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mardi 25 novembre 2014

PRIMAIRE - LE MADE IN ALAIN JUPPE



LES "PRIMAIRES", OU LA DÉMOCRATIE CONFISQUÉE.

                   Mohamed  Ali Sarko et Marvin Hagler Juppé
                        Que le combat commence

 
     LA PETITE INTRODUCTION DE BBR 

 Les Français auraient ils la mémoire courte, seraient ils atteint d anosognosie ou souffriraient ils déjà de la maladie d Alzheimer.

     Ont ils oublié tout ce qui s est passé lorsque ce brave juppé était premier Ministre de jacques chirac ? 

     Lui aussi n a pas fait l unanimité, lui aussi a secoué la France avec ces décisions, lui aussi a été déchu par l inéligibilité, mais il revient sur le devant de la scène comme si rien ne s était passé, il revient glorieux comme jamais avec des statistiques avantageuses dans les sondages, même le remuant sarko semble à bout de souffle, et pourtant tout le monde sait qu il faut plus pour la lui couper.

     Le combat des chefs fait  rage, les primaires sont aux portes des candidats qui se voient déjà futur président pour continuer à créer des impôts, régulariser les clandestins, accorder des aides sociales, construire un peu plu de mosquées, détruire un peu plus les églises, donner aussi beaucoup à Bruxelles, et surtout bien suivre les ordres des USA dans tous les domaines en ne pas oubliant de signer le traité Transatlantique qui sera la mort de l Europe.

     Chaque candidat se croit meilleur que les autres, mais ceci tant qu il est dans l opposition, tant qu il fait des promesses, tant qu il critique son prédécesseur, la musique est tout au autre quand il est élu, quand il a sa majorité -  Adieu les promesses,   celles de réduire le chômage, la dette, le déficit, de diminuer nos impôts, d avoir une meilleure justice  et j en passe, vous comprendrez que la liste est longue car les promesses ils savent faire, c est bien la seule chose qu ils savent faire.

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      La Tanzanie a officiellement renoncé à l'esclavage en 1964, mais officiellement seulement. Comme en Mauritanie, au Soudan, au Mali, il continue d'y être pratiqué et le touriste curieux peut, moyennant un gros billet à son guide ou à son chauffeur de  taxi, visiter le marché aux esclaves où les riches arabes des émirats et d'Arabie s'approvisionnent par mail (c'est qu'on est moderne, coco) en personnel domestique et en salariés à bas coût.

      Comme les acheteurs aiment aussi la chasse, le gouvernement tanzanien a décidé de privatiser des dizaines de milliers d'hectares dans la région de Loliondo en les vendant à une société spécialisée dans le safari de luxe, Otterlo Business Corporation.


      Il se trouve que c'est le pays des Masaï, des arriérés qui ne comprennent rien au monde moderne. C'est donc au nom de la morale, de la justice sociale et d'un ajustement structurel nécessaire au développement local, que "l'élite" noire qui gouverne la Tanzanie a décidé de déporter les 40 000 Masaï qui peuplent la région et n'ont qu'à la fermer puisqu'ils n'ont pas d'actes notariés pour prouver leurs droits de propriété. 

     Pour les civiliser et les éduquer on les parquera dans un bidonville où ils apprendront à bouffer des saloperies halal en buvant du Coca devant la télévision. Ensuite on leur expliquera qu'il faut travailler au smic tanzanien dans la réserve et donc aussi payer des impôts pour entretenir les fonctionnaires du gouvernement. On leur dira que c'est ça le progrès.

 
                                                               Les Masaï, des éleveurs

     Alain Juppé fait partie de cette élite mondialiste, modèle Sciences Po 68 modifié ENA 72, qui manie avec dextérité le développement local, la justice structurelle et l'ajustement social, ou vice-versa, ça n'a aucun importance puisque notre élite utilise ces mots comme des mantras dont elle-même ignore le sens. Ils vous parleraient aussi bien de développement structurel, de justice locale et d'ajustement social, croyez-les si vous voulez, de toute manière, c'est du pipeau pour dissimuler leurs traficotages électoraux et financiers (*).

