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mercredi 4 février 2015

LES MYSTÈRES DE L AFFAIRE CHARLIE


              LES MYSTÈRES DE L AFFAIRE CHARLIE


                                               LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

    L article de l auteur est à la fois grave et troublant de précisions, qui il faut le reconnaitre après le calme revenu des évènements nous laisse à réfléchir et nous poser encore et encore de nombreuses questions. 

     AVANT DE LE PUBLIER J AI VOULU VÉRIFIER-  ET CE N EST PAS UN HOAX

     C est vrai et nous l avons vu avec le truquage des images sur le grand rassemblement derrière hollande qu on peut bien nous montrer n importe quoi, mais aussi nous dire juste ce que l on doit savoir, mais les Mystères et les coïncidences demeurent...Le recul permet peut être de mieux comprendre.

     Loin de moi l idée de critiquer nos services "police gendarmerie" qui ont accompli un travail remarquable. Je ne suis pas non plus un expert en balistique, mais les explications fournies par cet auteur semblent tellement possible que le doute est permis.

     C est vrai qu on nous avait parlé d une troisième personne au départ - Elle est passée où ?  Dans les oubliettes.......

     C est vrai qu il y a eu la coïncidence de l Hyper marché Cascher cédé un jour avant par son propriétaire .....

     C est vrai que l on parle de la faillite de Charlie Hebdo  racheté par Rotschild ......

     C est vrai que la compagne de Charb sait et a beaucoup de chose à dire ......

      C est vrai que le suicide du commissaire de police dont j ai publié un article récemment parait douteux, troublant ....... Évoquer le caractère dépressif de cet homme n est pas la meilleure chose à dire lorsque personne ne s en était rendu compte avant.....Une dépression ça se voit et elle n apparait pas du jour au lendemain et surtout pas au point que le dépressif se suicide dans la journée et à un moment aussi important que celui de la tragédie. 

C est vrai que l on a vu Hollande présenté ses condoléances à la mère de la policière qui a été abattue par coulibaly, mais pas de condoléances à la mère du policier .... surprenant non!!!!!

     Nous avons connu des vrais suicidés, mais il y a aussi les faux,  ceux qu on suicide, les affaires ne manquent pas et dans ce domaine nos politiques savent faire aussi, il n y a pas que les truquages et les mensonges..... Une chose est sure c est hollande et valls sont bien remontés dans les sondages et là il n y a pas eu de truquage.

     La lecture de cet article vous permettra de vous faire votre idée personnelle

 
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IL Y A QUELQUE CHOSE DE POURRI AU ROYAUME DE HOLLANDE.
                                                         Publié le 31 janvier 2015
 

     On veut donc nous faire croire que Charlie c’était la France et que chaque Français était Charlie. Maintenant que le soufflé est, comme prévu, retombé, est-il possible d’exercer cette liberté d’expression qui nous a été présentée comme la première des valeurs républicaines ?
     Pas sûr, car la com de Élysée veut préserver le plus longtemps possible l’effet d’aubaine obtenu, avec une grande habileté il faut le reconnaître, et laisser le président planer dans les sondages.
Au moins jusqu’à la prochaine partielle du Doubs afin de donner au mauvais candidat socialiste qui n’avait aucune chance de passer le premier tour et a fortiori et d’être élu au second, le crétin qui représente l’UMP ayant déjà fait savoir qu’il se désisterait en sa faveur (un truc à ne jamais dire avant, c’est pousser les électeurs à voter tout de suite pour un autre) !
Il n’y a toujours pas deux neurones à l’UMP.
     Charlie était en quasi faillite, il ne lui restait plus le 6 janvier que 10 000 abonnés, moins de 30 000 lecteurs et il était vertement critiqué même à l’extrême gauche. « Qu’ils crèvent » disait Bedos, Debbouze n’en pensait pas moins.


     Siné, viré de Charlie en 2008 sur une dénonciation en antisémitisme de l’ayatollah-procureur Claude Askolovitch, avait dépassé Charlie en tirage grâce à des collaborateurs de qualité comme Delfeil de Ton et un humour certes de gauche et libertaire mais qui évtait le scatologique (c’est à dire la merdouille) dans lequel se vautrait Charlie et dont Luz nous a donné un extrait le jour de l’enterrement de Charb. « Charb, mon amant… Ah, qu’est-ce qu’on s’est enculé toutes ces années !.. Tu aurais dessiné Netanyahou et Mahmoud Abbas. Dans ton dessin, ils ne se tiendraient pas la main, mais ils tiendraient la bite à Sarkozy… »
Etc, etc… La classe…

