Visiblement tous ces suicides ne choquent personne, ils semblent normaux avec la vie que nous menons, SANS IMPORTANCE pour les uns , SANS INTÉRÊT pour les autres. Il n y a que la famille qui pleure et quelques amis. Puissent ils reposer en paix.
Les médias se foutent bien de la vie des gendarmes, ils parlent plus, des leurs qui se font prendre en otage ou tuer en mission.
Quant au gouvernement, il préfère focaliser à fond sur les affaires DIEUDONNE
avec son VALLS, ou sur le CentreAfrique avec LE DRYAN, qui sont beaucoup plus importantes à leurs yeux.
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Dans
une administration ou une grande entreprise ces suicides auraient fait la Une
de l’ensemble des médias. Des plaintes auraient été déposées et des
dirigeants mis au pilori. Dans la gendarmerie ce doit être apparemment normal,
on ne réagit pas comme le commun des mortels.
POURQUOI
?????????
Décembre
noir dans la gendarmerie
> Décembre noir : 6 suicides dans la gendarmerie ce mois-ci
31 décembre 2013 Classé dans: GENDARMERIE,LA UNE
Depuis le 1er décembre, 6 militaires de la gendarmerie se sont donnés la
mort.
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Le 1er décembre, le major, commandant la
brigade de Crepy en Valois (60), s’est donné la mort à son domicile avec son
arme de service.
le 5 décembre, le major, commandant la
brigade de proximité de Pontvallain (72) s’est donné la mort dans son
bureau, avec son arme de service.
Le 20 décembre, le corps de Patrice
RZEPCZYK, gendarme à Colombey-les-deux-Eglises (52) a été retrouvé dans
un bois à quelques kilomètres de son unité. Il avait mis fin à ses jours
avec son arme de service.
Le 27 décembre, l’adjudant de l’escadron
24/2 de Bayonne s’est isolé dans une voiture pour mettre fin à ses jours avec
son arme de service.
Le 30 décembre, un gendarme s’est suicidé
avec son pistolet Sig-Sauer 9 mm vers 2h30, de retour de patrouille, en bas de
son logement à la caserne de L’Ile-Rousse (Corse).
Le 31 décembre, l’association gendarmes et
citoyens, dans un communiqué,
nous apprend le suicide par pendaison de l’adjudant Augustin Ochando, du
peloton d’autoroute de Montereau (77).
Quelle misère ! Fallait-il que ces hommes soient à bout pour en arriver là !
RépondreSupprimerProblèmes personnels ? Familiaux ? Ou encore problèmes de travail ? Qui pourrait en parler sinon les collègues, la hiérarchie et la famille.
Il n'en demeure pas moins que ces morts sont intolérables et que l'on ne peut pas les banaliser.
Si les conditions de travail ont leur part dans ce drame, il faut les dénoncer pour éviter d'autres morts.
Je partage la peine des familles.
L'Indien.
Il y a bien une raison à tous sa, se passe tellement comme chose dans se monde de fou.
RépondreSupprimerLe grand départ d'un frère d 'arme est toujours très douloureux à vivre. Quand cela se passe en service, il y a la révolte, la colère, la rage, la haine, puis l'esprit de Corps reprend le dessus. Les Gendarmes et leurs familles vivent en caserne, et partagent joies et peines. Les Gendarmes se sont trop souvent suicidés, pourquoi ?.
RépondreSupprimerLe suicide d'un Gendarme en 2013 s'explique en grande partie par le phénomène Manolo / la guenon ou, j'arrête, tu libères.
Et toujours pareil: une hiérarchie mise au tapin qui ne voit et n'entend plus rien.
respect, Honneur et Patrie.
Reposez en paix mes Frères
@
Même constat pour les policiers,de plus en plus de suicides avec leur arme de service.
RépondreSupprimerJ'ai une immense tristesse pour ces hommes et femmes qui défendent la république au prix de leur vie.
Force est de constater qu'il n'y a aucun suicide chez les politicards qui vivent dans une bulle dorée en méprisant le peuple qui les protège et qui les gave.!!!
Pauvre France.
Je m'associe à la peine des familles des gendarmes.
Fleur de lys.