérie accepte la vie de couple à trois avec Julie, elle aux honneurs, la petite au lit, elle sera peut-être autorisée à l'accompagner le 11 février rencontrer Barack et Michèle.

     Pleure, Valérie, pleure et surtout reste au lit au Val de Grâce, c'est la Sécu qui paye.







5 commentaires:

  1. Belle analyse BBR, beaucoup doivent penser comme vous.

    Paul BRELOCQ

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. J'ai regardé la conférence durant 1 heure, j'en ai eu assez, votre analyse reflète exactement ce que j'ai vu.

      André BERGERAC

      Supprimer
  2. Quelle classe il aurait eu s'il avait annoncé sa démission!!!!
    La petite fraise des bois.

    RépondreSupprimer
  3. Je ne suis pas surprise de votre analyse sur la conférence de presse ni sur l'article sur les Enarques que j'ai relu.
    Tout est vrai. Quand on pense que Hollande s'en prenait à la finance.
    Qu'il va lécher le patronat en donnant de l'argent alors qu'il n'y aura pas plus d'embauche.
    Mais ses promesses qui ne sont que des mensonges il y a longtemps que je n'y crois plus.
    Quand à ses maitresses qui ne voient en lui que le pouvoir et l'argent que grand bien leur fasse.
    Puissent t'elles se déchirer entre elles, les unes après les autres.

    L.M

    RépondreSupprimer
  4. Je me demande encore comment les gens ont pu voter pour un débile qui n'a JAMAIS travaillé. Comment peut-on alors gouverner un pays et comprendre le quotidien des travailleurs ?
    @

    RépondreSupprimer