Chapitre VII :
LA SECURITE qui va de pairs avec LA JUSTICE.
Elle présente plusieurs types.
-
La
routière
Jusqu’à’ à ce jour et malgré tous les procès verbaux
dressés, les préventions, les campagnes publicitaires et autres, les accidents sont toujours là, toutes les
mesures prises n n’ont pas suffi, même
si pour certaines années le nombre de morts a baissé légèrement.
Si certaines infractions commises sont appelées
graves, elles ne sont que des facteurs aggravants sur les conséquences, il faut
avant tout arriver à agir sur le comportement des conducteurs et là est toute
la difficulté.
Pour des excès de vitesse on dresse des
procès-verbaux, on retire des points, des permis, mais ça ne change rien. D’autres
solutions existent, bien plus efficaces
et radicales, mais elles ne sont pas adoptées car elles ne rapportent pas
d’argent.
Rouler, un peu plus vite qu’autorisée, sur une grande
ligne droite est sanctionné, alors que la vitesse est plus dangereuse encore
dans les agglomérations très fréquentées etc.
Pour cette infraction précise il suffirait peut
être :
Dans un premier temps NE PAS
VENDRE DES VOITURES qui dépassent le 130 km/ heure puisque c’est la vitesse
maximale autorisée. C’est la tentation à l’état pur. (LA AUSSI C’EST UNE
QUESTION DE FRIC). S’il ne se vendait
que des voitures (toutes marques confondues) qui ne puissent aller au dessus de
130 on les achèterait quand même.
-Il faudrait également installer un interrupteur pour passer de
l’autoroute, à la route nationale, puis
voie rapide, puis agglomération, mais là il y a peut être déjà le régulateur de
vitesse,et ensuite installer dans les voitures soit des
boites noires comme dans les avions pour définir de façon précise les
responsabilités qui ont du mal à être toujours comprises par la
justice, les assureurs et même pourquoi pas des chronos tachygraphes comme dans les
camions.
Tout cela éviterait les coûteuses installations de
radars innombrables, mais il est vrai que ces gadgets rapportent à ceux qui les
créent, à ceux qui les installent et, bien sur à l’Etat
(VOIR CE LIEN)
Il est à remarquer que les conducteurs qui roulent
trop lentement sont eux aussi très
dangereux.
Pour d’autres infractions graves telles que LES ALCOOLEMIES, il faut impérativement
adopter LE TAUX 0 accepté par
d’autres pays et créer dans les voitures
les mêmes systèmes que pour la ceinture.
Dès que le volant est pris par un conducteur imbibé d’alcool, il faut qu’une
sonnerie retentisse et que la voiture ne démarre pas. Des ingénieurs de talent
travaillent actuellement sur ce projet.
Reste ensuite à lutter contre les comportements des usagers de
la route qui ne respectent pas les
distances de sécurité, le portable, (qui en plus fait même internet maintenant)
les GPS ? Il faut aussi placer les services de sécurité routière dans les virages
dangereux de manière à être préventif et aussi toujours à proximités des boites
de nuit avec des horaires raisonnables mais limités.
Mais là encore on sait que nos candidats en font
aussi une de leur priorité c’est évident, mais personne n’est dupe, il y a
toujours de plus en plus de radars super bien placés et toujours du FRIC qui
rentre dans les caisses et on ne sait même pas à quoi il est destiné).
-
La
délinquance :
A)
Corporelle :
Avec tout ce que l’on voit à la télévision aux
informations et dans les divers reportages, avec tout ce qu’on lit sur le net
dans la presse, qu’on voit, sur les agissements des délinquants (primaires et récidivistes,
emploi d’armes lourdes n’hésitant pas à les utiliser contres les forces de l’
ordre, contres les convoyeurs de fonds, les banques et autres commerçant tels que les tabacs, bijouteries,
ou pharmacies).
Les agressions des personnes âgées, des personnes
fragiles ou handicapés, des femmes sans défense, des enfants violés tués,
brulés. S’il y avait un référendum sur la peine de mort elle passerait surement
(bien sur il faut être sur et ne pas condamner
à mort un innocent, mais il y a tellement de preuves irréfutables
maintenant avec l ADN, que les erreurs
sont quasiment nulles ou inexistantes.
