LA JUSTICE L A TUÉE

              Yvette Bert : la justice m’a tuer…

           Cette orthographe ne vous rappelle t elle rien ? ou bien celle d un certain Omar Raddad

                                              LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

     Que pourrions nous rajouter de plus que n ayons pas dit dans le précédent article, que pouvons nous faire de plus que signer la pétition de l Institut de la  Justice pour lui apporter notre soutien.

     Cette condamnation est injuste au prorata et la gravité de l infraction, lorsque l on sait que des individus dangereux sont en liberté, malgré une garde à vue, une présentation au parquet où devant un juge. Ils ont une convocation pour se présenter au Tribunal, ils s y rendent ou pas.

     Quant on sait que des criminels parviennent à s évader de prison, car les fouilles n ont plus cours et qu on y entre avec ce que l on veut pour le remettre au détenu.

     Quand on pense que les cités sont pleines de voyous qui caillassent la police, les pompiers, volent et brûlent des voitures mais qui selon les propos entendu à la radio de notre  ministre de la justice, il faut les laisser jouer.

    Quand on pense à tous les fraudeurs du fisc, en commençant par les politiciens, dont le nombre de fraudeurs ne cessent d augmenter, à tous ses exilés fiscaux qui gagnent leur fric en France et le planque à l étranger, sans parler des paris truqués avec des notoriétés bien connus comme le cas de karabatic.....

     Quand on pense à toutes les affaires sales de nos hommes politiques, dont les jugements tardent, pour finalement n être que des peines infimes, telles que l inéligibilité.

     Et on vient faire chier une pauvre femme qui essaye  d aider les plus démunis, on boucle rapidement l enquête, le jugement est rendu rapidement, et hop une mamie condamnée à payer.

Payer avec quoi ?  Même si elle  était arrivée à récupérer quatre sous. Est ce un Drame ?

     Comment peut on encore appeler ça UNE JUSTICE ? Comment peut on avoir encore confiance en elle ?

     J espère que le juge qui a prononcé cette condamnation sera pris de remords toute sa vie à ne plus pouvoir en dormir. 

     Quant a la  pension de retraite lamentable qui lui est attribuée, même les étrangers de son âge qui débarquent sur le sol Français, sans savoir lire, sans travailler et sans avoir cotiser perçoivent davantage avec le minimum vieillesse. CA AUSSI C EST PITOYABLE. Le Juge n a pas du y penser.

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     Le 9 novembre 2014

     Le peuple a besoin de se sentir protégé, préservé des malfaisants ; et le peuple constate qu’on trouve bien plus de malfaisants dans les rues que dans les prisons.

     La justice française vient encore de prononcer l’un de ses improbables jugements qui la rendent si incompréhensible aux yeux des Français. Yvette Bert, retraitée âgée de 76 ans, dévouée à la cause des démunis et des œuvres caritatives et organisant, à ce titre, des lotos dont elle reversait les bénéfices, est passée sous le rouleau compresseur d’un juge à la sévérité exceptionnelle. 

     Alors qu’elle assure sa survie avec les 650 euros mensuels de sa retraite, la dame au grand cœur a été condamnée, ce jeudi 6 novembre 2014, à des amendes dont le total s’élève à 123.000 euros, assortis de six mois de prison avec sursis ! 

     La justice, examinant les faits, a conclu que madame Bert s’était rendue coupable d’organisation illégale de loteries, de publicité en faveur de ces loteries, d’infraction fiscale et d’abus de confiance. Al Capone n’a qu’à bien se tenir.

     La vieille dame, qu’un tel jugement place aux côtés des mafieux divers et des escrocs notoires, devient dès lors le symbole d’une justice devenue folle, glaciale et inconstante. Quand tant de véritables délinquants et criminels jouissent du laxisme des « juges rouges », quand tant de délits restent impunis au motif que les tribunaux sont engorgés, le sort réservé à cette mamie qui donnait son temps et son énergie aux plus démunis est moralement insoutenable.

     Quel homme peut demander à une retraitée vivant avec quelques centaines d’euros par mois de payer l’équivalent de près de 190 fois sa retraite pleine ? Lorsqu’il prononce son jugement surréaliste à l’égard de madame Bert – dont les intentions étaient nobles et qui n’avait pas conscience d’agir dans l’illégalité –, quel genre de service ce magistrat pense-t-il rendre à l’institution judiciaire ?

     Le peuple a besoin de se sentir protégé, préservé des malfaisants ; et le peuple constate qu’on trouve bien plus de malfaisants dans les rues que dans les prisons. Le peuple, sans aucun doute, ne se sent pas menacé par une vieille dame qui organise des loteries amicales à vocation caritative. Il se sent menacé par ces agresseurs multirécidivistes que la justice relâche inlassablement. La loi est la loi, c’est un fait. 

     Mais lorsque les juges ne peuvent pas faire face à l’abondance des délits, qu’ils aient au moins l’intelligence et la décence de s’occuper en priorité des délits sérieux et graves qui, eux, mettent réellement les Français en danger au quotidien.