Chapitre VIII
La MENDICITE et les SANS LOGEMENTS
a)
La
mendicité
Elle est interdite en France depuis des lustres et
pourtant on en voit dans tous les coins de rues à tous les carrefours, des
roumains, des gitans, des magrébins, des faux handicapés, il y a
même ceux que l’on voit arriver propres à un carrefour, et qui sans honte, sans gêne se changent, se mettent en guenilles sales, déchirées et font la
manche. Et il y a encore des gens qui donnent – Chapeau.
Une année j’ai même vu à NICE, des mendiants
possédant des PITT BULL (faut déjà les
nourrir), qui réclamaient 1 franc aux passantes, et si elles ne donnaient pas,
ils faisaient aboyaient et montrer les dents de leurs molosses.
Le patron de l’hôtel, non loin duquel ils faisaient la manche nous
a dit que ces mendiants étaient là tous
les jours, qu’ils étaient toujours trois, et arrivaient à se faire 800 francs
chacun par jour, dans de telles conditions je ne suis pas surpris.
b) Les sans logements
Les médias ont consacré un reportage sur Monsieur
CANTONA qui serait à la recherche de 500 signatures (comme pour les
présidentielles) afin de parler des sans logements mais pour ce Monsieur donneur de leçons, il
aurait mieux valu qu’il ne se CANTONNAT qu’au foot et au cinéma. Mais vu sa
notoriété, peut être parviendra t- il à émouvoir les collectivités locales.
MAIS CONNAÎT-ON BIEN CE MONSIEUR ? PAS SUR -
VOIR CET ARTICLE
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Mais que dire de tous ces
logements vacants que l’on voit se délabrer, se faire taguer ? Ces
logements que l’on trouvait très bien pour des gendarmes, (gendarmerie de plombière et des Aygalades
à MARSEILLE, sont aujourd’hui vacants et
on ne les trouve pas suffisamment bien pour des sans abris, des sans logements.
Et des bâtiments inoccupés comme ceux la, il doit y en avoir beaucoup et partout en
France. Qu’attend-on pour les remettre en état et héberger ceux qui en ont
besoin ?
Pourquoi ne pas charger du personnel pour faire des
recherches sur ce sujet, mais peut être n’intéresse t-il même pas les
collectivités.
Si déjà au lieu d’engloutir toutes ces sommes folles
qui ne servent à rien comme indiqué dans les chapitres précédents, il y aurait
surement mieux à faire pour ces démunis.
Mais encore faut il là aussi distingués les vrais démunis
qui ne sont souvent que temporaire, des faux qui se complaisent à rester comme
cela et ne veulent faire aucun effort pour redresser la pente.
Bien des pays connaissent des catastrophes très
importantes, comme le JAPON avec " son TSUNAMI, et son problème de centrale nucléaire",
des hommes, des femmes, ONT TOUT
PERDU, FAMILLE, MAISON, TOUT LEUR BIEN,
TRAVAIL et pourtant dans les reportages télévisés, aux infos, on ne les voit, on ne les entend jamais se plaindre.
Bien sur qu’ils pensent à ceux qu’ils ont perdu, bien
sur que c’est ancré dans leur tête, mais ils font preuve de courage, de
solidarité, ils n’abandonnent pas le navire, et continuent à travailler pour
s’en sortir. QUEL BEL EXEMPLE A SUIVRE.
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