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vendredi 6 juin 2014
RAPPEL HISTORIQUE - CERTAINS ONT OUBLIE
Il est peu probable que le débarquement du 06 juin pour la libération de la France du nazisme, soit un jour oublié, et cela est tout à fait normal, personne ne peut oublier tous les combattants et tous les morts qu il y a eu pour obtenir cette libération.
Mais personne ne devra et ne doit jamais oublier aussi tout CE et CEUX qui figurent dans l article ci-dessous avec les horreurs et les traîtres que l on a vu. Il y a eu aussi beaucoup de morts.
Avec mes remerciements BBR
D'ARROMANCHES A DIEN BIEN PHU
En un saisissant raccourci historique, la France se prépare à célébrer plusieurs épisodes majeurs de son histoire récente. Et pas n'importe lesquels.
Il y a 70 ans, des jeunes hommes venus de tout le monde libre débarquaient sur les côtes de Normandie pour converger, avec les troupes alliées du Sud et celles de l'Est vers cette Allemagne nazie qui avait mis le feu au monde et provoqué ce qui restera dans l'histoire des hommes comme la "2ème Guerre Mondiale".
Quatre ans plus tôt; la pire débâcle de son histoire avait mis la France à genoux, mais une voix déterminée, puissante et résolue, venue d'outre-manche, avait permis à notre Patrie de survivre et de participer activement à sa Libération qui commençait.
Au petit matin du 6 juin, au large de ces plages alors quasiment inconnues qui allaient passer à la postérité avec leurs bizarres noms anglo-saxons, ils étaient des dizaines de milliers, britanniques, américains, canadiens, australiens, français et bien d'autres encore, harnachés et serrés sous la mitraille dans les barges de débarquement, prêts à affronter le feu des canons du "mur de l'Atlantique" pour mettre résolument le pied sur cette terre d'Europe qu'il venaient reconquérir.
Une seule obsession chez ces jeunes hommes courageux ; créer une tête de pont solide permettant ensuite d'acheminer les hommes et le matériel nécessaires pour déferler sur la France et repousser l'ennemi jusqu'au fin fond de l'Allemagne.
Il faut avoir vu le port artificiel d'Arromanches, créé spécialement pour cet objectif, pour comprendre l'énormité de la tâche...
Hollande va tenter de se refaire à bon compte une santé médiatique, auprès de la Reine d'Angleterre, d'Obama et de tout ce que la planète compte de chefs d'Etats et de gouvernements représentant des pays belligérants.
On essayera même éventuellement (tout étant désormais affaire de spectacle) de provoquer une théâtrale poignée de mains entre Poutine et le président élu ukrainien, pour se vanter évidemment ensuite du "rôle majeur de la France dans le règlement pacifique du conflit russo-ukrainien".
Poutine, laminé, conspué par le personnel politique et les médias ces dernières semaines, mais qui a fait hier sur TF1 une prestation exceptionnelle toute en intelligence, bon sens, clairvoyance et pondération, loin de l'image de détestable extrémiste que s'acharnent à lui donner les valets de la com' au service de la propagande officielle.
Il n'y a rien à redire à ces cérémonies commémoratives destinées à honorer la mémoire de ceux qui ont payé de leur sang la liberté retrouvée des peuples d'Europe. On peut juste se permettre de sourire un peu de voir Hollande, improbable héritier d'une gauche sectaire qui fut toujours hostile, autant au chef de la France Libre qu'au fondateur de la Vème République, malhabile pingouin maître de cérémonie d'une action qui dépasse considérablement sa petite personne.
Aura-t'il un mot, ou même seulement une pensée, pour ce général qu'il exècre de toutes ses forces - en bon héritier de Mitterrand -, et auquel il doit pourtant sa liberté, la Constitution sur laquelle il a été élu et - pour le malheur de la France - toute sa stérile et inutile vie politique aux frais de la Nation ?
Dans un peu plus d'un mois, la France fêtera le 14 juillet le 225ème anniversaire de la Révolution. Rien à redire non plus. Sauf que. Sauf que...
