OTAGE FRANÇAIS ET L ISLAM

                    Otage français en Algérie  

                le début d’une sinistre aventure…

                                                            L INTRODUCTION DE BBR

     Ce qui devait arriver, arriva - Comment aurions nous pu en douter. Le temps que l on réfléchisse, et qu on prenne des décisions, le mal était déjà en place, il progresse, il s intensifie vitesse grand V.

     Si nos politiciens ont tardé à réagir sur les menaces qui pèsent sur nous, que dire de tous les Français qui en connaissance de cause et des événements , s expatrient dans ses pays à risques malgré les nombreuses informations qui leur disent de ne pas partir et surtout de revenir rapidement.

     On a l impression qu ils sont inconscients où attendent la mésaventure, faisant prendre des risques à nos soldats qui se consacrent aussi à leur recherche et à les délivrer s ils sont  des otages.

     Nous avons l air surpris, étonné, effaré d entendre des nouvelles prises d otages, des menaces à la France, des menaces d exécuter l Otage si la France ne cède pas aux exigences terroristes de l Islam.

Ils sont tellement avide de sang, qu ils se battent même entre eux ces combattants de l idéologie -

     Leurs groupes aussi s intensifient  - "Al Qaïda Maghreb Islamique", "Boko Haram", "Jund Al Khilafa"et se propagent dans tous les coins de la carte du monde,  avec de plus en plus d adeptes,de plus en plus de recrutement,  de plus en plus d armes, ils savent faire des bombes, des mines.

     Nous en trouvons de toutes les couleurs, les recrutement vont bon train au point qu un français blond aux yeux bleus n hésitera pas à décapiter un compatriote, à assassiner des chrétiens

     Ce nouveau monde qu on appelle "Etat Islamiste" qui ne sera jamais reconnu comme tel, bondé de sauvages que l on a baptisé sous ce mot nouveau  de "Djihadiste" inconnu jusqu alors de même que l on est de plus persuadé que l Islam ne peut être considéré véritablement comme une religion et que l enseignement "du Coran", ne peut être comparé "la Bible"

     Ces sauvages arrivent très facilement à s infiltrer partout afin de préparer des attentats dont la France est menacée et particulièrement ciblée .

     Ce matin encore on apprend que la sœur de MERAH (le tueur de Toulouse) est revenue de Syrie avec son mari,  en compagnie d un autre, où ils étaient parties  faire le djihad. Ils sont revenus en France Via La Turquie, sans aucun contrôle à l aéroport.

     Il s agirait d un manque d information  entre la Turquie et la France. Le pilote de l avion,  qu ils devaient prendre initialement ayant refusé de les faire monter à bord, ils ont donc pris un autre avion qui n a pas été communiqué à La France.

     Ne soyons  pas étonné que ce la Presse  appelle DES PRÉSUMÉS DJIHADISTES nous préparent quelques attentats meurtriers. Et nous avons pourtant un des meilleurs services de renseignements 

     Les diffusions d images atroces ne font qu à aggraver la crainte, régner la peur et leur donner encore beaucoup plus d importance  car c est bien ça qu ils veulent - Que ça se sache - Que l on voit. Il faut les priver de cette jouissance que leur procure le fait de savoir qu elle sont diffusées.

     Continuez Messieurs les gouvernants  à les laisser entrer dans notre pays...... continuez à laissez la gangrène s installer...... Vous n avez pas encore tout compris, ou vous comprenez trop tard, ou vous ne voulez pas comprendre...... Mais la menace est là........ La Guerre frappe à notre porte, mais soyons rassurez, M. cazaneuve n a pas peur et nos politiques non plus, ils sont bien au chaud ou à l abri de tout enlèvement.

                  AVOIR ARMÉ ET FINANCÉ LA RÉBELLION SIGNE NOTRE PERTE  

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     Le 23 septembre 2014

     Une probable guerre mondiale et civilisationnelle de longue haleine. Dont une fois de plus la France éternelle sera un des champs de batailles centraux.

