Rechercher dans ce blog

dimanche 4 janvier 2015

MEDICAMENTS ET LES EFFETS SECONDAIRES

     Après le MEDIATOR  ® la France va-t-elle autoriser le MYSIMBA ® (Zyban ® + Revia ®) ?  que l on nommera ici CONTRAVE......

 

                                               LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

      Est il bien utile de rappeler le nombre de laboratoires pharmaceutiques en France, et à l étranger qui nous fournissent.

      Les laboratoires sont des affaires qui marchent bien, même sous contrôle,  nul de peut garantir la durée de vie des traitements (je ne parle pas de la date de péremption sur la boite, mais dans notre estomac)

      Les médicaments nous sont prescrits par des médecins bien entendu qui en connaissent surement les effets secondaires au départ, mais surement pas à terme selon le nombre d années que nécessite le traitement.

     Les Français sont un des pays les plus grands consommateurs de médicaments,...... anxiolytique,  anti dépresseur, antibiotique, anti inflammatoire sans parler du reste avec les coupe faim et divers médicaments à risques qu on emploie pour les vitamines, le sommeil, l obésité, et divers, mais il y a aussi les vaccins

            Vaccins contre la grippe dont on ne connait jamais vraiment la souche et on vaccine à tour de bras souvent inutilement.

     Mais surtout vaccins contre l’hépatite B dont l'adjuvant contient de l'aluminium qui a provoqué des fibromyalgies, des scléroses en plaques. Autre vaccin, pour lequel on a fait des publicités quotidiennes à la télé,  visant à culpabiliser les mères qui ne vaccineraient pas leurs filles adolescentes.

     Ce vaccin, appelé "gardasil" était censé prémunir contre le cancer de l'utérus mais il a provoqué chez certaines jeunes filles des narcolepsies, des paralysies et parfois la mort.

     Il faut savoir que pour les laboratoires, le patient prend ses médicaments à ses risques et périls. En effet, les laboratoires se déchargent complètement de toute responsabilité dès lors qu'ils mentionnent tous les effet secondaires possibles. Ils ne sont donc plus responsables de rien, c'est au patient de prendre ses responsabilités.
 
     Lorsqu on vous prescrit un traitement, et que vous avez le malheur de lire la notice, chapitre effets secondaires, cela vous fait peur, mais s il est nécessaire pour améliorer votre santé, vous le prenez, surtout si c est pour un délai très court.  

     Malgré cela il arrive que les effets soient insupportables vous rendant plus malade encore que vous l étiez à l origine et que dire des GÉNÉRIQUES qui sont souvent réalisés dans des pays asiatiques où les règles d'hygiène ne sont pas les mêmes qu'ici. D'où des problèmes d'intolérance.

     La problématique  "dramatique" n est découverte souvent que bien des années après, combien de médicament nommés dans les articles ont été la cause de nombreux décès, à chaque fois que se font les découvertes, nous avons des procès retentissants avec de multiples victimes, et cela change quoi, les laboratoires sont ils interdits, fermés, - Ils ont souvent à leur tête des personnalités ou famille de personnalités dont on ignore souvent le nom. 

     Quelles sanction pour eux ? Au pire la suppression du médicaments, quelques indemnités pour dédommager les victimes, et on sort un autre médicament qui fera lui aussi un bon bout de chemin. 

     Au niveau des sanctions, il n'y a rien à ajouter sinon que les procès intentés par les familles des victimes durent des années et aboutissent rarement. Il y a eu cependant un cas où les familles n'ont pas lutté en vain : c'était dans le cas des hormones de croissance. Suite aux prélèvements d'hypophyses sur des cadavres infectés, les receveurs sont morts. 

     Il s'agissait de jeunes de petite taille et qui voulaient grandir grâce à ces injections . Les mères se sont battues durant des années et ont partiellement réussi. Les petits responsables ont trinqué mais les gros responsables s'en sont tirés.