Les hommes qui battent leur femme avec énormément de
violence et qui ont peur de parler ou fuit par peur de recevoir encore plus.
Les violeurs qui agissent soit par pulsion soit
prématurément sur des femmes seules, jeunes, ou vulnérable. (On a même entendu
des mémés se faire violer, torturer pour savoir ou elle avait mis leur argent
ou leur faire dire leur numéro de carte bancaire).
Pourquoi aurait t on PITIES DE CES MONSTRES ?
Ont-ils eu pitiés de leur victime,
eux ?
Et il faut arrêter de les faire passer toujours pour des déments, afin qu’ils échappent
à la justice et aillent dans un hôpital psychiatrique se faire soigner, sortir
sans respecter les mesures (de se présenter, de prendre leur traitement) et
ainsi pouvoir recommencer indéfiniment.
Ils ne sont pas tous aussi déments que cela au moment
des faits. Ils n’agissent pas tous sous
le coup de pulsions. Bien souvent leur
agissement est bien préparé, prémédité, exécuté.
Quant aux experts qui déclarent souvent, l’état de ces gens incompatible avec des
mesures de garde à vue ou incarcération, s’il s’agissait de leurs propres
enfants ou parents, il est à parier qu’ils changeraient vite d’avis et seraient
moins indulgents.
Il faut quand même penser avant tout AUX VICTIMES et
ce n’est souvent pas le cas.
Evoquons aussi ce que l’on appelle familièrement
» l’atteinte à la vie privée »
Lorsque l’on veut mettre en place des forces de l’ordre devant des écoles, des
lycées pour la sécurité des jeunes, tout le monde lève les bras au ciel. Des
flics devant un établissement scolaire ? Quel scandale !
Lorsque l’on parle d’installer des caméras pour
visionner des méfaits, là aussi on crie au secours, on viole notre vie privée,
on nous épie, on nous surveille.
IL ARRIVE UN MOMENT OU IL FAUT
SAVOIR CE QUE L ON VEUT.
IL FAUT ARRETER AVEC TOUTES CES ASSOCIATIONS,
TOUS CES SYNDICATS QUI EMPECHENT LA
SECURITE DE TOURNER ROND
N’est ce pas aux abords des lycées, collèges et parfois même à l intérieur qu’on retrouve des vendeurs de
drogue. N’est ce pas là aussi que l’on commet du racket à outrance sur des
enfants et fragiles, certaines victimes n’osant même pas en parler par suite
des menaces reçues et des représailles ? Certaines même se sont suicidées.
Il y a eu des exemples récents aux infos, et maintenant on nous reparle d’un
pourcentage énorme de harcèlement (il y a bien longtemps que cela existe, comme le racket) pas aussi important certes,
et on commence seulement à s’en inquiéter, là
aussi, si on n’avait pas laissé
la gangrène s’installer nous n’en serrions pas là.
Et que dire de cet enfant qui a été poignardé de 14
coups de couteau dans un établissement scolaire ? De cette enseignante qui
a failli se faire étrangler par son élève âgé de 10 ans ? Sans l’intervention d’un de ses collègues
elle serait sûrement morte.
Mais que s’est-il donc passé ? Ce pauvre gamin
n’aurait il pas eu une bonne note ? Cette prof lui aurait elle fait une petite
remarque ?
Et cet enfant dans un établissement scolaire de
BOURGES tué a coup de couteaux pour quelques euros.
A chaque fois ce sont des consternations, des marches
blanches, silencieuses, des prières, des plus jamais ça, mais force et de
constater que ça ne s’arrête jamais.
Pourquoi en sachant tout ce qui se passe n’y a-t-il
pas des contrôles plus rigoureux pour détecter le matériel, les armes qui
entrent dans ces établissements ? Si
on refuse la présence policière ou des
caméras il faut assumer.
Et que fait-on pour ça ? Rien ou pas grand-chose puisque ça continue
et que personne n’est d’ accord sur les mesures prises ou à prendre.
Bientôt les élèves auront peur d’aller à l’école, et
ils préféreront étudier sur le NET à la maison, c’est moins risqué et on ne se
fait plus agresser ou racketter.