     L’égorgement sera long, ignoble et rouge. La vidéo sera tremblante, la voix du commentateur baissera d’un cran. Puis, une fin d’après-midi bondée ou un matin assassin, sans doute parisien, les jambes éparpillées inonderont le sol d’un métro, les troncs seront plantés dans la carcasse fumante d’un RER.

     Il y aura ces cris insupportables, ces existences basculées, ces amours crucifiées. Un ministre viendra et martèlera « Plus jamais ça ». Qui sait, une marche blanche défilera entre deux saignées d’agneaux… Le principal mot d’ordre sera « Surtout pas d’amalgame », parce que Daech, pardon l’islam, pardon la religion musulmane « n’est que paix et amour ».

     Comment éviter l’inévitable ? L’enlèvement, ce lundi, d’un Français en Algérie, revendiqué par les islamistes, n’est pourtant que le début d’une sinistre aventure. Une probable guerre mondiale et civilisationnelle de longue haleine. Dont, une fois de plus, la France éternelle sera un des champs de batailles centraux.

     Nos services de renseignement, réputés très performants, auront beau faire : notre territoire est gavé de ces soldats fous du futur, qui choisiront le sacrifice au nom de leur cause, plutôt qu’une vie sur le canapé à mater Canal.

     Dans les troupes des égorgeurs, il y aura des Français de souche aussi, des jeunes femmes blondes aux yeux bleus, celles qu’on croise de plus en plus souvent à la sortie des écoles, car les convertis sont les plus zélés. Impossible de nier : l’immense entité islamique étend ses tentacules au plus profond de nos entrailles.

     Dans les lycées, dans les collèges. Les témoignages des policiers et des éducateurs sont effarants. La presse régionale elle-même relate au compte-gouttes. Le monstre bave son idéal coranique à peu de frais.

     Ce n’est pas la République finissante, ce ne sont pas les profs humanistes et dépassés qui pourront lutter. Des hussards verts frais et tenaces, joyeusement ignares, font face à une armée de fins de race mijotant dans une soupe post-culturelle. L’assaut va faire du dégât.

     Avant le Waterloo médiatico-politique qui se profile, il y a la morne plaine du Web. Sur Facebook, dans tous les forums de discussion, véritables bistrots de l’ère numérique, les Français de culture musulmane jouent une partition bien connue : « L’islam, ce n’est pas ça. »

     Tandis qu’une partie d’entre eux, souvent des racailles écervelées, se réjouissent du massacre à venir. En gros, vous les Occidentaux, vous avez mérité ce qui vous arrive. Et on ressort la machinerie à complot, bien pratique pour justifier les coups de sabre et les viols en série. De son côté, Libération, qui avait titré en une « Tuez les sales Français » a finalement opté, ce mardi, pour « La France ciblée ».
      Ce revirement peu commun témoigne d’une fébrilité compréhensible. Les digues vont tomber, les arguments s’effondrer, les positions vont se redéfinir. D’un côté nous, de l’autre eux.


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« La France n’a pas peur ! »… Qui vous permet, M. Cazeneuve, de parler en mon nom ?

     Le 23 septembre 2014

     Ma peur n'a pas pour origine exclusive le fanatique musulman, mais son complice objectif, le fanatique occidental multiculturaliste et anti-raciste.

     J’ignore ce qui permet à M. Cazeneuve d’affirmer que « La France n’a pas peur », s’il parle en son nom, si les membres du gouvernement n’ont « pas peur », si l’intégralité de la population « n’a pas peur » alors que des individus en Syrie appellent à cibler et tuer « de n’importe quelle manière surtout les méchants et impurs Français ». Je dirais que si « la France n’avait pas peur », elle ne s’évertuerait sans doute pas à combler dans l’urgence (en même temps que la plupart des autres pays européens) un certain nombre de vides juridiques en prévision du retour de ses « chances pour la France » de Syrie, du plastic plein les poches, des balles plein les barillets et de la haine plein la cervelle.

     Depuis longtemps, j’éprouve une certaine crainte, voire de la peur : je vous interdis donc, M. Cazeneuve, de parler en mon nom. À moi de me montrer fort et de la surmonter le cas échéant, ce que je veux bien faire main dans la main avec vous, M. Cazeneuve, et pour la France, mais ne la niez pas en mon nom.