     Les articles ci-dessous plus techniques, vous apporterons toutes les précisions utiles


                                                              -----ooo0ooo-----


     Il nous faudra donc apprendre à connaître (et à faire avec) Mysimba ® (1). Combien de temps vivra-t-elle ? Elle est déjà dans la ligne de mire de Prescrire. (On trouvera ici son communiqué de presse – en anglais). Volià un cas de figure peu banal : pressentant un scandale le célèbre mensuel « indépendant-de-l’industrie-pharmaceutique)  lance l’alerte bien avant qu’il ne soit trop tard. On peut faire un parallèle : que se serait-il passé si un équivalent de Prescrire avait dénoncé l’arrivée du Mediator ®  au début des années 1970 ?
           
                                                                Alcool et tabac

    Quarante ans plus tard on peut résumer l’affaire assez simplement.  Soit, d’une part, la naltrexone (Naltrexone ®, Nalorex®, Relistor®, Revia®) spécialité bien connue indiquée et commercialisée  dans le maintien de l’abstinence chez les malades de l’alcool qui tentent de sortir de leur dépendance. Soit, d’autre part, le bupropion ou amfebutamone (Zyban®) que l’on tient encore pour pouvoir aider à sortir de la dépendance au tabac (et incidemment à soigner la dépression). Soit, enfin, Mysimba ® qui est la simple association des deux principes actifs.

                                                                           Feux verts

     C’est la dernière  invention en date du laboratoire américain Orexigen Therapeutics centré, comme on le comprend sur le traitement de l’obésité et du surpoids. Et voici que Mysimba ® vient de commencer à être autorisé à la commercialisation par l’Agence européenne du médicament (EMA). Comme on peut le voir ici. Le Vieux Continent suit ici à la culotte les Etats-Unis : Mysimba ® a été  autorisé en septembre dernier par la FDA (après quelques années d’hésitation concernant de possibles risques cardiaques).

                                                                             A suivre

     Mysimba ® : les éléments de langage sont déjà là : « pour les personnes souffrant d’obésité (et de surpoids) ». En réalité tout n’est pas écrit : c’est le comité des médicaments à usage humain de l’EMA qui vient de recommander d’approuver son autorisation de mise sur le marché. Ce feu vert de principe doit désormais être approuvé par la Commission européenne, avant une commercialisation effective, de fait, dans chaque État membre de l’Union.

                                                                         Coeur et cerveau

     Si tout suit la pente naturelle règlementaire chère à Big Pharma,  Mysimba® (ce sera le nom européen  du Contrave® ) ne sera disponible que sur prescription médicale. En théorie et il devra être réservé à des adultes obèses ou en surpoids, ayant (de surcroît)  un (ou plusieurs) autres facteurs de risque (hypertension artérielle, un diabète de type 2 ou dyslipidémie). Effets indésirables potentiels de ce médicament : des troubles gastro-intestinaux et d’autres « liés au système nerveux central ». Sans oublier de dire que « des incertitudes subsistent en ce qui concerne les résultats cardiovasculaires à long terme ». Pour autant ne tremblons pas : les résultats intermédiaires d’un essai clinique « sont rassurants en ce qui concerne les risques de pathologies cardiovasculaires graves ».

                                                                                  Avaler

     A qui fera-t-on avaler tout cela sans sourciller ? Certainement pas à Prescrire. Le mensuel parle aujourd’hui de « régression majeure » quant à la sécurité des patients, consommateurs potentiels. Et tous ceux qui, comme ce mensuel, suivent depuis une ou deux décennies le chapitre « coupe-faim » des affaires de santé publique ne manquerons de partager ce commentaire. Prescrire rappelle quelques éléments oubliés du passé (assez peu rassurant)  du bupropion dont la structure est voisine de celle des dérivés amphétaminiques. 
     Le mensuel rappelle aussi les retraits européens tardifs (il y a une quinzaine d’années) des AMM de plusieurs anorexigènes (clobenzorex, dexfenfluramine, fenfluramine, fenproporex, etc.) dont l’usage n’a cessé de démontrer les dangers.

                                                                                Souvenirs

     C’est un chapitre riche en souvenirs médiatiques et réglementaire. Qui a oublié Acomplia® (rimonabant, Sanofi) retiré du marché en 2008 en raison de ses effets secondaires ? Ou le Sibutral® (sibutramine, Abbott), une amphétamine-like anorexigène disparue l’année suivante du marché européen, également en raison d’effets secondaires ? Sans parler du trop célèbre Mediator® (benfluorex, Servier).

