Les articles se suivent et se ressemblent -
Après celui :
QUEL RAPPORT ENTRE GAYET-HOLLANDE ET CAHUZAC où l on évoque aussi la CORRUPTION cet article démontre qu elle existe bien chez nos politiciens et que surement elle ne date pas de hier.
Il y a là encore de quoi nous dégoutter un peu plus et franchement je me demande pourquoi les français n agissent pas davantage et laissent nos politiques nous manipuler ainsi. Il y a eu des révolutions pour bien moi que ça.
Après celui :
QUEL RAPPORT ENTRE GAYET-HOLLANDE ET CAHUZAC où l on évoque aussi la CORRUPTION cet article démontre qu elle existe bien chez nos politiciens et que surement elle ne date pas de hier.
Il y a là encore de quoi nous dégoutter un peu plus et franchement je me demande pourquoi les français n agissent pas davantage et laissent nos politiques nous manipuler ainsi. Il y a eu des révolutions pour bien moi que ça.
C'EST LA CORRUPTION SE GÉNÉRALISE , ELLE VA FAIRE TOMBER LE RÉGIME COMME UN
FRUIT POURRI.
Ils trichent, ils mentent, ils volent, ils
fraudent le fisc, les preuves sont sous leurs yeux et pourtant, il
se trouve encore des journalistes fruits de la collusion pouvoir-médias
pour s'étonner du désamour croissant des Français pour leurs politiciens.
L'ont-ils compris ? Le temps est terminé où la presse pouvait faire croire à la bonne moralité des élus en échange de petites invitations au restaurant, de séjours en Egypte ou en Amérique du Sud dans l'avion présidentiel avec quelques artistes et chefs d'entreprises pour pimenter le voyage. Internet est là avec ses vidéos, ses photos, ses déclarations que les politiques croyaient être "off". Internet qui dévoile leurs petites saloperies est devenu la hantise des politiciens, c'est pourquoi ils étudient le moyen de pouvoir censurer les blogs, "on y travaille" a reconnu Manuel Valls récemment.
Les votes à l'Assemblée nationale et au Sénat sont acquis avec des participations de centaines de voix, mais hormis les séances du mercredi pour les questions au gouvernement qui sont officiellement ouvertes aux caméras, les bancs des élus sont ordinairement vides.
C'est vrai aussi au Parlement européen où pourtant l'assiduité est récompensée par une prime de 300 € par jour, qui vient s'ajouter aux 12 255 € mensuels que touchent ces fainéants.
L'ont-ils compris ? Le temps est terminé où la presse pouvait faire croire à la bonne moralité des élus en échange de petites invitations au restaurant, de séjours en Egypte ou en Amérique du Sud dans l'avion présidentiel avec quelques artistes et chefs d'entreprises pour pimenter le voyage. Internet est là avec ses vidéos, ses photos, ses déclarations que les politiques croyaient être "off". Internet qui dévoile leurs petites saloperies est devenu la hantise des politiciens, c'est pourquoi ils étudient le moyen de pouvoir censurer les blogs, "on y travaille" a reconnu Manuel Valls récemment.
Les votes à l'Assemblée nationale et au Sénat sont acquis avec des participations de centaines de voix, mais hormis les séances du mercredi pour les questions au gouvernement qui sont officiellement ouvertes aux caméras, les bancs des élus sont ordinairement vides.
C'est vrai aussi au Parlement européen où pourtant l'assiduité est récompensée par une prime de 300 € par jour, qui vient s'ajouter aux 12 255 € mensuels que touchent ces fainéants.
Mais alors qui vote à l'Assemblée nationale ? Les copains qui courent de place en place pour appuyer sur les boutons, sous les yeux du président de séance, toujours indulgent quand ce sont ceux de son parti et des partis amis qui se livrent à cette tricherie.
Observez avec quelle désinvolture souriante le mafieux cumulard Claude Bartolone réprimande les élus socialistes, verts et communistes pris en flagrant délit de truquer un vote sur le mariage pour tous :
Vous le savez maintenant, le vote des lois est truqué, sauf quand l'élu doit se déplacer jusqu'à l'urne où il déposera UN bulletin de vote, comme au Sénat pour les votes jugés importants.
