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samedi 1 février 2014

LA DICTATURE SOCIALISTE

              DICTATURE SOCIALISTE

     Au remarquable réquisitoire de Maurice, je me permettrai d'ajouter une information qui ne risque pas, malgré l'autocensure complaisante des médias, de passer inaperçue, et qui en dit pourtant long sur l'image internationale de la France de Hollande :
En 2013, les investissements étrangers en France ont chuté de 77 % en 2013 !!!

     Cette information a été donnée par la CNUCED (Conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement) qui précise que sur la même période les mouvements internationaux ont augmenté de 11 % sur l'ensemble de la planète, retrouvant leur niveau d'avant la crise.
http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/29/les-investissements-directs-etrangers-en-france-ont-chute-de-77-en-2013_4356172_3234.html

     Notre colère est très grande...

     Elle ne s'éteindra que lorsque cette clique de traîtres incapables aura été définitivement chassée du pouvoir.


                                                              PAR TOUS LES MOYENS.



     Nous avons un président de la République qui passe beaucoup plus de temps à l'étranger que dans son propre pays. S'il y allait seul, passe encore, mais il y entraine chaque fois une cohorte de ministres qui font donc du tourisme au lieu de travailler leurs dossiers. 

     En Turquie, outre la clique habituelle, Fabius, Valls…, il y en avait trois qui font partie de ceux de ce que l'on ne voit jamais, que l'on n'a jamais entendus, dont on ne retient pas les noms et que l'on est bien incapable de reconnaître, trois inutiles.

     Hollande y a fait à mon sens deux annonces importantes.

     La première pour rouvrir l'adhésion de la Turquie à l'Europe en promettant à l'islamiste Recep Tayyip Erdogan qu'il organiserait un référendum en France sur ce sujet. 


     Rassurons-nous, il n'y aura pas de référendum, Hollande pense que c'est une méthode populiste de gouvernement juste bonne pour la Suisse et, en bon apprenti Führer, il craint un référendum qui probablement donnerait largement plus de 60 % de "non". 

     Mais il faut se méfier de Hollande, il serait capable d'aller dire à Bruxelles que la France est d'accord, puisque lui, il est d'accord.

      La seconde annonce fut pour reconnaître qu'il s'est planté avec son inversion de la courbe du chômage. 

     
     Difficile de nier que passer de 1 000 chômeurs par jour de plus à 500 chômeurs en faisant embaucher 100 000 emplois aidés financés par l'impôt et en procédant à des radiations massives à Pôle Emploi, n'est pas une diminution du chômage, ni même une "stabilisation" comme l'ont prétendu Ayrault et Sapin (*) il y a quelques jours, mais seulement un léger et provisoire ralentissement de la montée continue du chômage qui atteint pour la seule catégorie A maintenant 3,3 millions de chômeurs, 6 millions pour l'ensemble des chômeurs.

     Saluons cependant cette reconnaissance tardive, en ajoutant que l'honnêteté intellectuelle aurait été de reconnaître l'échec des quatre promesses économiques majeures du candidat Hollande :


1 - Réduire le chômage ? il a augmenté !
2 - Réduire le déficit budgétaire à 3 % du PIB ? il a augmenté !
3 - Réduire la dépense publique ? elle aussi a augmenté, et pas de 2,5 milliards comme l'a dit Cazeneuve, mais de 15 milliards !
4 - Faciliter et alléger la gestion des entreprises ? raté aussi avec la création d'usines à gaz comme le Crédit Compétitivité Emploi qui vient d'ailleurs d'être abandonné en douce pour être remplacé par la promesse d'un pacte de compétitivité… qui viendra peut-être en 2017, puisque le gouvernement n'a aucun moyen pour le financer !

     Et ce ne sont que les quatre principales des promesses, les réformes économiques de moindre importance ont elles aussi été des fiascos.