Dix ans après Overlord, il y eut Dien Bien Phu. Un peu plus tard, il y eut la guerre d'Algérie. Tant en Indochine qu'en Algérie, des hommes, à nouveau mûs par l'amour de leur Patrie, ont vaillamment combattu le Viet Minh puis le FLN, contre les ravages du communisme et pour la France. C'est ce qu'on leur avait dit. C'est ce qu'ils croyaient fermement.
Hélas, les méfaits de la collaboration avaient laissé des traces, et certains "hommes de gauche progressistes" de l'époque, excités par de prétendus intellectuels, écrivains, internationalistes et marxistes, trahirent sans état d'âme leur patrie. De Bourdarel aux "porteurs de valises du FLN", ces salopards étaient convaincus de représenter le "Bien" contre le "Mal".
Les Français qui ne sont pas morts à Dien Bien Phu ou au Djebel et qui vivent encore - - vont avoir bien du mal à vivre ce 14 juillet qui verra peut-être défiler sur les Champs Elysées leurs ennemis de jadis... les armées vietnamiennes et algériennes !
Cette nouvelle provocation imbécile, qui va sans doute encore être justifiée par de prétendues motivations pacifistes internationalistes et une volonté de "réconciliation", était parfaitement inutile. Mais il semble qu'Hollande n'ait à cœur, après le "mariage pour tous" et la réforme pénale en cours, que de fracturer la France. Encore et encore.
"Allons-nous laisser défiler sur les Champs Elysées des fellouzes et des viet-minh sur les Champs Elysées" titre le magazine "Présent" ?
Nous reproduisons ci-dessous un article édifiant... Lisez-le attentivement. Les plus jeunes pourront y découvrir la vraie nature du parti communiste et de ses avatars modernes (Mélenchon, EELV et consorts). Les plus anciens se rappelleront douloureusement cette fracture française dont les Trente Glorieuses avaient finalement eu raison, et que s'échine à rouvrir un gouvernement traître et félon.
Après le bombardement du port de Haiphong, le 23 novembre 1946, par la Marine française, le Viet Minh, dirigé par Hô Chi Minh, président de la République démocratique du Viêt Nam (dont l'indépendance a été proclamée à Hanoi le 2 septembre 1945), décide de lancer, le 19 décembre 1946, une offensive ayant pour but la « libération » de la ville de Hanoï. À 20 heures, une explosion dans la centrale électrique de la ville annonce le début de l'insurrection.
De nombreux ressortissants français sont massacrés et des maisons pillées. Hô Chi Minh appelle tout le peuple vietnamien à se soulever contre la présence française : « Que celui qui a un fusil se serve de son fusil, que celui qui a une épée se serve de son épée… Que chacun combatte le colonialisme ! ». C’est le début de la guerre d’Indochine. Elle va durer huit ans.
La France avait engagé sa parole auprès du Viêt-Nam, dirigé alors par Bao Daï. Elle n’était plus un pays affrontant une rébellion nourrie par la Chine et l’URSS, elle était la représentante d’un système, le « monde libre », face à un détachement d’un régime ennemi, le « communisme ».
Et le général Catroux, ancien gouverneur général de l’Indochine, d’écrire dans Le Figaro du 21 juillet 1953 : « Il n’est pas en effet loisible à la France de rompre à sa convenance le combat, parce que la guerre d’Indochine n’est pas seulement sa guerre contre le seul Hô Chi Minh, mais celle du monde libre, auquel elle est liée, contre le communisme ».
Dès le début de ce conflit, les communistes français n’eurent de cesse de procéder à une critique et à une condamnation de cette « sale guerre » qu’ils appréciaient, à l’instar d’Etienne Fajon « comme une guerre injuste, réactionnaire, menée contre la liberté d’un peuple ».
