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vendredi 10 janvier 2014

GENDARMERIE : LA DÉPRIME - LE SURSAUT





    Ce que nos gouvernants savent et ferment les yeux. Il n y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir et c est bien une triste vérité.

    Si la gendarmerie a été et ai toujours la grande muette, il arrive parfois lorsque la cocotte bout et déborde que les problèmes apparaissent et soient divulguer, non pas par la presse traditionnelle bien sur, elle est achetée, je n ai jamais vu ce général être l invité du JT de 20 h pour écouter ce commentaire, et pourtant ce ne sont pas les invités à la gomme qui manquent.

     Et avec tout ce que vient de dire ce Général, avec tout ce qui est important, notre Ministre de l intérieur continue à jouer avec DIEUDONNE.

                                     CE N EST QUE PLUS RÉVOLTANT


     Le 18 décembre dernier, le général Soubelet, numéro 3 de la gendarmerie, invité par une commission de l'Assemblée nationale à dire la vérité sur l'état de la sécurité en France a répondu avec franchise à cette invitation. 

     Avec franchise et honnêteté, ce qui est suicidaire pour sa carrière avec le gouvernement d'idéologues injustes et rancuniers qui est le nôtre.





     L'Agence France-Presse ayant diffusé ce morceau de bravoure, voilà nos journalistes aux ordres qui font semblant de découvrir ce qu'ils savent mais ne disent pas par engagement idéologique sous la bannière socialiste : il n'y a plus de sécurité en France, l'insécurité ne peut que s'aggraver et cela à cause d'une justice pourrie par une ministres qui porte en elle la haine de la France et de deux ministres, celui de l'Intérieur et celui de la Guerre, qui laissent sans moyens ceux de leurs services chargés du maintien de l'ordre, de l'exécution des lois et des opérations extérieures de la France.

     Alors, dans le bras armé de la Nation, l'Armée, et celui de l'État et du gouvernement, la Gendarmerie nationale, la grogne monte. Oublions l'Armée pour l'instant et concentrons-nous sur la Gendarmerie.

     Celle-ci existe depuis 1373, ce qui lui donne plus de 600 ans. Elle fut créée pour réprimer et contrôler les pillards étrangers qui avaient pris leurs aises dans le pays pendant et après la guerre de Cent ans. 
     C'est dire qu'elle a de l'expérience dans le domaine de l'étranger qui vient en France pour s'en mettre plein les poches au préjudice du peuple qui travaille, souffre et paie impôts et taxes pour entretenir la nombreuse caste des dirigeants qui l'exploite.

     En 1798 (loi du 17 avril), ses missions furent précisées : "le maintien de l'ordre et l'exécution des lois". À cela on ajouta par la suite la conscription (recrutement pour le service militaire) et la surveillance de l'Armée, notamment la poursuite des déserteurs. 
     Si bien que, en gros, la Gendarmerie nationale assure dans le pays la police administrative, la police judiciaire et la police militaire.

     Au service de l'État  et chargée d'intervenir quand les souris dansent, la Gendarmerie a souffert pendant des siècles d'une véritable "gendarmophobie", symbolisée par le personnage du gendarme armé de son bâton dans les sketches de Guignol.

     Son obéissance absolue aux gouvernements, au service desquels elle est, n'a pas contribué non plus à la rendre très sympathique. 
     Quel que soit le gouvernement en place, la Gendarmerie obéit à ses ordres.      Pendant la guerre de 1939-45, placée sous l'autorité du gouvernement de Vichy que les socialistes de Blum avaient porté au pouvoir avec le maréchal Pétain, elle lui resta fidèle jusqu'à la fin, mais fut, sans états d'âme, tout autant fidèle au gouvernement suivant, celui du général de Gaulle et des communistes : obéir au gouvernement est sa loi.

     Cette fidélité très forte de la Gendarmerie au gouvernement en place n'empêche pas les gendarmes à titre individuel de penser et d'agir comme leur honneur le leur dicte. 
     Ainsi pendant la guerre de 39-45, beaucoup de gendarmes (entre 20 et 25 %), tout en restant disciplinés dans le cadre de leur service et accomplissant leurs missions d'arrestation des Juifs, de réfractaires au STO et de lutte contre la Résistance, menaient un double-jeu en animant des réseaux de résistants, en leur fournissant des informations, en les prévenant des projets de rafles et d'arrestations.      Environ 400 furent tués par les Allemands, 250 déportés, des centaines reçurent la médaille de la Résistance et 9 furent déclarés "Justes parmi les Nations" pour avoir sauvé des milliers de Juifs.

