LA DICTATURE DE HOLLANDE
Le
grolandfüher a encore gagné : il a imposé son rythme, son vocabulaire et ses
frasques à un parterre de hauts fonctionnaires dont on aurait du mal à
certifier la hauteur, de journalistes dont on ne peut que certifier la
servilité et de citoyens-électeurs-contribuables mystifiés.
Pire, il a imposé
son style, celui du bidochon-martial qui parachève au XXIe siècle ce que la
Convention n'avait pas tout à fait réussi à imprimer autrement que
temporairement dans les consciences françaises d'alors. Pour ce qui est du
vocabulaire, Valérie Massonneau- Trierweiler n'a jamais été (contrairement à ce
que les perroquets de Pavlov s'entêtent à répéter) la première dame de France.
Elle n'a été que la première dame de Hollande, c'est pourquoi ce dernier
concède une "vie commune" avec Madame Sans-papiers devenue depuis
quelques heures Madame S'en-va (lui, Monsieur Sans-gêne, reste en tant que
dépositaire de l'autorité et de la souveraineté que le peuple confiant lui a
confié).
Xavier Kemlin a déjà expliqué aux Français qui ont bien voulu
l'écouter et aux juges qui n'ont rien voulu entendre, qu'en matière de vie
commune, le président de la République avait imposé au peuple français, aux
médias, au protocole et aux caisses de l'État une communauté de vie mais que
celle-ci ne s'assortissait d'aucune communauté de patrimoine, car les rois de
France avaient le pouvoir de guérir les écrouelles et les présidents de la
République ont, eux, le pouvoir de se guérir des dérangements fiscaux et
administratifs.
Que l'automédication soit la principale caractéristique de la
classe politique française, c'est l'une des principales causes d'un mal très
français qui s'étend au fur et à mesure qu'il est systématiquement - oui,
systématiquement - inoculé dans des écoles nationales (d'administration,
notamment et d'administration de clystères fiscaux en particulier).
La où le
grolandfürher a encore gagné, ce n'est pas tant dans la répudiation de son Eva
Braunweiler - à en croire les médias, une emmerdeuse patentée -, cette compagne
qu'il n'a pas épousée pas plus qu'il ne s'est suicidé (se contentant de fouler
aux pieds son honneur personnel et celui de sa fonction),
là où il a encore
gagné, donc, c'est qu'il a réussi à tuer le principe de "première
dame" - le mot ne veut rien dire, mais il consacre la place de l'épouse du
chef de l'État au côté de son époux dans la représentation de la France et en
tant que maîtresse de maison à l'Élysée.
Ne nous y trompons pas : François
Hollande a réussi une fois de plus à brouiller l'image de la famille, et dès lors
que des sondages - douteux - viendront confirmer que "les Français"
ne veulent plus entendre parler de la femme du Chef de l'État, de plus en plus
de Français très intelligents et qui comprennent tout - ce qui explique leurs
votes éclairés - viendront aboyer en meute dans la même direction.
Et le
principe de la famille (dont le saccage est l'un des objectifs cher à nos chers
socialistes) aura encore pris un coup dans l'aile, en commençant par celle du
chef de l'État, celui que l'on appelle sottement "le locataire de
l'Élysée" alors qu'il n'en est que l'hôte - aux deux sens du terme, et la
presse chargée de nous informer n'a jamais été capable d'enregistrer une
information aussi élémentaire.
Ha ! la propagandastaffel ! Dans les régimes
totalitaires, c'est l'arme absolue...
La famille aussi, c'était une sorte de
ciment absolu pour la société, et c'est à bon droit qu'on pouvait considérer un
pays comme une famille, la mère patrie dont l'association des deux mots résume
l'idée de père et de mère (allez, disons le père-patrie ou la mère-matrie pour
faire plaisir aux tenants du "mariage pour tous).
Il ne reste plus qu'à
changer les paroles de la Marseillaise, car à ce rythme-là, nous ne serons
bientôt plus les enfants de personne (plus de la patrie, évidemment), tout
juste des croisements entre les diktats de Peillon et ceux de Vallaud-Berkacem,
unis par le Révérend Hollande pour le pire et pour le pis.
26 JANVIER, JOUR DE COLERE A PARIS (par Gabrielle Cluzel)
Beaucoup de jeunes, énormément de jeunes.
Derrière la banderole « lycéens et étudiants en colère », il y a les
Hommen.
Une trentaine de jeunes gens marchent symboliquement enchaînés par un
homme casqué en scooter…
Au-dessus de leur pantalon coloré, ils sont torse nu,
certains grelottent, mais ils crient pour se tenir chaud.
Dans la foule qui
marche, les slogans sont souvent drôles, parfois graveleux, actualité oblige.
Hasard de manif, des mères de familles cathos marchent derrière un
« Pendant que la France part en c… Hollande promène les siennes ».
Si
vous croyez que ça dérange les petites dames… La respectabilité, le bon
goût, l’impression que l’on va faire au 20 h sur les médias de bon aloi, on
finit par s’en battre les roupettes, justement.
Parce que quoi qu’on fasse,
quoi qu’on dise, on aura toujours tout faux.