Dès lors, tout fut mis en œuvre pour venir en aide au « peuple vietnamien opprimé » et la consigne émise par la direction centrale du PCF : « Refus de la fabrication, du transport et du chargement du matériel de guerre destiné à l’Indochine », immédiatement appliquée, notamment par les syndicalistes de la CGT.
La presse communiste devenait quotidiennement plus incisive en stigmatisant à outrance la présence française en Indochine, la qualifiant de « poison colonialiste » et Léon Feix d’écrire dans L’Humanité du 24 mars 1952 : « De larges masses participeront effectivement à la lutte anticolonialiste dans la mesure où nous saurons extirper de l’esprit des Français, en premier lieu des ouvriers, le poison colonialiste »… tandis que Jean-Paul Sartre, n’avait de cesse de fustiger dans la revue « Temps Modernes », « l’action criminelle des soldats français ».
Dès lors, les communistes français allaient, à leur façon, participer activement à ce conflit…
Dans les usines d’armement, les armes et les munitions destinées aux soldats de l’Union Française étaient systématiquement sabotées… « L’effet retard » des grenades était volontairement supprimé, ce qui entraînait leur explosion immédiate dès qu’elles étaient dégoupillées, la plupart du temps, dans les mains de leurs servants…
Les canons des pistolets mitrailleurs et des fusils étaient obturés avec une balle, ce qui entraînait souvent leur explosion…
Les munitions étaient sous chargées ou ne l’étaient pas du tout… Les obus de mortier explosaient dès leur percussion ou s’avéraient inertes…
Les moteurs des véhicules de terrains comme ceux des avions subissaient également toutes sortes de sabotage : Joints de culasse limés et limaille de fer dans les carters à huile…
Ce fut le cas, entre autres, des moteurs de l’hydravion « Catalina » de la 8F où furent impliqués des ouvriers des ateliers de la base de Cuers-Pierrefeu… Même le porte-avions d’escorte « Dixmude », n’échappa pas aux dégradations : Ligne d’arbre endommagé. L’enquête permit d’identifier le saboteur en la personne du quartier-maître mécanicien Heimburger, membre du Parti Communiste Français.
Tout cela, pourtant, n’était rien d’autre que de la haute trahison et les ouvriers comme leurs commanditaires qui envoyaient chaque jour à une mort certaine des soldats français, auraient dû être traduits devant des Tribunaux d’exception pour « intelligence avec l’ennemi ».
Ils ne furent jamais inquiétés ! Et cette strophe du poème du capitaine Borelli, officier de Légion, adressé à ses hommes morts au combat, prennent ici, un sens particulier : « Quant à savoir, si tout s’est passé de la sorte, si vous n’êtes pas restés pour rien là-bas, si vous n’êtes pas morts pour une chose morte, Ô, mes pauvres amis, ne le demandez pas ! »
Sur les quais, les aérodromes et les gares tenus par la CGT, la mobilisation communiste était identique. Les acheminements de troupes et de matériels subissaient de graves perturbations…
Les navires et les trains étaient immobilisés, les détériorations ne se comptaient plus, les grèves se multipliaient…
A Grenoble, une pièce d’artillerie fut jetée à bas du train. En gare de Saint-Pierre-des-Corps, à Tours, une militante communiste, Raymonde Dien, devint une héroïne nationale pour s’être couchée en travers d’une voie. Cette violence atteignit son point culminant dans la nuit du 2 au 3 décembre 1947. A la suite du sabotage d'une voie ferrée par un commando de la cellule communiste d’Arras, l'express Paris-Lille dérailla, faisant 16 morts et 30 blessés...
Quant aux blessés rapatriés, généralement débarqués de nuit à Marseille, ils étaient acheminés secrètement en région parisienne où ils arrivaient au matin à la gare de l’Est. Mais cette discrétion ne les épargnait pas des manifestations hostiles des cheminots CGT. Les blessés étaient injuriés et frappés sur leurs civières.
Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait « que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine » car, à l’Assemblée Nationale, les députés communistes avaient exigé que « la collecte publique de sang ne soit jamais destinée aux blessés d’Indochine qui peuvent crever (sic) ».