Et comme le disait certain médecin « si vous ne voulez pas de stress ne
regardez jamais les infos du 20 heures ». On n’y parle que de crise, de plans d’
austérité, de chômage qui augmente, de
la flambée des prix, de la hausse du baril du pétrole, des accidents, des
cambriolages, des morts, des meurtres, des guerres de partout dans le monde,
des révoltes, de la drogue, des catastrophes naturelles, des sdf, des malades, des
escroqueries et des traders, quel
mélange appétissant.
Et en plus on dit que nous sommes en démocratie ! Dès qu’une idée est trouvée par quelque gouvernement
que ce soit, aussitôt le parti adverse
est contre. On dirait les frères ennemis comme l’OM et le PSG , vous croyez qu’ une fois de temps en temps
ils se mettraient d’ accord surtout si l’idée est bonne , ne serait ce que pour
penser à nous ?
Si toutes ces personnalités DROITE, GAUCHE, CENTRE ET AUTRES s’unissaient pour le bien
des citoyens français on s’en serait sûrement rendu compte.
B)
matérielle :
Croyez-vous que les honnêtes gens, les commerçants,
n’en n’ont pas assez d’être dépouillés, cambriolés alors qu’ils ont trimé toute
leur vie pour acquérir un bien ? On
assiste à de plus en plus d’agressions
de personnes pour leur voler un portable, une voiture, des bijoux.
Tout est visité : maison (ils font même du vandalisme s’ils ne
trouvent pas ce qu’ils cherchent et on a
même vu des lits déchiquetés, des
excréments), bureaux, établissements
scolaires (où il y a des ordinateurs)
Les commerces, grandes surfaces avec la présence de clients,
on voit les voyous à proximité des distributeurs de billets guettant leur proie. Ils attaquent les fourgons blindés à l’arme lourde
(lance roquette, bazooka, kalachnikov). Pourquoi ne pas les dissuader définitivement avec des mallettes où dès l’ouverture les
billets se détruisent.
Les attaques de banques, (pourquoi ne pas incorporer
ce produit qui s’imprègne sur les
auteurs, même sur l’arme, et grâce auquel, ils peuvent être rapidement confondus. Ce système
existe déjà en Belgique et il est parait qu’il est très dissuasif et pourquoi
ne pas installer des plots en aciers devant chaque établissement pour éviter
les casses à la voiture bélier.
Et que dire de
cette délinquance de plus en plus jeune
avec un physique d’adulte mais un cerveau d’enfant, mais qui n’hésite
pas à employer l’usage des armes même pour un faible butin.
Que dire sur le fait que bien souvent certains pays
envoient leur gamin de moins de 13 ans pour commettre des méfaits sachant qu’
en France avec moins de 13 ans il y a admonestation des parents mais pas de
condamnation.
Que dire aussi de toutes les associations qui s’indignent
de l’inconfort dans le milieu carcéral, (on voit même sur le net des prisons de
luxe qui traitent leur prisonnier mieux que nous ne traitons certains de nos
retraités).
Que dire sur les interventions des forces de l ordre,
qui se font caillasser par les gens des cités où on trouve le plus de
délinquants et ou il y a toujours des guetteurs pour avertir de leur
arrivée. On fait moins de bruit pour
un policier caillasssé ou blessé que pour un prisonnier mort d’une crise
cardiaque suite à un contrôle dans un immeuble à l’ occasion de la recherche de
drogue.
Que dire aussi de l’usage des armes par nos mêmes
forces de l’ordre (LISEZ BIEN CETTE ANNEXE
C'EST
TELLEMENT VRAI !
Test du policier
Vous marchez dans une
rue déserte avec votre femme et vos deux enfants. Soudain, un
"jeune" (c'est comme ça que les journalistes les appellent) se
précipite sur vous avec un grand couteau. Vous avez votre arme de service sur
vous. Vous avez quelques dixièmes de secondes pour réagir!!
LE
POLICIER CHINOIS
une balle en plein cœur,
le voyou est mort.
LE
POLICIER RUSSE
une balle entre les
deux yeux, le voyou est mort.
LE
POLICIER AMÉRICAIN
je vide mon chargeur
dessus, le voyou est mort.
TOUS
LES POLICIERS ARABES SANS EXCEPTION
dans la seconde le
gars est égorgé, émasculé, énucléé et bouffé par les chiens, bref, mort.
LE
POLICIER FRANÇAIS OU BELGE
Je garde mon
sang-froid et j'analyse la situation...