                                                                                     Échos

     Concernant le Mysimba®, l’agence européenne fait valoir les quatre études contre placebo fournies par le fabricant, études qui montreraient  des  baisses de poids « cliniquement pertinente ». Elle dit, en écho, recommander une évaluation après seize semaines de traitement. Ainsi que l’arrêt du traitement si le patient n’est pas parvenu, alors, à perdre au moins 5 % de son poids de départ. L’histoire, ancienne et récente montre ce qu’il en est de ces recommandations.

                                                                        Gouvernement

     L’appel de Prescrire étant désormais lancé (et public) il sera du plus grand intérêt d’observer la suite des évènements. Quelle sera l’attitude de l’Agence française de sécurité des médicaments à l’échelon européen. Et quelle sera la politique du gouvernement à l’échelon de la Commission ? Que compte la voix de la France dans ces enceintes ? Qu’en sera-t-il de la communication officielle sur ce thème ? Et si la commercialisation de Mysimba® s’imposait sur le territoire français, quelles seraient les mesures d’encadrement réglementaire pour réduire au mieux les risques sanitaires ?

                                                                      Amphétaminiques

      Incidemment des mesures sont-elles à l’étude pour prévenir les prescripteurs des possibles demandes de patients souhaitant disposer conjointement de Revia® et de Zyban® ? Qui surveille l’évolution des chiffres des ventes ? 
     Dans l’attente on ne peut manquer d’observer l’acharnement développé par les firmes pharmaceutiques pour obtenir des AMM (amphétaminiques ou pas) destinées à réduire coûte que coûte (et quels que soient les risques) l’appétit des personnes souhaitant perdre du poids. C’est dire si le marché potentiel est appétissant. 
     C’est dira aussi que les premières leçons (incomplètes) du Mediator ®  n’ont, à l’évidence, guère franchi les frontières de l’Hexagone.

Un nouveau coupe-faim américain pourrait bientôt arriver sur le marché français. Il inquiète les médecins et les associations, notamment par rapport à ses effets secondaires.

     L’obésité est un problème de société et de santé publique. De nombreuses pilules minceur existent pour lutter contre le surpoids mais leurs effets secondaires sont souvent méconnus. C’est le cas du "Contrave", qui pourrait arriver en France sous le nom de "Mysimba". C’est une pilule minceur contenant un anti-opiacé et un antidépresseur connu pour accélérer le pouls. Le médicament peut donc provoquer des palpitations cardiaques.
                                                       Une perte de poids de 4 à 5 %

     Ce qui inquiète le plus les médecins, ce sont les risques cardiovasculaires. Des risques graves pour une perte de poids de seulement 4 à 5 %. Des craintes identiques à celles exprimées à l’encontre du Baclophène. Il est administré depuis peu en France contre l’alcoolisme, mais son usage est détourné et certains médecins le prescrivent aussi comme coupe-faim. De nouvelles pilules minceurs qui rappellent le scandale du Mediator, le médicament pour diabétiques, utilisé comme coupe-faim et à l’origine de nombreux décès.

Medicament Contrave : le comité consultatif de la FDA l'a approuvé

Publié par la rédaction de RegimesMaigrir.com le 12/12/2010

     Le medicament Contrave vient de recevoir l'approbation du comité consultatif de la FDA. Il ne reste plus qu'à attendre la décision finale de la FDA.
     Le médicament anti-obésité Contrave, développé par les laboratoires américains Orexigen Therapeutics (en partenariat financier avec les laboratoires japonais Takeda), vient de franchir une étape importante pour se rapprocher de la mise en vente.
     Le comité consultatif de la FDA vient en effet de donner son approbation le 08/12/2010, la première approbation depuis 10 ans pour une pilule amaigrissante (la dernière étant Orlistat, principe actif de Xenical, approuvée en 1999).

Les membres du comité consultatif de la FDA s'étaient réunis pour analyser les risques potentiels du médicament Contrave.