     Arrive le jour du massacre. Des versions complotistes circulent aussitôt qui l’attribuent, les unes au Mossad israélien, d’autres à la CIA, les dernières aux services français. Je n’y crois guère, mais cependant la troisième a quelques arguments intrigants à son actif…
      Sur la vidéo où l’on voit le policier Ahmed Merabet abattu à bout portant par l’un des deux frères Kouachi, il y a deux anomalies : la première, Kouachi passe en pointant son fusil d’assaut (calibre 7,62) vers la tête d’Ahmed, déjà à terre depuis un moment (blessé) mais il n’y a aucun signe de tir, pas de soubresauts de l’arme ni de la victime et pas de sang ; la seconde, un impact de balle sur le ciment du trottoir presqu’un mètre en avant, et quand on regarde la vidéo, il semble qu’il y ait un décalage entre l’apparition du nuage et le coup de feu. Troublant, Kouachi tirait-il avec des balles à blanc ? Mais la balle qui impacte le ciment ne peut pas venir de l’arme de Kouachi, à moins qu’il n’ait un canon à tirer dans les coins !
Cela dit, je ne suis pas un expert en balistique



     Il y a aussi la phrase qu’aurait dite le policier au moment où Kouachi le dépassait « C’est bon, chef » ou « c’est tout, chef » avant d’abaisser ses bras et de les replier. Elle peut être diversement interprétée : « c’est bon, partez maintenant » ou « c’est bon, tout se passe comme prévu », ou « je suis blessé, mais c’est bon, ça va aller, continuez le boulot » ?


     Ce n’est donc pas ce Kouachi-là qui a tué le policier. L’autre frère Kouachi ? Possible, mais a priori peu probable car il prenait le risque de toucher son frère, d’autre part il semble qu’il était excellent tireur. Je penche pour l’hypothèse d’un troisième tireur, chargé d’éliminer un témoin gênant pour « nettoyer » la scène du crime, peut-être en rajoutant un meurtre de policier. Pour dramatiser un peu plus l’événement ? Le demi-tour qu’effectuent les deux frères après avoir dépassé Ahmed d’environ 5 mètres est également surprenant, où allaient-ils en courant et qu’est-ce qui les a fait changer d’avis, surtout qu’ensuite ils manifestent un calme surprenant, ramassent la basket, etc. Il y a aussi ce voisin qui dit avoir vu « trois, peut-être cinq hommes en noir repartir en voiture ». Dans son édition en début de soirée, Libération titrait : « les trois suspects interpellés » puis le titre a été changé par « les trois suspects identifiés et localisés ».
Mais le lendemain, il n’y en avait plus que deux, les frères Kouachi. On oublie le troisième ?
      Un autre voisin, Bruno Léveillé, dit avoir entendu une trentaine de coups de feu « pendant une dizaine de minutes » qui ont commencé « à 11 h 30 pile ».
     « Nous avons essayé d’appeler la police, mais ils étaient injoignables, c’était hallucinant ». Bon, ça, je peux dire par expérience que ce n’est pas rare. Il faut croire pourtant que les coups de téléphone d’appel au secours devaient être nombreux puisque la police arrive : « on a tout de suite compris que c’était des tirs. On s’est éloigné des fenêtres. Entre une demi-heure et trois-quarts d’heure plus tard, les secours sont venus nous dire de ne pas sortir. » Or, pour aller du commissariat central du 11ème à Charlie Hebdo, il faut moins de dix minutes à une voiture avec gyrophare.
      Mais, Hollande arrive presqu’en même temps ! Exactement 56 minutes après le premier coup de feu, il est en place pour l’accueil du gros de la troupe des journalises et caméras de télé. D’où certains imaginent un scénario écrit par Gaspard Gantzer, celui qui, selon une journaliste présente dans la cour de l’Elysée, a « fait dévaler en courant l’escalier de l’Elysée au président » : 11 h 30 début de la fusillade – attendre que la police et la presse aient été prévenues – 12 h départ de l’Elysée, prévoir un quart d’heure à vingt minutes de trajet Elysée-Charlie – Conférence de presse à 13 h ».
Pur délire imaginatif, cela va de soi.
     Le président arrive sur un lieu où vient d’avoir lieu une fusillade, où une voiture piégée pourrait, par exemple, se trouver, voire un snipper en embuscade, la consigne de la police est de ne pas sortir, mais Hollande agit comme s’il était certain de n’avoir rien à craindre, et ses gardes du corps aussi.
     Aussitôt, l’enquête démarre. Je pense que ses conclusions ne seront jamais rendues publiques, parce que le ministère de la Justice clôturera l’enquête sous prétexte que les faits sont clairs et que tous les coupables, au moins les coupables officiels, sont morts.
     Un commissaire principal est chargé d’enquêter sur l’entourage familial de Charlie-Hebdo. C’est Helric Fredou, bien connu de Cazeneuve puisqu’il était commissaire principal à Cherbourg quand Cazeneuve en était député-maire, ainsi que de Hollande puisqu’il était commissaire principal à Tulle quand Hollande en était maire et conseiller général. Il était maintenant commissaire principal à Limoges. A minuit, il est trouvé suicidé dans son bureau.