Si je tire :
- Suis-je en état de
légitime défense ?
- A-t-il un permis
pour le port de ce couteau ?
- Ai-je bien vérifié
que ce n'est pas un Arabe, parce que, dans ce cas, tuer au couteau fait
partie de sa "culture" et je n'ai donc pas le droit de m'y opposer
?
- Les médias vont-ils
en faire une victime ?
- Est-ce un
"jeune" de quartier incompris par la société ?
- Est-ce que cela va
être vu comme du racisme s'il fait partie de la "diversité ", des
"minorités", etc.
- Est-ce que la ville
va être ensuite mise à feu et à sang par les "jeunes" des quartiers
?
- Est-ce que je vais
être poursuivi par la Halde, le MRAP, SOS Racisme, etc. ?
- Est-ce que ma
famille sera traînée dans la boue, ma vie disséquée depuis la maternelle, mes
enfants menacés ?
- Est-ce qu'on va
parler de "bavure" dans les média et me condamner ?
- Combien de dizaines
de voitures vont brûler si je tire ?
- l'État devra-t-il
par ma faute négocier la paix sociale dans les "quartiers"
> STOP : vous avez compris, le voyou va bien, merci, il se marre, mais le flic, lui, il est MORT |
Peut être ferait on bien de s’inspirer de ce que fait
un shérif américain qui explique bien, que ce sont les délinquants qui ont
choisi cette voie en toute connaissance de cause et que par conséquent il faut
qu’ils assument. Ils tuent, ils violent, ils volent et faudrait être au petit
soin pour eux. Il faut arrêter, là
aussi, avec les associations
protectrices, et PENSEZ UN PEU PLUS AUX VICTIMES
qu’on a souvent tendance à oublier.
VOIR CE LIEN
Si en France on avait ce système ne croyez vous pas
que ce serait plus dissuasif et qu’il y aurait moins de délinquance ?
Les enfances malheureuses, les circonstances atténuantes,
les excuses de minorité ou atténuantes prennent
le pas sur la justice, on respecte plus
souvent cela que le maximum des peines infligées par le code pénal ou par
les jurés (une peine de réclusion
criminelle à perpétuité se traduit bien souvent par 18 ans de prison et avec
des réductions de peines pour bonne conduite, à
15 ans) pas mal si le prévenu reconnu coupable, est jeune, il peut même à sa sortie, recommencer.
D’autres personnes ont eu des enfances malheureuses,
pertes de parents, accident, handicap, sont-ils devenus délinquant pour
autant ?
Non, il s’agit là d’ un choix délibéré, pour gagner
DU FRIC, TOUJOURS DU FRIC en grosse
quantité et sans travailler honnêtement
QUE FAIT-ON
POUR LES VICTIMES :
Déjà que bien souvent elles ne sont pas réconfortées
par les verdicts de justice qui ne sont pas en rapport avec le préjudice
qu’elles ont subi, elles doivent de surcroit être sanctionnées.
Prenez le temps de lire cette LETTRE si émouvante et si évocatrice sur l’inversion
des valeurs. Il est sur et certain que
certains verseront des larmes.
Lettre d'une mère à une autre mère.
Très impressionnant Inversion des valeurs - lettre d'une mère à une autre mère HISTOIRE VRAIE. Chère madame,
J'ai vu votre protestation
énergique devant les caméras de télévision contre le transfert de votre fils
de la prison d’ARLON à la prison de LEUVEN. Je vous ai entendue vous plaindre
de la distance qui vous sépare désormais de votre fils et des difficultés que
vous avez à vous déplacer pour lui rendre visite.
J'ai aussi vu toute la couverture
médiatique faite par les journalistes et reporters sur les autres mères dans
le même cas que vous et qui sont défendues par divers organismes pour la
défense des droits de l'homme, etc.
Moi aussi je suis une mère et je
peux comprendre vos protestations et votre mécontentement.
Je veux me joindre à votre combat
car, comme vous le verrez, il y a aussi une grande distance qui me sépare de
mon fils. Je travaille mais gagne peu et j'ai les même difficultés
financières pour le visiter. Avec beaucoup de sacrifices, je ne peux lui
rendre visite que le dimanche car je travaille tous les jours de la semaine
et aussi le samedi et j'ai également d'autres obligations familiales avec mes
autres enfants. Au cas où vous n'auriez pas encore compris, je suis la mère
du jeune que votre fils a assassiné cruellement dans la station service où il
travaillait de nuit pour pouvoir payer ses études et aider sa famille.
