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jeudi 6 novembre 2014

SUICIDES DANS LA POLICE


                       Suicides de policiers 
 «Ils n'en peuvent plus d'être montrés du doigt»


                                             LA PETITE INTRODUCTION DE BBR


     La Police, comme la Gendarmerie sont des services chargés d assurer la sécurité de notre pays dans de nombreuses missions faisant l objet de surveillance, répression, interpellation, maintien de l ordre.

     Généralement ils sont appréciés lorsqu ils rendent service, ils dépannent, ils renseignent, ils aident, et le sont beaucoup moins lorsqu ils répriment, lors de manifestations qui débordent, et même parfois lors des arrestations.

     Et pourtant, tout cela fait partie du travail, de leur mission, des ordres qu ils reçoivent - Sont ils bien compris par la population ?

     De plus en plus (comme dans de nombreux domaines) on chercher des responsables alors pour eux il n y a pas d exception, ils sont incriminés chaque fois qu un incident survient : 

     Lors d une interpellation (souvent on voit un attroupement,  certains qui ne savent pas ce qui se passe sont prêt a aider la personne interpeller) , 

     Lors d une poursuite en voiture avec un accident du poursuivi surtout s il décède (la famille qui hurle, une enquête est ouverte,  la police des polices se rend sur les lieux, interroge, et on retrouve le conducteur de la police au tribunal devant le banc des accusés avec aussi des sanction interne) , 

     Lorsque le policier fait usage de son arme de service sur des braqueurs , des assassins ( là aussi on cherche à savoir s ils étaient bien dans la légalité, s ils étaient en état de légitime défense, si la défense était proportionnée à l attaque et re-enquête, re-police des polices et ça continue ) 
     Lors des manifestations alors qu ils répondent à l agression des casseurs qui provoquent et agressent les policiers (eux aussi le matériel ne manque pas - cocktail Molotov - Barre de fer - Batte de base Baal) mais c est la police qui est rendu responsable. Les policiers et gendarmes auraient du attendre tranquillement d être  bousculés, matraqués, couchés à terre afin de céder le passage et que les casseurs puisse poursuivre leurs actions.

     Lors de la répression (principalement au code de la route) ils font en permanence l objet de critique du genre c est plus facile de verbaliser un honnête citoyens que d arrêter des voleurs)
et pourtant lorsque les voleurs sont interpellés, ils ne téléphonent à ce citoyen pour le lui dire, ils procèdent à la garde à vue, (jour et nuit,) conduisent devant le juge pour la plus part du temps constater que l individu  a été remis en liberté , et qu il faudra peut être le rechercher une fois encore pour d autres méfaits.

    Les dépôts de plainte se multiplient pour les agressions, viols, vols, meurtre, assassinats, braquages cambriolages, et même au cours des plaintes, ils sont agressés verbalement.

     Ils ne peuvent plus pénétrer en toute sécurité dans les cités, ne peuvent même plus assurer celle des secours, ils ont besoin de combien de cars de CRS ou de MOBILES pour y arriver.

     Il y a aussi ce matraquage de procès verbaux qui est insupportable ( stationnement, vitesse à des endroits qui ne sont même pas accidentogène, la multiplications des radars, des voitures banalisées) qui ne sert qu à faire rentrer du fric dans les caisses de l état. On entend aussi dire que le gouvernement offrirait des primes au rendement et que par conséquent les PV doubleraient.

     Alors lorsqu ils sont à bout, lorsque le vase déborde, qu ils n en peuvent plus, qu ils ne sont écoutés ni par la hiérarchie, ni par leur ministre, avec une famille qui est perturbée, à commence avec des arrêts de travail, visite d un psy  puis devant la continuité des situations qui n ont pas changer, arrive le moment de la décision fatale.

          46 SUICIDÉS DEPUIS DE LE DÉBUT DE L ANNÉE - EST CE NORMAL ? 

     Ce n est qu à partir de cet instant que les questions e posent - les autorité commencent à s interroger, cherchent à comprendre, et finissent par conclure qu elles ne savaient pas , n avaient pas compris, et on recherche un responsable dans sa hiérarchie bien sur - L état  ne saurait être tenu pour responsable.