     Je préciserai toutefois que ma peur n’a pas pour origine exclusive le fanatique musulman, mais son complice objectif, le fanatique occidental multiculturaliste et anti-raciste : foule de ministres et d’intellectuels européens.

     Edwy Plenel, qui est à l’intelligence du débat ce que le sabot est à la circulation automobile, défend ainsi bec et ongles les pauvres jeunes musulmans poussés au djihad par l’accumulation de milliers petites humiliations quotidiennes que leur infligerait une société française raciste. L’Europe retient son souffle : même pas peur ! clament ses ministres.

     Lorsque Alain Finkielkraut, au cours du premier débat post conférence de presse de Hollande, ose évoquer l’idée d’une faillite de l’intégration concernant ces « explosives » questions, (au centre également des préoccupations de l’essayiste Malika Sorel trop souvent oubliée), il semble immédiatement recadré par l’amicale politico-médiatique du Club du Siècle présente sur le plateau (notamment Pujadas ou Kosciusko-Morizet ce soir-là).

     Le PS n’étant bien sûr pas en reste… Il ne fait nul doute à mes yeux que l’escroquerie multiculturelle est à l’origine de l’épidémie djihadiste actuelle : mêmes causes, mêmes effets — entendre même punition — pour l’ensemble des autres pays européens. Du nord au sud, d’est en ouest de l’Europe, les preuves, les signes « éclatants » et limpides pleuvent quant à la nature exacte de cette erreur.

     Le plus infiniment triste est qu’elle semble le fait de politiques paresseux, pleutres, carriéristes, lâches. Je dis « semble » car c’est mon « ressenti ».

     Nous avons l’exemple aux Pays-Bas de deux approches résolument contraires, affichées par les maires de deux grandes villes : Amsterdam et Rotterdam. Voici leurs déclarations respectives et récentes.

     Le maire d’Amsterdam, Eberhard van der Laan, vient ainsi de déclarer qu’il « n’est pas bon d’exiger des musulmans néerlandais qu’ils prennent leurs distances avec les pratiques de terroristes de l’Etat Islamique. Ce faisant, on les enferme dans une case (…) et personne ne veut cela. » Du côté de Rotterdam en revanche, la maire déclara il y a deux semaines déjà que « les musulmans ne soutenant pas l’Etat islamique devraient se faire entendre plus souvent ».

      Le nom du maire de Rotterdam ? Ahmed Aboutaleb. Je vous laisse savourer et je lève mon verre à Chamberlain (d’Amsterdam bien sûr).

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L’Occident, s’il refuse de s’incliner devant la barbarie, doit mener une guerre sans merci…

     Le 23 septembre 2014

     Le pire est devant nous.

     Les djihadistes de l’État islamique ont plus d’un point commun avec les nazis. Comme ceux-ci, porteurs d’un message de haine et de mort, ils disent ce qu’ils feront, et ils font comme ils ont dit. Ne s’en étonnent que ceux qui, depuis des années, ne veulent rien entendre, rien voir et rien savoir.
Jeté à la face du monde par le nommé, ou surnommé, Abou Mohammed al-Adnani, l’appel au meurtre, partout où ils se trouvent, et par tous les moyens, des ressortissants des États-Unis et de la France a été immédiatement suivi d’un sinistre commencement d’exécution. À l’heure où ces lignes sont écrites, la vie du malheureux Hervé Gourdel ne tient plus, littéralement, qu’à un fil. Et la prise d’otage perpétrée par des tueurs du gang algérien, jusqu’ici inconnu, des Djounoud al-Khalifa, n’est peut-être que la première de la sanglante série que des criminels rêvent d’inscrire dans le Grand Livre de leur Histoire.

     Il ne servirait à rien de chercher à biaiser avec la réalité. Regardons les choses en face. L’armée des fous de Dieu n’a pas de problèmes de recrutement et d’effectifs. Elle trouvera sans nul doute, aussi bien parmi ceux qui rêvent de rejoindre ses rangs au Moyen-Orient que parmi ceux qui en reviennent, des volontaires de la mort – la leur et celle des autres. Le pire est devant nous.