J'irai lui rendre visite dimanche
prochain.
Pendant que vous prendrez votre fils
dans vos bras et que vous l'embrasserez, moi je déposerai quelques fleurs sur
sa modeste tombe dans le cimetière de la ville. Ah j'oubliais, vous pouvez
être rassurée, l'état se charge de me retirer une partie de mon maigre
salaire pour payer le nouveau matelas de votre fils puisqu'il a brûlé les 2
précédents dans la prison où il purge sa peine pour le crime odieux qu'il a
commis.
Pour terminer, toujours comme
mère, je demande à tout le monde de faire circuler mon courrier, si intime
qu'il soit. nous parviendrons ainsi peut-être à arrêter cette inversion des
valeurs humaines. Les droits de l'homme ne devraient s'appliquer qu'aux
hommes droits.
Edith Besançon 10 Montée Beaumur 38200 Vienne 04.74.85.07.64 / 06.22.59.33.40 |
||
Où va l’argent
qui est récupéré à la suite des interpellations ?
On parle même des fois de sommes importantes
Va t-il aux victimes ?
Aux policiers, aux gendarmes où l’on parle toujours
de réduire les effectifs ?
Va t-il améliorer l’état des prisons ? On n’ose
même pas y penser, surtout quand on voit les nouvelles constructions de prisons super top, certain de nos retraités n’ont pas ce confort
(BIEN VOIR LA FIN DU LIEN SUR LE SHERIFF ET LA
PRISON EN AMERIQUE) vous comprendrez mieux pourquoi on préfère être en prison en
France et si nos vieux retraités ne peuvent pas payer la maison de retraite et s’ils n’ont pas de
famille pour régler (c’est l’asile, le mouroir).
Il devrait y avoir davantage d’enquêtes sur ces sujets, les honnêtes gens et surtout
les victimes seraient curieuses de savoir.
De nombreuses questions se posent aussi sur certaines
décisions de justice :
Les remises en liberté prématurées qui font des récidivistes.
La non condamnation de certains délinquants, surtout les jeunes de moins de 13 ans qui
physiquement sont déjà des adultes.
Les décisions d’internement dans des hôpitaux par
suite de rapports d’expertise.
PENSE T-ON aux victimes ?
Lire CETTE LETTRE D’
UNE PERSONNE sur les idées de la justice
d’un candidat à la présidentielle, mais comme le dit le document il s’agit
surement d’une erreur, mais ça fait quand même peur.
M. François Hollande s'est engagé à supprimer les
peines planché pour les récidivistes et la rétention de sûreté contre les
criminels sexuels, s'il est élu Président de la république.
Il ferait donc en sorte que notre Justice remette
plus rapidement en liberté les délinquants et les criminels les plus
dangereux !
A-t-il seulement pensé aux victimes, dont il ne
parle à aucun moment dans les 40 pages de son projet présidentiel ?
Quelle que soit votre opinion de François Hollande
sur les autres sujets, il serait, dans le contexte actuel, absolument
irresponsable de laisser passer ça.
Voilà pourquoi je vous demande de réagir maintenant
(je vous indique tout de suite comment).
Fondamentalement, il est impossible qu'un homme qui
envisage d'accéder à la fonction suprême veuille prendre une décision qui
nuirait aussi directement à l'ensemble des citoyens - et à ses électeurs !
A l'Institut pour la Justice, nous sommes convaincus
que c'est une erreur d'aiguillage, sur un sujet que François Hollande,
il est vrai, maîtrise mal. Scolarisé en école privée, en école de commerce,
puis fonctionnaire à la Cour des Comptes, François Hollande est un expert en
comptabilité. Il n'a que peu de connaissance des tribunaux, et aucune
expérience personnelle de l'insécurité. Il est donc parfaitement possible, et
même hautement probable, que cette réforme qu'il a annoncée lui ait été
conseillée par des rêveurs déconnectés des réalités.