     En 1981, le premier gouvernement socialiste leur donna une relative autonomie avec une Direction Générale de la Gendarmerie Nationale. 
     La Gendarmerie prit l'aspect qu'on lui connaît avec une Gendarmerie départementale (ceux qui ont des insignes blancs) bien connue dans les campagnes,  la Gendarmerie mobile (les insignes jaunes) bien connue par les services d'ordre qu'elle assure, les battues pour chercher des disparus, le GIGN, etc. et diverses Gendarmeries spécialisées : Air, maritime, Outre-mer, Garde républicaine...

     En 2002, Chirac l'a rattachée au ministère de l'Intérieur pour ce qui concerne la sécurité intérieure et en 2007 Sarkozy l'a rapprochée de la police nationale, son budget étant dès lors pris en charge par le ministère de l'Intérieur.

     Depuis 1964, son image s'est améliorée avec Le gendarme de Saint-Tropez
     Par contre, en 2011, le très communiste Mathieu Kassovitz lui fit jouer un rôle ambigu dans le film L'ordre et la morale, en donnant le rôle du héros au capitaine Philippe Legorjus du GIGN. Dans l'affaire de la grotte d'Ouvéa en Nouvelle-Calédonie, ce dernier se signala surtout en court-circuitant sa hiérarchie et le gouvernement pour tenir heure par heure Mitterrand au courant de l'avancement de l'opération de libération des gendarmes otages, puis en conseillant au président de signer l'ordre d'assaut, en lui disant que si ça tournait mal il suffirait d'en rejeter la faute sur l'Armée.

     Le vrai héros, celui qui négocia avec les preneurs d'otages assassins de gendarmes fut le substitut Bianconi, Legorjus se comporta plutôt en parasite.

     Et voilà que le général Soubelet donne un plus d'honneur au corps auquel il appartient en dénonçant calmement la lourdeur des procédures mises en place récemment par un ministère de la Justice naïf parce que truffé d'idéologues sectaires, qui manifestent ouvertement leur préférence pour les criminels et leur mépris pour les victimes (le Mur des cons). Une lourdeur et une clémence angélique dont les voleurs, violeurs et tueurs de tout poil savent profiter.

     En novembre 2013, dit le général Soubelet, dans les Bouches-du-Rhône, 65 % des cambrioleurs arrêtés par la gendarmerie ont été relâchés aussitôt par la Justice et, convaincus de leur impunité, ont récidivé très vite. En France, le nombre de mis en cause par la Gendarmerie a augmenté de 4 %, mais le nombre de mis sous écrou a diminué de 33 %.

     De plus, c'est ça la justice socialiste, les voleurs de pauvres, ceux qui trouvent moins de 300 euros à voler ne sont plus arrêtés. Ce qui permet au sinistre Valls de prétendre à une baisse de la criminalité, mais, dit Soubelet : 

"Évidemment, l'insécurité et le sentiment d'insécurité ne cesseront d'augmenter tant que la réponse collective à la délinquance ne sera pas adaptée… Les auteurs d'atteintes aux biens (cambriolages, vols...), les plus importantes numériquement, bénéficient d'un traitement pénal qui leur permet de continuer à exercer leurs activités.

     Alors peut-être que la délinquance n'augmente pas beaucoup en valeur absolue, mais il existe bel et bien "une réelle insécurité dans notre pays".

     Dans certains départements, les instructions sont de relâcher les mineurs étrangers sous prétexte que l'on manque de traducteurs. 
     Ceux-ci, Roms, Maghrébins, Africains ou Chinois, le sachant partent sur leurs "coups" sans papiers, se prétendent mineurs et s'ils lâchent trois mots le font dans leur patois clanique ou villageois, certains ainsi de ressortir libres de la gendarmerie.

     Ce langage clair du général, argumenté et sans langue de bois, décrivant la réalité nationale telle qu'elle est a évidemment déplu à Taubira et à Valls qui, n'en doutons pas, le feront un jour payer cher au général.

     Ajoutez à cela les payes qui arrivent mal ou en retard, pas de crédits pour les véhicules, les carburants, les équipements, les munition, dans une Gendarmerie qui est comme l'Armée en quasi cessation de paiement, alors que la gabegie continue et s'amplifie quand il s'agit de subventionner les amis du pouvoir, la presse et les associations qui vont dans le sens des mensonges proférés par le président de la République et son gouvernement.

     On comprend que les gendarmes n'aient plus le moral, d'où une vague de suicides que les communicants des deux ministères concernés minimisent en la trouvant "normale" (*)

     Les gendarmes le savent bien eux : il y a trois millions de pillards potentiels dans les banlieues des grandes villes et des milliers de musulmans salafistes bien armés prêts à lancer le djihad qui reviennent des pays où ils sont allés s'entraîner, comme les 70 qui ont été récemment signalés de retour de Syrie et pour lesquels les ordres ont été de ne rien faire. 
     En Angleterre, ils sont arrêtés, déchus de leur nationalité et expulsés vers leur pays d'origine où ils finissent souvent en prison. 
     Pas en France.

