LA CHASSE A SARKOZY - TAUBIRA LA MENTEUSE

                     CHASSE AU SARKO : 

    TAUBIRA-LA-MENTEUSE A LA MANŒUVRE

     Comme Cahuzac  LA  TAUBIRA sait mentir effrontément devant les Français même lors du Journal Télévisé de 20 h - Quelle honte -

     Et en plus elle a le culot de rajouter au présentateur du Journal ne confondait pas la gauche et la droite. La gauche ne ment pas et le Président y veille.

     "Bizarre ! Vous avez-dit bizarre ? Comme c'est bizarre !" disait Louis Jouvet.

     L'avez-vous remarqué ? C'est bizarre, chaque fois qu'une nouvelle preuve de l'incompétence économique, financière et sociale de la gauche est donnée par une instance internationale de poids, une série de mises en examen, de soupçons de fraudes ou autres délits suffisamment croustillants pour que la presse se jette dessus comme un antifa sur une jeune mère de la Manif pour tous, tombe sur l'ancien président et ses proches.


     Objectif : l'empêcher de revenir sur la scène. Un objectif que le PS partage avec le FN, Nicolas Sarkozy étant la bête noire, la seule personnalité de droite que craignent ces deux partis socialistes, l'un nationaliste, l'autre mondialiste, souvent liés objectivement par leur intérêt électoral.

     LA FRANCE SOUS SURVEILLANCE DE BRUXELLES...
EN ATTENDANT PIRE

     L'Europe a annoncé qu'elle mettait la France "sous surveillance", en raison du non-respect d'aucune des promesses que le président et son gouvernement de bras cassés ont faites à la Commission européenne depuis leur arrivée au pouvoir pour redresser l'économie et engager des réformes de fond.
      Ce n'est pas encore la tutelle que connurent la Grèce, l'Irlande et l'Italie, mais nous n'en sommes plus très loin.

     Ce n'est pas grave, a affirmé Moscovici, nous sommes sur la bonne voie du redressement, la preuve en est cette baisse de 0,1 % (énorme !) du chômage enregistrée au dernier trimestre 2013, claironnée par la presse la semaine dernière, mais contestée par Pôle emploi deux jours plus tard dans un grand silence médiatique.


     Et puis, François Hollande l'a dit, si les autres améliorent leur situation, cas de l'Espagne et de l'Angleterre actuellement, la santé de la France se rétablira d'elle-même sans qu'il soit nécessaire de recourir à la chirurgie. Ben voyons...

     Moscovici a donc informé Bruxelles que la France ne commencera à réformer réellement, peut-être, qu'en 2015, tant pour réduire sa colossale dette internationale, que pour avoir un budget tendant vers l'équilibre et réduire sa phénoménale dépense publique qui ne cesse d'augmenter malgré les promesses réitérées de Hollande de la réduire.
     C'est qu'ils sont encore nombreux les énarques qui croient en la possibilité de réduire un déficit en augmentant les dépenses et en empruntant.
     Donc, en 2015, une fois les élections municipales, européennes et régionales passées, on avisera.

     Pour détourner l'attention des Français de cette calamiteuse nouvelle de la mise sous surveillance de la France par l'Europe, en attendant une prochaine baisse d'un cran par les agences de notation, "une escadrille de merdes", comme disait Chirac, s'est abattue sur l'UMP et l'ancien président dont le retour éventuel est la terreur de l'actuel président.


     À quinze jours des élections.
     Coïncidence ?
     Pas du tout.

     Les soupçons et accusations ont été soulevés par la presse, Le Point, Le Monde en tête, mais bizarrement personne ne cite ses sources.

                                      HARO SUR SARKO !

     Qui a "donné" les enregistrements des conversations de Sarkozy réalisés par Patrick Buisson ?
     Qui a révélé les supposées surfacturations payées par l'UMP pour ses meetings ?
     Qui a donné l'ordre de rouvrir des enquêtes sur de vieilles affaires visant Sarkozy, déjà jugées plusieurs fois sans que faute de preuves il en résulte la moindre condamnation ?
     Mystères, nous dit-on.

