Quand NVB autorise le voile
dans l’espace public
LA PETITE INTRODUCTION DE BBR
Il y a tellement de chose qui nous dépasse, que celle en fait partie, et une fois encore la spécialité du gouvernement est de faire des marches arrières.
Le voile n a t il pas été interdit ? Le revoilà de retour, acceptée, permis, autorisée, une nouvelle provocation.
Si ces dames qui veulent porter le voile veulent suivre les coutumes du pays de leurs ancêtres qu elles retournent là-bas, qu elles se voilent, qu elle se cachent tout, on s en tape, mais ici nous sommes en France, et le moins qu elles puissent faire c est de LA RESPECTER.
Et si dame belkacem veut le porter aussi, qu elle aille au Maroc. Mme Théorie du genre, n a pas fini de nous surprendre, je me demande bien et beaucoup se posent la même question quel enseignement pour nos enfants.
Madame va dans la rapide ascension, belle promotion que d être Ministre de l Education Nationale à son âge, je doute qu elle est l expérience que l on réclame en général pour avoir ce niveau, ni les qualités nécessaires pour exercer le sommet de ce ministère.
Le port du voile n est pas acceptés par la plus grande majorité des Français mais une fois encore on se fou de ce qu ils disent. Tel hollande, le gouvernement fait aussi ce qu il veut, et chaque ministre aussi dans son domaine. Peut importe si nous sommes ou pas satisfait, si nous sommes d accord ou pas avec leurs décisions. On s étonne que les Français grondent, on s étonne que plus rien ne va.
Notre Ministre de l Education Nationale autorise en France, alors que dans son pays d origine bien des choses sont interdites aux Français mais dont elle ne parle jamais. Pouvons nous entrer dans une mosquée en chaussures. Non il faut respecter.
Et la femme de cet élu socialiste qui était reparti en Tunisie où il est né et qui s est fait tabasser par un groupe Islamiste qui passait par là, qui a vu sa femme et sa fille en short. Non il ne faut pas en parler Madame belkacem.
Jusqu’à quand allons nous subir les lois, les us et coutumes de ces gens qu on accueille en France, à qui on accorde tout ce qu ils demandent, à qui on accorde de nombreux avantages ?
Jusqu à quand nous aurons des membres du gouvernement qui accepteront la tolérance chez nous alors qu elle est refusée dans ces pays du Maghreb ?
Quand je vois dans un supermarché, dans la rue, une femme harnachée avec sa burka, sa grille devant le visage, la rendant méconnaissable , il me vient la haine, car je me demande si je vis bien en France, dans mon pays.
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Le 24 octobre 2014
La bi-nationale Najat Belkcacem vient de cracher le morceau : les parents des élèves en sorties scolaires ne sont pas soumis à la neutralité religieuse.
En conséquence, sauf exception, il n’est plus admis de leur opposer un refus. De quelles exceptions s’agit-il ? D’après le ministre de l’Éducation nationale, il s’agit de « situations particulières », liées par exemple au prosélytisme religieux. Et le port du voile ou de la burqa n’en ferait pas partie ?
Moins d’un an après la publication de la « Charte de la laïcité » dans les établissement scolaires – dont aucun des 15 volets ne statuait, de manière fort maligne, sur le port de signes religieux pour les personnes accompagnatrices – et dix mois après la loi votée à Bruxelles, qui était censée clore ce chapitre en confirmant la loi française de 2010 – laquelle élargissait l’interdiction aux espaces publics par rapport à la loi de 2004 (qui ne concernait que les espaces scolaires) –, la décision assumée de madame Belkacem entérine définitivement l’autorisation de s’afficher partout en accoutrement religieux.
Quand 81 % des Français plébiscitent les lois de 2004, de 2010 et de 2014, les ordres du gouvernement allant à leur encontre sonnent comme une véritable provocation, sinon le glas.
Sous le grondement de la pression islamique, toutes les digues sont donc en train de céder. Pour preuve encore, la réaction d’Esther Benbassa, sénatrice tri-nationale – française, turque et israélienne
– à propos d’une touriste du Golfe drapée dans une burqa, aimablement évincée lors de la représentation de La Traviata, donnée à l’Opéra Bastille, ce 3 octobre. L’établissement aurait suivi la loi de 2010 – « de manière bien tatillonne ».