     Ils ont fini par voter en faveur d'une recommandation d'approbation à 13 voix contre 7.

     Ce résultat positif a permis aux actions des laboratoires Orexigen Therapeutics de prendre plus de 80% de valeur pendant le jour qui suivait l'annonce.

     L'approbation du médicament Contrave a beaucoup attiré les investisseurs en grande partie à cause du manque de choix de médicaments anti-obésité "homologués" proposés aux personnes en surpoids ou obèses aux Etats-Unis et dans le reste du monde. Découvrez aussi les points forts et faibles de Proxavit.

     Suivre un régime et faire de l'exercice, qui sont les premières recommandations données pour maigrir durablement, sont souvent difficiles à tenir sur du long terme par les patients. D'autres pilules amaigrissantes déjà approuvées dans le passé présentent divers effets secondaires et indésirables (Meridia des laboratoires Abbott a même été retiré du marché sur ordre de la FDA en 2010 parce qu'il augmentait les risques de congestion cérébrale et d'attaque cardiaque chez les personnes souffrant déjà de maladies cardiovasculaires, alors que ce médicament anti-obésité était en vente depuis 1997).

Tandis que les options chirurgicales (comme le bypass gastrique ou la sleeve) présentent des coûts élevés et des risques post-opératoires. Beaucoup de personnes obèses fondent alors leur espoir sur de nouveaux médicaments anti-obésité.

     Le médicament Contrave a réussi là où ses concurrents ont échoué. Le médicament Lorcaserin (des laboratoires Arena Pharmaceuticals) avait été désapprouvé en octobre 2010 par le comité consultatif de la FDA après analyse de ses effets cancérigènes potentiels relevés sur les rats de laboratoire et de son faible effet sur la perte de poids. Quant au médicament Qnexa (développé par les laboratoires Vivus), il avait aussi été désapprouvé par le comité consultatif de la FDA en octobre 2010 suite à l'analyse des problèmes posés par son utilisation sur une longue période (risques de dépression et de malformations congénitales).

     Le médicament Contrave a évité de tels soucis, avec des tests cliniques qui ont convaincu les membres du comité consultatif de la FDA que ses bienfaits l'emportent largement sur ses risques potentiels dans le cadre d'une utilisation sur une longue période par les personnes obèses. Les bienfaits du médicament Contrave incluent notamment une perte de poids "non insignifiante". Redécouvrez par la même occasion les principaux inconvénients voire dangers liés à la prise de la pilule Alli.

     Le comité consultatif a pu observé à partir des tests cliniques que les personnes en surpoids ou obèses (classifiés en fonction de leur IMC) qui avaient pris le médicament Contrave perdaient en moyenne 4,2% de poids de plus que les personnes qui avaient pris un placebo. Même si ce pourcentage n'atteint pas tout à fait les 5% de perte de poids requis par la FDA pour une approbation, la recommandation d'une approbation finale a été motivée par le fait que certains patients testés avaient bien perdu plus de 5% de leur poids corporel. Cette relative mauvaise performance du médicament Contrave pour faire maigrir est d'autant plus décevante qu'une étude préliminaire avait montré une perte de poids allant de 10% à 15%.

     Vue son efficacité relative pour faire maigrir (et les effets secondaires potentiels tels que l'hypertension, les vertiges, l'insomnie), les membres du comité consultatif de la FDA ont avoué que le médicament Contrave ne sera pas parfait pour tout le monde, mais ont précisé qu'ils préféraient voir plus d'une option sur le marché des médicaments anti-obésité en vente sur ordonnance.

     Le comité consultatif de la FDA a certes donné une recommandation en faveur d'une approbation finale du médicament Contrave, mais ses membres ont également voté à 11 contre 8 pour qu'une étude supplémentaire soit conduite (avant la décision finale de la FDA) pour examiner les effets de Contrave sur les risques de problèmes cardiaques majeurs, afin de pouvoir confirmer l'approbation.

