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lundi 26 janvier 2015

LA GRÈCE - SYRIZA ET L EUROPE

    LA VICTOIRE DE  SYRIZA  EN GRÈCE

       Un test pour l’Europe... et pour Syriza

                                                    LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

     En voila une information, La Grèce à qui on a pas arrêté de prêter des wagons d euros pour la maintenir dans l Europe, la Grèce qui malgré toute les aides reçu vivait l austérité, le peuple n avait plus d électricité, avait des salaires si bas que c était à peine vivable, les impôts ,du chômage comme une  vrai crise sans précédant.


    La Grèce en avait assez, la Grèce s est battue, et avec ses élections elle a gagné une grosse bataille, le peuple semble satisfait, plus d austérité parait il, les salaires en hausse, l électricité revenu, tout est super quant à leur dette s élevant à 300 milliard d euros, j entendais encore ce matin les 3 hypothèses envisageables.

1 - La Grèce ne rembourse que la moitié de sa dette (échelonnée sur une cinquantaine d année) le reste serait à régler par les contribuables que nous sommes ( les plus gros prêteurs ayant été La France et l Allemagne) nous avions compris les réticences de la Chancelière qui ne voulait plus injecter pour la Grèce.

2 - La Grèce ne rembourse pas du tout sa dette , et la les économistes ne veulent pas envisager cette situation catastrophique.

 3 - La Grèce sort de l Euro, et nouvelle catastrophe 

Dans les deux derniers cas ce serait encore et toujours les pauvres contribuables  (nous)

Mais moi je pense aussi à la situation de LA FRANCE, elle n est pas dans l austérité, nos gouvernant refusent d employer se mot, à peine si on trouve qu elle vie une crise.......

.....pourtant notre dette est énorme, le trou de notre sécu se creuse, notre chômage continue de grimper, nos aides pour l immigration se poursuivent dans le tout naturel et sans relache, notre Éducation Nationale va descends dans  les profondeurs comme l avait souligné le rapport PISA, notre Justice chouchoute la délinquance au détriment des victimes, nos salaires et retraites sont gelés depuis quelques années, nous avons des attentats meurtriers, de nombreux Djihadistes sur notre sol, nos impôts continuent de grimper aussi, mais nous n avons pas à nous plaindre, Bien sur on peut toujours trouver plus malheureux

     L Europe aura les yeux fixés sur cette Nouvelle GRÈCE et de son nouveau meneur.

     Peut être que l exemple de LA GRÈCE pourra donner quelques idées à L ESPAGNE, LE PORTUGAL, L ITALIE et Pourquoi pas AUX FRANÇAIS

                                                                  -----ooo0ooo-----

     Liesse des partisans de Syriza, le 25 janvier 2015 au soir à Athènes, après la victoire historique de leur parti (LOUISA GOULIAMAKI/AFP)

     L’Europe a peut-être changé d’époque dimanche avec la victoire du parti de gauche radicale Syriza aux élections grecques. Le parti emporté par Alexis Tzipras est arrivé largement en tête avec 36,3% des voix (après le dépouillement de 99% des bulletins).

     Seule incertitude, la majorité absolue en sièges, qui n’était pas assurée dimanche soir, même si Syriza s’en approcherait grandement (147 à 149 sièges prévus alors que la majorité est à 151). Il faudra sans doute attendre la fin du dépouillement pour le savoir avec certitude.




     Projections en sièges au parlement grec sur la base des sondages sortie des urnes (ABM/S.Ramis/A.Bommenel/AFP)

     Dans sa première déclaration devant des milliers de personnes rassemblées sur l’esplanade de l’université d’Athènes, Alexis Tsipras a déclaré :
« Le peuple grec a écrit l’Histoire et laisse l’austérité derrière lui. Le verdict du peuple grec signifie la fin de la troïka. »
     C’est un événement considérable à l’échelle européenne, puisque la victoire du parti de gauche radicale, aux dépens des partis traditionnels grecs (la déroute des socialistes du Pasok est spectaculaire), est largement le contre-coup des mesures d’austérité dictées par l’Europe ces dernières années.

