LES MYSTÈRES DE L AFFAIRE CHARLIE
LA PETITE INTRODUCTION DE BBR
L article de l auteur est à la fois grave et troublant de précisions, qui il faut le reconnaitre après le calme revenu des évènements nous laisse à réfléchir et nous poser encore et encore de nombreuses questions.
AVANT DE LE PUBLIER J AI VOULU VÉRIFIER- ET CE N EST PAS UN HOAX
C est vrai et nous l avons vu avec le truquage des images sur le grand rassemblement derrière hollande qu on peut bien nous montrer n importe quoi, mais aussi nous dire juste ce que l on doit savoir, mais les Mystères et les coïncidences demeurent...Le recul permet peut être de mieux comprendre.
Loin de moi l idée de critiquer nos services "police gendarmerie" qui ont accompli un travail remarquable. Je ne suis pas non plus un expert en balistique, mais les explications fournies par cet auteur semblent tellement possible que le doute est permis.
C est vrai qu on nous avait parlé d une troisième personne au départ - Elle est passée où ? Dans les oubliettes.......
C est vrai qu il y a eu la coïncidence de l Hyper marché Cascher cédé un jour avant par son propriétaire .....
C est vrai que l on parle de la faillite de Charlie Hebdo racheté par Rotschild ......
C est vrai que la compagne de Charb sait et a beaucoup de chose à dire ......
C est vrai que le suicide du commissaire de police dont j ai publié un article récemment parait douteux, troublant ....... Évoquer le caractère dépressif de cet homme n est pas la meilleure chose à dire lorsque personne ne s en était rendu compte avant.....Une dépression ça se voit et elle n apparait pas du jour au lendemain et surtout pas au point que le dépressif se suicide dans la journée et à un moment aussi important que celui de la tragédie.
C est vrai que l on a vu Hollande présenté ses condoléances à la mère de la policière qui a été abattue par coulibaly, mais pas de condoléances à la mère du policier .... surprenant non!!!!!
Nous avons connu des vrais suicidés, mais il y a aussi les faux, ceux qu on suicide, les affaires ne manquent pas et dans ce domaine nos politiques savent faire aussi, il n y a pas que les truquages et les mensonges..... Une chose est sure c est hollande et valls sont bien remontés dans les sondages et là il n y a pas eu de truquage.
La lecture de cet article vous permettra de vous faire votre idée personnelle
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IL Y A QUELQUE CHOSE DE POURRI AU ROYAUME DE HOLLANDE.
On veut donc nous faire croire que
Charlie c’était la France et que chaque Français était Charlie. Maintenant que
le soufflé est, comme prévu, retombé, est-il possible d’exercer cette liberté
d’expression qui nous a été présentée comme la première des valeurs
républicaines ?
Pas sûr, car la com de Élysée veut
préserver le plus longtemps possible l’effet d’aubaine obtenu, avec une grande
habileté il faut le reconnaître, et laisser le président planer dans
les sondages.
Au moins jusqu’à la prochaine partielle du Doubs afin de donner au mauvais candidat socialiste qui n’avait aucune chance de passer le premier tour et a fortiori et d’être élu au second, le crétin qui représente l’UMP ayant déjà fait savoir qu’il se désisterait en sa faveur (un truc à ne jamais dire avant, c’est pousser les électeurs à voter tout de suite pour un autre) !
Il n’y a toujours pas deux neurones à l’UMP.
Au moins jusqu’à la prochaine partielle du Doubs afin de donner au mauvais candidat socialiste qui n’avait aucune chance de passer le premier tour et a fortiori et d’être élu au second, le crétin qui représente l’UMP ayant déjà fait savoir qu’il se désisterait en sa faveur (un truc à ne jamais dire avant, c’est pousser les électeurs à voter tout de suite pour un autre) !
Il n’y a toujours pas deux neurones à l’UMP.