     Par contre, il peut se vanter d'avoir réussi à instaurer un climat de terrorisme intellectuel et policier. 

     
     Le dernier exemple en est cet enfermement pendant plusieurs heures entre des barrières de barbelés elles-mêmes surmontées de rouleaux de barbelés rappelant sinistrement les stalags, de quelques centaines de manifestants piégés d'abord place Vauban où ils durent patienter deux heures dans le froid et la pluie avant d'être transférés dans ce camp où une vidéo prise par un journaliste (ramassé par erreur dans la rafle) montre qu'ils y étaient encore à 23 h 30 dimanche soir. 

     Pas des voyous cagoulés et encapuchonnés parlant un français approximatif comme on en voit aux marges des manifs de gauche, mais des jeunes et moins jeunes, correctement habillés, calmes et résignés à la garde à vue qui les attendait entre les barbelés.

     Les provocations du gouvernement se multiplient depuis quelques mois : 


*la répression disproportionnée de la paisible Manif pour tous ; 
*l'arrestation et l'emprisonnement de Nicolas Bernard-Buss ; 
*les arrestations arbitraires et mises en garde à vue systématiques des Veilleurs et de jeunes femmes coupables de porter un T-shirt rose ; 
*le climat de haine anti-chrétienne développé dans l'Education nationale, la presse et les déclarations du Parti socialiste ; 
*les flatteries officielles et médiatiques pour l'islam et ses fêtes religieuses ; 
*le timbre à *l'effigie des Femen ; 
*le mariage pour tous, assorti de la PMA et de la GPA ; 
*la destruction de l'Histoire de la France ; 
*la censure des textes historiques ; 
*la transformation systématique de propos souvent anodins en actes homophobes, islamophobes ou racistes ; 
*la stigmatisation de catégories entières de la population française accusées d'être blanches, d'avoir réussi leur vie par leur travail, d'avoir des enfants bien élevés, d'être catholiques, de ne pas accepter l'immigration motivée uniquement par les avantages sociaux octroyés sans contrôles par la République, de se défendre quand elles sont agressées dans la rue ou leurs commerces ; 
*le projet de loi sur l'euthanasie des personnes âgées et malades en fin de vie ; 
*la répression inégalitaire et injuste des fumeurs et des automobilistes ; 
*les attaques contre les auto-entrepreneurs ;  
*le remplacement à l'école de la sexualité naturelle par le genre et les menaces proférées contre les parents qui, pour cette raison, retirent leurs enfants de l'école qui n'est plus celle de la République mais celle de l'idéologue Peillon ; 
les tentatives sans cesse renouvelées pour promouvoir la consommation de drogues (salles de shoot)… 
*Et les atteintes de plus en plus décomplexées à la liberté d'expression sur la presse de droite qui, comme le Figaro commence à s'autocensurer (voir le compte-rendu plus que minimaliste de la manif du Jour de Colère : 

100 000 manifestants, une dizaine de lignes en seizième page), et d'internet au contrôle duquel le gouvernement avoue franchement être en train de travailler.

     La famille, la morale, la citoyenneté, le sens patriotique, la Nation, l'Histoire, la langue française, les traditions qualifiées de "judéo-chrétiennes", la justice, l'armée et la police, la liberté de penser et de parler : le parti socialiste s'attaque à tous les piliers qui ont fait le rayonnement intellectuel, la force et le succès économique de la France pendant des siècles.

     Sur tous les sujets autres que l'économie, depuis le revirement pseudo libéral récent du président, pris parce qu'il avait sous la gorge le couteau de ses échecs répétés, la clique d'idéologues sectaires au pouvoir fait preuve d'une radicalisation extrême. On en est au point de trouver dans la presse des articles de plus en plus nombreux qui après avoir décortiqué le programme du Front National et celui du PS classent maintenant le FN... à gauche du PS !