     Il faut toutefois savoir que la décision finale de la FDA sur l'autorisation de la mise en vente du médicament Contrave (qui sera rendue le 31/01/2011) ne suivra pas obligatoirement la recommandation donnée par son propre comité consultatif en faveur d'une approbation. Mais en général, la FDA suit l'avis positif donné par son comité consultatif.

     Les laboratoires Orexigen Therapeutics (basés en Californie, Etats-Unis) et Takeda (le principal partenaire financier) ne crient donc pas victoire encore, mais ont de très bonnes d'espérer d'arriver en premier (dès 2014) sur le juteux marché des nouveaux médicaments anti-obésité. En effet, ils ont pris une bonne longueur d'avance sur leurs nombreux concurrents (Tesofensine, Lorcaserin, Qnexa, Pramlintide et Davalintide, etc.).

     Les analystes estiment que les ventes du médicament Contrave pourraient atteindre 800 millions d'euros en 2016. Le surpoids et l'obésité étant devenus un problème de santé publique très coûteux à la fois pour les patients et pour les ministères de la santé de tous les pays du monde, notamment à cause des maladies que l'obésité provoque (diabète, maladies cardio-vasculaires, congestion cérébrale, hypertension, hypercholestérolémie, etc.). Aux Etats-Unis par exemple, le pays le plus touché par ces problèmes de poids, près de 70% des adultes sont soit en surpoids soit obèses.

     Rappelons que le médicament Contrave mélange deux principes actifs bien connus et utilisés depuis plus de 20 années : bupropion (un antidépresseur également prescrit aux personnes qui veulent arrêter de fumer) avec naltrexone (un médicament utilisé pour traiter l'alcoolisme et d'autres addictions comme les toxicomanies aux opiacés par exemple). La combinaison de ces 2 principes actifs agit de manière complémentaire dans le système nerveux central et s'occupe à la fois des leviers biologiques et comportementaux de l'obésité.

     Les détracteurs du médicament Contrave reprochent principalement à son fabricant de :
  • Ne faire que "recycler" des anciennes pilules (vu que ce médicament est à base de deux principes actifs déjà utilisés dans des médicaments depuis plus de 20 ans) qui présentent divers effets secondaires connus (notamment sur les personnes souffrant déjà d'attaques),
  • Vouloir commercialiser un médicament qui fera perdre peu de poids, et qui ne fera pas maigrir durablement (le poids perdu revenant très souvent à l'arrêt du traitement Contrave, or il est vivement déconseillé de prendre des pilules amaigrissantes à vie pour maigrir puis stabiliser le poids).

     Que pensez-vous de l'approbation du médicament Contrave par le comité consultatif de la FDA ? Lisez les commentaires ou donnez votre avis plus bas sur cette page. Si vous avez aimé cet article, merci de le recommander sur Facebook, de le tweeter, de lui donner un vote +1 sur Google Plus.

 

15 commentaires:

  1. On ne chôme pas ce matin - Super article, on note la diversité une fois encore BBR.

    Nul doute que tous ces nombreux laboratoires se fond un paquet d argent sans tenir trop compte du résultat final, même s il y a un organisme ANSM qui contrôle tout.

    La découverte des conséquences sur la dangerosité des produits ne survient que très tardivement c est évident ( un peu dans un domaine bien moindre des machines neuves qui ne fonctionnent juste après que la garantie soit passée).

    C est vrai que nous sommes des grands consommateurs de médicaments, mais la vie que l on nous fait mener , n est elle pas la PREMIÈRE ET PRINCIPALE CAUSE.

    Toutes les mauvaises infos : notre président, notre gouvernement, le chômage, les clandestins et migrants qui débarquent chez nous, des passeurs odieux, le déficit, les dettes, les guerres, l islam, le djihad, les otages, les décapités, le stress, tout cela n est il pas fait pour nous abrutir.

    La Normande

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Comment ne pas être d accord avec votre commentaire La Normande, je pense exactement comme vous, et heureux ceux qui arrivent à résister pour ne pas en prendre car les effets sont parfois plus nuisibles que la maladie à d origine.

      Bien sur que les traitements sont prescrit par des médecin, bien sur qu il y a des contrôles de labo, mais est ce que tout cela n a pas d influence néfaste pour notre organisme sur la durée du traitement. Combien de cas ont démontré le danger, les morts, les atrocités, mais tout cela bien après.......