    Version officielle « il était très dépressif » dit sa hiérarchie. Qui laissait donc un type « très dépressif » se promener avec son arme de service ? Regardez la photo, le demi-sourire en coin, le regard malin et direct de l’Auvergnat à qui on ne la fait pas, c’est bien une tête de type très dépressif !

     Un jeune commissaire de 45 ans, plein d’avenir et d’ambitions, que l’on charge de faire une enquête sur une ou les familles des victimes du journal Charlie Hebdo et qui, le même jour, avant même de remettre son rapport dont on ne saura jamais le contenu, se donne la mort après avoir tranquillement rejoint son bureau, c’est évidemment un dépressif. Conclusion ? Rien.

                                                                     Versions possibles :

1 : il était vraiment dépressif, sa hiérarchie l’avait remarqué, mais pas sa famille qui nie farouchement tout signe de dépression, de même que son médecin « référent » ;
2 : en lui confiant l’enquête sur Charlie, on lui a demandé quelque chose de tellement énorme, peut-être à l’incitation de Hollande ou de Cazeneuve qui le connaissaient bien, qu’il a préféré se suicider plutôt que de perdre son honneur de « grand flic » ;
3 : flic expérimenté il a très vite trouvé ou au moins soupçonné quelque chose de tellement énorme qu’on l’a suicidé. On peut être un policier discipliné et trouver qu’il y a des bornes à ne pas dépasser dans l’ignominie.
      Le 16 janvier, sa sœur confie ses doutes à Panamza, « la gazette de l’info subversive », qui interroge la mère de Helric Fredou, celle-ci explique qu’elle ne sait pas grand-chose sauf que son fils n’était pas dépressif et que lorsqu’elle a demandé le rapport d’autopsie, on lui a dit : « Vous ne l’aurez pas« . Le Code de procédure pénale prévoit pourtant qu’en cas d’autopsie judiciaire (pour suicide ou mort suspecte), tout membre de la famille peut en faire la demande auprès du Parquet.
Oui, mais quand il y a quelque chose de pas clair, la famille ne l’a jamais !

     De plus, son arme de service n’avait pas de silencieux. Comment ses collègues n’ont-ils rien entendu ?      Réponse « Son bureau était très bien isolé » .
Comme celui de François de Grossouvre sans doute ?



     Ce que sait la mère, c’est qu’il avait « débriefé » en début de soirée trois inspecteurs chargés d’aller interroger les parents de Jeannette Bougrab, (la compagne de Charb), avait décidé de fouiller dans les réseaux sociaux, puis avait déclaré qu’il fallait qu’il y travaille toute la nuit et refusé que l’un de ses collègues qui le lui proposait s’en charge, puis ajouté qu’il aurait à passer « un important coup de fil » avant de rentrer chez lui.

                     Est-ce avant ou après cet « important coup de fil » que le suicide a eu lieu ?
     Qu’a-t-il fait comme découverte ou déduction ? On ne le saura jamais, il n’y a pas de rapport et son bureau a été soigneusement nettoyé. C’est normal, après un suicide il faut bien nettoyer, non ?
     La police a déclaré aussi qu’il avait appuyé le canon sur son front et que « la balle est restée dans le crâne «. En principe, depuis 2002, l’arme de service de la police nationale (aussi gendarmerie et douane) est un Sig-Sauer SP2022 qui tire du 9mm parabellum. Je laisse les spécialises en juger, mais le pauvre Helric avait manifestement un crâne en acier !
     La police a refusé de dire à la mère à qui Helric voulait passer ou avait passé « un important coup de fil » dans la soirée « personne n’a à le savoir », puis est revenue sur sa déclaration en disant que finalement il n’y avait pas eu de coup de fil. C’est plus simple, pas d’explication à donner, pas d’important personnage mis en cause.
     Enfin, ni Cazeneuve, ni Hollande – qui connaissaient pourtant bien Helric Fredou – n’ont téléphoné à sa maman pour présenter leurs condoléances, alors que Hollande s’est déplacé pour aller présenter les siennes à la famille d’Ahmed Mérabet. Par contre, quatre directeurs de la police nationale ont fait le voyage de Paris à Limoges pour bien mettre dans la tête de maman Fredou que c’était un suicide et qu’il n’y avait pas d’autre version possible.
     Comme dit le journal des vétérans de l’US army, Veteranstoday, « Something is rotten in Paris » (Il y a quelque chose de pourri à Paris).