      Il a été adoubé à deux reprises par Libération en mars 1995 et septembre 1996 comme le "meilleur ministre des Affaires étrangères que la France ait eu", pour avoir, en collaboration avec Mitterrand, entrainé la France dans la guerre entre les Hutus et les Tutsi au Rwanda qui nous vaut aujourd'hui des poursuites internationales, pas forcément justifiées, j'en conviens.

      Il était en avance sur le temps socialiste, puisque dès 1995 il préconisait un allongement de la durée de cotisation de 37,5 à 40 annuités pour les salariés de la fonction publique afin de l'aligner sur celle du secteur privé déjà réformé en 1993, l'établissement d’une loi annuelle de la Sécurité sociale fixant les objectifs de progression des dépenses maladies et envisageant la mise en place de sanctions pour les médecins qui dépassent cet objectif, l'accroissement des frais d'hôpital, des restrictions sur les médicaments remboursables et le blocage et l'imposition des allocations familiales aux familles avec enfants les plus démunies, combiné avec l'augmentation des cotisations maladie pour les retraités et les chômeurs et au gel du salaire des fonctionnaires.

      Déjà, il envisageait de taxer les plus pauvres, mais aussi les supposés "très riches" : il a augmenté la pression fiscale sur les plus démunis, accru de 10 % les tranches de l'ISF et supprimé son plafonnement. Cette modification a notamment eu pour conséquence que certains foyers fiscaux payaient un impôt supérieur à leur revenu, comme ces pêcheurs de l'île de Ré qui possédaient de vastes superficies de sable et de vasières ou les mémés veuves qui avaient hérité de la maison de famille.

      Il n'a jamais songé une seule seconde à diminuer la dépense publique déjà excessive et productrice de dette nationale et d'injustice sociale. Et comme le libéral Alain Madelin refusait d'aller dans ce sens, il l'a viré. Pour Juppé, il n'y a de bonne économie que socialiste.

Toujours au fil du vent, il a compris l'intérêt électoral de l'islam et tous les imams de France font l’apologie de celui "qui sera à la droite normale ce que Hollande a été à la présidence normale" (Pierre Mylestin sur B.V.). 

     En 2011, il conseillait avec sagesse de ne pas « stigmatiser a priori tous ceux qui se qualifient d’islamistes », il leur a offert une mosquée-cathédrale avec l'argent des Bordelais, refusé de dénaturer le mariage pour tous et remis avec toute l'amitié de François Hollande la Légion d’honneur à l’imam Tareq Oubrou, qui déclarait : "L’islam touche à tous les domaines de la vie. 

     Comme le veut le Coran, c’est un État, c’est un pays, dans le sens géographique, c’est-à-dire qu’il regroupe toute la communauté dans une géographie où il n’y a pas de frontières. La frontière entre deux pays musulmans est une hérésie méprisable par l’islam. La politique des musulmans, ce n’est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge."



La future mosquée bordelaise de Juppé 

     C'est pourquoi Juppé est la coqueluche de la presse de gauche, parce que comme tout bon énarque (même Philippot), il peut passer sans état d'âme du socialisme de droite au socialisme de gauche.

     En 1996, il avait trouvé un truc extraordinaire pour "assurer la maîtrise les comptes publics" : recapitaliser l'entreprise publique Thomson Multimédia avec 11 milliards de francs et la revendre pour un franc symbolique au coréen Daewo. Si ça vous parait absurde, c'est que vous n'avez pas fait l' ENA.