Il arrive que le vote se fasse à l'unanimité, c'est rare et uniquement, ou presque, quand il s'agit pour nos élus de se voter des avantages en argent ou en nature que les contribuables auront à payer, et là on est carrément dans le vol.
Ce fut le cas des conditions de "chômage" ultra performantes qui leur permettent d'attendre cinq ans avec salaire complet un retour de chance après une élection ratée. Parce que l'idée de trouver un travail salarié en attendant ne les effleure même pas. Le travail, c'est bon pour les couillons qui ont voté pour eux.
Même chose pour leurs retraites, elles leur assurent des fins de vie dorées, tout à fait comparables à celles des grands patrons.
La presse critique les millions d'euros annoncés pour tel ou tel grand patron à son départ en retraite, mais passe sous silence, ou plus exactement dilue en l'étalant dans le temps ces mêmes millions d'euros, voire plus, que touchera un ministre comme Jean-Marc Ayrault ou Laurent Fabius qui a cumulé toute sa vie des pensions de maire, député, sénateur, président de région, de conseil général, de ceci et de cela.
Ils les touchent déjà et les cumulent avec leurs salaires actuels. En gros, comptez 10 à 12 000 € de retraites diverses plus 13 500 € de salaire de ministre, pas loin de 25 000 € par mois.
De plus, l'ancien ministre aura droit gratuitement à des avantages matériels que n'aura pas le grand patron à moins de les payer de sa poche.
Par exemple, les 10 anciens Premiers ministres encore vivants ont droit, à vie, à une voiture, une secrétaire et un chauffeur-garde du corps.
Deux exceptions : Jean-Pierre Raffarin a deux voitures et Laurent Fabius deux secrétaires pour leur usage privé.
Notez que les 2 secrétaires coûtent beaucoup plus cher que 2 voitures.
Les députés touchent environ 1 550 euros pour 1 mandat, 3 100 euros pour 2 mandats, 4 650 euros pour 3 mandats, 6 200 euros pour 4 mandats (20 ans d'activité) et plus.
Pour 1 euro cotisé en activité, un député récupèrera en moyenne 6,10 euros à la retraite s'il liquide ses droits à 60 ans. À titre de comparaison, un fonctionnaire récupère en moyenne entre 1,78 et 2,40 euros, un salarié du régime général entre 0,87 et 1,51 euro.
Pour les députés, la pension de réversion est de 66 %. Le financement de la retraite des députés vient à 88 % du contribuable, les cotisations payées par les députés ne contribuent qu'à hauteur de 12% de leurs retraites.
Élus, fonctionnaires : des retraites dorées pour leur plus grande partie payées par ceux qui ont travaillé quarante ans et plus dans le privé, c'est ça la justice sociale socialiste ? On comprend qu'ils se battent pour les places dès leur plus jeune âge !
Les sénateurs bénéficient d'un régime spécial de retraite encore plus généreux. Ce régime, géré dans la plus grande discrétion, est classé "confidentiel", en voici les caractéristiques :
- un
rendement sans équivalent (1 euro cotisé = 7,4 euros de retraite) ;
- la
possibilité de cotiser double les quinze premières années ;
- une
réversion qui crève les plafonds (66 % sans conditions de
ressources) ;
Il suffit d'un mandat (6 ans) pour bénéficier d'une retraite de 1 932 euros par mois au minimum, ce qui représente 30 % de plus que la retraite moyenne perçue par un salarié du privé après une carrière complète de quarante années...
Le régime des sénateurs est encore meilleur que celui des hauts fonctionnaires ou que n'importe quel agent public, qu'il soit de la SNCF, d'EDF ou de la Banque de France.
Mais alors que les autres régimes spéciaux sont mal gérés et financés en grande majorité par le contribuable, celui des sénateurs est remarquablement géré grâce, notamment, au recours à la capitalisation.
Cela dit, 85% des députés et 81% des sénateurs ont aussi un mandat local et cotisent pour plusieurs régimes spéciaux de retraite.