commissaire de police enquêtant sur les attentats de Paris se suicide…
Ne vous inquiétez pas, juste une coïncidence »

                                                           Pendant ce temps, à l’Élysée



mardi 3 février 2015

CARSAT - DES CONSÉQUENCES DRAMATIQUES

                              CARSAT

 DES CONSÉQUENCES DRAMATIQUES

Toujours des retraites non payées, une dame s’est fait couper le téléphone 

                       LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

      Force est de constater une fois encore que nos gouvernants  par l intermédiaire de leur ministre de la santé (la tourraine riche comme crésus qui n est donc pas dans le besoin) se satisfait de la situation.

      Des milliers de nouveaux retraités de la région et de Picardie ont souffert des retards dans le versement de leurs pensions. Même si la situation évolue positivement, la fermeture provisoire des agences CARSAT (ex-CRAM) n’a pas tout résolu.

     Une fois encore au risque de me répéter, je me demande bien à quoi servent tous ces élus locaux maire, député, si ce n est de se remplir les poches. Ne me dites pas qu ils n ont pas été approchés pour dénoncer cette situation invivable, ne me dites pas qu il n étaient pas au courant, mais ils font quoi, à part des discours inutiles, des grands gestes, c est le cul qu il faut se bouger.

     Les élus ne sont pas sans oublier que nous sommes en période de crise (ou d austérité) que les salaires et les retraites sont gelées depuis des années, que les travailleurs ont déjà du mal à s en sortir, et que les retraités ont du mal à vivre, ce qui n est surement leur cas. Mais cette situation  n a pas l air de les déranger beaucoup, ni de les préoccuper, ni de les empêcher de dormir.

     Ces messieurs font toujours les surpris, les étonnés lorsqu il arrive des accidents, des suicides, ils commencent à chercher des responsables,  cherchent des excuses, présentent leur condoléances aux proches,  leur soutient.

      En parlant de soutient - Les frères faux culs parlant de Front Républicain" vont encore bien s entendre pour barrer la route du FN à AUDINCOURT, incontestablement l UMP préfère le PS l ennemi juré avec qui il magouille très bien.

     Cela ne me semble pas ni Démocratique , ni Républicain mais plutôt MAGOUILLAGE , de quel droit ces idiots dirigeants de parti donnent ils des instructions à leurs adhérents, le peuple n a pas besoin qu on lui impose ses choix, il a des yeux pour voir se qui se passe, et des oreilles pour entendre leurs conneries depuis des années.

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                                   Des conséquences dramatiques

     Une fois n’est pas coutume, citons nos sources. Début septembre, lorsque nous avons pour la première fois parlé des retards pris à la CARSAT (Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail) Nord-Picardie, c’était elle notre informatrice. Pourtant, Patricia Duvieubourg n’a rien d’une agitatrice professionnelle. Elle est présidente de la conférence Saint-Vincent de Paul de Guînes, une association caritative. Elle nous avait alertés, effrayée par le nombre croissant de retraités qui lui demandaient de l’aide, faute d’avoir reçu leur pension en temps et en heure.
    Aujourd’hui, Patricia Duvieubourg ne désarme toujours pas : « Je commence à avoir des appels de personnes qui attendent le versement de leur pension depuis le mois de septembre. À Bouquehault (près de Calais), il y a une dame à qui on a coupé le téléphone. Chez elle, Noël va être très triste. »
À Marck, Brigitte Moreau patiente depuis le 1er septembre : « On nous demande des papiers qu’on a déjà donnés. Ça traîne, ça traîne. On est obligé de se limiter dans les dépenses, on fait très attention quand on fait les courses. »

                        La CARSAT : « Tout sera réglé d’ici fin décembre »

     Pourtant, du côté de la CARSAT, le directeur adjoint, Jean-Baptiste Escudier, rassure : « Nous avons fermé les accueils des agences retraite du 1er au 17 octobre pour résorber les retards. Cent douze techniciens n’ont fait que de la mise en paiement. D’ici à la fin d’année, on aura complètement épuré le stock. »
     Patrice Bardet et la CGT (minoritaire à la CARSAT) ne sont pas de cet avis : « Bien sûr, les retards sont en train de se résorber. Mais les problèmes se sont reportés sur l’instruction des dossiers. Pendant qu’on traitait les dossiers en retard, ceux des futurs retraités n’ont pas été traités. Dans quelques mois, ça va exploser de nouveau. »
     Selon Patrice Bardet, 1000 dossiers seraient actuellement au contrôle et 2500 en liquidation, soit 3500 dossiers avec une entrée en jouissance de la retraite dépassée d’au moins un mois (contre 6000 au plus fort de la crise). Pour Jean-Baptiste Escudier, les chiffres avancés par le syndicaliste sont exagérés : « On a encore 1 740 dossiers en instance. Et on se doit de les régler d’ici le 9 décembre. » Du simple au double donc. Mais quel que soit le chiffre, les deux partis seront au moins d’accord pour affirmer que c’est encore trop.