                           Casser le clientélisme grec

     C’est un double test qui commence :
  • pour Syriza, qui va devoir montrer que sa radicalité en paroles peut se traduire en actes, d’abord pour casser le système clientéliste et népotique grec, mais aussi, évidemment, vis-à-vis de l’Europe et de la finance internationale, FMI et marchés. Comment avoir le temps de réformer en profondeur la société grecque sans être pris à la gorge par les marchés ? C’est l’équation à laquelle doit répondre Syriza ;
  • pour l’Europe aussi, qui sait que les Grecs ont voté contre l’austérité made in Bruxelles et Berlin, mais ne veulent pas pour autant quitter l’euro et tout faire voler en éclat. Les Européens sauront-ils faire preuve d’intelligence politique pour profiter du vote grec pour réorienter leur politique, comme n’a pas réussi à le faire François Hollande en deux ans ; ou voudront-ils « punir » les Grecs qui ne veulent plus jouer le jeu ?
     La victoire de Syriza aura également des conséquences sur la vie politique du continent, avec la montée de Podemos en Espagne, sur des bases relativement comparables, et les émules qui pourraient suivre.

     En France, c’est le site parodique Gorafi, sur un mode humoristique, qui résume le mieux la situation dans un tweet :

11 commentaires:

  1. Bonjour BBR et à tous les amis

    Je me doutais bien que la Grèce ferait l objet d un article, et que la victoire de Syriza n allait pas laisser indifférent, ni nous, ni l Europe.

    Nous pensons à son peuple qui a subit de puis longtemps l austérité et qui va surement vivre un peu mieux, et nous pensons aussi à cette dette colossale qui va être encore payé par nous contribuables en tout ou en partie. Nous allons suivre cela de très près.

    Cela prouve bien que c est d un leader dont nous avons besoin et qu à lui tout seul il pourrait renverser des montagnes en s attirant le peuple à lui .....Chapeau Syriza, on ne sait pas s il pourra tenir toutes ses promesses, tous ses engagements, mais il aura déjà au moins gagné la moitié de sa dette c est sur.

    Merci de nous rappeler que nous ne sommes pas dans l austérité BBR c est sympa.

    Jean BOUVARD

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  2. Bonjour BBR , bonjour à tous

    Moi je dis que c est bien, cela nous prouve effectivement qu un seul homme peut faire basculer le cours des choses et que même s il n a pas gagner la guerre, il a gagné une grosse bataille.
    Je ne pense pas qu il veuille sortir de la zone Euro qui lui a donné beaucoup et qui va lui donner encore d une manière ou d une autre

    D autres pays pourront en effet suivre cet exemple, alors oui, pourquoi pas la France, mais c est vrai que nous sommes heureux et que le mot austérité est à bannir chez nous, je me demande combien avons nous encore de mots qu il ne faut pas employer, depuis un certain j en trouve pas mal......

    Mais sommes nous capable de tous nous unir, derrière ce genre de rassembleur. Il est vrai que lui aussi il faudra le voir à l œuvre, il faut bien comprendre que le peuple en avez assez à la limite de la révolution.

    La Normande

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  3. Bonjour mes amis ,bonjour BBR,
    Ce qu'il s'est passé en Grèce est une chose très importante,le peuple a réagi face à la pèriode d'austérité imposée par les banquiers de l'Europe et cherchant un leader qui les sortirait de l'austérité a voté pour Syriza comme un seul homme.
    Ce n'est pas un parti qui a gagné ,en l'occurence ici le PC représenté par Syriza mais la volonté d'un peuple désespéré qui a trouvé en lui une bouée de sauvetage.
    Le peuple grec veut retrouver le chemin de sa souveraineté et ne veut plus être dépendant du diktat de Bruxelles et du diktat des banques américaines.
    La suite des événements sera d'une importance capitale à condition que Syriza veuille sortir de l'euro et donc de cette Europe soumise aux décisions de Washington.
    Si la Grèce sort de l'Europe et abandonne l'euro,la Grèce retrouvera le chemin de sa souveraineté et donc de sa liberté et cela aura des conséquences sur les autres pays ou les partis eurosceptiques comme l'UKIP en GB,Beppe Grillo et son mouvement 5 étoiles en Italie,Podemos en Espagne...
    Le peuple a parlé ,les anciens partis ont humilié et abaissé le peuple,le peuple n'en veut plus.
    Il est évident que les partis traîtres,les euro"joyeux" n'ont pas intérêt à laisser étendre ce mouvement et même certains d'entre eux comme mélenchon,essaient de récupérer la victoire du peuple ,ce même,mélenchon qui critiquait la pustulle mais qui avait quand même demandé de voter pour "le Capitaine du Pédalo"
    Oui,Jean c'est bien d'un leader dont nous avons besoin mais serons nous sûr de trouver le bon ?
    Fleur de lys.