     Il serait absurde, pour autant, de tomber dans je ne sais quelle crainte obsessionnelle et hystérique d’une vague d’enlèvements et d’attentats de nature à mettre en péril les États et les sociétés qui ont engagé et poursuivent la lutte contre l’épidémie dont le foyer le plus actif se situe aujourd’hui entre Irak et Syrie mais dont les métastases se sont étendues à l’Afrique et à l’Europe. Le risque de contagion ne date pas d’hier et si le nombre de cas déclarés n’est pas plus important, c’est que les mesures de prévention et de prophylaxie prises dans le monde entier ont fait preuve d’une efficacité certaine.

      La tragédie du 11 septembre remonte maintenant à treize ans et, malgré les opérations qu’ils ont réalisées à Madrid, à Londres ou ailleurs, les bandits islamistes n’ont jamais réussi à renouveler leur exploit de 2001.

     Cela dit, il est plus que probable que la France et les États-Unis soient confrontés, dans les jours et les mois qui viennent, à des crimes et à des chantages de la même nature que ceux dont vient d’être victime le randonneur niçois fourvoyé en Algérie. Quelle attitude adopter face à ce défi ?
Céder, négocier, payer, comme nous le faisons depuis des années tout en prétendant le contraire ?
     Comment ne pas comprendre les faiblesses et les compromissions qu’ont pu inspirer, dans le passé aux uns et aux autres, des considérations humanitaires ? Mais comment ne pas constater qu’elles n’ont fait qu’encourager le retour, en plein XXIe siècle, des mœurs barbaresques et alimenter le trésor de guerre du crime organisé au nom de Dieu ?

     Les parents et les proches d’une victime de kidnapping et cette victime elle-même sont presque toujours enclins à accepter les conditions des ravisseurs, si dures soient-elles, à payer une rançon, à se plier à d’autres exigences, si exorbitantes qu’elles soient. C’est une réaction naturelle. Captif des Brigades rouges et menacé de mort, l’ancien Premier ministre italien Aldo Moro supplia ses camarades démocrates-chrétiens de négocier avec ses geôliers.
     En vain. Ses amis (qui étaient de faux amis, mais c’est une autre histoire) ne manquèrent pas de lui faire observer qu’il avait condamné ce genre de capitulation lorsqu’il était encore un homme libre. Sacrifié à l’intérêt public, Aldo Moro fut donc assassiné au nom de la Révolution. Ce meurtre de sang-froid marqua le début du déclin de l’organisation révolutionnaire.

     Impitoyable, la raison d’État ignore celles du cœur. Le salut de la collectivité importe plus que la vie d’un individu.

     La guerre qu’ont déclarée l’État islamique et Al-Qaïda au reste du monde est une guerre totale. Cette guerre ignore les frontières, le droit, l’humanité. Elle ne distingue pas entre civils et militaires, entre hommes et femmes, entre adultes et enfants, entre responsables et innocents. Elle ne se terminera que par la défaite d’un des deux camps qu’elle oppose.

     L’Occident, sortant de sa torpeur, prend tardivement conscience de ce qui est en jeu : sa survie et celle de la civilisation. S’il refuse de s’incliner devant la barbarie, il doit mener lui aussi une guerre sans merci, il doit assumer ses actes et leurs conséquences.
     C’est ce que le président Obama semble enfin avoir compris, tandis que le président français s’accroche à cette fiction qu’il n’y aurait pas de base légale à une intervention en Syrie (pourtant souhaitée par le gouvernement syrien) et persiste à ne pas distinguer entre Bachar el-Assad et le calife des têtes coupées.

     Trêve d’enfantillages et de minauderies. Le refus de traiter avec les preneurs d’otages (aux dépens d’une vie humaine), la décision de faire barrage aux entreprises et aux offensives de l’État islamique n’ont de sens et de justification que si nous menons désormais la guerre – pour l’appeler par son nom – sur tous les fronts, par tous les moyens, et sans récuser aucun allié.