Yvan Stefanovitch ("La caste des 500", Ed. Lattès) estime par exemple à 11 000 euros par mois la pension de Michel Charasse, "qui cumule retraites de sénateur, haut fonctionnaire, maire, conseiller général et régional.
Et sa retraite ne l'empêche pas de siéger au Conseil constitutionnel et de toucher en plus 12 000 euros d'indemnités à ce titre".
Contrairement à ce qu'affirment les syndicats qui ne jurent que par la répartition mais sont tout aussi menteurs que les élus, la fonction publique est favorable à la capitalisation.
La loi "garantissant l’avenir et la justice du système de retraites" a été publiée le 21 janvier 2014 au Journal Officiel.
Les fonctionnaires se montrent très sceptiques à l’égard de ce texte. Ils ont raison, ils sont bien placés pour savoir que lorsque le gouvernement socialiste met le mot "justice" quelque part, c'est qu'il y a une arnaque cachée.
Selon un sondage réalisé dans les administrations, 88,8 % des agents publics estiment que d’autres réformes du système français des retraites seront nécessaires et ils souhaitent la mise en place d’une épargne-retraite, assortie d'un crédit d’impôt qui serait lié à la souscription à une retraite complémentaire par capitalisation. Indispensable, le crédit d'impôt !
Ainsi leurs cotisations leurs seraient remboursées par l'Etat, donc payées par les contribuables. Malins les fonctionnaires.
Actuellement, déjà, les cotisations à Préfon pour l'épargne-retraite (facultative) des fonctionnaires donnent droit à une déduction fiscale, comme pour le PERP du privé.
Contre toute attente, les fonctionnaires ne sont pas opposés à une fusion entre les régimes publics et les régimes privés.
On les comprend, leurs caisses sont toutes déficitaires, ils ont heureusement les syndicats qui gèrent les caisses de retraite du privé pour effectuer les transferts nécessaires, ainsi, c'est le secteur privé qui finance une partie des retraites du public.
Les caisses du privé se trouvant de ce fait à leur tour en déficit, le gouvernement socialiste envisage comme solution de raboter les retraites des particuliers du secteur privé.
Où est la justice dans tout ça ??? Seul un ministre socialise habitué à mentir aussi bien que Najat Belkacem ou Jean-Marc Ayrault pourra vous l'expliquer. Qu'ils nous expliquent aussi pourquoi il n'est pas envisagé une seule seconde de changer le mode de calcul des pensions : 25 meilleures années de carrière dans le privé, 6 derniers mois dans le public.
Politiciens et hauts fonctionnaires sont aussi les rois de l'évasion fiscale. Les ministres ont toujours sous le coude un banquier soit de chez Rothschild, ils sont deux dans les staffs gouvernementaux actuellement, soit, c'est une collaboration très ancienne, ils font appel aux services éclairés de Mathieu Pigasse, le directeur de la Banque Lazard connue dans la profession comme "la banque des socialises", qui a des filiales financières à Genève, Bruxelles et New-York.
C'est là, chez Lazard, Rothschild, qu'il faudrait chercher des listes de clients français, plus que dans les banques suisses ou anglaises comme HSBC.
Autrefois, il y avait aussi la Banque pour l'Europe du Nord où l'on voyait transiter des sommes colossales sur les comptes de dirigeants du parti communiste (Les secrets de la banque soviétique en France, Jean Montaldo) dont le directeur était… le père de Vincent Peillon.
La filière HSBC s'est d'ailleurs arrêtée après la remise à Bercy par un employé de la banque, Hervé Falciani, d'un rapport et d'une liste compromettant trois mille évadés fiscaux, dont il serait intéressant d'avoir la publication intégrale, mais le ministère des Finances s'y refuse pour le même motif de "confidentialité" qu'il reprochait au banquier anglais.
De plus, en 2012 le directeur français et membre du conseil exécutif de HSBC-France a été relogé dans une direction d'EDF, ainsi il ne risque plus d'être compromis ou pire, de compromettre des "amis" par des révélations qui pourraient venir au grand jour.