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  4. Bjr les @mis
    Depuis des années l’oligarchie politico-médiatique européenne crie au loup en pointant son regard vers l’extrême-droite. Celle-ci n’a pris le pouvoir nulle part, et quand elle y a participé, en Autriche, ce fut sous le joug d’une condamnation générale de la part du système. L’extrême-gauche devient majoritaire en Grèce. A l’évidence, la parenté communiste de Syriza n’effraie pas. Pourtant, cette victoire annoncée avec le sourire par des journalistes qui feraient une tête d’enterrement si c’était l’autre extrême qui l’emportait, relève du scandale. Les socialistes grecs ont fait rentrer leur pays dans l’Euroland en fraude. La logique économique aurait dû obliger ce pays à retourner dans le monde réel. La « troïka » UE-BCE-FMI a préféré éviter cette défaite de la construction européenne.
    Le vote grec est donc d’abord une révolte contre les oligarchies, celle de leur pays et celle de l’Europe. La première a entraîné la Grèce dans l’Euroland par la fraude, la seconde a laissé entrer ce pays dans un bizarre système monétaire fondé sur un rêve politique, mais contraire aux réalités économiques. L’acharnement thérapeutique européen a conduit les Grecs à un sursaut. Les drapeaux à marteau et faucille, l’enthousiasme des Mélenchon et consorts donnent le sentiment que le « passé d’une illusion », analysé par François Furet, le communisme, est redevenu pour certains son avenir. L’Euro est un fardeau, sa baisse est un cadeau pour les économies les moins compétitives. La victoire de l’extrême–gauche grecque risque de bercer les Européens dans l’illusion qu’ils pourront maintenir leur niveau de vie sans accroître leur compétitivité, avec ou sans monnaie unique. Cette illusion est mortelle.
    Les Grecs font la nique à l’Europe, mais les politiciens la font plus encore aux électeurs !
    @

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  5. Bien sûr, La Normande, Jean, Fleur : c'est parce que la Grèce a trouvé un leader que cette révolution a eu lieu.
    Et vous avez raison, @ : c'est bien l'acharnement thérapeutique de l'Europe qui a conduit au sursaut des Grecs.
    Reste à savoir ce que Syriza fera de sa victoire et il est significatif que ce parti d’extrême gauche ait trouvé des alliés dans la droite extrême.
    Comme disent les Anglais : wait and see. Attendons et voyons.
    L'Indien.

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  6. Bonjour BBR, et à vous tous les amis

    Les avis sont partagés sur cette victoire GRECQUE, d un côté elle vient de prouver sont soulèvement contre les actions de l Europe, son ras le bol de subir l Austérité, son ras le bol de voir que rien ne s arrange et que personne ne fait rien. Les prêts accordés n ont visiblement pas servi à grand chose, et nous y avons pourtant englouti énormément d euros, le remboursement nous laisse septique, même si la Grèce ne voulant pas sortir de l Euro (ce dont n évoque pas le Syriza) elle ne sera remboursé que de la moitié par les grecs sur une échéance de 50 ans , le reste étant à supporter par nos porte monnaies.

    Je pense que l erreur de la Grèce, comme celle de nombreux autres pays, provient du manque de précautions au départ avant de les y faire entrer, et des conditions impératives à respecter.
    Quand on arrive à réunir plusieurs petits déficits, on fini par former un gros déficit.

    Nicole PLEY

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  7. Bonjour tout le monde

    Comme les cas de Jurisprudence, la Grèce risque de faire basculer d autres pays endettés, à suivre cet exemple, et nous en connaissons pas mal, en commençant par l Espagne, l Italie.

    C est évident que tous les regards vont être portés maintenant sur l action menée par Syriza, car il ne suffira pas d avoir gagné des élections, une bataille contre l Europe, s y maintenir et faire comme si rien ne s était passé.

    Il s est passé quelque chose, quelque chose d important, celui du RAS LE BOL du PEUPLE qui a été poussé à bout. Il était impossible que cela puisse continuer, mais personne de donner la solution.

    Bonne ou Mauvaise celle ci va bouleverser certaines habitudes et montrer qu il va falloir arrêter de taper toujours sur les mêmes sans en subir leur colère.