                   «Pour Marisol Touraine, c’est tout va très bien Mme la Marquise»

     Que font les parlementaires de la région dans cette affaire de retraites non versées en temps et en heure ? Il serait un peu trop dans l’air du temps d’affirmer qu’ils n’ont pas bougé le petit doigt. Sur le site de l’Assemblée nationale, nous avons ainsi déniché des questions écrites envoyées Jean-Jacques Candelier (PC-Front de gauche), Jacqueline Maquet (PS), François-Xavier Villain (UMP), Alain Bocquet (PC-Front de gauche), Guy Delcourt (PS) et Christian Hutin (MRC). Tous s’inquiètent de la situation rencontrée par les nouveaux retraités. Sans réponse de Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé. 

     « Pour l’instant, il n’y a pas de réponse mais ça devrait arriver, explique Christian Hutin. J’ai rencontré une dame qui n’avait rien touché depuis six mois. C’est absolument catastrophique. Il y a eu un afflux important de jeunes retraités mais aussi un manque de moyens criant à la CARSAT. Il y a un scandale. J’essaie de secouer tout ce que je peux secouer. »

     Guy Delcourt reconnaît que les députés doivent davantage s’emparer de la question : « Pour l’instant, on n’a pas eu une posture suffisamment orchestrée. Il faut qu’on aille mettre notre nez là-dedans. »

     La plus remontée semble être Michelle Demessine, la sénatrice PC : « J’ai envoyé un courrier à la ministre pour lui faire part de mon indignation. Elle m’a répondu. Pour Marisol Touraine, c’est tout va très bien Mme la Marquise. Cette situation va se reproduire et on ne peut pas se résigner. Ce n’est pas une aide diverse, c’est leur moyen de vivre ! C’est l’outil CARSAT qui disjoncte. Des courriers comme ceux qu’on a écrits ne servent à rien. Je compte interpeller le président de la République. » P.-L. F.

 

lundi 2 février 2015

MARINE ET LES SONDAGES


            MARINE ET LES SONDAGES

     Les apprentis-sorciers qui s’accrochent au pouvoir ou qui aspirent à y revenir voient en Marine Le Pen à la fois leur pire cauchemar et leur dernière chance.



                                                 LA PETITE INTRODUCTION DE BBR


     Que vous soyez ou pas Front National, que vous soyez ou pas pour Marine, force est de constater que sa progression est  constante. Il suffit de se poser la seule question POURQUOI.

     Inutile d évoquer en permanence le problème du racisme, de l islamophobie, et se contenter de cette piètre solution. 

     Si en son temps le père LE PEN tenait des propos outrageants pour certaines communautés et pour lesquels il a toujours été traduit en Justice et condamné, il  n en n ai plus de même avec la fille, la nièce et bien d autres qui précisent cependant que les entrées massives de clandestins majoritairement musulmans. islamistes, sans contrôle n est pas l idéal pour Les Français.

     Les Français,  qui même s ils ne le clament pas haut et Fort dans les rues, le pensent , en ont assez, d autant que l on constate les résultats et même s il ne faut pas faire d amalgame comme le dise les UMPS,           
     Les Français en ont assez de subir cette invasion qui ne veut pas s intégrer, qui n acceptent pas les lois de leur terre d accueil, et qui veulent imposer les leur,  comme les us et coutumes du pays de leurs ancêtres.

     Mais les Français en on assez aussi de cet UMPS qui dirige notre pays depuis plus de 50 ans avec du pire à chaque nouveau président, du pire chaque année, avec des mots que nous n avions entendu que lors des périodes de guerre (Crise, récession, austérité) auxquels il faut ajouter les mots (dette, trou de la sécu) puis (injustice sociale, pénale) , ou encore celui de l Education Nationale où l Enseignement a terriblement baissé, notre sécurité sociale qui rembourse de moins en moins, les faveurs ou avantages accordés aux étrangers dans de nombreux domaines, assez du chômage qui grimpe , assez des impôts et dont ils ne voient aucune issue. Ils en ont assez d entendre tous les jours dans les informations, les mauvaises nouvelles qui tombent (baisse des avantages, augmentation des inconvénients).

