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jeudi 6 novembre 2014

LA SURPRISE DU PATRON



                                                      LA SURPRISE DU PATRON


     Elle est bien bonne.  

     Si vous avez déjà travaillé pour un patron qui réagissait avant d'avoir vu les faits et d'y avoir bien réfléchi , vous allez adorer cette petite histoire.

     
La compagnie General Motors, croyant être prête pour un grand ménage, a engagé un nouveau Président.

     Le nouveau patron était déterminé à débarrasser la compagnie de ses employés peu vaillants.

     En visitant l'usine, le Président remarque alors un gars appuyé contre le mur, les bras croisés. La pièce était remplie d'employés.

     Alors il se dit : je vais leur montrer que c'est du sérieux mon affaire !
     Il demande au gars: 
 

    «Combien gagnes-tu par semaine ?"

     Un peu surpris, le jeune homme le regarde et lui dit : 

    "Je gagne 400 $ par semaine, pourquoi ?"

     Le Président lui dit alors : 

     "OK, ne bouge pas de là !"

    Il retourne dans les bureaux et revient 2 minutes plus tard et donne 1600 $ comptant  au gars et lui dit : 

     "Voici 4 semaines de salaire, maintenant fiche le camp  et ne reviens plus."

     Se sentant bien d'avoir fait ce geste, le président regarde autour de la pièce et demande : 

      "Est-ce que quelqu'un peut me dire ce que cet incompétent faisait ici ?" 

     À l'autre bout de la pièce, une petite voix dit :
 

      « C'est le gars qui attendait d'être payé  pour la pizza qu'on avait commandée » !

     Je l'aime bien celle-là, .....pas vous !!!!!

14 commentaires:

  1. Géniale celle-ci, BBR
    J'ai adoré la fin !!!
    L'Indien

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  2. hihihihih, j étais loin de m attendre à cette finalité, faut vraiment lire jusqu à la fin. Elle est excellente.

    La Normande

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  3. Waoou - elle est super bonne - J avoue que j attendais où ce PDG voulait en venir.

    Tel est pris qui croyait prendre.

    Jean BOUVARD

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  4. Encore une super bonne BBR, Je suis sure que vous devez vous éclater en les écrivant et en pensant à nous. Nous aussi nous avons été surpris.

    Nicole PLEY

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  5. L art de passer du sérieux à la rigolade - Nous aussi on la trouve super bonne, j imagine la gueule du patron en apprenant qu il vient de verser 4 fois le salaire au livreur de pizzas

    Z@vor

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  6. Excellent BBR - Le policier Anonyme et encore merci

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  7. Sacré BBR - Je me demandais ce qu il allait se passer - Super le livreur de pizzas - Comme quoi que même avec du fric on a des problèmes.Je suis MDR

    Nathalie

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  8. Bien fait pour lui - Il avait qu à poser la question avant - Hihihihihi, je suis écroulée de rire. Je ne m attendais pas à ça.

    Alice

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  9. BBR le magnifique - Je doute for que l histoire se reproduise dans cette société, et le PDG ne va plus aimer les pizzas. je suis MDR rien que d y pense et d imaginer sa tête.

    Olivier TREQUEL

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  10. Génial BBR - Il a vraiment fallu que j attende la fin pour comprendre. hihihihi

    André BERGERAC

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  11. Nos doléances – Nos propositions


    LA VIE POLITIQUE

    Comme la quasi totalité des Français, nous n'accordons plus aucune confiance aux politiques qui prétendent gouverner en notre nom. Les affaires Cahuzac, Balkany, Thévenoud, Gilles Carrez, les soixante parlementaires en délicatesse avec le fisc...sont là pour nous rappeler qu'il ne nous est plus possible de nous faire représenter par des gens dont le passé n'est garant ni du présent, ni de l'avenir.

    Nous proposons donc la moralisation de la vie politique :

    . De la même façon qu'un employeur peut demander, à son futur salarié, un extrait de son casier judiciaire, il est indispensable que toute personne briguant une position ministérielle, parlementaire, municipale...ait à justifier, au préalable, de sa moralité : pas de comptes occultes, pas de dettes envers le fisc ou un tiers...
    . Si un élu est mis en examen, il doit immédiatement démissionner de ses fonctions, jusqu'à ce que la Justice l'ait blanchi.
    Dans le cas contraire, il doit être inéligible à vie, sans salaire, sans indemnités d'aucune sorte.
    Il est insupportable de voir sur les bancs de l'Assemblée, des élus dont ne sait s'ils sont des voyous ou pas.
    . « La femme de César doit être irréprochable, afin qu'il ne puisse être soupçonnable... » disait Plutarque.
    La formule doit rester vraie.
    Si un proche parent de l'élu est en prison, celui-ci ne doit pas occuper de hautes fonctions. Trop d'intérêts contradictoires ne peuvent que nuire à l'exercice de ses devoirs.
    . Enfin, l'Etat doit cesser de pratiquer ou d'accepter de ses collaborateurs, un népotisme qui n'échappe à personne, et les postes grassement payés, octroyés aux compagnons, aux maris, aux enfants, aux amis...des ministres commencent à sérieusement irriter les sans dents, les illettrés, qui peinent à trouver du travail.

