HONTE A TOUS LES LÂCHES, oui je dis bien TOUS LES LÂCHES, qui ont assistés au spectacle
sans lever le petit doigt, pour aider cette jeune femme,
HONTE que le nombre de personnes présentes a eu peur d un jeune de 19 ans.
C est peut être la couleur de sa peau ou plutôt son origine
qui a du vous faire peur. N ayons pas peur des mots c est la
peur de se battre avec un maghrébin, peur de l érafler, de
l égratigner et être condamné à 20 ans de réclusion.
De quoi parler mes divers articles ces jours ci, ne parlaient
ils pas du racisme ? Que nous faut il de plus pour le devenir.
ET ENFIN HONTE A CETTE JUSTICE, pour cette
condamnation dérisoire qui permettra sans aucun doute à son
auteur de n avoir aucune crainte pour commettre d autres viols.
La peur des représailles est bien souvent une excuse que l
on a même pas le droit d évoquer dans de telles situations.
Je n ose même pas souhaiter à tous ces lâches, ou au juge
prononçant cette peine qu un tel crime soit commis sur la
personne de leurs enfants.
J AI HONTE D APPRENDRE UNE TELLE
INFORMATION A LA TÉLÉVISION
HONTE DE RESPIRER
CETTE ODEUR DE LÂCHETÉ
La Tourquennoise victime de l’agression sexuelle dans le métro lillois témoigne:
«Personne ne m’a aidée!»
Julie (prénom modifié), une Tourquennoise de 29 ans, est la victime de l’agression sexuelle de mardi soir dans le métro à Lille. Traumatisée par ce qui lui est arrivé, elle est aussi scandalisée par l’attitude des usagers présents qui n’ont rien fait pour la secourir.
Dans les couloirs du palais de justice de Lille, ce jeudi après-midi, Julie attend le résultat du jugement de son agresseur. Elle sanglote, encore sous le choc de ce qui lui est arrivé mardi soir.
Vers 23 h, elle prend le métro à Lille, après une visite chez des proches, afin de rentrer à son domicile tourquennois. Dès son entrée dans la station CHR Calmette, un homme la prend à partie :
« Il est venu directement vers moi avec une bouteille de vodka à la main. Il sentait l’alcool. Il a commencé à me bloquer et à me toucher à plusieurs reprises. J’ai essayé de le calmer, en lui disant que je suis mère de quatre enfants. Il n’a rien voulu savoir. Il me disait que j’étais une belle fille, une pute et qu’il allait appeler son cousin pour me violer. »
Il l’embrasse aussi de force.
La jeune femme arrive sur le quai. L’agression se poursuit, elle y fait face avec tempérament.
« J’étais insultée, je le repoussais. »
Vers 23 h, elle prend le métro à Lille, après une visite chez des proches, afin de rentrer à son domicile tourquennois. Dès son entrée dans la station CHR Calmette, un homme la prend à partie :
« Il est venu directement vers moi avec une bouteille de vodka à la main. Il sentait l’alcool. Il a commencé à me bloquer et à me toucher à plusieurs reprises. J’ai essayé de le calmer, en lui disant que je suis mère de quatre enfants. Il n’a rien voulu savoir. Il me disait que j’étais une belle fille, une pute et qu’il allait appeler son cousin pour me violer. »
Il l’embrasse aussi de force.
La jeune femme arrive sur le quai. L’agression se poursuit, elle y fait face avec tempérament.
« J’étais insultée, je le repoussais. »
« Je ne demandais que ça, qu’on me donne un coup de main… »
« Il y avait environ dix personnes. Je criais au secours, aucune ne m’a aidée. Je me suis défendue toute seule. Les gens se sont écartés. Ils avaient sans doute peur, comme moi. Je me suis mis à côté d’un monsieur, il n’a rien fait. C’est malheureux et anormal ! Je suis une femme. On est fragiles. Les gens auraient dû me défendre ! Je ne demandais que ça, qu’on me donne un coup de main… »
Et quand Julie monte dans la rame suivie par son agresseur, les voyageurs préfèrent prendre celle juste derrière.