      Et ensuite, que se passe t il , oui des procès et sanctions bidons, quelques compensations financières aux victimes ou aux proches qui ne ramèneront pas à la vie, ni perdre le handicap causé.

      Comme vous le dites BBR, ces laboratoires (souvent fortunés) sont dirigés par des personnalités (qui comme les politiques s en sortent toujours bien) le frère de sarko ne dirigé t il pas un labo.

      On comprend encore le gros problème que peut avoir la justice pour choisir entre labo et victime.

      Jean BOUVARD

      Supprimer
  2. Bonjour à vous tous

    Il y a tellement à dire sur les médicaments et leurs effets secondaires qu on ne sait pas tout et surtout on ne nous dit pas tout.

    On nous donne quelques menus infos pour la prise des médicaments suite à des cas précis, mais personne ne parle des effets négatifs qui se propageront sur votre personne dans la mesure où vous devrez suivre ce traitement sur du long terme.

    De nombreux traitement ont fait des dégâts, malheureusement on comme à parler du sujet lorsqu il y a des morts, des handicapés dont les effets en sont la cause.

    Peut on encore prononcer le mot "Sanction" pour les laboratoires qui distribuent cette mort, ce handicap, en toute légalité. Où se trouve encore l efficacité de notre justice dans ce domaine ?

    Nicole PLEY

    RépondreSupprimer
  3. Coucou, Bonjour tout le monde

    Nous sommes déjà sur le pied de guerre. J apprécie cet article, une fois encore il nous montre que vous ne parlez pas uniquement de politique ou de clandestins ou d immigration, il y a aussi tout ça et combien important.

    J ai la fâcheuse habitude comme beaucoup d entre nous je pense de lire la notice, et je ne penche pas particulièrement sur la posologie que votre médecin vous prescrit, mais plutôt sur les effets secondaires dont on ne nous dit rien, mais là je peux dire que c est une véritable catastrophe, on vous parle de tellement d effets secondaires nuisibles que vous êtes obligés de recontacter votre médecin pour savoir si vous pouvez prendre ce médicament. Vous avez souvent cette réponse, si vous constatez une anomalie, arrêtez le traitement, appelez moi je vous donnerais autre chose.

    C est vrai qu au fil du temps nous apprenons tous les dégâts que font certains traitements, des conséquences de l extrême, oui des morts, des handicaps, où se trouve l efficacité du traitement si l on a plus à perdre qu à gagner.

    Souvent il y a des testeurs pour les nouveaux médicaments, mais si l effet indésirable n est constaté que bien des années plus tard, le danger demeure et force est de constater toutes les affaires dont ils en sont la cause. Il y a en effet beaucoup à dire, et nous ne savons pas tout.

    Nathalie

    RépondreSupprimer
  4. Tout à fait d'accord avec vous, La Normande. Et tout à fait d'accord avec chacun de vous. On ne nous dit pas tout, comme dirait certaine humoriste. On ne nous dit pas où sont fabriqués nos médicaments; on ne nous dit rien sur leurs effets secondaires après plusieurs années de traitement. On ne nous dit rien sur les risques que font courir certains vaccins...
    J'ai eu dans ma propre famille, une proche qui, sur les conseils insistants de son médecin, s'est fait vacciner contre l'hépatite B. Le conservateur de ce vaccin contient de l'aluminium et très vite, une fibromyalgie s'est déclarée, avec des douleurs parfois paralysantes dans les bras et les jambes, des crampes, de la fatigue empêchant toute activité professionnelle.. Et encore ce cas n'est pas le pire, puisque certaines personnes en sont mortes.
    Le médecin informé a déclaré que c'était triste mais que le pourcentage de personnes ayant évité l'hépatite B grâce au vaccin étant beaucoup plus important que celui des personnes qui en sont mortes ou sont restées handicapées, il n'y avait pas lieu de se plaindre.
    Et que dire de la ministre bachelot, représentante en pharmacie pour le compte d'un laboratoire, avant d'être nommée ministre, et qui a fait acheter par la sécurité sociale des millions de vaccins (H1N1) auprès de ce même laboratoire ?
    Qui nous fera croire qu'il n'y a pas là une certaine complicité pour ne pas dire une complicité certaine ? Au moins, on gagne sur tous les tableaux !
    Elle est pas belle la vie ?
    L'Indien qui remercie BBR d'avoir remis sur le tapis ces sales affaires de collusion, de corruption, et de non assistance à malades en danger.

