Hollande rend hommage aux
combattants « musulmans » : une obscénité mémorielle et communautariste aux
infâmes motivations électoralistes
Jusqu’où
allons-nous encore descendre avec ce président déplorable, au-dessous de tout,
et ce gouvernement d’incapables ou de sectaires aux ordres des lobbies ?
Jusqu’où allons-nous encore sombrer, dans cette nullité, cette duplicité, ce
communautarisme et ce déni de démocratie ?
Destruction
de la famille à grand coups de mariage homo et bientôt – quoiqu’ils en disent –
de PMA et GPA (au placard pour seule cause d’élections à venir)… euthanasie
pour tous qui pointe le bout de son nez (comme la légalisation du cannabis)…
invraisemblable répression policière lors des Manifs pour Tous, du Jour de Colère
ou des in-actions des veilleurs, à grands coups d’arrestations arbitraires et
de gardes à vue illégales… obscène lynchage médiatique en meute et répression
fiscale dans l’affaire Dieudonné… promotion effrénée et totalement hypocrite de
la théorie du genre et de l’homosexualité à l’école… insultes abjectes et d’une
violence inouïes envers Farida Belghoul ou Marion Sigaut (notamment par la voix
de la ministre… du droit des femmes !)… chaque jour qui passe apporte sa
pierre, pathétique ou scandaleuse dans l’érection d’un véritable monument de la
honte, de la décomposition sociétale, politique, intellectuelle et démocratique
de notre pauvre France qui, après avoir déjà tant souffert sous la Sarkozie, se
décompose aujourd’hui dans la Hollandie.
Ce mardi 18
février 2014 n’a pas fait exception à ce qui est donc aujourd’hui une triste
règle : François Hollande a en effet apporté une nouvelle pierre à son œuvre
noire en rendant hommage, à la Grande Mosquée de Paris, aux soldats « musulmans
» qui ont combattu pour la France durant les deux guerres mondiales, déclarant
notamment que la France avait « une dette à leur égard ».
Les soldats «
musulmans »… Hollande inventant en cette occasion une classification militaire
inédite et assez hallucinante, qui fera sans doute date dans la pourtant déjà
fort foisonnante galerie des délires communautaristes estampillés PS.
Cette
séparation mémorielle et religieuse des combattants ayant défendu la France est
une sacrée première.
À quand, puisqu’on y est, un hommage tout aussi solennel
et spécifique aux soldats « juifs » (remarquez que ça, ça devrait pouvoir se
faire sans problème… par exemple au dîner du CRIF) ou aux combattants «
catholiques » (m’est avis, par contre, que celui-là, on peut toujours
l’attendre) ?
Bien sûr, la
raison de cet hommage-là est cousue de fil blanc : sachant tout ce qu’ils
doivent à l’électorat issu de l’immigration africaine et notamment maghrébine
(qui avait voté lors de la présidentielle de 2012 à plus de quatre-vingt pour
cent pour le candidat Hollande, permettant de fait son élection), électorat
très largement « musulman », le Parti socialiste et sa mauvaise conscience
Terra Nova essaient de rattraper les conséquences dans l’électorat issu de
l’immigration « musulmane » (et dramatiques pour leurs sordides petits calculs
politiciens) du lynchage en place publique de Dieudonné, de l’introduction à
grands coups de prosélytisme LGBT de la fumeuse théorie du genre à l’école, et
des insultes en cascades de Vincent Peillon ou Najat Vallaud-Belkacem à l’égard
de Farida Belghoul et de son JRE (Jour de retrait de l’école).
Hollande et
son sinistre orchestre voient en effet à présent, après ces différents épisodes
dont ils n’avaient même pas imaginé les possibles conséquences, un électorat
qu’ils croyaient captif pour de longues années s’émanciper du joug socialiste.
Et c’est évidemment la panique : il y avait déjà belle lurette que le PS avait
perdu le vote ouvrier… s’il perd à présent le vote immigré, il ne lui restera
plus que les gays et les bobos.
Ce qui est fort peu, convenons-en, et ne
pourrait que provoquer une bérézina sans précédent lors des prochaines
échéances électorales nationales. D’où cette dernière sortie hollandienne,
d’une finesse éléphantesque, à la Grande Mosquée de Paris.
Notre
cuistre présidentiel à gros sabots a immédiatement ajouté : « cet hommage est
un appel au respect des morts, mais aussi des vivants », appelant dans la
foulée à « lutter farouchement contre les discriminations, les inégalités et le
racisme, et à être intraitables à l’égard des paroles et des actes
anti-musulmans ».