« Je me suis retrouvée toute seule avec lui. »
Les invectives continuent, les caresses aussi. La Tourquennoise s’échappe à la station suivante, CHR Oscar Lambret. Elle est poursuivie.
« Il essayait de me bloquer. Il m’a aussi craché dessus et mis des claques. »
Julie parvient à quitter la station. En tout, son calvaire dans le métro aura duré une « vingtaine de minutes ». Mais une fois dehors, ce n’est pas fini.
« J’ai essayé d’arrêter des voitures qui arrivaient à contresens. Un automobiliste m’a finalement secourue. »
L’agresseur est toujours là. Deux agents de sécurité du CHR arrivent à la rescousse et l’interpellent. Julie est traumatisée :
« J’ai encore l’image de son visage et le son de sa voix dans la tête… Mais je continuerai à prendre le métro. Je suis forte mentalement et je n’ai pas le choix car je n’ai pas de voiture. J’espère qu’aucune autre femme ne subira la même chose… »
« J’ai essayé d’arrêter des voitures qui arrivaient à contresens. Un automobiliste m’a finalement secourue. »
L’agresseur est toujours là. Deux agents de sécurité du CHR arrivent à la rescousse et l’interpellent. Julie est traumatisée :
« J’ai encore l’image de son visage et le son de sa voix dans la tête… Mais je continuerai à prendre le métro. Je suis forte mentalement et je n’ai pas le choix car je n’ai pas de voiture. J’espère qu’aucune autre femme ne subira la même chose… »
Dix-huit mois de prison ferme pour l'auteur de l'agression sexuelle dans le métro à Lille
Abdelnour Benaicha, oui tel est son nom
19 ans, a été condamné à dix-huit mois de prison ferme avec mandat de dépôt, ce jeudi après-midi. Mardi, il avait agressé sexuellement une jeune femme dans le métro lillois. Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du procureur, qui réclamait dix mois de prison.
19 ans, a été condamné à dix-huit mois de prison ferme avec mandat de dépôt, ce jeudi après-midi. Mardi, il avait agressé sexuellement une jeune femme dans le métro lillois. Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du procureur, qui réclamait dix mois de prison.
À l’audience, le ministère public s’est également indigné de l’absence de réaction des autres passagers du métro :
« Cette société m’inquiète. C’est vraiment chacun pour soi, même dans les moments difficiles. »
« Cette société m’inquiète. C’est vraiment chacun pour soi, même dans les moments difficiles. »
Un calvaire
Mardi soir, pendant environ une demi-heure, la victime, âgée de 30 ans, avait vécu un véritable calvaire, dans le métro, puis en dehors.
Tout commence vers 22 h 30. Elle est abordée et ennuyée par Abdelnour Benaicha en entrant dans la station de métro CHR B Calmette. L’agression se poursuit sur le quai, où il l’insulte, tente de l’embrasser malgré son opposition. Plusieurs autres usagers étaient présents, mais personne n’est intervenu :
« Sur les caméras, on voit l’attitude du public qui s’éloigne et ne porte pas secours. C’est de la non-assistance à personne en danger. Si quelqu’un avait au moins appelé la police, celle-ci aurait pu intervenir aussitôt », confiait un proche du dossier mercredi.
« Sur les caméras, on voit l’attitude du public qui s’éloigne et ne porte pas secours. C’est de la non-assistance à personne en danger. Si quelqu’un avait au moins appelé la police, celle-ci aurait pu intervenir aussitôt », confiait un proche du dossier mercredi.
Un automobiliste s’arrête
Résultat, la jeune femme se retrouve bien isolée dans la rame où Abdelnour Benaicha la suit. Il menace de la frapper avec une bouteille de vodka, la bloque physiquement à plusieurs reprises, lui touche la poitrine et les fesses.
Paniquée, elle finit par sortir du métro à la station CHR Oscar-Lambret. L’agresseur continue de la poursuivre.
Une fois dehors, la malheureuse tente d’arrêter des voitures sur la route. Un automobiliste s’arrête et elle s’engouffre à l’arrière de son véhicule.
Sauf que le malfaiteur arrive à son tour, se bat avec le conducteur et parvient à extraire la jeune femme de la voiture.