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  12. LES ECONOMIES

    On nous répète à l'envi que la France va mal, qu'elle vit au-dessus de ses moyens, que nous allons, égoïstes que nous sommes, laisser à nos enfants et à nos petits enfants, une dette abyssale...
    Et le gouvernement augmente nos impôts, bloque nos retraites, pénalise les familles, asphyxie la classe moyenne, sévit contre les retraités qui ont élevé trois enfants et plus en leur supprimant l'abattement de 10% cependant qu'il rétablit l'abattement de 30% pour les journalistes, ce qui explique peut-être leur docilité à l'égard du pouvoir.
    Nous n'en pouvons plus de payer pour ceux qui ne payent pas !
    Des mesures simples permettraient pourtant à notre pays de ne pas s'étouffer.
    Mais, là encore, les intérêts particuliers prennent le pas sur ceux de la Nation.
    Ceux qui font les lois se gardent bien de les faire à l'encontre de leurs intérêts propres, même si c'est pour le bien public.
    Il le faudra bien cependant, si l'on ne veut pas que tant d'injustices provoquent de graves troubles sociaux.
    Un signal fort à adresser au peuple, serait de :

    . Diminuer de moitié le nombre des députés
    . Supprimer le Sénat
    . Supprimer le cumul des mandats
    . En finir avec les multiples avantages accordés aux ministres et à certains autres élus : logement de fonction, voitures de fonction, mise à disposition de chauffeurs, cuisiniers...
    . En finir avec les troupes de profiteurs, que les Anglais qualifient de « zinzins », qui bénéficient de voyages et de séjours gratuits, lors des déplacements présidentiels
    . En finir avec le nombre pléthorique de fonctionnaires, dans certains secteurs, dont l'absentéisme ruine le pays
    .En finir avec les faramineux privilèges octroyés aux anciens présidents de la République.
    Leur appartement de fonction, meublé et équipé, leur voiture de fonction, le personnel et les collaborateurs mis à leur disposition...coûtent au contribuable un million et demi d'euros par an et par président.
    C'est dans la nuit du 4 Août 1789 qu'a été votée l'abolition des privilèges.
    . En finir avec le financement des syndicats et des partis politiques. Les uns sont achetables et les autres magouillent quand même. Il n'est qu'à voir la « transparence » de certaines affaires et les postes accordés aux anciens leaders syndicaux pour se convaincre de l'inanité de ces financements
    . En finir avec l'accueil et le financement des immigrés dont le nombre s'accroît de façon inquiétante pour l'équilibre et la cohésion de notre pays. Ces malheureux fuient leur patrie et la pauvreté, croyant trouver ici un Eldorado qui n'existe plus.
    Lorsque les citoyens du pays d'accueil deviennent des travailleurs pauvres, des retraités pauvres, c'est à eux qu'il faut réserver les aides et ajourner celles des étrangers jusqu'à des temps meilleurs.

    La liste des économies à faire est longue encore mais déjà, ces diverses mesures seraient de nature à être un facteur de bon ordre.

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  13. L'INSECURITE

    Elle va croissant et elle est partout : dans les écoles, dans les métros, dans les bus, dans la rue...
    Les délinquances ont pour préliminaire les incivilités, qui à force d'être tolérées encouragent ceux qui les commettent à aller plus loin. De plus en plus loin.
    Quand les écoles brûlent, quand les voitures brûlent, quand les commerces brûlent...il est insupportable que leurs auteurs, souvent identifiés, bénéficient de l'anonymat. Croit-on que les gens soient assez niais pour ne pas comprendre que lorsque le nom des coupables n'apparaît pas c'est qu'il ne peut s'agir que de « jeunes » ou de « chances de la France » ?
    Les auteurs de petits méfaits, qui vont devenir des auteurs de gros méfaits, doivent être sanctionnés fermement mais intelligemment. Il faut faire travailler les délinquants, suivant en cela, l'enseignement de Voltaire : « Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin ». Il faut donc les faire travailler afin qu'ils remboursent les dégâts qu'ils ont occasionnés. Et il ne doit pas s'agir de petits travaux, dits d'intérêt général, mais de vrais travaux de peinture, de nettoyage, de débroussaillage, de ramassage des ordures...qui soient suffisamment pénibles pour leur ôter l'envie de récidiver.
    Le contribuable en a assez d'être la vache à lait de l’État, des municipalités, des assurances.

    Il y aurait sans doute beaucoup à dire encore : sur l'Europe, les faux alliés que sont le Qatar, l'Arabie Saoudite, la Turquie dans la lutte contre le djihadisme, la responsabilité des journalistes qui taisent ou déforment les informations que nous sommes en droit de connaître, au gré des instructions tacites données par le pouvoir, l'abolition du rôle de la Banque de France, au bénéfice des banques privées qui creusent la dette à force d'intérêts, la vente à l’encan de notre patrimoine national, le dépeçage de notre Armée, l'influence des lobbies qui gouvernent les gouvernants...

    Notre groupe de réflexion a son point de vue, qui est aussi celui de la majorité des Français, sur la plupart de ces sujets qui ont conduit la France à la perte de sa souveraineté et de ses valeurs.
    Nous pouvons en débattre avec vous, si vous nous invitez à le faire.

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  14. Amis du blog, je vous présente ci-dessus, le texte que j'ai rédigé à partir de nos diverses réflexions. Comme vous pouvez le constater, j'ai indiqué la plupart de nos soucis, avec des solutions. Je ne suis pas entré dans tous les détails mais je pense avoir noté l'essentiel.
    S'il vous convient, je l'envoie officiellement, ainsi que convenu.
    Dans l'attente de votre accord,
    L'Indien.

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