     Les Français en ont assez de constater que nous sommes  un pays possédant un nombre important de députés 577, et de Sénateurs plus de 300  (au proratas de sa population), grassement payés, avec de nombreuses primes, avantages, qui brillent par leur absence pour soulever les problèmes auxquels nous sommes confrontés chaque jour, mais qui savent se voter des lois pour en tirer leurs propres intérêts, alors que le peuple a du mal à finir les fins de mois, que les salaires et les retraites sont gelés depuis des années (mais pas pour eux, pas pour les hautes sphères de la Finance qu on retrouve dans les hauteurs du CAC 40), que tout le reste augmente y compris l indispensable.
    
     Je persiste à dire que si nous avions seulement 100 députés, ce serait amplement suffisant, et nous ferions des tas d économies, nous commencerions surement à combler notre dette et boucher quelques trous. 

     Les Français en ont assez de voir leur élus , mentir, tricher, frauder le fisc , faire des promesses non tenues, faire des discours que j appelle des bla bla bla, du vent) qui ne mènent à rien.

      Les Français en ont aussi marre de subir la pression et les ordres de l Amérique ou de Bruxelles.

     Alors je ne sais pas ..... si Le Front National fera mieux, sera meilleur que les autres, mais ce que je sais c est qu il n y a aucun tête parmi l UMPS capable de tout changer dans le bon sens c est à dire en pensant à nous, à notre pays et nous avons peut être besoin d un changement RADICAL (sans faire d amalgame bien sur). Les sarkozy, jupé, fillon, valls, mondebourg surement, et autes on connait on les a vu à l oeuvre.

     Ce que je sais aussi , c est que ses faux frères ennemis de l UMPS s entendent comme des larrons en foire lors des élections pour barrer la route du FN alors qu ils se crêpent le chignon à longueur d année, mais ça c est uniquement pour obtenir le pouvoir et les avantage que ça leur procure, c est ainsi que nous avons des décennies cette alternance Gauche Droite et dont nous ne sommes jamais satisfait......

     Si le FN progresse autant ce n est pas le fruit du hasard, et ce n est pas uniquement sur le plan des étrangers qui n est qu un prétexte qu on lui met sur le dos pour éviter l arrêt de cette alternance, non c est à cause de la politique qui est menée, de tous les échecs constatés dans tous les domaines.


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Journaliste et écrivain

     Il a présidé la Bibliothèque de France et a publié plus d'une vingtaine de romans et d'essais. Co-fondateur de Boulevard Voltaire, il en est le Directeur de la Publication  Miroir, petit miroir magique, dis-moi que je suis toujours la plus belle…

     Eh bien non, Majesté. Depuis les élections européennes de mai dernier, le « premier parti d’opposition », ce n’est plus l’UMP, c’est le Front national. Une foucade, une tocade, un mouvement d’humeur ? Toutes les enquêtes d’opinion vont dans le même sens: les élections départementales de fin mars devraient confirmer et même accentuer ce qui apparaît donc comme une tendance lourde. Le Front national y est donné de nouveau en tête, et de loin, autour de 30% des suffrages exprimés.
     Et dans deux ans et demi ? Allez savoir. En tout cas, à en croire le sondage publié avant-hier dans Marianne, si l’on votait aujourd’hui non pas dans le seul département du Doubs pour y donner un remplaçant à M. Moscovici mais dans la France entière pour élire le président de la République, Marine Le Pen, en recueillant de 29 à 31% des votes, suivant les cas de figure, distancerait nettement tous ses rivaux. Face à la présidente et candidate du Front national, Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé, pour l’UMP, et Manuel Valls, pour le Parti socialiste (à supposer bien sûr que le P.S existe toujours en 2017, que M. Valls soit toujours étiqueté socialiste et que son parti l’ait désigné) plafonnent chacun à 23%. Quant à M. Hollande, tout requinqué qu’il est depuis le début de l’année, il n’obtiendrait que 21% des voix. Tous derrière et elle devant, comme dans le poème de Francis Jammes mis en musique par Brassens.

     La leçon de ces chiffres est claire: alors que Marine Le Pen, qui n’aura pas de concurrents dans son parti, semble assurée d’être présente au second tour, il n’en est pas de même des représentants des deux grands et vieux partis traditionnels.