      D'ailleurs, si vous aviez fait l' ENA, vous sauriez qu'il est normal d'exiger de la Ville de Paris qu'elle baisse le loyer de votre fils Laurent Juppé qui occupe un appartement de la ville rue Jacob (St Germain des Prés), et qu'elle prenne en charge pour plusieurs millions de francs les travaux d'aménagement de l'appartement de 189 m2 que vous avez vous-même dans la même rue (Canard Enchainé, 1995). C'est normal, c'est pas cher, ce sont les contribuables qui paient !

      Alain Juppé, c'est "une sorte de Stéphane Hessel non-indigné", égérie de l'UMP et du PS, dit Pierre Mylestin.

      Juppé promet "des primaires exemplaires". Il sait que les primaires aboutissent toujours à élire le plus petit dénominateur commun des candidats, c'est à dire le plus mauvais, on l'a vu avec Obama et Hollande. 
     De plus je persiste à dire que le système de la primaire est anti-démocratique et anti-constitutionnel puisqu'il amène à n'avoir pour choix que les deux candidats sélectionnés comme les moins nocifs pour les cadres des deux partis majoritaires, privant les électeurs du suffrage universel direct prévu par l'article 6 de la Constitution. La primaire transforme en fait l'élection présidentielle au suffrage universel en une sorte d'élection sénatoriale passant par le choix préalable effectué par un groupe sélectionné de militants qui ont reçu l'investiture des partis majoritaires.

      Bien que depuis 1974 les présidents successifs n'aient pas été de très virulents défenseurs de notre souveraineté nationale, il ne faut pas renoncer au suffrage universel direct pour la présidentielle, mais exiger que les partis n'entravent pas le libre choix des électeurs avec leurs primaires qui n'ont pour objectif que d'imposer le candidat qui les arrange. Cette élection au suffrage universel, nous sommes les seuls à en bénéficier en Europe.

      Les mondialistes voudraient que nous y renoncions. Un think tank américain, le Peterson Institute de Washington, suggérait dans un rapport publié le 29 octobre que la France abandonne son système présidentiel afin de mettre en place un système où le chef du gouvernement serait issu d’une majorité parlementaire. Hervé Morin, Jean-Pierre Chevènement et quelques autres abondent dans ce sens.

      Convaincre des parlementaires habitués à se coucher devant les instances de leur parti par peur de ne pas être investis la fois suivante est bien plus facile que de convaincre des Français sceptiques sur la qualité de leur "élite". 

     * Au sujet de la langue de bois de l'énarchie, ce petit site devrait vous amuser...









13 commentaires:

  1. Alain Juppé, énarque, encore un, condamné en 2004 pour l’affaire des emplois fictifs à la mairie de Paris avait alors démissionné de ces mandats de député et de maire de Bordeaux. Parti "en pénitence" pendant un an au Québec, il revient en France en état de grâce et reconquière la mairie de Bordeaux. Les Bordelais lui ont pardonné, les électeurs Français ont oublié cette "péripétie" dans le parcours d'un homme politique. Les "journaleux" s’en donnent à cœur joie et font monter la mayonnaise de l’homme providentiel (comme DSK en son temps !). Tout faire pour que la situation de la présidentielle de 2002 avec LE PEN père au deuxième tour et qui se profile à l’horizon de celle de 2017 avec LE PEN fille au second tour, appelle au "Front républicain (qui a pris, c’est le moins que l’on puisse constater du plomb dans l'aile) pour faire barrage au FACHISMEXENOPHOBEISLAMOPHOBE (ouf !), et réitérer le score de République bananière de Chirac avec 82 % des suffrages ! Mais là c’est une autre histoire ; attendez, mesdames et messieurs les journaleux le résultat du vote du 29 novembre de l’élection du "chef" de l’UMP ou du nouveau nom de ce parti !
    « Le con des sans dents » de l’Elysée se frotte les couilles en attendant ! ! ! !

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    1. Ami anonyme,
      "À force de se les frotter,"elles finiront elles aussi par tomber!!!
      Amicalement ,
      Fleur de lys.