Ce sont des vigiles du CHR qui sont intervenus et ont interpellé l’agresseur.
Une fois dehors, la malheureuse tente d’arrêter des voitures sur la route. Un automobiliste s’arrête et elle s’engouffre à l’arrière de son véhicule.
Sauf que le malfaiteur arrive à son tour, se bat avec le conducteur et parvient à extraire la jeune femme de la voiture.
Ce sont des vigiles du CHR qui sont intervenus et ont interpellé l’agresseur.
Comme vous j ai honte BBR, cela ne semble même pas imaginable. Et toutes ces personnes qui ont assisté à la scène sans bouger, vont pouvoir dormir la conscience tranquille, ne vont ils pas être hantés par le remord. De tels agissements sont pratiques de plus en plus courantes. Tout le monde se fou de tout, tout le monde se fou des autres et ne pense plus qu a lui. A son portable, sa tablette, et ses SMS. Ils regardent bêtement la scène comme si elle était normale, comme si c était un film, à part que l actrice ne jouait pas, elle subissait les assauts d un arabe de 19 ans. Avec Moi il n y aurait pas eu de Justice, je lui aurais coupé la queue et les couilles, puis ses deux mains avec une hache pour qu il souffre autant qu il a fait souffrir. CONNARD à lui, Honte à tous les autres. J en ai les larmes aux yeux pour cette femme que je ne connais même pas.
RépondreSupprimerEt en plus notre Justice pourrie, sans aucune honte condamne l auteur à 18 mois de prison, il a du rire, avec un bonne conduite il pourra ne faire que 10 mois , pour peut que la taubira aille le câliner dans 1 mois il est dehors. BRAVO LA JUSTICE.
La Normande
J ai entendu cette info ce matin, j en avais aussi les larmes aux yeux, c est atroce, le viol, les témoins qui regardent sans bouger, la justice laxiste envers ce genre d individus. J ai honte pour eux. Qu aurait pu faire ce pourri si plusieurs personnes étaient allées l interpeller ? Rien, il se serait enfui, et rien ne se serait passé. Il aurait été identifié et interpellé plus tard. Mais la victime n aurait pas été violée.
SupprimerJe suis entièrement d accord avec vous la Normande pour que les viols soient punis à votre façon. Il y en aurait surement moins comme je suis aussi pour la peine de mort.
Olivier TREQUEL
Les mots me manquent pour qualifier l attitude de toutes ces personnes qui ont assistés sans bouger, LÂCHES oui c est sur, mais je voudrais en crier pleins d autres TELLEMENT J AI LA HAINE, envers les lâches et envers la Justice que nous avons. Avec ma famille nous sommes terriblement choqués.
SupprimerAndré BERGERAC
Effectivement La Normande, comment vont ils pouvoir dormir tranquille. Quelles excuses vont ils pouvoir invoquer ? Ha oui le mot terrible REPRÉSAILLES. Je crois que BBR a raison, ils ont eu peur de lui faire mal et être condamnés pour avoir sauvé une jeune femme mère de 4 enfants. Je suis écœuré. Quant à tout lui couper je suis favorable.
SupprimerMaurice SEPERS
Je suis aussi écœuré de ce que je viens de lire, et de ce je m en foutisme général
Supprimerdans lequel nous vivons. Comment en sommes nous arriver là ? Bien des questions se posent ? Mais trop resteront sans réponse. Pauvre femme, triplement punie, punie par le Moujoud , punie par ces témoins et punie par la justice. QUELLE HONTE - Vous avez raison La Normande , il faut tout couper.
Simon LAVILLE
Comme vous avez raison la Normande. Il n y a plus aucun sens du civisme, il n y a plus de morale. A lire cet article, comme tant d autres événements du même genre, on dirait que tous ces mots ne veulent plus rien dire. BBR nous a mis des articles récents sur le racisme. Oui il va bien exploser. Oui le FN va monter en flèche et ça sera très bien, puisse t il nettoyer tout ça et rendre une France propre.
SupprimerJean BOUVARD
La question c'est réagir ou laisser faire. La question c'est vivre une éternité comme un lâche ou un jour en homme. La question c'est avoir des coui... ou pas. Point barre. Et, tous ceux qui trouvent des excuses aux témoins me dégoûtent et m'horrifient.