Charlie était en quasi faillite, il ne
lui restait plus le 6 janvier que 10 000 abonnés, moins de 30 000 lecteurs et
il était vertement critiqué même à l’extrême gauche. « Qu’ils crèvent »
disait Bedos, Debbouze n’en pensait pas moins.
Siné, viré de Charlie en 2008 sur une
dénonciation en antisémitisme de l’ayatollah-procureur Claude Askolovitch,
avait dépassé Charlie en tirage grâce à des collaborateurs de qualité comme
Delfeil de Ton et un humour certes de gauche et libertaire mais qui évtait le
scatologique (c’est à dire la merdouille) dans lequel se vautrait Charlie et
dont Luz nous a donné un extrait le jour de l’enterrement de Charb. « Charb,
mon amant… Ah, qu’est-ce qu’on s’est enculé toutes ces années !.. Tu
aurais dessiné Netanyahou et Mahmoud Abbas. Dans ton dessin, ils ne se
tiendraient pas la main, mais ils tiendraient la bite à Sarkozy… »
Etc, etc… La classe…
Etc, etc… La classe…
Arrive le jour du massacre. Des versions
complotistes circulent aussitôt qui l’attribuent, les unes au Mossad israélien,
d’autres à la CIA, les dernières aux services français. Je n’y crois guère,
mais cependant la troisième a quelques arguments intrigants à son actif…
Sur la vidéo où l’on voit le
policier Ahmed Merabet abattu à bout portant par l’un des deux frères Kouachi,
il y a deux anomalies : la première, Kouachi passe en pointant son fusil
d’assaut (calibre 7,62) vers la tête d’Ahmed, déjà à terre depuis un
moment (blessé) mais il n’y a aucun signe de tir, pas de soubresauts de l’arme
ni de la victime et pas de sang ; la seconde, un impact de balle sur le ciment
du trottoir presqu’un mètre en avant, et quand on regarde la vidéo, il semble
qu’il y ait un décalage entre l’apparition du nuage et le coup de feu.
Troublant, Kouachi tirait-il avec des balles à blanc ? Mais la balle qui
impacte le ciment ne peut pas venir de l’arme de Kouachi, à moins qu’il n’ait
un canon à tirer dans les coins !Cela dit, je ne suis pas un expert en balistique
Il y a aussi la phrase qu’aurait dite le
policier au moment où Kouachi le dépassait « C’est bon, chef »
ou « c’est tout, chef » avant d’abaisser ses bras et de les
replier. Elle peut être diversement interprétée : « c’est bon, partez
maintenant » ou « c’est bon, tout se passe comme prévu », ou
« je suis blessé, mais c’est bon, ça va aller, continuez le boulot »
?
Ce n’est donc pas ce Kouachi-là qui a
tué le policier. L’autre frère Kouachi ? Possible, mais a priori peu probable
car il prenait le risque de toucher son frère, d’autre part il semble qu’il
était excellent tireur. Je penche pour l’hypothèse d’un troisième tireur,
chargé d’éliminer un témoin gênant pour « nettoyer » la scène du
crime, peut-être en rajoutant un meurtre de policier. Pour dramatiser un peu
plus l’événement ? Le demi-tour qu’effectuent les deux frères après avoir
dépassé Ahmed d’environ 5 mètres est également surprenant, où allaient-ils en
courant et qu’est-ce qui les a fait changer d’avis, surtout qu’ensuite ils
manifestent un calme surprenant, ramassent la basket, etc. Il y a aussi ce
voisin qui dit avoir vu « trois, peut-être cinq hommes en noir repartir
en voiture ». Dans son édition en début de soirée, Libération titrait
: « les trois suspects interpellés » puis le titre a été
changé par « les trois suspects identifiés et localisés ».
Mais le lendemain, il n’y en avait plus que deux, les frères Kouachi. On oublie le troisième ?
Mais le lendemain, il n’y en avait plus que deux, les frères Kouachi. On oublie le troisième ?