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  2. Le choix du président de la République, élu au suffrage universel est le seul privilège qui reste aux Français. Si nous l'abandonnons au profit du choix de la majorité parlementaire, nous ne représentons plus rien.
    Que les juppé et compagnie aillent se rhabiller !
    L'Indien.

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  3. Inlassablement, je répèterais que tous ces politiciens sont les mêmes, des jumeaux, des clones, eux ce ne sont pas des bonnets rouges - c est bonnet blanc et blanc bonnet jusqu à la même école, le même enseignement, les même mensonges, la même façon de nous prendre tout notre argent en toute légalité, tous trempent dans des affaires sales, aucun n est excusable mais aucun n est condamné. Tel est notre Justice -Nous le savons.

    Chacun fera son choix en toute connaissance de cause et ne pourra pas dire qu il ne savait pas.
    Il n a qu à lire le Blog - Tout est dit et bien dit.

    La Normande

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  4. La question est que va t il se passer après la nomination du nouveau président de l UMP ? Va t on encore chercher où est la triche, contester les résultats, recommencer une autre élection, Re -pomper le fric des adhérents ? Vont ils rassembler chacun de leur côté ? Va t il y a voir la guerre des clans ?

    Pour le moment ces deux boxeurs tiennent la corde, mais qu advient il de fillon et lemaire ? ils ne vont pas être content d être les oublié du ring.

    Moi je me souviens de la pustule de Bordeaux du temps où il était premier Ministre, alors je dis qu on a déjà donné pour lui, en fait on a donné pour tous. Il y a là de nombreuses pustules UMPS

    La pustule de Tulle compte les points mais son tour viendra aussi contre petit valls, montebourg....

    Jean BOUVARD

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    1. Cher Jean,
      Toutes ces pustules commencent à empuantir l'atmosphère : pustule de Tulle, pustule de Catalogne, pustule de Bordeaux, pustule de Hongrie, et pustule made in France (montebourg)...
      Voilà donc le retour du duc de Bordeaux (qui ressemble à mon cul comme deux gouttes d'eau)* alias crâne d’œuf (il y en a beaucoup).
      Après sa traversée du désert, le voilà ressuscité," le meilleur d'entre nous " et nous allons voir ce que nous allons voir !
      Oubliées les affaires des emplois fictifs, oublié son adhésion au mariage des homos...notre oiseau des îles se refait une virginité en construisant des mosquées.
      J'ai entendu dire que certain jour de la semaine, pour plaire à certains de ses électeurs, il faisait le tour de la ville à dos de dromadaire, pour faire couleur locale. Et ainsi, il ira jusqu'à la Mecque demander son investiture pour l'UMPSCentre, en toute laïcité, bien entendu !
      Fleur de lys.
      * C'est faire offense à mon cul qui est bien plus propre que celui du duc de Bordeaux.

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  5. Qu il soit : de droite, du gauche ou du centre - on a déjà tout essayé - On a vu, supporté et tout compris, les chiens ne faisant pas des chats, et les loups ne se mangeant pas entre eux, il semblait tout naturel qu il se ressembla, mais comme dans tous cas les seuls dindons de la farce c est nous, il me semblait naturel aussi que ça bougerait un peu plus,

    Oui mais voila, nos syndicat politisés de gauche, veulent bien faire un pas en avant mais dix en arrière, alors ils attendent sagement l arrivée de la droite pour se remuer le cul sachant que tout naturellement aussi elle passera. Ils savent pertinemment qu en fermant leur gueule on leur fera miroiter des postes alléchants, il en va de même pour les journaleux à la défiscalisation importante.

    Alors le juppé protégeant chirac dans l affaire des emplois fictifs , le juppé s occupant de sa mosquée, le juppé triomphant dans les sondages très peu pour moi.

    J ai déjà donné maintes fois mon avis - A part Marine du FN que l on ne connait pas au pouvoir, tout le reste est à bannir, et d ici à ce qu on est aussi le retour du DSK il n y a vraiment pas loin - On se fou tellement de nous qu il ne serait pas à ça près.