A Noël un député suggéra qu’un colis de Noël soit envoyé aux combattants d’Extrême Orient. Une député du PCF s’exclama aussitôt : « Le seul cadeau qu’ils méritent, c’est douze balles dans la peau ! ».
Par ailleurs, outre les armes et les fonds adressés régulièrement au « grand frère vietminh », des tonnes de médicaments lui étaient également acheminés par l’Union des Femmes Françaises (1) et l’indignation de nos soldats ne résultait pas tellement de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que, chaque jour, des soldats français mouraient, faute d’en posséder.
Pour nos soldats enlisés dans ce conflit, la guerre prenait un parfum amer teintée de colère et de découragement… La prise de conscience fut rapide et brutale : Désormais l’ennemi n’était plus le Viêt-Minh mais les communistes français...
La fin tragique de la bataille de Diên Biên Phu scella la défaite de la France et l'obligea à se retirer de l'Indochine mais le PCF demeura actif et poursuivit son action dévastatrice au sein du contingent et de ses réseaux de « porteurs de valises », durant la guerre d’Algérie. Combien de nos jeunes soldats sont morts sous les balles des communistes français livrées aux tortionnaires du FLN ?...
Et voici, pour faire bonne mesure, ce que titrait l'Humanité le 6 mars 1952.
« Félicitations au succès du Vietminh. Nous sommes de cœur avec lui.
Nous envoyons aux troupes du Vietminh notre fraternel salut et notre témoignage de solidarité agissante. »
L'Humanité, vous connaissez ?
Ce quotidien communiste que l'Etat a récemment renfloué, en effaçant une dette de 4 millions d'euros, pour qu'il continue de délivrer son poison ? Ce n'est plus le Viet Minh ni le FLN qu'il défend aujourd'hui, il s'est modernisé en aspirateur à immigration. Toujours, sans doute, pour le bien de la Patrie...
Nul doute qu'un jour prochain, les Patriotes, ayant reconquis leur pays, auront à cœur de juger les déviances criminelles de ce funeste président et de son régime.
En attendant, nous versons des pièces au dossier...
Inlassablement.
(1) Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des Femmes Françaises est créée par un congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de guerre froide, une organisation communiste de masse. Elle se retrouve notamment impliquée dans des actes de sabotages et de découragement à l'encontre des soldats français lors de la guerre d'Indochine.
L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998.
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Toutes ces traitrises, ces félonies sont le fait habituel des communistes. Comment se fait-il, qu'un pays "démocratique" ou qui se dit démocratique accepte en son sein un groupuscule que même le pays fondateur (Russie) ne veut plus?
RépondreSupprimerChaque année on nous ressasse les mêmes choses sur Hitler, les Nazis, les SS.... les chambres à gaz, les camps de la mort, la Shoa, les millions de morts.
Pourquoi n'entendons-nous pas nous rappeler le nombre de morts causés par les sabotages communistes, par les délations des communistes au FLN? ....le nombre de morts tombés dans les goulags et les camps de travails en Sibérie????......
Et les milliers d'officiers polonais qui sont tombés à KATIN d'une balle dans la nuque, tirée par les commissaires politiques de Staline. Pour ne pas se faire éclabousser du sang des suppliciés, ils portaient un tablier de cuir couleur moutarde.....
Quand est ce qu'on arrêtera de faire l'apologie de ces criminels de guerre, de ces traitres à leur patrie que sont les communistes?
Quand est ce que l'on va interdire ce parti aux mains pleines de sang?.... car le PCF n'est pas un parti politique, mais une bande armée organisée qui doit être traduit devant le TPI pour génocide, haute trahison et crimes de guerres.
Je rends hommage à tous ces vieux patriotes qui ont combattu pour l'honneur de leur Pays et qui sont toujours meurtris " à vie " dans leur âme et dans leur chair .......