Ben tiens, on ne l’avait pas vu venir, celle-là ! Mais le
cynisme et le calcul électoraliste ne suffisant apparemment pas au champion de
la Hollandie sans complexes, notre président normal a osé ajouter un
invraisemblable (dans sa bouche) : « Jamais personne ne doit être menacé ou
agressé pour ses croyances »… sauf justement sous son règne, avec la complicité
bienveillante de Manuel Valls et Christiane Taubira, lorsque que c’est par des
Femen et qu’on est catholique, bien sûr !
« Cet hommage
communautariste en diable n’est pas simplement que la grosse entourloupe
électoraliste d’un homme qui prend décidément (comme le parti dont il est issu)
nos compatriotes musulmans pour des abrutis. C’est aussi, n’ayons pas peur des
mots, une véritable saloperie, en ce qu’elle sépare comme on l’a dit, qu’elle
classifie les soldats qui ont combattu ou sont morts pour la France durant la
première ou la seconde guerre mondiale en fonction de leur appartenance
religieuse. »
Mais cet
hommage communautariste en diable n’est pas simplement que la grosse
entourloupe électoraliste d’un homme qui prend décidément (comme le parti dont
il est issu) nos compatriotes musulmans pour des abrutis.
C’est aussi, n’ayons
pas peur des mots, une véritable saloperie, en ce qu’elle sépare comme on l’a
dit, qu’elle classifie les soldats qui ont combattu ou sont morts pour la
France durant la première ou la seconde guerre mondiale en fonction de leur appartenance
religieuse.
Le Parti socialiste n’avait pas manqué pourtant de pousser des cris
d’orfraie (justifiés) lorsque Nicolas Sarkozy s’était vanté d’avoir nommé le
premier préfet « musulman » de France. UMPS, quand tu nous tiens…
La Seconde
guerre mondiale, justement, mon père l’a faite… dans le 6e régiment de
tirailleurs marocains (1). Vivant à l’époque au Maroc, à Marrakech, il s’est
engagé volontaire comme 2e classe le 16 novembre 1943.
Il avait 18 ans, soit un
an de moins que l’âge légal pour être appelé sous les drapeaux. Il fut
démobilisé après la fin de la guerre, le 14 janvier 1946.
Durant son engagement
pour libérer la France, il a fait la campagne d’Italie (11 février-14 septembre
1944), durant laquelle il a été nommé caporal le 1er mars 1944 avec attribution
d’une Croix de Guerre à étoile de bronze et citation à l’ordre du régiment pour
son engagement dans les combats, puis la campagne de Libération de la France
(15 septembre 1944-17 avril 1945) au cours de laquelle il fut grièvement blessé
à la gorge près de Mulhouse, le 29 novembre 1944.
Une blessure et un fait
d’armes qui lui valurent une seconde Croix de Guerre, cette fois avec étoile de
vermeil, ainsi que la médaille des blessés et une citation à l’ordre du corps
d’armée. Citation que voici :
« Chef de
mitrailleuse d’une conscience au dessus de tout éloge. S’est fait remarquer au
cours des opérations du 20 au 29 novembre 1944 à Mulhouse par son calme et son
énergie. Le 29.11.1944, attaqué par un ennemi supérieur en nombre, ne s’est
replié que sur ordre et après plusieurs heures de résistance et de manœuvre.
A
été sérieusement blessé en stoppant une attaque ennemie à 100 mètres de sa
pièce.
Cette présente citation comporte l’attribution de la CROIX DE GUERRE AVEC ETOILE DE VERMEIL ».
Cette présente citation comporte l’attribution de la CROIX DE GUERRE AVEC ETOILE DE VERMEIL ».
Il avait alors
tout juste 19 ans, était tirailleur marocain du 6e régiment, s’appelait René
Leroy… et n’était pas musulman. Et rentré chez lui, il ne parlera plus jamais à
personne de sa guerre pour la France, jusqu’à sa mort en avril 1973 et à
seulement 47 ans d’un cancer de l’amiante (j’avais tout juste 9 ans).
Si j’ai tenu
a citer cet exemple familial, dont je ne retire bien évidemment aucun mérite
personnel, mais qui provoque en moi au moment où j’écris ces lignes une très
profonde émotion et une immense fierté, c’est parce que j’en ai plus qu’assez
de voir et d’entendre nos « élites » politiques et médiatiques mettre sans
cesse en avant, comme notre président normal vient donc encore de le faire, les
seuls combattants « musulmans » ou indigènes quand il s’agit d’évoquer les
troupes d’Afrique du Nord ou d’Afrique noire venues défendre la mère patrie
lors des deux terribles conflits mondiaux qui ont ensanglanté le XXe siècle.