     Effectivement, si l'on regarde objectivement les positions prises par Florian Philippot et Marine Le Pen sur la finance, les banques, l'Europe, le protectionnisme économique national, le traitement de l'immigration de peuplement, etc. on comprend l'attrait de plus en plus grand exercé par le FN sur la classe des ouvriers, des employés et des petits fonctionnaires de la gauche traditionnelle, alors que la bourgeoisie, surtout la grande bourgeoisie, déserte le FN pour rejoindre le PS ou l'UMP.

     Le socialisme français n'a rien de socialiste au sens marxiste du terme, mais il applique la méthode de conquête socialiste du pouvoir à la façon dont s'y sont toujours pris les idéologues minoritaires du socialisme, que ce soit Lénine, Castro, Mao, Hitler ou Pol Pot : une petite minorité profite d'une circonstance favorable : le rejet du tsar Nicolas II, de Batista, de l'occupation japonaise, des effets excessifs du traité de Versailles, de la famille Sihanouk, pour s'emparer du pouvoir, et mettre tout de suite en œuvre des réformes sociétales irréversibles et un système policier inévitablement lié à la suppression immédiate ou progressive des libertés pour s'ancrer durablement dans ce pouvoir.

     Élus en 2012 sur le rejet de Sarkozy par une majorité apparente, mais en réalité si l'on tient compte des abstentions et, surtout, des bulletins blancs, d'une minorité du peuple français, c'est ce que tentent de faire actuellement Hollande et ses ministres. 

     Certes, leur méthode semble moins violente que celle employée par Lénine, Mao, Hitler ou Pol Pot, mais cette minorité d'idéologues sectaires est bien entrée en guerre contre les Français avec l'aide des étrangers qu'elle monte contre les Français. 
     Comme le dit Vincent Peillon, il faut arracher le peuple français à tout conditionnement historique ou familial, détruire sa mémoire historique, ses croyances, ses familles, son identité et, comme Staline le faisait avec Lyssenko et sa théorie génétique, Hitler avec Hörbiger et sa théorie de la glace éternelle, occuper et perturber son esprit avec des théories folles et non démontrées comme aujourd'hui la théorie du "genre" dont Peillon est, comme Lyssenko et Hörbiger, le pseudo-savant. 
     
     L'objectif de ces théories folles est d'anesthésier les citoyens, de les mithridatiser au poison socialiste pour qu'ils continuent à gober sans trop réagir tous les mensonges de moins grande ampleur qui leur sont quotidiennement débités par les élus, les ministres et le président socialiste.

     Le pire est à venir, car si Hollande est persuadé d'être réélu en 2017, c'est bien à cause de sa conviction que cette méthode de prise durable du pouvoir ne peut pas échouer. Pourtant elle le peut : l'exemple nous vient d'Ukraine où l'homologue de Hollande s'appelle Viktor Ianoukovitch. 


     Il croyait la partie gagnée, mais le peuple résiste et s'est organisé : solides barricades dans les rues, boucliers en bois pour se protéger des matraques, dispensaires de fortune pour soigner les blessés, masques à gaz, cocktails molotov que les filles apprennent à fabriquer et que les garçons lancent, occupation des bâtiments publics que les fonctionnaires apeurés ne font rien pour les défendre. En Ukraine, toutes les colères se sont fédérées pour résister à la dictature pro-russe et elles sont en train de gagner la partie.






     En France, on en a vu les prémices dimanches dernier avec la première manifestation de la colère qui a réuni plus de 100 000 ouvriers, commerçants, bonnets rouges, dieudonnistes des cités, mères de famille, étudiants, retraités, chômeurs,… sous des slogans souvent contradictoires mais tous hostiles à la clique gouvernementale : c'est bon signe, mais ce n'est qu'un début. Y manquait de l'organisation et des leaders, mais ils viendront dans l'une ou l'autre prochaine fois.

