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vendredi 24 janvier 2014

HOLLANDE-TRIERWEILER - DE RÉVÉLATION EN DÉMENTI


    Comme cela semble facile pour tous les protagonistes de cette affaire qui s est révélée au grand jour et qui depuis fait grand bruit.

    UNE INFO APPARAÎT dans des journaux, dans les magasines, certains savent tout, d autres rien, mais chacun y va de la sienne. Réalité, Ragots On ment, On dément, les lecteurs ne comprennent plus rien, ni à quel saint se vouer. 

     Une chose est toujours sure :

     IL N Y A PAS DE FUMÉE SANS FEU et au  niveau où elle se situe, ce n est plus de la fumée mais c est un INCENDIE

      HOLLANDE VA PEUT ETRE SE CONFESSER AU PAPE - 

      IL A TANT DE PÊCHERS SUR LA CONSCIENCE QU IL VA ETRE OBLIGER D Y RESTER QUELQUES JOURS BIEN QU ON A DU LUI PRÉPARER LA LISTE POUR QU IL N EN OUBLIE PAS.


     Le peuple Français, la presse étrangère, tous montrent bien que Notre Président détient non seulement un très haut pourcentage d impopularité, un très haut pourcentage d incompétence et de mensonge, il va aussi détenir  celui d être la RISÉE du monde entier.

     MISE A JOUR: 20:47 

     Valérie Trierweiler a démenti les propos tenus par son avocate dans le Figaro. L'avocate aurait "parlé sans savoir, sans être mandatée et n'est plus mon conseil, aurait déclaré la première dame.
François Hollande et Valérie Trierweiler réfléchissent, ils progressent, en vue d’une “clarification” et de s’en sortir “par le haut”. 

     C’est ce que l’on apprend ce soir sur le Figaro.fr, site qu’a choisi l’avocate de la première dame pour s’exprimer.

     “Imaginer qu'elle puisse vouloir instrumentaliser sa détresse est totalement contraire à sa personnalité”. L’avocate de Valérie Trierweiler, Me Frédérique Giffard est formelle: sa cliente n’a en aucun cas l’intention de nuire à François Hollande, ni de faire quoi que ce soit qui puisse “ternir son quinquennat”

     C’est ce qu’elle déclare en tout cas au Figaro.fr, alors que le couple travaille à la “clarification” tant attendue et souhaite se sortir de l’affaire “par le haut” -l’expression est, selon le quotidien, employée par plusieurs proches de la première dame.

     Toujours “sous le choc” après les révélations de Closer selon lesquelles son compagnon François Hollande,entretiendrait une relation avec l’actrice Julie Gayet, Valérie Trierweiler ne s'est pas exprimée depuis son tweet de remerciement à tous ses soutiens.

     Est-il question d’officialiser une séparation? 

«Le président de la République et ma cliente réfléchissent. La décision n'appartient qu'à eux. Il est très difficile pour Valérie Trierweiler d'être sereine face à cette pression médiatique et politique. 

     Mais elle est consciente qu'une clarification s'impose», indique au Figaro l'avocate de Valérie Trierweiler, Me Frédérique Giffard, qui n'entend pas franchir les limites du secret professionnel
     Mais selon elle, sa cliente serait “en train d’organiser sa vie d’après, de trouver un endroit où habiter sans être perturbée par les paparazzis et de reconstruire un avenir professionnel". 
     L’avocate explique que Valérie Trierweiler se soucie de sa situation matérielle, puisqu’elle a renoncé à animer son émission sur Direct 8 et n’aurait “plus que son salaire Paris Match, où elle a conservé une chronique culturelle”.

     L’entourage de la journaliste la décrit comme une femme qui «ne joue pas la comédie, pas plus qu'elle ne se livre à un quelconque chantage».


     Rappelons que Valérie Trierweiler a passé plus d'une semaine à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière, pour se reposer après un "coup de blues" lié au "Gayetgate". 

     La mise au point de son avocate, ce jeudi soir, sont sans doute liées aux dernières rumeurs sur sa prétendue crise de nerfs, et à la sortie d'un nouveau numéro de Closer qui soutient qu'elle "serait prête à pardonner l'homme qui a partagé sa vie pendant 10 ans"...

                                          Dernière minute Trierweiler : la pestiférée de l'Elysé


     L'affaire Julie Gayet a révélé une réelle défiance contre la Première dame au sein même de l'Elysée où les conseillers du président souhaiteraient son départ.

                                           [Mis à jour le jeudi 23 janvier 2014 à 14h53] 

     Le sort de Valérie Trierweiler obsède de nombreux esprits, dans l'opinion, mais aussi dans les coulisses du pouvoir où d'aucuns voient dans l'affaire Julie Gayet une occasion de se débarrasser enfin d'une Première dame encombrante. 