Car, notamment en ce qui concerne les forces armées venues d’Afrique du Nord,
une grande partie (environ la moitié) des soldats qui les composaient n’étaient
pas des indigènes comme on disait couramment alors, et comme on fait donc mine
de le croire aujourd’hui, et encore moins des musulmans, mais des Français « de
souche » ou d’origine européenne, le plus souvent de religion catholique (2).
Des pieds-noirs, ou plutôt des « colons » (en réalité et dans leur immense
majorité fort modestes) comme diraient les bien-pensants à mémoire d’oiseau et
à cerveau d’amibe qui nous gouvernent ou qui polluent nos médias.
Et, même si
les belles âmes révisionnistes continuent vaille que vaille à prétendre le
contraire, comme dans le scandaleux film Indigènes qui travestit
l’histoire en piétinant au passage la mémoire de très nombreux morts pour la
France, les soldats indigènes ne furent pas mis en première ligne comme une
chair à canon coloniale : ce fut même en vérité presque exactement le
contraire, certains officiers ne leur accordant pas toujours (certainement à
tort) une totale confiance.
Et ce furent bien les pieds-noirs qui payèrent le
plus lourd tribu sur le champ de bataille (3).
Ce qui ne
doit évidemment pas nous empêcher d’accorder toute notre reconnaissance à tous
les soldats, indigènes, pieds-noirs français de souche ou naturalisés d’origine
européenne, qu’ils soient musulmans, juifs, catholiques ou athées, qui ont
risqué leur vie ou qui sont morts pour libérer la Patrie. L’hommage de la
France à ses défenseurs ne se divise pas, ne se communautarise pas. Sauf quand
on s’appelle François Hollande, et qu’on est définitivement indigne de la
fonction présidentielle qu’on occupe… et qu’on souille, une fois de plus.
(1) Citations collectives du 6e régiment de
tirailleurs marocains :
-1ère
citation à l’ordre de l’Armée attribuée au 6e régiment de tirailleurs marocains
(6e RTM) après la bataille du Garigliano en Italie en mai 1944, Ordre général
n° 130, 22 juillet 1944. général Juin :
« Magnifique
Régiment de Tirailleurs Marocains, toujours égal à soi-même, ardent et
manœuvrier, animé du plus bel esprit de sacrifice. A, sous le commandement du
colonel CHERRIERE, joué sur le front d’Italie, dans la bataille de rupture
engagée le 11 mai, un rôle prépondérant; attaquant entre l’Ornito et le Feuci,
a, en 36 heures, bousculé et rompu les résistances ennemies, malgré de
nombreuses contre-attaques de front et de flanc, lui coûtant des pertes
sévères, puis a poussé à travers le dispositif adverse une pointe profonde qui,
par le développement de la manœuvre a permis les succès ultérieurs de notre
Armée. Au cours de ces combats couronnés le 13 par la conquête du col de
Crisano, a causé à l`ennemi des pertes très lourdes, lui capturant plus de 300
prisonniers dont 9 officiers et un matériel de guerre important.
Intégré du 19
au 31 mai dans un Groupement opérant a l’aile du Corps de Montagne, a, dans la
période d’exploitation et de poursuite, surmonté toutes les résistances
rencontrées, participant notamment avec ses éléments le 22 mai a l’enlèvement
du village de Lenola s’emparant ensuite de haute lutte des massifs du Petrella
et du Vona, des cîmes del Nibbio et del Piglioro, conquérant en une seule
journée les 10 kilomètres de crêtes jalonnées par les monts Campo di Lupino et
Siserno, puis le col de la Palombara, ajoutant a son tableau initial près de
150 nouveaux prisonniers, un grand nombre d’armes automatiques et de canons. »
- 2ème
citation à l’ordre de l’Armée attribuée au 6e régiment de tirailleurs marocains
(6e RTM) après la campagne de France en Alsace en novembre 1944, Ordre général
n° 704, 22 mai 1945. Charles de Gaulle :
« Magnifique
régiment de tirailleurs qui, sous les ordres du colonel BAILLIF, vient de se
couvrir d’une gloire nouvelle, au cours de la bataille de la Haute-Alsace.