    Depuis longtemps la France gronde mais ne bouge pas, son tour viendra aussi.

    Nathalie

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  8. Bonjour à tous les amis

    Nous y sommes, les Grecs attendaient ce vote depuis longtemps et je pense que le résultat va surement changer beaucoup de chose, tout au moins dans immédiat. Je pense que dans tous les cas la GRÈCE à gagner quelque chose, et que nous, à n en pas douter nous aurons encore perdu quelque chose. L avenir va rapidement nous dire quoi.

    Sans vouloir faire de comparaison, en France lorsque nos votes démontrent notre mécontentement, rien de change, même si on fait semblant de bouger les pions d une case à l autre (c est bien comme cela que ça c est passé avec le remaniement) on nous entend, on nous écoute, on a bien reçu les messages, on nous a bien compris, mais on ne voit jamais rien changer, et notre action s arrête là, elle ne va pas plus loin, et nous attendrons de nouvelles élections qui basculeront ou pas entre droite et gauche comme d habitude, toujours avec la peur du FN, et peut être moins méfiant de la gauche mélentioniste avec le résultat de la Grèce.

    Je voudrais rappeler QUE 5 ANS C EST TRÈS LONG et qu une fois installé ils ne veulent plus partir.

    Olivier TREQUEL

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  9. Bonjour à tous les amis, coucou BBR

    Merci pour cet article sur la Grèce, il était tout naturel faisant parti de l info du jour avec le résultat que l on connait, mais je pense qu il était prévisible et qu il fallait s y attendre.

    LE PEUPLE GREC EN AVAIT PLUS QUE MARRE, et il fallait bien que cela change, mais nous aussi nous en avons marre, est ce que cela va nous faire bouger aussi, non en France c est très dur, il a fallu un Charlie Hebdo avec un hommage à rendre à la demande du mou, pour que nous trouvions une manifestation importante.

    Rien de va toujours pas en France, mais nous acceptons, bien soumis, et nous attendons que tout nous tombe du ciel, mais il faut arrêter de rêver, les hollandes, sarko, jupé, fillon, valls et compagnie ne nous apporteront rien de plus, sinon aggraver un peu plus les trous en se servant copieusement.

    Ils ont à ce niveau les trous, Levons toutes les politiciens et de nombreux trous seront bouchés, cessons d accorder à l immigration, et nous en boucherons d autres, faisons revenir tous les fuyards des paradis fiscaux et prenons leur ce qu ils doivent au fisc comme les noha et compagnie et d autres trous nous boucherons, parfois, il ne faut pas aller chercher à des kilomètres ce que nous avons à porter de main.

    Alice

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  10. Bonsoir à tous les amis

    Les Français doivent ils se réjouir du résultat obtenu par la Grèce, je n en sais trop rien, une chose est sure c est le constat du combat du peuple pour bien nous montrer qu il n en pouvait plus, qu il en avait assez et qu il fallait que ça change. Au grande cause, les grands effets. En tout état de cause, les grecs vont être gagnants même si ce n est que pour une partie de la dette. Je ne crois pas qu ils veuillent sortir de l Euro.

    A un moment de ..... il faut savoir ce que l on veut, eux ont su, nous on ne sait toujours pas.

    Il ne nous reste une fois encore qu à attendre, et voir ou cela va nous mener, je crains bien que nous ayons encore à payer, mais si nous devions payer trop, peut être que la réaction démontrée par les grecs pourrait faire boule de neige et nous montrer le chemin à suivre. Un mal pour un bien qui sait !!!!!

    Z@vor

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  11. Bonsoir à tous

    Les élections en Grèce nous montrent aussi qu il ne fait pas trop bon pousser mémé dans les orties, à force de chercher , on fini par trouver, est ce un bien ou un mal je n en sais rien, c est en France que ça devrait bouger comme ça, et faire tour basculer, arrêter de lécher l obama, et Bruxelles et penser davantage au Français (calmes, honnête et travailleurs), pas les Français terroristes ou voleurs.....

    Je ne pense pas que nous soyons encore prêt.....on ne sait même si nous sommes dans le pain blanc ou noir on sait qu il coûte environ 1 euro la baguette.

    Comme l Indien j attends de voir ce qui va suivre. Comment va se comporter la nouvelle Grèce et son dirigeant malgré qu il n a pas obtenu la majorité absolu, et comment va se comporter l Europe face à cette nouvelle situation.

    André BERGERAC

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