     Combien de fois ont ils clamé haut et fort qu il y avait un réel problème, le mal aise qui existe au lieu de ça on diminue les effectifs,  la justice ne suit pas, et sont en permanence montrés du doigt, critiqués. Sont ils seulement écoutés ?

     Les Policiers, les gendarmes sont aussi des être humains, avec une famille, ils essayent de faire leur travail du mieux possible, mais personne n est parfait, il y aussi des ripoux qui voyant ce qui se passe même au sein des autorités du gouvernement se disent pourquoi pas nous.

     Nous avons besoin d eux......que serait le devenir de notre pays s ils n étaient pas là - Chaque citoyen s armera et assura sa propre défense. Posez vous cette question.


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     La Direction générale de la police nationale (DGPN) rencontre ce mercredi après-midi les organisations syndicales pour évoquer la douloureuse question des suicides dans la police. Philippe Capon, secrétaire général de l'Unsa Police, confie au Figaro ce qu'il attend de cette rencontre.

     LE FIGARO. - Comment lutter contre les suicides dans la police?

     Philippe Capon, secrétaire général Unsa Police. - Depuis le début de l'année 2014, 46 policiers se sont donnés la mort. Au cours de ces cinq dernières années, la moyenne des suicides dans la police nationale tourne autour de 42 par an. 

     Ce chiffre est extrêmement inquiétant et révélateur d'un mal-être profond dans la police. Ce désarroi ne touche pas seulement les gardiens de la paix, mais tous les échelons de la police. Nous aimerions déjà que le ministère de l'Intérieur soit plus transparent avec nous dans son travail, que nous sachions davantage qui s'occupe de la prévention suicide. 

      Le dossier nous donne l'impression d'être traité par tout le monde et personne à la fois. Il faudrait ensuite créer des cadres de dialogue au sein des commissariats, permettre aux policiers d'exprimer ce qu'ils ressentent. Au retour d'une intervention difficile, aucun «debrief» collectif n'est jamais prévu, par exemple. 

     C'est une initiative simple mais qui permettrait à chacun de confier son ressenti, faire son autocritique ou même se féliciter si besoin. Certaines angoisses se régleraient facilement si elles avaient la possibilité d'être évacuées.

                    Aujourd'hui, il est difficile pour un policier d'avouer son mal-être?

      C'est quasiment impossible. Il fait partie du métier de policier de se montrer fort, courageux. 

     Pourtant chacun rencontre à un moment ou un autre des doutes, des questions, des difficultés. Mais montrer qu'on a des failles, c'est prendre le risque d'être stigmatisé, exclu du groupe. D'autant plus que la hiérarchie voudra retirer son arme à cet homme, et qu'il ne pourra donc plus aller sur le terrain. Quand vous êtes un passionné de terrain, vous retrouvez à exécuter des tâches de bureau ne fera qu'accentuer votre malaise.

            Vous pensez donc qu'il ne faut pas retirer son arme à un policier en difficulté?

     Cela ne doit pas être automatique. Ceux qui le veulent devraient en effet pouvoir déposer leur arme dans un casier spécifique. Mais la priorité réside dans l'instauration d'un climat de confiance et de dialogue. 

     La mort malheureuse de Rémi Fraisse est, par exemple, très mal vécue par les policiers aujourd'hui. Déjà parce que c'est un fait très grave. Aussi parce qu'ils sont l'objet de tous les quolibets, insultes, etc. Dans la rue, des inconnus les traitent de «tueur de manifestant» gratuitement. 

      Dans leurs familles, ils ont tous un parent plus ou moins proche pour les insulter à chaque réunion. Les policiers n'en peuvent plus d'être stigmatisés, montrés du doigt, de voir leur travail dénigré. 

      Pas une seule réunion n'a été prévue pour évoquer la suspension de l'utilisation des grenades décidée par Bernard Cazeneuve, pas un seul cadre de discussion pour discuter de la mort de ce manifestant et des questions qu'elle pose. Ce n'est pas normal. 

      Nous devons également rencontrer le ministre de l'Intérieur d'ici le début 2015 en vue de l'élaboration d'un plan d'action. C'est ce que nous lui dirons.

