HOLLANDE
La seule chose qui a changé c est qu il profite au mieux de tous les avantages qu il s accorde sur notre compte, et même de profiter de son fric et de son pouvoir et tout en étant pour le mariage (gay ou pas) de s envoyer des femmes qu il jette ensuite comme des mouchoirs après utilisation.
Quant à ses promesses de campagne, ce n est même pas la peine de les évoquer, même le mariage gay a été obtenu en trichant lors des votes à l assemblée.
Menteur, Incompétent et la Risée en France et dans le Monde
Quand Hollande commentait
le « message » des
municipales de 2008
Premier secrétaire du Parti socialiste en
2008, François Hollande avait donné le 17 mars une conférence de presse pour
commenter les résultats des élections municipales, catastrophiques pour l’UMP
(42 villes basculant de droite à gauche)... Relire la fin de son discours,
consacré à la portée nationale du scrutin, ne manque pas de sel.
Hollande lors de la conférence de presse du 17 mars 2008 (France 3)
Hollande lors de la conférence de presse
du 17 mars 2008 (France 3)
du 17 mars 2008 (France 3)
Hollande propose « un remaniement du Président lui-même », fustige les « promesses non tenues », suggère de donner un coup d’accélérateur au pouvoir d’achat. C’était l’époque où il souhaitait consolider la demande et ne croyait pas encore aux vertus supposées de « l’économie de l’offre »... Voici l’extrait :
« La portée nationale du scrutin : elle
concerne le président de la République, le gouvernement et la majorité.
Rarement un président de la République, après
de dix mois aux responsabilités, n’aura connu d’échec plus cinglant, déconvenue
plus grande, défiance plus affirmée.
Il n’y a d’ailleurs aucun précédent d’une
telle défaite. Le président de la République avait dit qu’il entendrait le
message des Français. Maintenant, nous voulons entendre le président de la
République.
Car, il y a eu un message : il suppose que
l’on comprenne ce qu’est la frustration de beaucoup de nos concitoyens par
rapport aux promesses non tenues en matière de pouvoir d’achat. Ce message est
aussi celui du rappel, au président de la République, à son gouvernement, des
valeurs républicaines – et notamment de la laïcité.
Ce message est aussi celui de l’exigence de justice sociale, surtout à la veille de décisions importantes sur le plan économique et social dans le contexte que l’on sait.
Ce message est aussi celui de l’exigence de justice sociale, surtout à la veille de décisions importantes sur le plan économique et social dans le contexte que l’on sait.
J’adresse, au nom même du Parti socialiste,
deux exigences au pouvoir : la première est un remaniement du président de la
République lui-même et de sa politique ; cela vaut pour le comportement, mais
cela vaut surtout pour la politique telle qu’elle est menée.
La deuxième demande est pour une
revalorisation immédiate des petites retraites et des salaires. Pour les
petites retraites, il faut maintenant qu’il y ait une augmentation des pensions
de réversion, du minimum vieillesse et, d’une manière générale, du taux de
remplacement. Il faut aussi une revalorisation des salaires. Je demande une
anticipation de la revalorisation du smic dès le mois prochain.
Mais, plus largement, pour prendre toute la
mesure et du vote qui vient de s’exprimer et de la situation économique et
sociale, comme des décisions qui doivent être prises, je demande au Premier
ministre qu’un débat sur les questions économiques, financières et budgétaires
soit ouvert dès la reprise des travaux du Parlement et que, notamment sur les
mesures qui doivent concerner le pouvoir d’achat, il puisse y avoir la
confrontation des propositions du Premier ministre et du gouvernement et celles
de l’opposition.
Le scrutin de dimanche doit donc être utile
pour les Français qui doivent être accompagnés dans leur vie quotidienne par
des villes et des départements qui eux-mêmes doivent porter des valeurs de
progrès et utile pour le pays si le gouvernement et le président de la
République en tirent les conclusions les plus évidentes. »
FRANÇOIS HOLLANDE SUR RTL, LE 17 MARS 2008
Le Premier secrétaire commente la claque
donnée au pouvoir
A Jean-Michel Aphatie qui lui faisait
remarquer (troisième minute) que la revalorisation du smic risquait d’affecter
la compétitivité des entreprises, Hollande écartait l’objection, avec assurance
:
« Quand on sait que les entreprises du CAC 40
ont augmenté leurs bénéfices de 5% en 2007, on ne me fera pas croire qu’il
n’est pas possible de faire un geste sur les revenus du travail. »
En 2007, les profits du CAC 40 avait atteint
un record de 95 milliards d’euros. En 2013, ils sont en baisse (48 milliards)
mais selon L’Expansion, tout ne va pas si mal pour elles, et les dividendes
sont en hausse.