Après avoir mené de durs combats dans les Vosges, au Haut du Faing, le 16
octobre 1944, ou il a enlevé d’un seul élan cette position organisée de longue
date et s’y est maintenu en dépit de contre-attaques renouvelées, menées
jusqu’au corps à corps et appuyées par des feux très puissants d’artillerie et
de mortiers.
Le 6e R. T.M., momentanément rattaché a la 1′division blindée, a
participé, du 20 au 25 novembre 1944, a la délivrance de Mulhouse, puis dans le
cadre de la 4e division de montagne jusqu’au 10 décembre 1944, assuré la
conservation de cette ville malgré les attaques ennemies.
Du 20 au 25 novembre,
le 1er bataillon (commandé par le capitaine LORENZI), conquiert de haute lutte
Uberstrass, Largitzen et Friesen, que l’infanterie allemande défendait en
contre-attaquant avec l’appui de 7 chars Tigre Royal dont quatre ont été mis
hors de combat. Pendant la même période, le 2e bataillon (commandé par le
capitaine COTHIAS) arrive aux portes de Mulhouse, nettoie la ville et pousse la
5e compagnie jusqu’au Rhin à Kembs. Du 20 au 30 novembre, le 3e bataillon
(commandé par le commandant DIEBOLD) dégage dans la région de Suarce et de
Lepuix Delle la ligne de communication sérieusement menacée de la 1re division
blindée et, ramené à Mulhouse, conquiert Heimsbrunn et Pont d’Anspach.
Regroupé
sous les ordres de son colonel à Mulhouse, maintient à Lutterbach notre unique
tête de pont au nord de la Doller, en repoussant les assauts furieux de
l’ennemi et en contre-attaquant brillamment les 1er et 8 décembre.
A perdu au
cours de cette période du 20 novembre au 10 décembre 1944, 22 officiers et 767
de ses tirailleurs. A largement vengé ses morts, en infligeant à l’ennemi des
pertes sévères et en lui capturant 510 prisonniers dont 10 officiers. »
(2)
L’engagement militaire de l’Afrique du Nord française durant la deuxième guerre
mondiale :
1940 – 1942 :
1940 – 1942 :
- Population
musulmane en AFN (Algérie, Maroc, Tunisie) : 18 millions. Appelés ou
volontaires : environ 180 000 (soit 1 % de la population musulmane).
- Population européenne en AFN (Algérie, Maroc, Tunisie) : 1 million. Appelés ou volontaires : environ 168 000 (soit environ 17 %. de la population).
- Population européenne en AFN (Algérie, Maroc, Tunisie) : 1 million. Appelés ou volontaires : environ 168 000 (soit environ 17 %. de la population).
Ce
chiffre est le plus fort pourcentage de toute la seconde guerre mondiale, tous
pays confondus.
1942 – 1945
:
Il y eu 27
classes mobilisées (de 19 à 45 ans) après le 8 novembre 1942. Soit 259 000
mobilisables, 176 000 incorporés (dont 9/10e furent des « pieds-noirs »),
auxquels se sont ajoutés 10 000 volontaires féminines et 7 000 Français d’AFN
ayant rejoint la France Libre.
(3) Le
général Maurice Faivre, docteur en histoire et historien des armées, a estimé, en
2010, le nombre de tués Maghrébins des armées de la libération entre 1943 et
1945 à 18 300 et le nombre de tués parmi les Pieds-Noirs à 12 000 avec, en
pourcentage, un taux de 10% pour les Pieds-Noirs et 6% pour les Maghrébins.
Pour mémoire, lors de la guerre 1914-1918, 22 000 pieds-noirs furent tués au
combat.
Ça va toujours faire plaisir aux coloniaux qui n’étaient pas musulmans !
RépondreSupprimerJe ne sais qui lui prépare ses discours, mais c’est accablant, ce type est le spécialiste des bourdes, des erreurs, il restera dans l’histoire, mais pas pour celle qu’il croit ; dans l’histoire du Bêtisier National.
Par ailleurs, les seuls soldats indiscutablement et strictement « musulmans » morts pour la France, le Poussah infâme se garde bien de les évoquer, je veux parler bien sûr des harkis :
http://www.bvoltaire.fr/manuelgomez/les-musulmans-morts-pour-la-france-1954-1962,51135
@
Pourquoi ce gros lard ne parle-t-il pas des" détenus musulmans" qui remplissent nos prisons ?
RépondreSupprimerQuand ils font leur devoir, ils sont musulmans. Quand ils font des braquages, des vols à l'arrachée, des crimes, ce sont des Français.
L'Indien.