Mais si nous sommes des centaines de milliers
d'électeurs à nous mobiliser maintenant, nous pouvons le faire changer
d'avis. Nous devons le faire, ne serait-ce que par solidarité avec toutes
les personnes confrontées à la violence et à l'insécurité et menacées dans
leur vie de tous les jours.
Alors je compte sur vous pour envoyer immédiatement
à François Hollande (son adresse est contact@francoishollande.fr) un message lui demandant de
s'engager sur notre Pacte 2012 pour la Justice. Ce Pacte a été soigneusement
élaboré pour ne heurter aucun principe républicain, et proposer un programme
qui se place au-dessus des querelles politiques. De droite ou de gauche,
toute personne qui défend le principe des Droits de l'Homme en France ne peut
qu'en approuver tous les termes.
Si vous le souhaitez, vous pouvez reprendre le
message suivant dans votre message. Mais il a beaucoup plus de chances de
passer si vous y mettez votre touche personnelle (et si vous pensez voter
pour lui précisez-le !) :
Ecrivez, quelle que soit votre intention de vote aux
prochaines élections, à François Hollande sur contact@francoishollande.fr,
pour le faire changer d'avis sur ce point.
Si nous sommes assez nombreux à nous mobiliser, cela
marchera. Transmettez ce message à tous vos amis.
Quelle que soit votre sensibilité politique, vous et
moi avons intérêt à ce qu'il s'engage pour une Justice qui défende les
citoyens et les victimes.
Il est certain qu'il changera de cap si nous sommes
suffisamment nombreux à lui écrire... Mais il restera sur ses positions si
personne ne réagit.
Alors agissez maintenant et demander à tous vos
contacts d'en faire autant.
Un grand merci,
Laurence Havel
PS : Si sa messagerie électronique venait à être
saturée sous l'avalanche d'emails, vous pouvez aussi lui écrire sur: fhollande@assemblee-nationale.fr ou encore contact@depute-francoishollande.fr
PS 2 : L'Institut pour la Justice est une
association strictement apolitique visant à promouvoir une Justice plus
équitable. C'est son devoir citoyen que d'informer les 1,7 millions de
citoyens signataires du Pacte 2012 sur le positionnement des principaux
candidats à l'élection présidentielle.
|
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Il vous faudra aussi prendre le soin de cliquer
sur le lien et écouter la cassette du PACTE 2012pour une autre justice, c’est
très instructif .
CLIQUER ET ECOUTER LA CASSETTE SUR LES POLICIERS TUES
Sujet : Policiers tués (nouvelle vidéo)
|
Chers amis
signataires du Pacte 2012,
Urgent : on vient d'apprendre
qu'en 2011, 14 policiers et gendarmes ont donné leur vie pour protéger leurs
concitoyens. Dans le même temps, plus de 10.000 ont été blessés !!
Il y a
quelques jours, c'est le lieutenant Éric Lales, marié et père de deux filles,
qui était tué à la kalachnikov à Vitrolles.
Mais
savez-vous comment la Justice agit vis-à-vis de ceux qui agressent
sauvagement des policiers ?
Si non,
regardez cette nouvelle
vidéo de toute urgence.
Laurence
Havel
Pour voir la
vidéo, cliquez
ici.
|
(ou même de des tribunaux à l’encontre d’un maire qui
voulait faire respect l’ordre dans son village.
Ses cheveux
ont blanchi en quelques jours »
Lorsque la
reine Marie-Antoinette fut extraite de son cachot pour être guillotinée, la
foule fut médusée : ses longs cheveux châtains étaient devenus blancs, en
quelques jours.
C'est ce qui
est arrivé à Maurice Boisard, maire de Cousolre, une petite commune du Nord.
Sa vie a basculé lorsque cet honnête homme a été traîné devant un tribunal
comme un vulgaire délinquant.
Le 24 août
2010, Maurice Boisard, élu de sa commune depuis trente ans, sans étiquette,
surprend un jeune en train d'escalader le grillage entourant les bâtiments
municipaux.
Ce grillage
est tout neuf. Il a coûté 10 000 euros, une somme importante pour un village
de 2500 habitants. L'attitude du jeune est d'autant plus suspecte que tous
les jeunes de la commune savent qu'une clé est à leur disposition pour
pénétrer dans les lieux.
Mais surtout,
il se trouve que ce jeune est le chef d'une petite bande qui, depuis
longtemps, empoisonne la vie des habitants.