    RépondreSupprimer
  5. "Si les gens du peuple permettent au gouvernement de décider de leur nourriture et de leurs médicaments,leurs corps ne tarderont pas de présenter l'état pitoyable des âmes qui vivent sous la tyrannie." Thomas Jefferson.
    L"agrochimie et l'industrie pharmaco chimique ont en commun le même dénominateur l'industrie chimique.
    Et ce sont parfois les mêmes qui s'occupent de notre environnement,de nos assiettes et de l'agence des médicaments.
    Ainsi par exemple la firme Américaine Bayer fabrique des pesticides,pesticides que l'on va ingérer par la force des choses,pesticides qui éradiquent les abeilles,et fabrique en même temps des médocs qui vont nous soigner.
    Bayer s'il veut conserver son rang de leader aura tout intérêt à "empoisonner" plantes fruits air et nous proposera ensuite tout un panel de médocs pour lutter ensuite contre les effets secondaires que les pesticides auront engendrés sur notre corps."Bayer for a better life" comme le dit la publicité est 100% gagnant sur tous les côtés!!!!
    Encore une fois nous sommes les dindons de la farce et nous subissons le puissant lobbie pharmaceutique.
    Nous,mis à part tout le monde y gagne,les pharmaciens,les toubibs,les chimistes et l'industrie pharmaceutique n'oublie pas de gratifier ses serviteurs fidèles,un docteur chez qui j'étais allé m'avait diagnostiqué une angine et devait me prescrire un antibiotique pour enrayer l'infection:et je fus fort surpris quand il me dit :"vous préférez "pengloble" ou "clamoxyl"?
    Je lui dis ,mais c'est vous qui savez docteur!!
    Il m'avoua que s'il me prescrivait "penglobe" les laboratoires de ce médicament offriraient à sa femme un sac Hermès!!!!
    Et toujours en parlant de toubibs rares sont ceux qui se font vacciner mais insistent pour que nous le soyons!!!
    Je nous souhaite une bonne santé mes amis ,une bonne santé aussi à vous BBR,
    Fleur de lys.

    RépondreSupprimer
  6. Si il y a un mot à proscrire c’est bien le mot « patient ». La souffrance des uns n’intéressant pas les autres, et surtout pas nos médecins, qui bien souvent avant de nous demander de quoi nous souffrons, nous demande la carte vitale. Parlons donc de clients.
    La maladie tue énormément de gens, mais combien en fait -elle vivre, et bien vivre. Tous les ans, avec la complicité des labos pharmaceutiques, l’homme invente de nouvelles maladies. La mort et la misère se vendent bien.
    Ne parlons pas des médicaments génériques, que je compare à l’euro : encore une belle escroquerie que nos enfoirés de dirigeants nous ont imposée, qu’ils ne veulent pas abandonner, et pour cause.
    Ainsi va notre société.
    @

    RépondreSupprimer
  7. Que dire de plus les amis, nous avons une fois encore la preuve que l argent est encore LA PRIORITÉ même s il s agit de notre santé, et comme le dit @ oui nous ne sommes plus de des cartes vitales à leurs yeux, comme nous sommes des cartes bancaires. Tout s achète, tout se vend, c est juste une question de prix.
    Oui l Indien combien de cas comme le votre y a t il eu en France, combien ses médicaments, ses génériques et ses vaccins ont tué de monde pour que nos médecins ou laboratoires puissent se remplir les poches. C est navrant, triste, impensable que nous en soyons arrivé la.

    Z@vor

    RépondreSupprimer
  8. Et dire que nous sommes obligés de passer par là.