LE NOUVEL OBSERVATEUR L’ÉDITO 23/03/2014 à 23h44
Message à Hollande : le changement, c’est
maintenant
François Hollande après avoir voté à Tulle, le
23 mars 2014 (NICOLAS TUCAT/AFP)
Vous faites fausse route ! C’est le message
qui, transcendant les enjeux locaux, a été adressé aux socialistes au pouvoir
par les Français ce dimanche.
DOUZE LEÇONS
Taux d’abstention record : 36% ;
l’UMP en tête des voix ; large recul du PS
Hénin-Beaumont remportée par le FN Steeve
Briois ;
le FN en tête à Béziers, Saint-Gilles,
Forbach, Perpignan, Avignon, Beaucaire, Fréjus, Brignoles, Tarascon, Cluses ;
PS et EELV (mais pas l’UMP) appellent à un
front républicain pour bloquer le FN ;
Bayrou en tête à Pau (42%) ;
NKM en tête à Paris mais la gauche en bonne
position ;
débâcle socialiste à Marseille ;
François Hollande à Tulle le 23 mars 2014
(Bob Edme/AP/SIPA)
(Bob Edme/AP/SIPA)
S’il ne réagit pas rapidement en prenant un autre cap, la tension ne fera que s’accroître.
Et lui même, François Hollande, s’engagera vers d’autres Waterloo électoraux : en mai, les européennes, terrain de jeu favori des frontistes ; en septembre, les sénatoriales (le PS devrait y perdre la majorité de la haute chambre) ; l’an prochain, les régionales...
Sans parler de l’échéance présidentielle de
2017 et, au delà, des destins dont rêve maître Collard pour Marine Le Pen.
Copé, Balkany, Juppé, Woerth réélus ;
Eric Piolle (EELV-PG) en tête à Grenoble
Le Front de gauche résiste bien
Toulouse, ô Toulouse, pourrait basculer à
droite
Le fort taux d’abstention n’est pas seulement
une marque de désintérêt, c’est un acte politique, un désaveu. Le vote FN n’est
plus un vote protestataire, c’est la marque d’une volonté de changement.
La situation que vivent les Français est bien
plus dure que ne l’avaient analysé les socialistes. Ceux-ci espéraient que la
fixation d’un cap clair (ce fut « tout sur les entreprises ») et le bilan
honorable des maires de gauche suffiraient à sauver les meubles.
Il y a quelques jours, Bruno Le Roux,
président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, nous décrivait une «
campagne agréable », dénuée d’agressivité, malgré la dureté des temps.
Cette agressivité, cette colère plutôt, s’est
pourtant exprimée, brutale, dans les urnes. Au point de tétaniser les ténors du
parti socialiste.
Dimanche soir, où étaient les Fabius, Valls,
Montebourg ? A part quelques exceptions (Najat Vallaud-Belkacem, Stéphane Le
Foll, Marisol Touraine), ils étaient probablement à la piscine ou bloqués par
la neige...
« Jusqu’à ce que Marine arrive à l’Elysée »
Jusqu’où ira cette agressivité ? Maître
Gilbert Collard, candidat mariniste à Saint-Gilles (Gard), visage en pleine
caméra, a lâché dimanche soir sur France 2, l’air de rien :
« On va continuer jusqu’à ce que Marine arrive
à l’Elysée. »
A la différence d’autres soirées électorales,
cette phrase n’a pas été considérée comme complètement délirante. Le Front
national a réussi son pari : il s’implante, il avance. Certes, il avait déjà
réussi à surprendre aux municipales de 1995. Mais le FN n’avait jamais
jusque-là remporté une ville de 25 000 habitants, en l’occurrence
Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), dès le premier tour.
François Hollande doit entendre ce message du
premier tour, quels que soient les résultats finaux du second. La politique
qu’il suit, axée sur les marges des entreprises et elles seules, ne suffit pas.
Cette politique ne peut être comprise
Quand on dirige un pays, on ne peut pas mettre
les gens et leurs vie en « priorité numéro deux ». On ne peut pas s’éloigner
aussi ostensiblement des discours de campagne.
On ne peut pas prendre de l’argent aux ménages (TVA) pour le donner aux entreprises (Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi). Alors que le chômage reste au plus haut, cette politique-là ne peut être comprise.
On ne peut pas prendre de l’argent aux ménages (TVA) pour le donner aux entreprises (Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi). Alors que le chômage reste au plus haut, cette politique-là ne peut être comprise.
François Hollande à Tulle le 23 mars 2014 (Bob Edme/AP/SIPA)
Municipales :
un sévère désaveu pour François Hollande et Jean-Marc Ayrault
un sévère désaveu pour François Hollande et Jean-Marc Ayrault
La démobilisation de l'électorat PS, qui a
nourri une abstention record, annonce une défaite majeure pour la majorité, qui
pourrait déclencher un remaniement plus important que prévu.