Parce que même en mettant un tutu
rose, en faisant les pointes devant la caméra, en ayant l’air jeune, sympa,
sexy et ouvert d’esprit, on sera toujours un facho.
Parce que quand la maison
brûle, on ne fait pas taire le p’tit gars qui crie « au feu » avec
vous, sous prétexte qu’il mettrait ses coudes sur la table ou aurait fait une
quenelle au lycée.
Car des quenelliers, il y en avait quelques-uns.
Car des quenelliers, il y en avait quelques-uns.
Et même des quenelliers
« de la diversité ».
Mais quel était donc le ciment de cette manif
bigarrée ?
Quel était donc l’improbable point commun entre Renaud
Camus, Christine Boutin, des militants LMPT et des aficionados de Dieudonné
venus de la banlieue ? La détestation de Hollande, bien sûr…
Et surtout
une immense soif de liberté d’expression. Quand un jour l’étau se sera desserré
– s’il se desserre un jour –, n’ayez crainte, tout ce monde-là se remettra sur
la gueule.
Mais en attendant, ils partagent leur colère. Hollande, au moins,
aura réussi ça. Le « vivre ensemble » pour des populations aux
antipodes. La cohésion négative. Aux fenêtres des « beaux
quartiers », comme dit Aragon, des électeurs d’Anne Hidalgo leur font
parfois des « doigts ».
Puis rentrent en fermant soigneusement
les rideaux. Comme si cette colère qu’ils méprisent leur faisait vaguement
peur.
À l’arrivée, place Vauban, les orateurs n’en sont pas. Mais dans leurs discours, ils déballent leurs tripes…
À l’arrivée, place Vauban, les orateurs n’en sont pas. Mais dans leurs discours, ils déballent leurs tripes…
Le chômage, l’exclusion, la famille
persécutée, les impôts. La mère de famille succède à l’étudiant, le chômeur au
petit patron.
Hollande ne veut pas les entendre ? Eux ne veulent plus le
voir. Il faut qu’il parte. Démocratiquement.
Avec l’énergie un peu folle du
désespoir. Car ils croient avoir trouvé la faille, le biais, l’issue de
secours : l’article 68 de la Constitution qui permet aux deux Assemblées
d’engager la procédure de destitution du président de la République pour
« manquement grave ».
Et pour convaincre les députés, Béatrice
Bourges entame une grève de la faim au Mur pour la Paix, sur le Champ-de-Mars.
Jusqu’au départ de Hollande. Portée par la colère de ces milliers de
manifestants.
À 18 h, l’ordre de dispersion est lancé. À 18 h 10, les forces de l’ordre bloquent les avenues donnant sur la place et balancent les premiers gaz lacrymogènes.
À 18 h, l’ordre de dispersion est lancé. À 18 h 10, les forces de l’ordre bloquent les avenues donnant sur la place et balancent les premiers gaz lacrymogènes.
Pour apaiser la colère, sans doute ? Les grands médias, eux,
n’ont rien vu, rien entendu.
Quelle manif ? Quelle colère ? Préfèrent
parler du dîner de gala à Bombay de madame Trierweiler que du jeûne de madame
Bourges.
LE CABINET DE JEAN MARC AYRAULT PIÉGÉ AU TÉLÉPHONE, EN FLAGRANT DÉLIT DE MENACES ENVERS UN CITOYEN QUI DÉPLAÎT
ECOUTEZ BIEN CECI. C'EST PROPREMENT STUPÉFIANT !
23 h 15... LE CABINET DU PREMIER MINISTRE APPELLE GUILLAUME DE THOMAS,
ANIMATEUR DU MOUVEMENT "LES TONDUS" (RÉSEAU DE PETITS ENTREPRENEURS)
POUR EXERCER SUR LUI MENACES ET PRESSIONS...
Ça ne dure que 3 minutes, ce sera sans doute censuré dans les prochaines heures.
Ça ne dure que 3 minutes, ce sera sans doute censuré dans les prochaines heures.
C'est une illustration supplémentaire de la fascisation tranquille du régime de
Hollande qui, sous ses allures de goujat débonnaire, cache plus sérieusement
des instincts de dictateur.
Faites attention, ça n'arrive pas qu'aux autres !
Cet homme et ce régime deviennent dangereux !
http://tapeacall.com/vyfnbrtnfq
http://tapeacall.com/vyfnbrtnfq
Marc Le Stahler
Comme toujours, excellent article. Le peuple gronde, il est en colère, Nulos 1er devrait écouter car lorsque le peuple est vraiment trop en colère c'est très mauvais, il peut casser et là, ce ne seront pas de faux casseurs qui viendront, ce sera le peuple de France.
RépondreSupprimer@
Très beau travail BBR, malgré l'omerta des merdias nationaux,160000 personnes étaient rassemblées ce 26 janvier 2014 avec tous comme point commun "hollande dégage".
RépondreSupprimerNous sommes en pleine dictature et le peuple si méprisé de toute cette oligarchie est en colère!!!
Puisse cette manifestation patriotique faire des petits partout en France et puisse Dieu nous envoyer un homme intègre et de foi pour renverser ce régime de traîtres et redresser notre pauvre France avant qu'il soit trop tard.
Fleur de lys.