Selon la
presse locale, ils parlent fort, tard et traficotent sous les fenêtres. Les
habitants se plaignent, à tel point que le Maire a été obligé de prendre un
arrêté municipal interdisant les rassemblements à certains endroits du
village, comme dans les pays en guerre ! (Nous sommes pourtant dans l'Avesnois,
une région rurale réputée tranquille).
En rétorsion,
les jeunes multiplient les provocations, insultes, bris de vitres, bouteilles
d'alcool jetées sur la chaussée. Des tags agressifs maculent les murs de la
commune un peu partout. Les vasques de fleurs sont piétinées. Les plaintes
affluent au commissariat... qui est trop débordé pour réagir.
Le Maire
organise alors un voyage pour les jeunes de la commune, espérant leur
montrer sa bonne volonté.
Rien n'y
fait. Le 18 juin 2010, le jeune chef de bande vient ouvertement provoquer le
maire et rigoler pendant la commémoration avec les anciens combattants. Il se
« met ostensiblement devant sa voiture lorsqu'il va chercher son petit-fils à
la sortie de l'école communale » raconte le chroniqueur judiciaire du Monde.
La tension
est d'autant plus forte dans la commune que le prédécesseur de Maurice à la
mairie de Cousolre a démissionnée en 2006 après avoir été battu à coups de
manche de pioche pour avoir refusé un droit de stationnement à un forain.
Alors, ce jour-là,
le maire décide de ne pas laisser passer. Il sort de la mairie et exige du
jeune qu'il descende immédiatement du grillage, le menaçant de « l'emmener au
poste ».
Devant une
douzaine de copains, le jeune rétorque qu'il veut aller chercher un ballon « Ce
n’est pas toi qui va m'empêcher de faire ce que je veux ». « Il m'a insulté,
m'a traité de 'bâtard' » raconte le Maire. Celui-ci décide de réagir et lui
administre une gifle.
L'adolescent
sort de ses gonds, les insultes pleuvent – "Fils de pute, je vais
niquer ta mère, attends si t'es un homme, je vais te tuer". Mettant
ses menaces à exécution, il cherche d'abord à le frapper à coup de poing,
puis rentre chez lui, prend deux couteaux qu'il glisse dans ses
chaussettes et revient sur la place de la mairie !!!
Il s'en faut
d'un cheveu que l'irréparable soit commis : seule l'intervention de ses «
copains » permet d'éviter le drame.
Quand les
parents du jeune apprennent ce qui s’est passé, leur réaction est d'aller...
porter plainte contre le Maire pour « violence ».
Et voilà que
la Justice, parfois si peu pressée de défendre les citoyens, se saisit
immédiatement du dossier. Maurice Boisard se retrouve au Tribunal, à la
barre des accusés.
La scène est
surréaliste : le Procureur Bernard Beffy l'accuse de s’être organisé pour
pouvoir fanfaronner devant la Cour, faire parler de lui et se faire passer
pour une « victime » !
Le
journaliste du Monde raconte :
Deux semaines
plus tard, la sanction tombe : le Tribunal a décidé d'aller plus loin
encore que ne le réclamait le Procureur : non seulement il décide de
condamner pénalement Maurice Boisart, qui se retrouve avec un casier
judiciaire, mais il exige en plus qu'il verse 250 euros de dommages et
intérêts au jeune voyou, et surtout de prendre à sa charge tous les
frais de Justice !
L'assistance
n'en croit pas ses oreilles. Maurice Boisart avait cru qu'il était de son
devoir de « marquer une limite aux insultes à l’homme et à la fonction qu’il
représente ».
Surtout,
chacun réalise avec effroi que la Justice vient de retirer au Maire le peu
d'autorité qu'il avait encore : « C'est une gifle qui coûte cher mais
est-ce vraiment le plus important ? Si je suis condamné, les jeunes vont
faire ce qu'ils veulent, les maires ne vont plus se retourner. On va faire
jouer les assurances et puis c'est tout », déclare Maurice Boisart,
ravagé. (La voix du Nord – 3 février)
Le constat
est partagé par le maire PS de la commune voisine de Jeumont, dans le Nord,
Benjamin Saint-Huile : « La sanction financière, on s'en moque (..). Le
symbole, c'est vous, mesdames et messieurs les élus de la République, qui
faites le choix de vous engager pour les autres. Quand vous aurez un
problème, sachez qu'il faudra vous débrouiller, que l'institution judiciaire
ne considérera pas que vous avez un statut particulier ».