16 commentaires:

  1. Oui je trouve le chiffre 46 impressionnants, et en nette augmentation, la police vit donc au rythme de notre vie actuelle, supportant moins bien la pression qui pèse sur ses épaules par le biais des missions qui lui incombent de plus en plus nombreuses avec de moins en moins d effectifs. Une fois encore On veut TOUT avec RIEN.

    S ils avaient au moins quelques reconnaisses, de voir les interpellés incarcérés, d être soutenu par la population lors des débordements sur des manifs, mais personne ne s en prend aux casseurs, tout le monde laisse faire y compris les dirigeants syndicaux) pensant à la base qu ils sont là pour le motif objet de la manif et tout le monde finit par dire que ce sont les policiers les responsables.

    Je vois en effet très mal notre pays sans police et sans gendarmerie - On retournerai à l époque du Western et le grand banditisme et les voyous feraient leurs lois, déjà que nous n en sommes pas loin à les voir plus souvent en liberté qu en taule.Merci taubira.

    Comme vous le soulignez si justement, Nul n est parfait, mais il existe des dialogues, des compris, être à l écoute de la multiplication des problèmes, il faut croire que le début de ces suicides n a pas été réellement pris au sérieux pour qu ils puissent se poursuivre de cette importance.

    Les écoute t on vraiment lorsqu ils dénoncent tous les problèmes qu ils vivent au quotidien, j en doute quand lorsque je vois comment nous citoyens nous sommés écoutés je pense qu il n y a pas d issue.

    La Normande

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  2. Il ne faut pas se leurrer, leur suicide ne sont pas accidentels, ils sont le prolongement de la vie qu ils mènent au sein de leurs unités, et aussi de celles qu ils font vivre à leur famille.

    Tout devient insupportable - Vous faites votre boulot, vous êtes critiqués soit par les uns soit par les autres, Vous ne faites rien vous êtres critiqués, traitez de branleur de fainéant ,de maque d initiative, Vous faites le strict nécessaire, vous manquez d ambition, votre avancement sera compromis. Et combien de sanctions internes dont vous n entendez jamais parler, et combien de fois vous êtes mis en cause .....

    Faut il encore trouver des responsables à tout ça ? Combien de fois entendons nous les personnes dans la rue dire, ça sert a rien que la police arrête les voleurs ils sont remis en liberté. Pensez vous que cela fasse plaisir à ceux qui ont bossé pour les interpellés avec parfois tous les risques que ça comporte, ne sachant pas jusqu où çà peut finir.

    Le mal vivre chez eux est aussi important et grave que le MAL AISE général que nous subissons tous. Reste que 46 suicidés n est pas anodin et que des mesures devraient être trouvées et prises pour éviter que l hécatombe se poursuive.

    Jean BOUVARD

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  3. Personnellement je trouve anormal qu on puisse en arriver à ces extrêmes, et comme je le dis souvent on entend toujours le dernier moment, on pousse les gens à bout jusqu à ce qu il n en peuvent plus,

    C est ainsi que nous avons connu des révoltions (même si celle en France tarde à se manifester car le ras le bol est général nous avons encore vu les agriculteurs hier et le valls qui veut programmer des simplifications - Un peu tard non, mais on voit qu on a encore attendu l extrême limite)

    La police puisque tel est le sujet, se voit confier de plus en plus de missions malgré les baisses d effectifs, et lorsqu on envoi des renforts lors d un incident, c est qu ils on été pris ailleurs, et c est ailleurs qu ils vont manquer. Les dépôts de plaintes se multiplient - Pourquoi ? tout simplement parce qu il y a davantage de vols, viols, cambriolages, agressions, et il faut tout gérer -

    Il faut faire diminuer les accidents, alors on multiplie les radars, les infractions à la vitesse avec des pourcentages minimes d erreurs tolérés. Je suis surprise que personne n ai songé à péter tous les radars inutiles comme cela a été fait pour l écotaxe.

    Comment dans toutes ces conditions pouvons nous vivre en sécurité.

    Nous avons dit maintes fois qu au lieu d envoyer nos militaires au Mali ou autres pays, ou même supprimer encore un effectif de 7000 militaires nous devrions les garder chez nous afin que conjointement avec la police et la gendarmerie ils puissent assurer notre sécurité interne.

    Mais nous devons faire des économies et écouter la bonne parole de BRUXELLES sous peine d être SANCTIONNÉ.sapin de noël a lâché 3 milliards de plus, et il est prévu que BRUXELLES avec MOSCOVICI en réclame un peu plus.

