Je n ai jamais été favorable à la presse à scandales, mais il faut reconnaître que parfois elle présente une certaine utilité, en faisant paraître des événements importants et ceux concernant notre "Moi Président" le sont. Il nous représente aux yeux du monde et nous ne voulons plus en être la risée.
Finalement, on s en fou de qui a loué l appartement aux tourtereaux, on s en fou aussi que VALLS soit un traître.
L affaire est là, elle va continuer à faire son bonhomme de chemin jusqu à son éclatement total par des solutions que l on peut tous imaginer à notre façon.
Il faut reconnaître qu elle intéresse énormément les Français, même ceux qui disent que ça ne les regarde pas et que le président a droit à une vie privée
Personnellement j ai toujours dit que celui qui voulait occuper la plus haute marche de la fonction qui a fait tout son possible pour être élu, peut être même en mettant DSK dans la mélasse pour éviter qu il ne prenne la place.
Alors maintenant qu il l a eu, qu il assure correctement en arrêtant de nous coller et transformer ses maîtresses en première dames qu il faut entretenir.
Et ce n est pas avec ses 22 % de sondages favorables que les choses vont s arranger pour lui.
En peu de temps de Présidence, il aura fait de sacrés dégâts et laissera un héritage pour le moins désastreux à son successeur, mis à part le mariage gays bien sur.
Le Point.fr - Publié
le 12/01/2014 à 09:59 - Modifié le 12/01/2014 à 12:59
Les intimes de Valérie Trierweiler mettent en cause le ministre de
l'Intérieur : pouvait-il ignorer que l'appartement de Julie Gayet était prêté
par un proche du gang de la Brise de mer ?
Au château, on est dubitatif :
Pourquoi François
Hollande vient-il de renouer, en pleine tempête nationalo-conjugale,
avec Rachid Kasri, son chauffeur "historique", celui qui le couvrait
quand il allait secrètement rejoindre Valérie
Trierweiler alors qu'il était en couple avec Ségolène
Royal ?
Le confident avait été pourtant délaissé dès le lendemain de
la victoire du président normal.
Le chauffeur éconduit avait insisté lourdement
auprès de son "ami" afin qu'il reprenne contact. En vain.
"Que fait la police ?" ironise un proche de la première dame qui
voudrait connaître la réponse à ce soudain retour en grâce.
La police ? C'est
plutôt le patron qu'il cible : "le traître" de Beauvau.
Celui qui
doit sa nomination à Valérie Trierweiler qui l'a imposé auprès de François
Hollande quand celui-ci lui préférait François Rebsamen, le sénateur-maire de
Dijon, hollandais plus ancien comparé à ceux de la "promotion
Hélicoptère", surnom donné par les éléphants de Solférino aux ralliés de
la dernière heure qui trustent les fonctions gouvernementales et les cabinets
jusqu'à celui de l'Élysée.
La journaliste de Paris Match fut
impressionnée par les talents de communicant de Valls et par sa loyauté : il
poussait le zèle jusqu'à rajuster la cravate du président du conseil général de
Corrèze, qui la porte toujours de travers ! Valérie Trierweiler et Anne
Gravoin, la femme du locataire de la Place Beauvau, étaient devenues très amies
à cette occasion.
Mise au point rapide
Pour cet intime de la (future ex ?) première dame, Manuel Valls était
forcément au courant des frasques présidentielles.
Au Château, le ministre le
plus populaire du gouvernement a placé des hommes à lui. Aquilino Morelle, le
sécuritaire montebourien, ex-plume de Jospin et Christian Gravel, ancien
directeur de cabinet du maire d'Évry, conseiller en communication du président
qui a fait ses armes comme stagiaire auprès de... Valls quand il était
porte-parole et responsable de la communication de Lionel Jospin. Les yeux et
les oreilles de Manuel Valls.