RépondreSupprimerIl m’est souvent, même très souvent arrivé d’avoir peur dans ma vie. D’avoir peur pour moi, et pour mes proches. La peur est un sentiment respectable. Seuls les irresponsables, n’ont pas peur.
Mais dans le cas présent, nous avons la lâcheté dans toute son horreur. Je suis certain que les témoins de ce drame, ne réagiront pas plus le jour où ils se feront agresser ou que leur femme ou enfants se feront agresser devant eux. « Fermons les yeux, demain sera un autre jour ».
Et comme vous le dites BBR, réagir devant un melon ! ! ! ! Et je pense que là est notre drame. Pour preuve, 18 mois de prison.
Je plains les femmes de notre société qui se savent entourées par des lâches égoïstes. Personne n’a réagi malgré les portables. Je n’ai jamais su confier à d’autres personnes, mes responsabilités c’est une des raisons laquelle j’aurais agi ou réagi.
La victime continue à prendre le métro. Bravo. Votre courage est exemplaire et doit renforcer la honte et la culpabilité de ceux qui ont été les complices de ce misérable.
Je n’ai pas de leçon à donner, mais beaucoup de Français ont des leçons à prendre.
@
Nous vivons une époque où les slogans ont donné le ton :
RépondreSupprimerAprès mai 68 nous avons eu droit à "Il est interdit d'interdire"
Ensuite, le "Métro, boulot, dodo" a renforcé l'isolement, l'absence d'ouverture vers les autres.
Mais depuis quelque temps, c'est le règne de la peur qui conduit à la lâcheté générale.
Il faut pourtant analyser ces comportements.
Si quelqu'un se noie, il y aura des courageux qui se jetteront à l'eau pour lui venir en aide. Même chose s'il s'agit d'un incendie, d'une avalanche...
Les gens ne manquent donc pas de courage. Par contre s'il s'agit d'une attaque par un maghrébin, même s'il est seul et ivre comme c'était le cas à Lille, la peur prend le dessus et les honnêtes gens deviennent des pleutres.
Je ne veux pas jeter la pierre, et je ne veux pas dire que, confronté à la même situation, j'aurais eu un comportement exemplaire. Par contre, je sais que de lâchetés en lâchetés, nous nous condamnons à vivre un jour les pires choses. Et qu'il n'y aura personne pour nous venir en aide.
Permettez-moi de rappeler le poème de ce pasteur protestant, anti nazi , Martin Niemöller:
Lorsqu'ils sont venus chercher les communistes
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas communiste
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes
je n'ai rien dit
je n'étais pas syndicaliste
Lorsqu'ils sont venus chercher les Juifs
je n'ai pas protesté
je n'étais pas Juif
Lorsqu'ils sont venus chercher les catholiques
je n'ai pas protesté
je n'étais pas catholique
Puis, ils sont venus me chercher
Et il ne restait personne pour protester.
Chers amis du blog, reprenons courage. Il y a dans ce nôtre pays, des millions de gens comme nous, que la lâcheté ambiante indigne. Mais nous sommes isolés.
Il nous faut tenter de nous regrouper pour faire face.
L'Indien.
Il n'y a plus de Justice,il n'y a plus de morale,il n'y a plus d'idéal!!
RépondreSupprimerNous vivons dans une société qui se sclérose de jour en jour;
Il n' y a plus de place pour la solidarité,l'entraide les valeurs!!!
Tout le monde regarde son nombril,s'occupe de ses affaires et le regard sur les autres n'est plus qu'un souvenir bien lointain!!!
Sommes nous devenus des Bêtes,non mêmes les bêtes réagissent pour défendre leurs congénéres en cas de danger!!!
Nous sommes devenus des robots programmés à ne pas vouloir voir la détresse des autres,programmés à ne pas intervenir pour l'autre en cas de danger!!
La peur,toujours la peur qui nous empêche de réagir,cela est sûr il y a toujours un risque mais après!!!!
"Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas,c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles." disait Sénèque.
Fleur de lys.