     Et notez qu'aucun parti, aucun journal, n'a soutenu la manif, leurs énarques et leurs rédacteurs en chef, déjà soumis à la dictature en formation, ont raté une belle occasion de se montrer intelligents.


(*) "On est à deux doigts du retournement" avait dit Sapin,

"Il faut aller plus loin, plus vite et plus fort", avait répliqué Ayrault.

La politique orgasmique, inspirée par DSK et le scooteriste casqué...



5 commentaires:

  1. Que dire de plus ? Tout est dit et bien dit.
    Le peuple est en colère, la révolte gronde mais pour que la coagulation de tous les mécontents se fasse, il faut un chef. Un chef en qui croire, un chef qui ne soit pas issu de l'UMPS, ni du centre avec le renégat bayrou, ni du merluchon qui, après avoir bavé sur hollande, appelle à voter pour lui, ni de la marine qui vogue toujours entre deux eaux et va se faire adouber en Israël.
    Il nous faut donc un chef ! Mais qui sera assez propre, assez compétent, assez enthousiaste, assez patriote pour nous entraîner vers un changement de régime.
    Le général Soubelet n'aurait-il pas un rôle à jouer ?
    Je salue tous les lecteurs et commentateurs du blog de BBR et en premier lieu, lui-même.

    L'Indien.

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    1. Je vous remercie l Indien, Selon les propos que le général SOUBELET aurait tenu et que j ai publié sur le blog, il pourrait être effectivement l homme de la situation, mais une fois encore ne s agit il pas que de mots avec une fin sans aller plus loin. L avenir nous le dira

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  2. Si nous pensons bleu marine : nous sommes extrême droite; laquelle est simplement une nouvelle droite bien pensée, rigoureuse qui propose un programme cohérent à tous les niveaux pour sortir notre pays du chaos. Hier soir j'entendais le journaliste "Nicolas" face à E. Zemmour, s'offusquer et dire que les propos tenus par ce dernier étaient de la pure Paranoïa. Si vous pensez honnête, juste, SAIN, si vous dénoncez l'inqualifiable vous êtes maintenant soit parano, soit facho. J'ai lu aussi que le Président du Foutoir avait été "choqué' par la manifestation Jour de Colère.. Il a de quoi être choqué puisque enfin, la vérité est affichée et circule dans la rue.
    Afin qu'il ni ait pas confusion, je précise que je ne suis pas bleu marine, ou F.N., puisque comme vous l'aurez compris, je n'aime pas les "modérés"
    @

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  3. Il y a fort longtemps que je suis revenu de tous les politicards qui s'emparent du pouvoir pour mieux détruire la France. Je suis revenu aussi de tous ceux qui bataillent pour s'en emparer.
    Ces minables placés à leurs postes par des forces occultes ne sont là que pour détruire les nations au profit d'un nouvel ordre mondial.
    Au fil du temps et des désillusions, je suis devenu souverainiste. Mais pas un souverainisme à la Dupont-Aignan qui lèche le cul de l'Amérique dont il est, en catimini, le pion obéissant.
    En fait, je suis devenu royaliste. Les Rois, au moins, avaient le sens de la grandeur de la France, même si, parfois, certains n'ont pas su régner.
    Mais là encore,nous sommes face aux difficultés.
    Pour qui opter ?
    Pour le descendant du régicide philippe égalité de la branche des Orléans ? Ou pour Louis XX , prince mi Français mi Espagnol, de la branche des Bourbons, qui vit au Venezuela mais parle parfaitement le français et était présent à Paris, le 21 janvier, pour la commémoration de la mort de Louis XVI ?
    L'avenir nous dira ce qui est réservé à la France.
    L'avenir est entre les mains de Dieu mais il est aussi entre les mains des patriotes, des résistants, des hommes de bonne volonté.
    L'Indien.

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  4. tout cela est exact l indien, vous comprendrez donc pourquoi je parle de la royauté dans mon article 557 députés se partagent une enveloppe de 90 millions d euros

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