Il s'appelle Antoine Cahuzac, HEC et polytechnicien spécialiste de la finance, frère de Jérôme.
Curieuse coïncidence, mais Pierre Moscovici vous jurera sur la tête de Jaurès qu'il ne s'agit bien que d'une coïncidence, pourtant "Antoine Cahuzac dissimulait un paquet de virements de gens riches vers la Suisse via la banque HSBC dont il était le président" et en réalité, le chiffre de 3 000 fraudeurs annoncé était inexact, "selon un récent bilan de Bercy, il n'y avait pas 3.000 mais 6.313 comptes de Français (personnes morales et physiques) dans cette liste" (source Médiapart).
Si l'on comprend bien, 3 000 noms pouvaient être révélés après contrôle, mais il était préférable d'en oublier environ 3 300 ?
Bref personne n'avait intérêt à ce que les activités frauduleuses de tous ces gens pauvres soient mises en lumière.
Pour Slate.fr*, ces affaires "sont révélatrices de la mentalité et des mœurs d’une fraction des élites qui se juge au-dessus de la morale commune et s’estime suffisamment puissante pour échapper aux sanctions. La fraude fiscale à grande échelle est une pratique particulièrement répandue".
Il faut lire "Heureux comme un socialiste en France" de Philippe Alexandre et Béatrice de l'Aulnoit (chez Plon), mais ce livre, dans la droite ligne de "Rose mafia" de d'Allongevilles, fera-t-il comprendre enfin aux derniers souteneurs du PS qu'il faut se débarrasser de cette clique de profiteurs et de tricheurs à l'occasion des prochaines élections ?
Tiens, à propos, où en est l'enquête de la juge Martine Bernard, commencée en 2003, plus de dix ans déjà, sur "l'affaire Joséphine" : un "prêt privé" de 25 milliards de dollars, qui aurait été consenti à une France aux abois par l'Arabie Saoudite, en 1983.
De cette somme colossale, 2,5 milliards de commissions se seraient évaporés, pour se redéposer sur des comptes en banque (notamment belges) accessibles à de nombreux responsables du Parti socialiste de l'époque.
Enterrée l'enquête ? Il est vrai que le montage était complexe : la Hauffman Bank de Houston aurait fait l'offre de prêt de 25 milliards de dollars, remboursables en 20 ans, pour le compte des Saoudiens.
Ensuite, l'argent aurait transité par l'Angleterre, de la City Corp au Crédit Lyonnais de Londres, pour repartir vers la City Bank et, de là, au Luxembourg, en Suisse et au Liban.
De plus, les archives du Crédit Lyonnais ont opportunément brûlé, et les témoins sont muets. Difficile d'enquêter dans ces conditions.
Certes, les socialistes font beaucoup de lois contre la corruption, l'évasion fiscale, etc.
Cela n'empêche pas la France d'être classée au 22ème rang des pays dont les mœurs politiques sont les plus corrompues (classement Transparency International). Mais comme disait Tacite "Plus l'Etat est corrompu, plus il y a de lois" (Corruptissima republica, plurimae leges).
Après les "30 glorieuses", il y a les "30 mafieuses", et nous arrivons au début des "30 foireuses " !!!
RépondreSupprimerAprès, si tout ça continuait, ce serait les "30 CALAMITEUSES.
@
Chez les politiques, la corruption a toujours existé, le seul problème c est qu il n y a aucune justice et que par conséquent leur impunité est souvent garantie, et donc ils ne se gênent même plus, et ça ira de mal en pi.
RépondreSupprimerChristophe LAMBERT
Parfois elle est trop voyante et on en parle, parfois elle se fait en douceur on le l apprends que tardivement
RépondreSupprimeret par la bande, mais c est toujours à notre détriment et toujours pour leurs propres intérêts.
L argent , toujours l argent, rien que l argent et quand il le gagne c est toujours sur le
CON mpte du CON tribuale -
Jean BOUVARD
Une personnalité disait - Les cons ça osent tout, c est à ça qu on les reconnait - Il est certain que de ce côté là nos politiques osent tout -
RépondreSupprimerZ@VOR