    Nicole PLEY

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  6. Hihihihi, bien pour la Boxe BBR - Il en manque deux pour finir, et on aurait pu mettre tous les adhérents autour avec leur bulletin - Attention au marche truqué - C est à la mode en ce moment - Et comme les enjeux sont importants, les paris aussi. -

    Je pense que crane d œuf de bordeaux va l emporter, l autre ne remue plus assez, il a perdu de sa fougue ça doit être à cause de Carla (quand elle chante) et le fait qu il a déjà fait le coup du changement et du nettoyage sans résultat laisse à désirer.

    Aucun politicien de l UMPS , ni de l UDI ne mérite qu on se déplace pour eux aux urnes.

    Z@vor

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  7. La seule chose qui soit importante et remarquée chez les Français, c est que la confiance envers les politiques n existe plus. Ils sont tous aussi menteurs les uns que les autres et ça fait des années que ça dure.

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    1. Vous avez raison anonyme, mais si le fait que tous les Français manquent de confiance envers nos politiques servait à quelque chose, à leur témoigner notre indifférence les obligeant à se comporter différemment envers nous, nous respecter, (pas nous écouter mais nous entendre) les choses changeraient surement.

      Mais à part quelques petites manifestations (chacun la sienne et chacun de son côté) je ne pense pas que les choses puissent évoluer ainsi, et nos politiques faux aveugles, faux sourds le savent bien et c est pour cela qu ils suivent leur CAP.

      Nous aimerions bien parfois être une "Joséphine Ange Gardien" afin qu en claquant des doigts tout puisse devenir vie heureuse. Il y a loin de la réalité à la fiction - comme de la réalité au cinéma.

      Olivier TREQUEL

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  8. J ai honte mais je finirais par ne plus aller voter - Honte parce que nos anciens se sont battus pour avoir ce droit ( bien qu à l époque ils ne pouvaient pas connaitre tous nos clowns actuel) mais aussi honte parce que je sais qu en ne pas votant je vote quand même pour un d entre eux
    mais voter blanc n apporte rien.

    Pas un ne vaut la corde pour le pendre, ils ont tous été fabriqués dans le même moule et formés par la même école.

    Reste la petite inconnue avec Marine en qui je veux avoir confiance et espérer, mais même là, on ne sait plus quoi penser

    Nathalie

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  9. Nous sommes très loin de notre "si j étais président" de Gérard LENORMAN, même leurs paroles, leurs promesses sont loin, en plus elles sonnent faux, et ayant eu toutes les preuves irréfutables de leurs mensonges qu ils sortent en étant capables de nous dire "je vous le dis droit dans les yeux" sans aucune honte, nous n avons plus et depuis longtemps aucun doute sur le combat qu ils mènent pour obtenir le pouvoir et nous entuber un peu plus avec la plus grande facilité.

    Comment pouvons nous encore dire que nous sommes respectés. Oui BBR vous avez raison - POUR QUI NOUS PREND T ON ??????

    Alice

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    1. C est vrai Alice nous sommes loin très loin d avoir CE PRÉSIDENT et aussi de dire que nous ne sommes ni respectés, ni entendus - Après les claques prises aux élections récentes les choses auraient du changer -

      Que nenni, elles empirent - Bruxelles nous réclame 4 milliards et demi d euros de plus - VALLS pas content -- mais qu importe C EST NOUS QUI PAIERONS, sans parler de la perte de 3 milliards d euros pour le non respect de notre engagement avec la Russie concernant la livraison des Mistral pour écouter la parole du grand chef OBAMA qui lui aussi ayant besoin de voix électorales régularise les clandestins - Sans parler de notre économie, et de notre Justice qui part en couilles - Pauvre de nous. Pauvre France

      Je n ai pas honte de dire pour qui on nous prend, on nous vraiment pour des cons

      André BEGERAC

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