     Celui qui sera sorti vainqueur de la compétition au sein de son propre camp devra ensuite livrer une bataille de chiens à son adversaire « républicain » s’il veut se qualifier pour la finale. Il s’ensuit que, dès lors que l’investiture de l’UMP ou du le P.S. n’en est plus la garantie, ils devront tout faire pour aboutir à une candidature unique de la gauche ou de la droite. Le temps n’est plus où Lionel Jospin croyait pouvoir négliger les petits candidats qu’étaient Chevènement, Christiane Taubira ou Dominique Voynet, le temps n’est plus où le R.P.R. était assez fort pour ne pas redouter une candidature centriste.

     Marine Le Pen, forte de sa confortable avance du premier tour sur des compétiteurs qui font désormais figure de challengers, serait-elle donc en position de l’emporter ? En aucun cas, et ceci quel que soit son adversaire. Manuel Valls, avec 61%, Alain Juppé, avec 60%, Nicolas Sarkozy avec 57% et même François Hollande avec 55% (51% seulement suivant un autre sondage) la coifferaient, plus ou moins facilement, sur le poteau…

     On verrait donc, une fois de plus, au nom du Front républicain et de la défense des valeurs de la démocratie par ceux pour qui elle n’est qu’un mot, se constituer une fois encore l’union de la droite et de la gauche parlementaires, on verrait donc, toute honte bue, les notables socialistes et les notables conservateurs, avouer que ce qui les rapproche prime sur ce qui les sépare et étaler au grand jour leur complicité ?

     Il est de fait qu’aujourd’hui, en 2015, la France qui désire l’accession du Front national au pouvoir est moins nombreuse que la France qui ne la souhaite pas ou qui n’en veut à aucun prix. C’est d’ailleurs pourquoi les apprentis-sorciers qui s’accrochent au pouvoir ou qui aspirent à y revenir voient en Marine Le Pen à la fois leur pire cauchemar et leur dernière chance. Mais qu’en sera-t-il en 2017 ?

     La Grèce hier a renvoyé dos à dos la Nouvelle démocratie et le PASOK, l’un et l’autre discrédités et faillis. L’Espagne, demain, dira sa lassitude de la fausse alternance entre le Parti socialiste et le Parti populaire. La question qui se pose dès aujourd’hui en France est de savoir si nous approchons nous aussi du point de bascule, celui à partir duquel une majorité hait à ce point les gens en place qu’elle cesse d’avoir peur de ceux qui pourraient les remplacer

dimanche 1 février 2015

LE SUPER BAR


                    
                    LE SUPER BAR
 
Un Anglais, un Américain et un Belge sont dans un bar à Paris.
 
> > > Ils discutent et s’amusent et sont tous d’accord que c’est un endroit plaisant.
Alors l’Anglais dit : « C’est bien fun ici, mais à Londres, j’en connais un bien mieux qui s’appelle Chez Andrews. Là, tu achètes ta première bière, tu achètes ta deuxième bière, et Andrews lui-même te paye la troisième ! »
 
Mais l’Américain dit : « J’veux pas vous embêter, mais j’en connais un encore mieux !
> > > Y’a un bar à New York qui s’appelle Chez John. Tu achètes ta première bière et John te paye la deuxième.
> > > Tu achètes ta troisième bière et John te paye la quatrième ! »
 
Alors le Belge dit : « Vous pensez que c’est un endroit tripant ? Écoutez bien ça. Chez nous, il y a un bar qui s’appelle Chez Jef Vanderbrul.
 
> > > Vous ne me croirez pas, mais, Chez Vanderbrul, tu te fais payer ta première bière, tu te fais payer ta deuxième bière, tu te fais payer ta troisième bière, tu te fais payer ta quatrième bière, et là , tu peux aller dans une chambre au deuxième étage… et tu baises ! »
 
« Incroyable ! disent les deux autres. Est-ce que ça t’es réellement arrivé à toi ? »
 
« Non, répond le Belge, mais c’est arrivé à ma sœur ».

COÏNCIDENCE - OU INFO VOLONTAIREMENT CACHÉE



    COÏNCIDENCE - OU INFO VOLONTAIREMENT CACHÉE

Le patron d’Hyper Cacher avait cédé son entreprise la veille de la prise d’otages


                                               
                                                  LA PETITE INTRODUCTION DE BBR
     C est vrai que l information transmise par l article ci-dessous peut paraitre pour le  moins curieuse, mais surtout impensable de coïncidence, où tous  les doutes peuvent être permis.

     Bien sur que cet homme avait le droit de céder son hyper marché, mais l article précise que cela s est fait un jour avant la prise d otages, et qu il avait installé sa famille à New York pour la sécuriser. Bien des questions peuvent en effet être posées. 

     Était il au courant d un éventuel attentat ? Avait il connaissance du risque qu il courait en restant à Vincennes  ? Pourquoi aucun journaliste n a évoqué ce départ ? Pourquoi les enquêteurs ont été muets sur ce sujet ?