Selon nos informations, dès la parution du magazine
Closer révélant publiquement la liaison entre Julie
Gayet et François Hollande, Aquilino Morelle et Christian Gravel
étaient partisans d'une mise au point rapide du président sur sa situation
conjugale et plutôt en faveur d'une rupture avec l'actuelle première dame.
La patronne du Groupe de sécurité du président de la République, la
commissaire divisionnaire Sophie Hatt, est également une proche de Gravel et du
ministre de l'Intérieur. Elle les a connus à Matignon du temps où elle
"protégeait" Lionel Jospin.
"Je pourrai continuer à faire du
scooter ?"
Dès lors comment la police ne pouvait-elle pas être au courant que le
président se rendait rue du Cirque dans un appartement prêté à Julie Gayet
depuis six mois par une comédienne qui y vivait jusque-là avec Michel Ferracci,
ancien du cercle Wagram, réputé proche du gang de la Brise de mer et condamné à
dix-huit mois de prison avec sursis ?
Certes, Ferracci fait désormais dans la
fiction, héros de... Mafiosa, la série à succès de Canal+. Comment le
ministre de l'Intérieur pouvait-il ignorer le désir irrépressible de
"liberté" de François Hollande dans cette prison dorée qu'est le
palais de l'Élysée ?
Pouvait-il ignorer également les "blancs" dans
ses agendas qui n'ont pas pu échapper à Christian Gravel ?
"Comment je sors sans qu'on me voie ?" s'interrogeait François
Hollande devant ses collaborateurs alors qu'il venait juste d'être élu
président, en mai 2012, rapporte Cécile Amar, journaliste au JDD, dans Jusqu'ici
tout va mal (éd. Grasset, à paraître le 15 janvier).
L'anecdote ne pouvait
pas mieux tomber. Quelques semaines avant son élection, continue l'une des meilleures
spécialistes de la galaxie socialiste, François Hollande s'inquiétait auprès de
son officier de sécurité : "Je pourrai continuer à faire du scooter ? - Ça
dépend, monsieur. - Que se passera-t-il si je roule en scooter ? - Une voiture
sera devant vous, une autre derrière et des motos sur les côtés."
"Il sait que je suis
ambitieux"
Le 1er janvier dernier, lorsqu'il rejoint Julie Gayet, la procédure en
vigueur n'est pas respectée, comme on le sait désormais.
Manuel Valls a-t-il
alors cherché à planter le président ? Ou à devancer ses désirs de séparation ?
Lorsque Closer a publié fin juillet 2013 un reportage sur les vacances
grecques de Valérie Trierweiler attendant en vain que François Hollande la
rejoigne, son ami Christian Gravel s'était fendu d'un coup de téléphone
assassin à Laurence Pieau, la directrice de la rédaction du magazine people.
Alerté dès lundi qu'un sujet sur le président de la République pouvait paraître
en fin de semaine dans Closer, Gravel ne s'est pas manifesté ni auprès
de la rédaction ni auprès de la direction du groupe Mondadori, propriétaire de Closer.
Ceux qui voient dans ces manœuvres la main invisible de Manuel Valls
pourront utilement se rapporter à l'ouvrage de Cécile Amar : "Il me
regarde tel que je suis, il sait que je suis loyal mais il sait que je suis
ambitieux..." y affirme Manuel Valls à propos du regard que porte sur lui
François Hollande. "Jusqu'ici tout va mal" en effet.
Rectification- L'avocat de Michel Ferracci qui n'a pas été contacté
pour la rédaction de l'article tient à nous faire savoir que son client n'a
jamais habité ni disposé d'un appartement au 20 rue du cirque.
Ah elle est belle la Ripoublique,comme dirait mon père:"pour faire de la politique,il faut savoir nager dans la merde.."
RépondreSupprimerManoletto travaillerait-il pour l'entreprise Farina(celle qui pompe la merde)!!!
On en arrive presque à plaindre le Capitaine du pédalo!!!!
Enfin,presque!!!!
Fleur de lys.