    Restons serein, le monde bouge - Nous progressons sans cesse.

    LE BONHEUR EST DANS LE PRÉ.

    Nicole PLEY

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  4. Je trouve que le système dans lequel nous vivons et auquel nous sommes confrontés tous les jours démontrent que beaucoup de mentalité ont changé, faisant que si à l époque on considérait la police comme des protecteurs assurant notre sécurité, des anges de la route, ils sont devenus des agresseurs lors des manifs des faisant rentrer du fric lors de PV, et des incompris par la justice et la hiérarchie.

    On arrive même pour certains à les loger dans des cités à risques où il sont obligés de se changer et se cacher pour entrer chez eux, mais on doit trouver ça normal.

    La tendance d aujourd hui par l intermédiaire de nombreux provocateurs consiste à critiquer la police et à casser du flic si bien qu avec le temps, les accumulations du style "les flics" comme on dit se cassent eux mêmes. Certains pourront être satisfaits du résultat obtenu. les autorités pourront peut être même faire de beaux discours dénonçant qu ils n on pas vu le drame arriver, chercheront partout le pourquoi du comment, présenteront des condoléances à la famille, et attendrons patiemment le suivant.

    Ces cas nombreux depuis le début d l année font la une des journaux car le nombre est effectivement impressionnant 46 pas mal non, mais à chaque d entre eux, combien de fois l information l a t elle souligné - Combien de jours - Non ce ne sont pas des politiciens, ni même des djihadistes, alors on en parle peu, et puis ne sont ils pas dans la police pour se faire tuer lors d affrontement avec le banditisme, ils sont payer pour ça.
    J ai beaucoup de peine pour tout ce qui se passe, même si chez eux nous tenons pas tous les tenants et les aboutissants. Je conçois simplement que ça ne doit pas être facile tous les jours. Chacun pensera ce qu il veut.

    Z@vor

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    1. Vous avez raison Monsieur Zavor, je fais parti de cette institution, je connais bien les problèmes qui y règnent, et j ai déjà fait une tentative. Rien n a changé depuis, et ce n est pas les événements que nous connaissons qui feront évoluer les choses. Merci à tous du soutient et à vous, c est gentil. Je préfère garder l anonymat.

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    2. C est bien de vous être manifesté ainsi - Nous pouvons comprendre ce que vous ressentez, et même si dans votre institution nul n est parfait comme nous l avons vu récemment dans quelques affaires, il reste que sans vous, c est tout le système de notre sécurité qui fou le camp.

      Nous avons besoin de vous c est évident et vous avez besoin d être écouté et surtout compris.

      André BERGERAC

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    3. Merci André de votre compréhension.

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    4. Comme le disent Z@vor et André, on comprend que le métier de policier ou de gendarme n est pas aussi simple qu il n y parait étant pris entre le marteau et l enclume

      d un côté, la hiérarchie, le gouvernement, de l autre les citoyens, avec ceux qui vous apprécient et ceux qui vous détestent parce qu ils ont été verbalisés, interpellés, écroués
      et pour le comble La Justice qui souvent ne vous est pas favorable, et les médias qui attisent la flamme.

      Difficile de faire son boulot dans de telles conditions. Tenez bon - Cette situation se dégrade dans de nombreux domaines, et nous attendons que Police et Gendarmerie penchent du côté du peuple afin d obtenir le changement attendu.

      Nathalie

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  5. Ce que vous demandez est très difficile, il ne dépends pas du simple policier, il faut que le haut se décide, car eux aussi voient se qui se passe. Mais ils craignent surement pour leur avenir, il faut que nos syndicats s activent davantage et pas seulement avec quelques mots lors d un incident.

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  6. Moi aussi je suis policier - je comprends le collègue et je vis aussi toutes les situations pour lesquelles nous sommes en conflit permanent. Reste zen mon ami. Tu l as dit les suicides ne changent rien, les problèmes sont toujours les mêmes et encore plus grave.

    Quand tu ne vas pas bien tu te mets en maladie longue durée, c est comme ça que d autres pratiquent.