     Avait ton peur de faire ressortir une forme d anti Sémitisme, comme on a peur de parler islamophobie ?

     Encore bien des mystères autour d une coïncidence.

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     Un quotidien américain rapporte incidemment un fait troublant : Michel Emsalem, président-fondateur et actionnaire unique du groupe Hyper Cacher, avait cédé sa participation la veille de l'attentat. Huit mois plus tôt, il avait également installé sa famille à New York pour la «sécuriser».

      Étrange désinvolture de la presse traditionnelle de l'Hexagone : son magasin était au cœur de l'actualité nationale du 9 janvier mais aucun journaliste issu des grandes rédactions n'est allé s'enquérir de sa réaction face aux évènements du jour. 

                                                            Son nom est Michel Emsalem.



     Depuis trois semaines, un seul article de presse fait -brièvement- référence à lui : le 20 janvier, le site du Figaro a consacré un papier à la naturalisation de Lassana Bathily, "héros de l'Hyper Cacher". Extrait :

     Dans le public, un homme, discret, se dit «très fier d'être là».

     Il s'agit de Michel Emsalem, le président du groupe Hyper Cacher qui confie au Figaro: «J'ai recruté Lassana. Un de ses cousins me l'avait recommandé. J'emploie beaucoup de Maliens dans mes magasins. Lassana est un garçon gentil, très disponible, avec un bon esprit».

     Avant de conclure, solennel: «Chez nous, on dit: ‘Celui qui a la chance de sauver une vie, il sauve l'humanité'.»

     Ce mardi 20 janvier, l'homme était également apparu dans un reportage réalisé par le site de la mairie de Paris. On l'aperçoit (à la 5ème seconde de la vidéo ci-dessous) en train de saluer le maire de New York venu se recueillir devant son magasin de Vincennes où s'est déroulé la prise d'otages, onze jours plus tôt.


      {Les connaisseurs de la mouvance sioniste hexagonale pourront également découvrir, à 0'20, la curieuse complicité souriante, en ces jours de deuil, de Patrick Klugman, adjoint au maire de Paris, et Gil Taïeb, vice-président du Crif}.

      Créé en 1992, le groupe Hyper Cacher dispose d'un magasin à Vincennes depuis 2010. Fondateur et président du groupe ainsi que de ses filiales: Michel Edmond Mimoun Emsalem, né le 18 janvier 1965. Notons que l'homme est également à la tête de la société financière Emsalem, créée en 1982 et disposant d'un capital de 2,5 millions d'euros.

      Le 21 janvier, au lendemain de la visite parisienne du maire de New York, un quotidien américain- le New York Post- a rapporté une information singulière : "Le PDG du magasin cacher a envoyé sa famille à New York en réaction à l'antisémitisme dans Paris".

      Les journalistes du tabloïd ont été visiblement les seuls à vouloir recueillir le témoignage de Michel Emsalem et de son épouse. Le patron d'Hyper Cacher affirme ainsi que ses filles, installées -avec leur mère- à New York depuis avril 2014- sont "beaucoup plus en sécurité". L'homme -qui prétend songer à rejoindre bientôt sa famille- a déclaré également "avoir, par coïncidence, cédé sa participation dans Hyper Cacher un jour avant l'attaque". Détail supplémentaire rapporté par le New York Post : il demeure néanmoins le PDG de l'enseigne commerciale.

      Double précision : Hyper Cacher est une société d'actions simplifiées unipersonnelle. Hyper Cacher Vincennes est également possédée par le même actionnaire unique: Michel Emsalem.

      Autre élément d'information à souligner : bien que -moyennement- rentable, Hyper Cacher était de plus en plus endettée ces dernières années. Pour cause : l'essor fulgurant de l'émigration des Français juifs en Israël, notamment en 2014, suscite inévitablement – à moyen terme- une baisse du chiffre d'affaires pour les commerces à destination de la communauté juive.

      La prise d'otages du 9 janvier, accompagnée par l'encouragement de Netanyahou à partir s'installer en Israël, devrait accentuer cette tendance dans l'année à venir.


                                                                  Synchronicité

      Qu'est-ce qui explique la cession d'Hyper Cacher -un jour avant- par sa figure emblématique? Mystère.

      Une seule chose est certaine : au printemps 2014, Michel Emsalem avait déjà estimé nécessaire d'entamer un virage personnel avant de le prolonger aujourd'hui par une mutation professionnelle. Au regard des pertes financières que devraient provoquer les prochains départs des Français juifs pour l'étranger, il était temps, in extremis, de tourner la page de l'enseigne Hyper Cacher.