Mais surtout,
ce que vous devez savoir, c'est qu'en dehors de quelques réactions isolées, personne
ne s'est exprimé publiquement pour défendre Maurice Boisart.
Aucune
réaction massive n'a eu lieu dans la population, jusqu'à présent.
Le « jeune »
va toucher son chèque, ses amis ricanent, Maurice Boisart est détruit. La
fonction de Maire, en France, a perdu encore un peu de son prestige.
D'autorité, il ne lui reste quasiment plus rien, et il est certain que, la
prochaine fois qu'ils sont confrontés à des actes de vandalisme, l'ensemble
des Maires de France se souviendront de ce qui est arrivé à leur collègue.
Tout ceci est
inéluctable. Mais il reste un grand espoir :
L'affaire
n'est pas tout à fait terminée. Maurice Boisart a fait appel.
Et cette
fois, nous pouvons tout changer à ce procès en rassemblant des centaines de
milliers de signatures pour le soutenir.
Oui, si vous
signez la déclaration de soutien ci-dessous, et si vous passez ce message à
tout votre carnet d'adresses, nous pouvons provoquer une vague de solidarité
historique dans le pays.
Nous pouvons
faire en sorte que Maurice se sache soutenu par des centaines de milliers de
Français, et manifester publiquement notre réprobation la plus totale contre
cette Justice-là qui marche à l'envers et qui nuit aussi directement à la
paix et à la bonne entente dans notre pays.
Notre
mobilisation commune, si elle est massive, changera complètement l'état
d'esprit de Maurice Boisart. D'homme seul, abandonné de tous, il passera au
statut de héros d'une cause qui nous appartient à tous.
L'Institut
pour la Justice vous appelle donc solennellement à signer la
et à la faire signer par tout votre entourage.
Cela ne vous
demandera qu'un instant, mais c'est un moyen concret de réparer, au moins
partiellement, la bêtise et l'agressivité déplacée de ce fonctionnement-là de
la Justice
S'il vous
plaît, ne fermez pas cet email pour l'envoyer aux oubliettes. Ce serait un
énorme gâchis.
Alors merci
de soutenir notre ami Maurice Boisart en signant maintenant la pétition (cliquer ici). C'est une question d'élémentaire justice et équilibre. C'est aussi une
question d'honneur.
Un grand
merci, Laurence
Havel secrétaire nationale
Pour signer
la pétition de soutien :
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Mais il y aussi d’autres formes d’injustices dont
personne ne parle et surtout pas les médias.
Lors d’une recherche d’emploi comme par exemple
l’entrée en gendarmerie une enquête est
aussitôt lancée sur le candidat, sa famille, son milieu, ses proches, ses
fréquentations et si y à le moindre problème le candidat est éliminé. Et ceci est normal car
le gendarme doit être irréprochable et
la gendarmerie ne peut prendre aucun risque.
De même afin
que le gendarme ne puisse prêter le
flanc à la moindre critique, on lui interdisait de se marier avec une fille ou une femme détentrice ou exerçant
certaines professions et notamment les bars. Là aussi que on peut comprendre. Mais
la règle ne doit elle s’appliquer qu’à
la base ? Qu’en est-il de certains de nos ministres dont les frères ont
commis des crimes ou sont en prisons pour d’autres délits ?
Avouez que ça ne fait pas très net de mettre des
ministères (de la Justice, de la ville) en de pareille mains qui disposent de
grands pouvoirs et en usent pour distribuer des titres de séjour régulier ou
faire obtenir un emploi de sécurité à des repris de justice.
Bien sûr les ministres ne sont pas responsable des agissements
de leurs proches, mais l’Antiquité avait la sagesse d’édicter ce
principe : « la femme de César doit être irréprochable… ! »
Que dire
des escrocs politiques rarement condamnés pour leur escroqueries qui s’appellent
emplois fictifs, financements occultes pour payer leur campagne électorale,
notes de frais abusives
VOIR CETTE ANNEXE
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Message : SENAT : Histoire véridique
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