C'est un ténor de la majorité qui soupirait,
dimanche dans la soirée: «On va vers une grosse, grosse taloche, conforme à mes
pronostics les plus sombres.» Un niveau d'abstention record, des électeurs de
gauche déboussolés et démobilisés, un électorat de droite en partie requinqué
par la contre-attaque de Nicolas Sarkozy trois jours avant l'élection: le
cocktail de ce premier tour des municipales s'est avéré explosif pour François
Hollande et Jean-Marc Ayrault, qui affrontaient dimanche leur première grande
épreuve électorale, après des législatives partielles, toutes perdues par le PS
depuis 2012.
À presque mi-mandat, ce premier scrutin a
valeur de test pour l'exécutif, qui se voit sévèrement sanctionné par les
Français, au soir du premier tour. Même si les élections intermédiaires sont
systématiquement mauvaises pour le parti aux affaires, l'ampleur de la défaite
annoncée est préoccupante pour le pouvoir.
Alors qu'ils enregistrent une impopularité record, le chef de l'État et le premier ministre ne s'attendaient pas à des merveilles mais espéraient limiter la casse. «Ce ne sera pas la Berezina», pronostiquait il y a quelques jours un ministre hollandais du premier cercle.
Las. La démobilisation de l'électorat PS, qui a nourri une abstention record, a réduit en miettes ces espérances.
«Les élections, c'est bête et méchant, notait dimanche soir un député PS. C'est un vote sanction, point.»«Hollande a perdu ses électeurs, depuis les fonctionnaires, jusqu'aux bobos, soupire un familier de l'Élysée.
Sans compter l'électorat populaire, qui a décroché depuis longtemps. Le président paye l'illisibilité de sa politique
François Hollande «paye l'illisibilité de sa politique.
Alors qu'ils enregistrent une impopularité record, le chef de l'État et le premier ministre ne s'attendaient pas à des merveilles mais espéraient limiter la casse. «Ce ne sera pas la Berezina», pronostiquait il y a quelques jours un ministre hollandais du premier cercle.
Las. La démobilisation de l'électorat PS, qui a nourri une abstention record, a réduit en miettes ces espérances.
«Les élections, c'est bête et méchant, notait dimanche soir un député PS. C'est un vote sanction, point.»«Hollande a perdu ses électeurs, depuis les fonctionnaires, jusqu'aux bobos, soupire un familier de l'Élysée.
Sans compter l'électorat populaire, qui a décroché depuis longtemps. Le président paye l'illisibilité de sa politique
François Hollande «paye l'illisibilité de sa politique.
Un député socialiste
Hollande, qui a voté dans la matinée à Tulle
dans son ancien fief, a ensuite regagné l'Élysée, où il a retrouvé ses proches
collaborateurs pour suivre les résultats en conclave. De son côté, Jean-Marc
Ayrault avait organisé une veillée d'armes à Matignon, au côté de plusieurs de
ses ministres, avant d'intervenir dans la soirée, avec une mine sévère et
grave, pour appeler au sursaut républicain contre le FN.
Le chef du gouvernement a reconnu que
«certains électeurs» avaient «exprimé par leur abstention ou leur vote leurs
inquiétudes, voire leurs doutes».
Et que le scrutin s'était déroulé dans «un contexte économique et social difficile», sur fond de «politique de redressement indispensable mais exigeante» engagée par le gouvernement.
«La priorité (pour le second tour, NDLR) est de rassembler toutes les forces de la gauche», a-t-il insisté.
Et que le scrutin s'était déroulé dans «un contexte économique et social difficile», sur fond de «politique de redressement indispensable mais exigeante» engagée par le gouvernement.
«La priorité (pour le second tour, NDLR) est de rassembler toutes les forces de la gauche», a-t-il insisté.
Un remaniement sous pression
À l'Élysée et Matignon, les équipes ont
analysé les résultats dans la soirée, afin d'en tirer une stratégie pour
l'entre-deux-tours.
Hollande doit recevoir Ayrault lundi matin, pour peaufiner la ligne et roder les éléments de langage. En 2001, les résultats des municipales, mauvais pour le PS, avaient été occultés par la victoire de la gauche dans plusieurs villes symboles, dont Paris, Lyon ou Dijon. «Il ne faudra pas refaire la même erreur d'analyse, explique un conseiller élyséen.
À l'époque, le PS avait tenté d'expliquer que les municipales avaient été gagnées par la gauche, alors que l'on avait perdu une quantité de villes petites et moyennes, ce que nous avons payé à la présidentielle de 2002.» Le front républicain sera aussi la grande affaire de l'entre-deux tours.