     Bizarrement aussi, toutes les saloperies qui donnent lieu à "scandale d'Etat" quand elles sont attribuées à l'opposition sont requalifiées en "actions pour la recherche de la justice et de la vérité" quand elles sont le fait de l'Etat socialiste.

     L'Elysée a effectué illégalement des recherches dans les archives électroniques protégées de Sarkozy ? Normal, c'était pour chercher quoi que ce soit pouvant servir de base à une accusation selon laquelle la décision de justice obligeant l'Etat à payer les 450 millions qu'il devait  au groupe de Bernard Tapie aurait pu être entachée d'irrégularités.
     Les fouilleurs de merde n'ont rien trouvé ? L'Elysée fait espionner clandestinement les conversations téléphoniques de Sarkozy en espérant qu'il finira bien par y avoir un correspondant de Sarkozy qui dira quelque chose pouvant être interprété comme une preuve à charge dans l'une des quelconques affaires qui lui sont imputées.

     Hollande a créé une "cellule officieuse" dont l'unique travail est d'orchestrer des affaires judiciaires contre Nicolas Sarkozy ? "Ce gouvernement est respectueux de l'autorité judiciaire, il respecte les magistrats et fait droit à ce que lui impose le respect de la loi", éructe la ministre de la Justice avec un culot incroyable.

     Le mot d'ordre de cette cellule ? "Tuer Sarkozy". Sa méthode ? Laisser "fuiter" dans la presse des tuyaux préfabriqués qui sont repris et amplifiés en y ajoutant ce parfum de calomnies qui fait les gros tirages. 
     Puisque la presse l'a écrit, les juges ont ensuite un prétexte pour rouvrir des enquêtes précédemment closes fautes de preuves.

     La Justice est riche, elle a du temps et de l'argent à perdre si ça peut développer le climat de calomnie autour de Sarkozy.

      CONNAISSEZ-VOUS LE COLONEL BIO-FARINA ?

     Ses moyens ? Un colonel de gendarmerie spécialiste du renseignement, et un nombre indéterminé de personnels.
     N'oubliez pas que cette cellule "officieuse" n'existe pas par définition, donc personne n'en fait partie officiellement, tous ont pour cette affectation un emploi fictif qui la justifie. 
     Si l'on vous parle du colonel de gendarmerie Éric Bio-Farina, sachez qu'il n'existe pas.
     Si l'on vous dit qu'il  a accès à toutes les données informatiques de l'ère Sarkozy à l'Elysée et qu'il récupère les documents "sensibles" pour les transmettre à la presse afin que les juges qui s'intéressent à toutes les affaires liées à la Sarkozie aient l'occasion d'en réclamer la communication, ne le croyez pas, ce sont des mensonges nauséabonds des réacs.

     Bio-Farina vient de se voir attribuer par Hollande le poste de coordonnateur national du renseignement ?
     Le calendrier des affaires montre que chaque épisode négatif concernant la gauche est suivi dans la foulée par des mises en examen pour l'ex-président ou son entourage ?
     Encore des coïncidences. Bizarres et à répétition, mais seulement des coïncidences affirme l'Elysée.

     Valeurs Actuelles a enquêté et rencontré l'ex-chef (il a été viré) du service de l'informatique et des  télécommunications de l'Elysée, Bernard Muenkel, qui assure avoir été rétrogradé pour avoir "refusé de se plier à une demande illicite". 
     Pris la main dans le sac de l'illégalité couverte par ses mensonges, l’Élysée invoque des réquisitions judiciaires.                  D'accord, mais s'il est de bonne foi, qu'il les montre !

     "Qui sont les juges ? Quelle était leur requête ? Ont-ils demandé que ces recherches soient poussées jusque dans les archives ? 
     Si c’était le cas, ce serait une première dans l’histoire judiciaire ! Car les juges ont le pouvoir de perquisitionner eux-mêmes les archives, sans demander aux collaborateurs du Président de le faire à leur place…" (Valeurs Actuelles).

     Et pourquoi l'autorisation de le faire n'a-t-elle jamais été demandée à Sarkozy, alors que le protocole d’archives signé à la fin de son mandat dispose qu’il doit donner son accord pour que soient consultées les archives de sa présidence ?