Leurs rappeurs chantent "Les Frères sont armés jusqu'au dents, tous prêts à faire la guerre" (groupe Sniper) et le groupe "113" :
"J'baise votre nation
On remballe et on leur pète leur fion.
Faut pas qu'y ait une bavure ou dans la ville ça va péter
Du commissaire au stagiaire: tous détestés !
A la moindre occasion, dès qu' tu l' peux, faut les baiser.
Bats les couilles des porcs qui représentent l'ordre en France.
"
Les porcs ? Les gendarmes.

Extrait de la chanson "Flirt avec le meurtre" de Ministère amer
"J'aimerais voir brûler Panam au napalm
Sous les flammes façon Vietnam
Tandis que ceux de ton espèce galopent
24 heures par jour et 7 jours par semaine
J'ai envie de dégainer sur des faces de craie
".

Appels à la violence raciale, insultes raciales, que font SOS Racisme, la LICRA et autres associations pompeuses de subventions et délatrices à sens unique ?
Que font Valls et Taubira ? Rien, ils détournent l'attention sur Dieudonné.

Extrait de la chanson "meurtre légal" du groupe Smala
"Quand le maquereau prend le micro,
C'est pour niquer la France,
Guerre raciale, guerre fatale
Oeil  pour œil, dent pour dent,
Organisation radicale,
Par tous les moyens il faut leur niquer leurs mères
Gouer
(Français) c'est toi qui perds.
Flippe pour ta femme, tes enfants, pour ta race.
On s'est installé ici, c'est vous qu'on va mettre dehors
"
Sympa, non ?

Extrait de la chanson "Temps mort" du groupe Lunatic :
"Vote pour emmener les porcs à la morgue,
Eh négro ! C'est l'heure d' manger,
Brûler leur sperme en échantillons, souder leurs chattes,
J'suis pas le bienvenu, mais j'suis là,
J'suis venu manger et chier là.
Quand j'vois la France les jambes écartées
J' l'encule sans huile.
"

     Une expression artistique délicate et raffinée qu'admirent beaucoup Jack Lang et Christiane Taubira qui placent ces poèmes au niveau de ceux de Lamartine et de Verlaine. 
     Ils seront pourtant les premiers à être pendus, disent ces charmants rappeurs, quand les "cailleras" débouleront des cités "armés jusqu'aux dents" affirme le groupe Sniper qui ajoute dans sa chanson "La France" :

"…mission exterminer les ministres et les fachos…
Voir bientôt à l'Élysée des arabes et des noirs au pouvoir.
Faut que ça pète ! Frère, je lance un appel, on est là pour tous les niquer
".

     Ils sont directement visés les ministres, mais ils ne réagissent pas, laissent dire en attendant de laisser faire. Alors Sniper, sûr de son impunité en rajoute :

"…Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever.
Faut leur en faire baver la seule chose qu'ils ont méritée
."

Insultée, blessée, privée de moyens d'agir, la Gendarmerie grogne. Mais relève-t-elle la tête ?

S'il faut agir contre les racailles venues pendre les ministres, elle agira n'en doutons pas, mais s'il faut agir contre les ministres, même s'ils la méprisent et la privent de moyens ? On peut en douter, elle est tellement légaliste !

La parole du général Soubelet n'en a que plus de poids.



3 commentaires:

  1. Qui parle de démocratie ?...Dans la mesure où le gouvernement est entièrement socialiste, nous sommes dans une dictature gérer par des repris de justice !..Bien sur ils laissent des rappeurs insulter les Français et leur pays alors que ceux-ci se nourrissent de notre laxisme et du soutien de Mme Taubira qui rappelons fut une extrémiste raciste contre la France !... Ha il est beau notre pays dirigé par manu qui se prend la tête avec dieudonne, et françois qui se prend la queue avec julie.
    Une France qui n'a ni queue ni tête.
    @

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  2. Bonjour @ vous venez de dire exactement ce que je pense. Il n'y a rien à ajouter sinon que nous sommes tous écœurés de ce gouvernement d'incompétents et de brigands dont les acolytes sont les ministres, les députés, les sénateurs, les journalistes et même certains évêques.
    L'Indien en colère.

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  3. Enfin un homme d'honneur. La GRANDE MUETTE a enfin parlé. Nous attendions cela depuis longtemps. Puisse t'il faire bouger les choses et remuer les Français.
    Il a déjà eu le courage de parler. Nous espérons que cela ne lui portera pas préjudice.
    Paul BRELOCQ

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