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vendredi 21 mars 2014

LA LIBERTÉ EST ELLE SOCIALISTE ???

         

           LA LIBERTÉ N'EST PAS SOCIALISTE


     Chacun pensera ce qu il veut. En ce qui me concerne je trouve que les socialistes ont une façon très spéciale d appliquer les règles de la Liberté. Inutile de citer à nouveau leur nom, il suffit de les regarder à la télévision, d écouter les informations pour s en apercevoir.

      Il n y a pas que les diesels, les usines, et les feux de cheminées qui polluent. Toute la classe politique  pollue la France et les Français, rendant l air irrespirable, et l arrivée du socialisme, comme sous la présidence de MITTERRAND n a pas arrangé les choses.

     Non seulement ils ne connaissent pas le mot liberté, sauf du côté de Mme TAUBIRA pour les taulards, mais en plus ils brillent par leur incompétence, leur incapacité à prendre les bonnes décisions  et pour couronner le tout, ils mentent tous effrontément sans aucune honte. Le comble c est qu ils sont contents d eux, à croire qu ils ont de la merde dans les yeux.

    Et avec toutes nos incertitudes sur l avenir, il faudra encore voter ... Pour qui ???? de nombreux Français se posent la question.

     


 
   L'Humanité
est soutenue financièrement à bout de bras par l'Etat. Libération est en faillite et disparaîtra si aucun repreneur ne se manifeste. Les patrons du Nouvel Observateur, dont Laurent Mouchard-Joffrin, viennent de démissionner. Le Canard enchaîné perd des lecteurs, et Marianne est à l'agonie.

     C'est la Bérézina dans la presse de gauche ! Le Point a été le premier à comprendre qu'il y avait une place à prendre et son mentor, Franz-Olivier Gisbert, devenu nous dit-on grand ami de Hollande, est maintenant l'agresseur principal de la droite et du seul homme que la gauche craint vraiment : SARKOZY. 
     Marine Le Pen, qui a adopté les thèses économiques et sociales de Mélenchon, mais reste très à droite par son nationalisme et son patriotisme, est plutôt considérée par le PS comme une alliée objective, le rêve de Hollande étant qu'elle arrive avec lui au second tour de la présidentielle en 2017 où il lui suffira alors de faire appel à un "front républicain" utopique pour la faire battre et triompher. C'est du moins ce dont il est convaincu.

     La presse de gauche paie son acharnement à défendre ce qu'elle croyait être des valeurs universelles et qui ne sont que celles d'une idéologie révolue. 
     Depuis la chute du mur de Berlin, la conversion de la Russie, de la Chine, du Vietnam et de Cuba à l'économie de marché voire au capitalisme le plus ultra, ils auraient dû se douter que s'accrocher à l'idéologie socialiste agonisante à l'échelle mondiale (voir ce qui se passe au Vénézuéla), n'avait pas d'avenir. 
     Et qu'une presse de gauche, soutenue par des banques et des milliardaires - Rothschild, Lazard, Pierre Bergé, Alain Niel et Mathieu Pigasse - serait tôt ou tard rattrapée par les problèmes financiers et la désaffection de ses lecteurs.

     Le plus grave est que ces équipes de journalistes, parfois brillants mais formatés au marxisme  dans les écoles de journalisme et Sciences Po, n'ont pas compris ce que le peuple français a fini par comprendre : pas d'avenir dans le socialisme sinon dans la misère et l'oppression par la privation progressive des libertés. 
     Il n'y a pas d'excuse à cela mais une explication : chouchoutés par le pouvoir ils se sont éloignés des préoccupations des gens ordinaires, normaux, des "petites gens" comme ils disent, accusant systématiquement de "populisme" les politiques et les rares journalistes qui se préoccupent des desiderata du peuple.