Pendant ce temps-là, la ministre de la Justice procède à l'enfumage de la presse et des députés avec de beaux récits de "recherche de la justice" mais, comme elle sait que la cellule d'espionnage clandestine de l'Elysée sent le roussi, elle a créé sa propre cellule dans son ministère, celui qui abrite les juges marxistes du syndicat de la magistrature, en créant une cellule de recherche sur la fraude financière dont le premier dossier est, comme par hasard, consacré à... Nicolas Sarkozy.


     Encore une coïncidence, mais avec des juges qu'elle a elle-même choisis elle espère qu'ils trouveront enfin quelque chose de solide à reprocher à l'ancien président.

     Tout cela n'est pas nouveau. Le radical-socialiste avéré Jacques Chirac, entré au RPR pour y faire carrière comme le militant d'extrême droite Mitterrand l'a fait au PS, avait fait recruter des journalistes, des hauts fonctionnaires des RG ou de la DGSE, des barbouzes spécialisées dans les écoutes ou les filatures.


     Cette fine équipe s'est particulièrement illustrée dans l'affaire Clearstream.
     Ce sont eux qui fabriquèrent les faux listings dans lesquels ont trouvait glissés des noms comme celui de Sarkozy, déjà !            Faut-il qu'il leur fasse peur ! Puis ils organisèrent la parution de cette incroyable falsification dans un grand hebdomadaire français.

     Chirac, qui a retrouvé sur le tard sa vraie nature et vote maintenant socialiste, faisait aussi fliquer "Edouard Balladur, François Léotard, Lionel Jospin ou encore Charles Pasqua. Il s'agissait de faire passer l'un pour un homosexuel, l'autre pour un employé de la mafia, le troisième pour le fils d'un grand collabo et le dernier pour un trafiquant d'armes. 
     Il s’agissait de nuire, de salir, de déstabiliser, de compromettre" (Atlantico).

     Sous François Mitterrand, une cellule antiterroriste dévoyée avait, depuis l’Élysée, organisé de faux attentats (les Irlandais de Vincennes), couvert les activités d'une machine à espionner de dimension industrielle écoutant tous ceux que ce président schizophrène pensait pouvoir nuire à sa présidence. 
     Les méthodes du Guépéou, du NKVD, du KGB, de la Stasi si chères aux régimes socialistes et que Hollande, Valls et Taubira ont remises à l'honneur, mais qu'ils nient.

     "Les polices politiques sont complètement étrangères aux régimes socialistes", c'est bien connu. Et elles s'intéressent à tout, "Leur objet principal est, selon  la formule consacrée, de monter des « dossiers » les plus compromettants possibles. 
     Ainsi s'intéressent-elles avant tout à la vie privée, aux mœurs, aux revenus, au passé ainsi qu'aux fréquentations, de préférence les plus fâcheuses. 
     Les informations délicates ainsi recueillies servent aussi bien à exercer un chantage secret qu’à alimenter une poursuite judiciaire via un envoi discret à un magistrat, que contribuer à des campagnes de presse ou salir une personne lors d'une campagne électorale en recourant aux tracts anonymes" (Atlantico).

     Quand François Hollande a affirmé que sa sécurité n'avait jamais été en défaut lors de ses escapades sexuelles nocturnes en scooter, il ne croyait pas si bien dire. 
     Si les services de manuel Valls ont fait le boulot - et il n'y a aucune raison d'en douter - ils le suivaient, ses ébats ont été filmés et ses conversations enregistrées, comme elles le sont dans toutes les pièces où il ouvre la bouche, "au cas où…" le motif officiel de ce fliquage du président étant qu'il faut pouvoir le défendre par une preuve "au cas où" quelqu'un prétendrait sans y avoir été autorisé "le président m'a dit…"

     La vieille tradition des "fouilleurs de poubelles" de l'Elysée n'est pas perdue, après une parenthèse : l'époque de la présidence Sarkozy. 
      Le journaliste enquêteur Geoffroy Lejeune l'a constaté : "sous la présidence de Sarkozy, il y a une certitude : jamais un journal ou un juge n’a révélé de telles pratiques durant son quinquennat".
     Au moins un bon point pour Sarko !