Un autre voisin, Bruno Léveillé, dit
avoir entendu une trentaine de coups de feu « pendant une dizaine de
minutes » qui ont commencé « à 11 h 30 pile ».
« Nous avons essayé d’appeler la
police, mais ils étaient injoignables, c’était hallucinant ». Bon, ça,
je peux dire par expérience que ce n’est pas rare. Il faut croire pourtant que
les coups de téléphone d’appel au secours devaient être nombreux puisque la
police arrive : « on a tout de suite compris que c’était des tirs. On
s’est éloigné des fenêtres. Entre une demi-heure et trois-quarts
d’heure plus tard, les secours sont venus nous dire de ne pas
sortir. » Or, pour aller du commissariat central du 11ème à Charlie
Hebdo, il faut moins de dix minutes à une voiture avec
gyrophare.
Mais, Hollande arrive
presqu’en même temps ! Exactement 56 minutes après le premier coup de
feu, il est en place pour l’accueil du gros de la troupe des journalises et
caméras de télé. D’où certains imaginent un scénario écrit par Gaspard Gantzer,
celui qui, selon une journaliste présente dans la cour de l’Elysée, a « fait
dévaler en courant l’escalier de l’Elysée au président » : 11 h 30
début de la fusillade – attendre que la police et la presse aient été prévenues
– 12 h départ de l’Elysée, prévoir un quart d’heure à vingt minutes de trajet
Elysée-Charlie – Conférence de presse à 13 h ».
Pur délire imaginatif, cela va de soi.
Pur délire imaginatif, cela va de soi.
Le président arrive sur un lieu où vient
d’avoir lieu une fusillade, où une voiture piégée pourrait, par exemple, se
trouver, voire un snipper en embuscade, la consigne de la police est de ne pas
sortir, mais Hollande agit comme s’il était certain de n’avoir rien
à craindre, et ses gardes du corps aussi.
Aussitôt, l’enquête démarre. Je
pense que ses conclusions ne seront jamais rendues publiques, parce que le
ministère de la Justice clôturera l’enquête sous prétexte que les faits sont
clairs et que tous les coupables, au moins les coupables officiels, sont morts.
Un commissaire principal est chargé
d’enquêter sur l’entourage familial de Charlie-Hebdo. C’est Helric Fredou,
bien connu de Cazeneuve puisqu’il était commissaire principal à Cherbourg quand
Cazeneuve en était député-maire, ainsi que de Hollande puisqu’il
était commissaire principal à Tulle quand Hollande en était maire et conseiller
général. Il était maintenant commissaire principal à Limoges. A minuit, il est
trouvé suicidé dans son bureau.
Un jeune commissaire de 45 ans, plein d’avenir et d’ambitions, que l’on charge de faire une enquête sur une ou les familles des victimes du journal Charlie Hebdo et qui, le même jour, avant même de remettre son rapport dont on ne saura jamais le contenu, se donne la mort après avoir tranquillement rejoint son bureau, c’est évidemment un dépressif. Conclusion ? Rien.
Versions possibles :
1 : il était vraiment dépressif, sa
hiérarchie l’avait remarqué, mais pas sa famille qui nie farouchement tout
signe de dépression, de même que son médecin « référent » ;
2 : en lui confiant l’enquête sur Charlie, on lui a demandé quelque chose de tellement énorme, peut-être à l’incitation de Hollande ou de Cazeneuve qui le connaissaient bien, qu’il a préféré se suicider plutôt que de perdre son honneur de « grand flic » ;
3 : flic expérimenté il a très vite trouvé ou au moins soupçonné quelque chose de tellement énorme qu’on l’a suicidé. On peut être un policier discipliné et trouver qu’il y a des bornes à ne pas dépasser dans l’ignominie.
2 : en lui confiant l’enquête sur Charlie, on lui a demandé quelque chose de tellement énorme, peut-être à l’incitation de Hollande ou de Cazeneuve qui le connaissaient bien, qu’il a préféré se suicider plutôt que de perdre son honneur de « grand flic » ;
3 : flic expérimenté il a très vite trouvé ou au moins soupçonné quelque chose de tellement énorme qu’on l’a suicidé. On peut être un policier discipliné et trouver qu’il y a des bornes à ne pas dépasser dans l’ignominie.