     Ils ont oublié, s'ils l'ont jamais su, le sens du mot "république". La "république", la Res publica , c'est étymologiquement et littéralement "la chose du peuple" et, dans une traduction plus affinée, une forme de gouvernement où le pouvoir n'est pas exercé par un seul homme ou un seul parti mais par des représentants élus par le peuple pour traduire la volonté du peuple en actes politiques. 
     Accuser qui que ce soit de "populisme", c'est-à-dire lui reprocher de parler en faveur du peuple, serait par définition un acte antirépublicain. Mais ceux qui sont accusés de populisme devraient en être fiers, car ce sont eux les vrais porte-parole du peuple, donc les seuls authentiques républicains. 
     Il n'y a d'ailleurs eu que Maurras, que la plupart des hommes politiques connaissent comme l'incarnation du mal mais citent sans jamais l'avoir lu, pour affirmer : "Qu'est-ce que la République ? Les partis ou rien".

     Croire que la France est en république quand seuls les partis la dirigent, et à plus forte raison quand un seul parti détient tout le pouvoir, est donc la négation de la république et de la démocratie, autre mot qui signifie que la souveraineté et la légitimité ne sont détenues que par le peuple et pas par un parti ou à plus forte raison un homme seul.

     Le général de Gaulle a voulu restaurer la République et la Démocratie en instaurant un président élu directement par le peuple "au suffrage universel", qui devait équilibrer par le grand pouvoir que lui confère la Constitution le poids nocif des partis qui ne sont jamais que des conglomérats d'intérêts politiques et financiers. Un homme intègre, "au-dessus des partis" et s'efforçant de protéger et de traduire les aspirations profondes du peuple pour orienter l'action nécessaire des partis et de leurs élus politiques dans un sens conforme à la volonté populaire. Lui le fut. 
     Ses successeurs immédiats plus ou moins. Mitterrand prétendit l'être et l'on peut considérer qu'après la folle période du socialisme délirant des gouvernements Mauroy et Fabius (Bérégovoy déjà moins mais il l'a payé de sa vie) la cohabitation fut sa manière de respecter les institutions de la Vème République gaullienne. 
     Chirac fut l'incarnation de l'Etat de droite, mais sa tendance profondément radical-socialiste tempérait les choses. Sarkozy revint vers la démocratie républicaine avec son "ouverture" qui voulait associer la gauche au gouvernement de droite sorti des élections. On peut le critiquer, je suis le premier à le faire, mais l'intention était incontestablement gaullienne. 
     À gauche, quelques-uns comme Claude Allègre et Fadela Amara comprirent la sincérité de la démarche. D'autres comme Kouchner, Besson, Jouyet, Bockel, acceptèrent plus ou moins honnêtement les règles du jeu. Il n'y eut guère que Martin Hirsh pour trahir la démarche républicaine de Sarkozy dès le début.

     Hollande est arrivé au pouvoir porté par une "primaire" qui en a fait le héros du PS. La primaire est une forme de démocratie partisane qui est l'antithèse de la démocratie vraie puisqu'elle aboutit toujours à faire désigner celui qui sera le moins nocif pour la carrière politique future des autres têtes des listes internes au parti. 
     Donc, de fait, le plus mauvais des candidats. Mais porté par tout l'appareil et le poids politique et financier du parti, il a de fortes chances d'être élu quand même - ce qui fut le cas de Hollande - avec une contrepartie : distribuer tous les postes au personnel du parti, les plus juteux allant à ses amis ou alliés.

     Nous avons donc un pouvoir détenu par un seul homme et son parti, exactement dans le cadre de l'idéologie politique maurassienne : la République c'est un parti ou rien. 
     Autant dire que depuis la prise du pouvoir par les socialistes, nous ne sommes plus en République, "pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple" (Constitution).



     Les politiques socialistes ne se gênent pas pour présenter, chaque fois que l'occasion leur en est donnée, un bilan élogieux de leurs vingt-deux mois de pouvoir. 
     Leur dithyrambique autosatisfaction ne résiste pas à une analyse comparative avec le long catalogue à la Prévert des promesses de début 2012 du président en campagne. 
     C'en est au point que l'on peut parler de faillite généralisée de leur programme. À les écouter à l'époque, en quelques semaines la France allait retrouver avec eux au pouvoir la prospérité du Luxembourg, la sécurité de la Suisse, l'énergie et les performances de l'Allemagne, la joie de vivre de l'Italie...        On est loin de tout ça...