     Selon Closer, à l'origine du scoop, plusieurs conseillers à l'Elysée, et même des très proches de François Hollande, seraient favorables à la mise à l'écart de Valérie Trierweiler, quand ce n'est pas au placard. Pour beaucoup, le problème est d'abord politique : 

     Valérie Trierweiler "plombe" l'image présidentielle depuis mai 2012. L'affaire du tweet et le caractère bien trempé de la Première dame ne seraient pas passés dans l'opinion.

     Valérie Trierweiler, qui n'est pas mariée à François Hollande et bénéficie de moyens à l'Elysée, hérisse le poil de ceux qui sont attachés à la tradition du mariage et considèrent que la "concubine" du président ne doit pas profiter des moyens de l'Etat. 

     Dans les commentaires parfois virulents qui circulent sur Internet, on estime que le mot de "Première dame" est usurpé (bien qu'il ne corresponde à aucun statut officiel), que Valérie Trierweiler a reçu une "leçon" avec l'affaire Gayet, ou encore qu'elle n'a désormais aucun droit de se reposer à la Lanterne, résidence présidentielle, après son hospitalisation.

                                     Valérie Trierweiler : Persona non grata à l'Elysée ?

     Selon Closer, les "murs tremblent" jusqu'à l'Elysée. Le magazine people, qui reprend Europe 1, affirme qu'un "ami" de François Hollande aurait même lancé : 

     "Si elle revient, j'arrête tout". De nombreux proches du président seraient en effet opposés à un come-back. Celui-ci obligerait François Hollande à faire acte de repentance et serait de nouveau désastreux en termes d'images selon eux. Pire : 

     certains, échaudés sans doute d'avoir été houspillés ou écartés par l'influente et explosive Première dame à l'Elysée, pourraient y voir un motif de vengeance. 

     Les ennemis de Valérie Trierweiler ont-ils fait part de leurs états d'âme à François Hollande lui-même ? Nul ne le sait, mais la stratégie de "sortie de crise" doit occuper les esprits. Alors que Valérie Trierweiler semble s'accrocher à sa position de Première dame, François Hollande a promis qu'il clarifierait sa situation personnelle avant son voyage aux Etats-Unis, le 11 février.

                         Valérie Trierweiler et le saccage de l'Elysée, une rumeur infondée 

     Et comme si ces chuchotements ne suffisaient pas, une rumeur a été lancée sur le Web le 20 janvier en marge du scandale Julie Gayet : 

un document anonyme posté en ligne avançait que Valérie Trierweiler avait vandalisé l'Elysée au moment où François Hollande lui avait annoncé sa liaison, juste avant la publication des photos dans Closer. 

     Des vases de Sèvres et des objets d'art auraient été jetés à terre lors de la scène de ménage, pour un coût total de 3 millions d'euros. 

     Deux jours après, le Mobilier national a démenti "catégoriquement" : la rumeur, dégradante pour l'image de la Première dame, était infondée. 

     Nouvelle preuve de l'hostilité que suscite Valérie Trierweiler. Le Monde, qui a enquêté sur la propagation de cette histoire inventée, écrit que la rumeur a circulé par des réseaux militants, notamment sur un blog d'un ancien militant du RPR.

                                               Des soutiens timides pour Valérie Trierweiler

     Les soutiens de la Première dame existent quant à eux. Dans les premières heures de l'affaire, des proches de Valérie Trierweiler se sont d'abord indignés du traitement médiatique infligé à la compagne du chef de l'Etat. 

     Un traitement qui ne serait pas étranger à l'hospitalisation de Valérie Trierweiler. Son fils Léonard Trierweiler, 16 ans, s'est aussi fendu de plusieurs messages sur Twitter pour supporter sa maman. 

     Plus récemment, Bernadette Chirac a affirmé au micro d'Europe 1 qu'elle avait écrit à Valérie Trierweiler pour lui témoigner de sa solidarité. 

     Dans une interview, la journaliste Audrey Pulvar, ancienne compagne du ministre Arnaud Montebourg, a également affirmé que la révélation de la liaison avait dû être un "choc" pour Valérie Trierweiler.

     Dans les rangs du PS en revanche, bien peu ont osé, pour l'instant, afficher trop de sollicitude. Une façon d'éviter d'aborder un sujet trop "people" et en même temps de ne pas insulter l'avenir.

EN VIDÉO - Le tweet de soutien à Olivier Falorni, rival de Ségolène Royal lors des législatives 2012, a enclenché une spirale infernale pour Valérie Trierweiler.

1 commentaire:

  1. 24/01/2014 à 15 heures, je ne dis rien, à 15 h05 il y aura du changement, comme "elle va se rendre en Inde".
    @

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