    Nul n est à l abri d une maladie et tout est susceptible de nous en donner une (pollution, personnes sales, pesticides, ce que l on mange, ce que l on boit, le froid, le chaud, tout peut être sujet à vous contaminer)

    Résultat - Médecin, analyses, traitements - effets secondaires, tout un enchainement qui fait que quelques années plus tard on se rend compte du danger.

    Oui ils sont bien tous de mèche partant du médecin au labo, en passant par les représentants dont le travail est de convaincre le toubib de prescrire tel ou tel médoc, lorsque vous le voyez sans la salle d attente avec sa grosse sacoche noire, son ordinateur, ses catalogues, vous vous dites, allez quelques merdes supplémentaires.

    On voit les résultats ( certains chez des proches ) et bien souvent trop tard. Et quand on pense au sanction, permettez moi de sourire, elles sont à l identique des politique c est à dire quasiment nulle.

    Olivier TREQUEL

    RépondreSupprimer
  9. Sacré article, très intéressant et très instructif. Je suis comme vous un peu dans cette incompréhension qu on nous soigne on ne sait plus comment, la chirurgie fait des progrès, la recherche aussi, la science aussi, et nous sommes néanmoins à la merci de traitements ou vaccins dont les effets secondaires vous rendent dans un état pire que la maladie pour laquelle vous avez consulté votre médecin.

    Oui je suis d accord avec vous les amis - Carte vitale, carte bleue, des morts, des handicapés, de graves conséquences, et tout cela est lié au mot ARGENT comme d habitude, et cela ne dérange pas les responsables ( ils tirent la couverture et presque vous rendent responsable de n avoir pas lu la notice où les risques étaient mentionnés) quant au médecin , il pourra toujours vous dire que s il y a un problème vous pouvez le rappeler il changera le traitement ou les doses.

    Putain de Fric il nous pourri vraiment la vie, c est le moins que l on puisse dire.

    Alice

    RépondreSupprimer
  10. Super article Merci BBR et super commentaires, très enrichissants.

    RépondreSupprimer
  11. On se rend compte que notre santé importe peu, on ne peut pas nier qu il arrive que nous soyons bien soigné, tout dépend de la maladie, de votre constitution à pouvoir ingurgiter tel ou tel médicaments, mais pour certain l issue est fatale.

    C est vrai que lire la notice et les effets secondaires fait peur, mais il s agit d une prescription faite pas un médecin, alors que faire ne pas le prendre et continuer à être malade ou tenter que ça aille mieux en prenant des risques.... Nous avons guère le choix, et pourtant quand on voit tous les problèmes que les effets ont causé, toutes les infos dramatiques qui surviennent des années plus tard, nous apprenant un nombre de morts important dû a ce médicament, ou des handicapés, ou des maladies survenues comme le précise l Indien à la suite de vaccins.

    Oui on peut dire que tout cela est encore une question d argent, à peine êtes vous rentré chez votre médecin que la première chose qu il vous demande, avez vous votre carte vitale, idem dans les labo d analyses, idem pour les scanners, radios etc.....C est triste.

    André BERGERAC

    RépondreSupprimer
  12. Bonjour,
    J'ai essayé plusieurs méthodes pour perdre du poids et aucun ne m'a pas aidé comme Reductil. Grâce à ces pilules j'ai perdu 10 kilos et je suis très contente. J'ai acheté Reductil sur le site http://www.reductil-shop.com et j'ai reçu la commande après 4 jours.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Sophie,
      Je suis contente pour tes résultats et je voudrais aussi essayer Reductil mais je veux savoir si tu n'as pas eu des effets collatéraux et dans combien de temps as-tu réussi perdre 10 kilos. Merci de ta réponse.

      Supprimer
    2. Salut Simone,
      J'ai commencé à utiliser Reductil depuis 2 mois et demi et j'ai réussi perdre 10 kilos. Je suis contente, je n'ai pas eu des effets collatéraux. Pourtant il y a quelques effets qui sont bienvenues à mon avis, notamment j'ai une perte d'appétit, je ne mange trop, en échange je bois beaucoup de l'eau, ça c'est bien pour un régime correct et saine.
      Bonne chance

      Supprimer