     Tout juste arrivés au pouvoir en mai 2012, leur premier souci a été de défaire toutes les réformes que Sarkozy et ses gouvernements d'ouverture avaient commencé à mettre en place. 
     Le fragile et sans doute insuffisant effort de reconstruction de notre économie, mise à mal en 2008 par la crise mondiale provoquée par les amis trilatéralistes, bilderbergers et maçons de Hollande et Valls, vola en éclats. 
     Et la France commença à plonger pour en arriver au point où elle en est aujourd'hui : "mise sous surveillance renforcée" par l'Europe. 
     Une humiliation que les socialistes tentent de dissimuler et de minimiser en attirant l'attention des Français sur les turpitudes fantasmées de l'UMP et de l'ancien président, en attendant - une fois l'UMP et Sarkozy neutralisés -, de s'occuper du FN.

     La seule chose qu'ils ont réussie, c'est de faire passer en force des mesures sociétales régressives accompagnées d'un système de coercition médiatique et politique qui n'a qu'un objectif : assurer leur maintien au pouvoir qui leur procure puissance, richesse personnelle et impunité en les plaçant au-dessus des lois. 
     Ils nous volent par leurs impôts, nous mentent sans vergogne, nous imposent des transformations sociétales dont nous ne voulons pas, réduisent la France à un champ clos socialiste ou les immigrants jouent le rôle des supplétifs chargés de terroriser les Français par leur nombre et leur agressivité islamique pour qu'ils restent dociles à la doxa socialiste.

     Nous sommes entrés en douce en dictature.

     Les 60 engagements, les 170 et quelques promesses de Hollande en témoignent : Aucun et aucune n'a de rapport avec la liberté, pourtant en tête des trois valeurs fondamentales de la République. 
     L'égalité est mentionnée, notamment dans l'engagement n° 25 sur l'égalité des carrières et des traitements entre hommes et femmes, implicitement dans d'autres promesses, de même que la fraternité, nous y reviendrons.

     Mais rien sur la liberté. Curieux, non ?







5 commentaires:

  1. Les Italiens ont tout compris : le nouveau président du conseil, Matteo Renzi, a décidé de prendre des mesures draconiennes pour sauver son pays, c'est à dire une baisse de 1000 euros sur les impôts des ménages et des entreprises pour relancer l'économie et la suppression du Sénat qui ne sert à rien et coûte de l'argent au pays.
    A quand le tour de la France ?
    L'Indien.

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  2. "Personne n'est plus en esclavage que celui qui croit à tort qu'il est libre." disait Goethe.
    Terminator,alias Mollard Premier,ne fait qu'appliquer les mesures qui avaient été semées par ses collègues de la Droite auparavant!!
    Voilà pourquoi la Droite ne conteste que mollement la dictature de Hollande!!!
    Encore une fois,mes amis,de "Res Publica" nous sommes devenus,nous le Peuple,des "Rei Publici" c'est à dire des choses publiques,choses qui payent uniquement.
    Adieu, les libertés d'expression de pensée,bienvenue en Enfer de la pensée unique et de la dictature mondiale!!!
    "un pour tous,tous pourris.",menteurs ,avides,méprisants envers nous,mais c'est peut être leur arrogance et leur certitude d'avoir gagné qui les perdra!!!
    Fleur de lys.

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  3. La vérité est que le Français ne croit plus trop en cette liberté qu elle avait connu, même si dans d autres pays c est pire. Nous n étions pas habitués à cela
    Nos politiques pourrissent tout. J ose espérer qu ils connaîtront le vote sanction qu ils méritent.

    Maurice SEPERS

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  4. Vous avez raison Maurice et vous aussi l Indien et Fleur de Lys. Tout cela devient insupportable. J espère aussi ce vote sanction, la problématique réside de savoir avec qui nous seront mieux et surtout compris.

    Simon LAVILLE

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  5. oui il faut une énorme sanction, afin qu ils comprennent et tiennent enfin compte de la situation dans laquelle ils nous plongent.

    La Normande

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