@
Cher @ vous avez tous à fait raison dans votre commentaire. Si nous n oublions pas le débarquement de Normandie, je ne pense pas que l on puisse oublier tous nos morts qui ont combattu pour nous où que cela se soit passé.
SupprimerDes lâches, des traîtres des vendus, il y en a toujours eu, et il y en aura surement toujours même si cela n est qu à une petite échelle. Tout cela est navrant et triste, mais pensons aussi qu il y a eu des résistants, des héros qui ont payé de leur vie, et même si certains l ont oublié, d autres ne l oublieront jamais.
La Normande
Nous sommes d accord @ et la Normande à raison aussi, tel est l histoire qui nous marque à vie. Elle veut que nous nous souvenions des bonnes choses et que nous puissions oublier les mauvaises.Mais comment cela est il possible ? Il y a eu tant de morts, tant de déchirures, tant de dégâts que certains ne pourront jamais oublier. Quant au communisme on sait ce qu il en est advenu et on voit ce qu il devient.
SupprimerNicole PLEY
Ami @, Honneur et Hommage à tous nos soldats qui sont morts pour la France durant toutes ses guerres et au cours desquelles certains sont morts par la faute de citoyens français (honte à eux), L histoire restera un souvenir avec quelques tristes rappels, quelques libérations, mais aussi de nombreux oubliés.
SupprimerDurant notre siècle nous vivons une autre sorte de guerre à laquelle notre gouvernement fait participer et fait tuer nos soldats auxquels je rends aussi hommage. Une guerre qui ne nous concerne pas et dont américains et européens nous ont abandonné (lâchement si je puis dire). Ce type de guerre ira à l infini.
Al Qaida, Boko haram et bien d autres ne s arrêteront jamais de se battre au nom de l Islam, ce fléau qui envahi l Europe et particulièrement la France.Ils veulent le pouvoir de tous les pays de l Afrique, du Magreb pour pratiquer leur loi Ils prennent des otages, n hésitent pas à tuer, commettent des actes terroristes.
Tout cela non plus on ne peut pas l oublier.
Olivier TREQUEL
Je suis d accord avec votre analyse Olivier. Personne ne peut oublier tous les morts qui ont combattu pour nous et notre pays, mais des combats continuent, et nous avons toujours de jeunes soldats qui meurent juste pour exécuter les ordres. Paix à leur âme.
SupprimerAlice
Toutes les guerres sont terribles et inoubliables @, et celles où il y a eu collaboration le sont davantage. Certaines guerres sont terminées mais le souvenir demeure. et comme le dit Olivier d autres guerres, d un autre genre se profilent à l horizon, et nous avons quelques raisons de nous en inquiéter.
SupprimerDe part la nouvelle carte démographique, je ne suis pas trop optimiste pour l avenir.
André BERGERAC
Nos combattants ont payé de leur vie pour que nous puissions vivre. Comment pourrions nous l oublier ?
SupprimerJe ne suis pas très optimiste non plus. L avenir nous le dira, mais je crains surtout pour les générations à venir.
Nous laissons la gangrène s installer chez nous, nous allons avoir du mal à la supprimer.
Maurice SEPERS
Faites rentrer tous nos soldats qui meurent pour rien dans des guerres de religion pour lesquelles nous ne sommes pas concernés.
RépondreSupprimerDepuis Abel et Caïn, nous savons que le frère peut tuer le frère.
RépondreSupprimerDepuis Judas, nous savons que la traîtrise peut se nicher même là où on ne l'attend pas.
Il en va de même pour nous.
La France a eu ses traîtres durant toutes les guerres. Les uns par idéologie, les autres par intérêt.
"Heureux les épis mûrs et les blés moissonnés" disait Péguy. Honneur et respect à nos soldats morts pour la France. Dieu veuille que cessent les guerres et le sang versé.
Mais je crois que je rêve et j'ai bien peur qu'une troisième guerre mondiale soit en préparation, précédée d'une guerre civile chez nous.
Je vous salue tous, amis du blog.
L'Indien.