Le 16 janvier, sa sœur confie ses doutes
à Panamza, « la gazette de l’info subversive », qui interroge
la mère de Helric Fredou, celle-ci explique qu’elle ne sait pas
grand-chose sauf que son fils n’était pas dépressif et que lorsqu’elle
a demandé le rapport d’autopsie, on lui a dit : « Vous ne l’aurez pas« .
Le Code de procédure pénale prévoit pourtant qu’en cas d’autopsie judiciaire
(pour suicide ou mort suspecte), tout membre de la famille peut en faire la
demande auprès du Parquet.
Oui, mais quand il y a quelque chose de pas clair, la famille ne l’a jamais !
De plus, son arme de service n’avait pas de silencieux. Comment ses collègues n’ont-ils rien entendu ? Réponse « Son bureau était très bien isolé » .
Comme celui de François de Grossouvre sans doute ?
Oui, mais quand il y a quelque chose de pas clair, la famille ne l’a jamais !
De plus, son arme de service n’avait pas de silencieux. Comment ses collègues n’ont-ils rien entendu ? Réponse « Son bureau était très bien isolé » .
Comme celui de François de Grossouvre sans doute ?
Ce que sait la mère, c’est qu’il avait
« débriefé » en début de soirée trois inspecteurs chargés d’aller
interroger les parents de Jeannette Bougrab, (la compagne de Charb), avait
décidé de fouiller dans les réseaux sociaux, puis avait déclaré qu’il fallait
qu’il y travaille toute la nuit et refusé que l’un de ses collègues qui le lui
proposait s’en charge, puis ajouté qu’il aurait à passer « un important
coup de fil » avant de rentrer chez lui.
Est-ce avant ou après cet « important coup de fil » que le suicide a eu lieu ?
Est-ce avant ou après cet « important coup de fil » que le suicide a eu lieu ?
Qu’a-t-il fait comme découverte ou
déduction ? On ne le saura jamais, il n’y a pas de rapport et son bureau a été
soigneusement nettoyé. C’est normal, après un suicide il faut bien nettoyer,
non ?
La police a déclaré aussi qu’il avait
appuyé le canon sur son front et que « la balle est restée dans le
crâne «. En principe, depuis 2002, l’arme de service de la police
nationale (aussi gendarmerie et douane) est un Sig-Sauer SP2022 qui tire du 9mm
parabellum. Je laisse les spécialises en juger, mais le pauvre Helric avait
manifestement un crâne en acier !
La police a refusé de dire à la mère à
qui Helric voulait passer ou avait passé « un important coup de fil »
dans la soirée « personne n’a à le savoir », puis est revenue
sur sa déclaration en disant que finalement il n’y avait pas eu de coup de fil.
C’est plus simple, pas d’explication à donner, pas d’important personnage mis
en cause.
Enfin, ni Cazeneuve, ni Hollande
– qui connaissaient pourtant bien Helric Fredou – n’ont téléphoné à
sa maman pour présenter leurs condoléances, alors que Hollande s’est déplacé
pour aller présenter les siennes à la famille d’Ahmed Mérabet. Par contre,
quatre directeurs de la police nationale ont fait le voyage de Paris à Limoges
pour bien mettre dans la tête de maman Fredou que c’était un suicide et qu’il
n’y avait pas d’autre version possible.
Comme dit le journal des vétérans de
l’US army, Veteranstoday, « Something is rotten in Paris » (Il
y a quelque chose de pourri à Paris).
commissaire de police
enquêtant sur les attentats de Paris se suicide…
Ne vous inquiétez pas, juste une coïncidence »
Ne vous inquiétez pas, juste une coïncidence »
Pendant ce temps, à l’Élysée…