Hollande doit recevoir Ayrault lundi matin, pour peaufiner la ligne et roder les éléments de langage. En 2001, les résultats des municipales, mauvais pour le PS, avaient été occultés par la victoire de la gauche dans plusieurs villes symboles, dont Paris, Lyon ou Dijon. «Il ne faudra pas refaire la même erreur d'analyse, explique un conseiller élyséen.
À l'époque, le PS avait tenté d'expliquer que les municipales avaient été gagnées par la gauche, alors que l'on avait perdu une quantité de villes petites et moyennes, ce que nous avons payé à la présidentielle de 2002.» Le front républicain sera aussi la grande affaire de l'entre-deux tours.
Ces derniers jours, les proches du président
expliquaient que le timing et l'ampleur du remaniement ministériel, attendu
pour avril, dépendraient de l'ampleur de la défaite.
«Ce soir, c'est clair, assure un proche du président. Un: Hollande ne peut plus garder Ayrault ; deux: il doit aller très vite, solder l'affaire dans la semaine qui suit le second tour».
«Tout est ouvert», soupire un ami du premier ministre, qui se disait pourtant persuadé d'un maintien d' Ayrault il y a encore quelques jours.
Le président joue son quinquennat dans les prochaines semaines avec une série d'annonces délicates: pacte de responsabilité, 50 milliards d'économies, loi sur la transition énergétique, simplification administrative, etc.
L'avertissement de dimanche rend la nécessité du rebond plus impérative que jamais. «Ça met la pression sur le président, résume un député PS. Hollande n'a plus le droit à l'erreur.»
MÊME LEUR REMANIEMENT QUI EST ENVISAGÉ NE CHANGERA RIEN DANS LA
MESURE OU LE "MOI JE" A DÉCIDÉ DE MAINTENIR SON CAP SANS AUCUNE
MODIFICATION.
IL TROUVE SA POLITIQUE TRÈS EFFICACE AVEC NOTAMMENT SON INVERSION DE
LA TENDANCE ET TOUTES LES ECONOMIES RÉALISÉES, L EXCELLENT POUVOIR D
ACHAT, ET LES SUPERS SONDAGES A SON ACTIF.
AYRAULT EST MAUVAIS, VALLS SERA PIRE ENCORE
«Ce soir, c'est clair, assure un proche du président. Un: Hollande ne peut plus garder Ayrault ; deux: il doit aller très vite, solder l'affaire dans la semaine qui suit le second tour».
«Tout est ouvert», soupire un ami du premier ministre, qui se disait pourtant persuadé d'un maintien d' Ayrault il y a encore quelques jours.
Le président joue son quinquennat dans les prochaines semaines avec une série d'annonces délicates: pacte de responsabilité, 50 milliards d'économies, loi sur la transition énergétique, simplification administrative, etc.
L'avertissement de dimanche rend la nécessité du rebond plus impérative que jamais. «Ça met la pression sur le président, résume un député PS. Hollande n'a plus le droit à l'erreur.»
MÊME LEUR REMANIEMENT QUI EST ENVISAGÉ NE CHANGERA RIEN DANS LA
MESURE OU LE "MOI JE" A DÉCIDÉ DE MAINTENIR SON CAP SANS AUCUNE
MODIFICATION.
IL TROUVE SA POLITIQUE TRÈS EFFICACE AVEC NOTAMMENT SON INVERSION DE
LA TENDANCE ET TOUTES LES ECONOMIES RÉALISÉES, L EXCELLENT POUVOIR D
ACHAT, ET LES SUPERS SONDAGES A SON ACTIF.
AYRAULT EST MAUVAIS, VALLS SERA PIRE ENCORE
Tel est pris, qui croyait prendre. En 2008 Ils faisaient les malins, aujourd hui ils le font moins. Ils ont quand même eu la chance d avoir tous les syndicats de leur côté à cette époque, ces derniers ont été moins virulents avec les socialistes au pouvoir, ce qui prouve bien que tous les syndicats sont politisés.
RépondreSupprimerLa gifle n a pas encore fait assez mal. J espère que dimanche ce sera le poing du KO.
Maurice SEPERS
Il faut toujours se méfier de l effet BOOMERANG - Tout se paye un jour.
RépondreSupprimerAndré BERGERAC
hihiih. Tout vient à point qui sait attendre.Je me languis déjà Dimanche même si ça nous fait vieillir de deux jours.
RépondreSupprimerLa Normande
AYRAULT EST MAUVAIS, VALLS SERA PIRE ENCORE, portons donc nos espoirs sur une femme comme martine, ou alors Ségolène, ou , le pied, bertrand Delanoë.
RépondreSupprimerbobo maman bobo cucu
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