    Je lis pratiquement tous vos articles Monsieur BBR, et je suis souvent d accord avec toutes les réalités que vous évoquez . J ai peur qu on ne puisse pas refaire le monde, ni changer nos politiciens.

    Merci à tous pour le soutien de la police

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  7. Le nombre 46 démontre la gravité de la situation, les commentaires de nos deux anonymes (policiers) confirment le mal aise qu ils subissent de plein fouet comme nous le subissions dans d autres domaines, mais tous les motifs se regroupent avec les motifs suivants à l origine de tout (Crise, mal aise, chômage, déficit, impôts, justice laxiste)

    Nos petites manifestations en solitaire ne suffisent plus, nous devrions voir toutes les professions manifestés en simultané, y compris police et gendarmerie - Bloquer toutes les rues de toutes les villes de France, et ce n est que que comme cela que les choses pourront évoluer, pour le gouvernement en place qui doit dégager, mais aussi pour le suivant qui se méfiera de l exemple de ce revers.

    A un moment les mots ne suffisent plus, il faut des actes, il y a de nombreux leaders qui prétendent mener les actions "Où sont ils ?"

    Olivier TREQUEL

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  8. Croyez vous Monsieur TREQUEL que nous ne parlions pas de tout ça dans nos commissariats.
    Nos supérieurs nous envoi balader et veulent encore et toujours du rendement, c est surement eux qui touchent les primes. Ce n est pas demain que ça va bouger dans le sens que vous dites. Mais Merci à vous.

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  9. La vie de maintenant est ainsi faite, on constate plus le mal que le bien, un peu comme un élève, lorsqu il a une bonne note on lui c est bien et ça s arrête là, quand il en a une mauvaise, c est tout un plat entre les engueulades, les critiques, les recommandations, la pression le proff, les parents tout le monde son petit mot.

    Dans la police c est un peu pareil, il suffit d une belle réussite dans une affaire, quelques mots d encouragement , un grand bravo, et hop c est fini, on en parle plus, en revanche si ce même policier fait la poursuite d un voleur de voiture et qu il arrive un accident - aie aie aie - c est le drame - enquête contre enquête - punition - on a vite oublié la belle affaire - c est comme ça.

    S il y a des ripoux, des malhonnêtes (il y en a plein au gouvernement mais eux ne se suicident pas même si on n en à suicidé quelques uns) et (combien dans le secteur civil trichent, truandent ) la grande majorité des policiers est active pour assurer au mieux notre sécurité et ne peuvent être désigner comme bouc émissaire de tous les malheurs de notre pays. Nombreux sont ceux qui portent la responsabilité de ce désastre à commencer par nos gouvernants antérieur et actuel.

    Je trouve ces institutions indispensables malgré certains critiqueurs minoritaires.

    Alice

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  10. Encore merci à tous - et Merci a Bleu Blanc Rouge d avoir fait paraître cet article avec son analyse personnelle.

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  11. Je viens un peu tard sur le blog et tout a été dit.
    Je suis très touché de voir des policiers prendre la parole sur le blog et très touché aussi qu'ils nous remercient de soulever le mal être qu'ils vivent.
    Nous avons tous besoin de la police, de la gendarmerie, de l'Armée. Ce sont nos remparts contre la barbarie ambiante. Mais il faut souhaiter que ces hommes et ces femmes qui en font partie ne se trompent pas d'adversaires.
    Les participants pacifiques de la Manif Pour Tous qui regroupait essentiellement des familles venues avec leurs enfants ont été gazés par les CRS, alors que les voyous , eux , ne le sont pas.
    Je crois que la force publique obéit aux ordres, c'est certain, mais elle doit avoir aussi une conscience.
    Salut à tous les amis et un salut tout particulièrement amical aux policiers.
    L'Indien.

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  12. Bienvenue aux policiers qui ont participé aux commentaires du blog.
    Pour avoir un proche dans la police, j'en connais les difficultés, les soucis, les découragements...
    Ne perdez pas courage, les amis, la majorité des Français vous soutient.
    Nous savons tous que sans la force publique, les règlements de comptes seraient encore plus nombreux, les attaques, les holdup aussi, les crimes aussi.
    Ce qui doit changer, c'est le laxisme de la justice qui à force de soutenir les délinquants devient de l'injustice dont tout le monde pâtit.
    Fleur de lys.

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