La tri-nationalité d’une sénatrice l’autoriserait-elle à faire prévaloir les us et coutumes en vigueur dans l’un de ses pays d’origine ? Qui plus est concernant la Turquie, un pays dirigé par un islamo-conservateur notoire ? Bi ou tri-nationalité n’entraînent-elles pas des conflits d’intérêts majeurs qui devraient amener à exiger la démission des personnes incriminées ?
L’acharnement de ces élues – une ministre franco-marocaine et une sénatrice française, turque et israélienne à l’encontre des lois pourtant votées par la France et l’Europe – est inversement proportionnel à l’intérêt qu’elles portent à l’intolérance et aux discriminations dans l’un ou l’autre de leurs pays d’origine.
Le sort de monsieur Al Biladi, Marocain, ex-musulman, converti au christianisme (et qui risque 3 ans de prison, selon le Code pénal marocain) et condamné – par dénonciation – en septembre 2014, en première instance, à deux ans et demi de prison parce que soupçonné d’avoir « ébranlé la foi d’un musulman », préoccupe fort peu notre ministre franco-marocaine.
Qu’une ministre de la Famille et de la Femme, en Turquie, qualifie l’homosexualité de « maladie devant être soignée » ne parle pas davantage à notre sénatrice turque ayant promu le mariage gay en France.
Alors, aujourd’hui, nous devons nous asseoir à côté de voiles, de burqas et, pourquoi pas, de barbus en kamis. Mais si, demain, voiles, burqas et autres kamis… ne voulaient plus s’asseoir à côté de nous ? That is the question.
En conséquence, sauf exception, il n’est plus admis de leur opposer un refus. De quelles exceptions s’agit-il ? D’après le ministre de l’Éducation nationale, il s’agit de « situations particulières », liées par exemple au prosélytisme religieux. Et le port du voile ou de la burqa n’en ferait pas partie ?
Moins d’un an après la publication de la « Charte de la laïcité » dans les établissement scolaires – dont aucun des 15 volets ne statuait, de manière fort maligne, sur le port de signes religieux pour les personnes accompagnatrices – et dix mois après la loi votée à Bruxelles, qui était censée clore ce chapitre en confirmant la loi française de 2010 – laquelle élargissait l’interdiction aux espaces publics par rapport à la loi de 2004 (qui ne concernait que les espaces scolaires) –, la décision assumée de madame Belkacem entérine définitivement l’autorisation de s’afficher partout en accoutrement religieux.
Quand 81 % des Français plébiscitent les lois de 2004, de 2010 et de 2014, les ordres du gouvernement allant à leur encontre sonnent comme une véritable provocation, sinon le glas.
Sous le grondement de la pression islamique, toutes les digues sont donc en train de céder. Pour preuve encore, la réaction d’Esther Benbassa, sénatrice tri-nationale – française, turque et israélienne
– à propos d’une touriste du Golfe drapée dans une burqa, aimablement évincée lors de la représentation de La Traviata, donnée à l’Opéra Bastille, ce 3 octobre. L’établissement aurait suivi la loi de 2010 – « de manière bien tatillonne ».
La tri-nationalité d’une sénatrice l’autoriserait-elle à faire prévaloir les us et coutumes en vigueur dans l’un de ses pays d’origine ? Qui plus est concernant la Turquie, un pays dirigé par un islamo-conservateur notoire ? Bi ou tri-nationalité n’entraînent-elles pas des conflits d’intérêts majeurs qui devraient amener à exiger la démission des personnes incriminées ?
L’acharnement de ces élues – une ministre franco-marocaine et une sénatrice française, turque et israélienne à l’encontre des lois pourtant votées par la France et l’Europe – est inversement proportionnel à l’intérêt qu’elles portent à l’intolérance et aux discriminations dans l’un ou l’autre de leurs pays d’origine.
Le sort de monsieur Al Biladi, Marocain, ex-musulman, converti au christianisme (et qui risque 3 ans de prison, selon le Code pénal marocain) et condamné – par dénonciation – en septembre 2014, en première instance, à deux ans et demi de prison parce que soupçonné d’avoir « ébranlé la foi d’un musulman », préoccupe fort peu notre ministre franco-marocaine.
Qu’une ministre de la Famille et de la Femme, en Turquie, qualifie l’homosexualité de « maladie devant être soignée » ne parle pas davantage à notre sénatrice turque ayant promu le mariage gay en France.
Alors, aujourd’hui, nous devons nous asseoir à côté de voiles, de burqas et, pourquoi pas, de barbus en kamis. Mais si, demain, voiles, burqas et autres kamis… ne voulaient plus s’asseoir à côté de nous ? That is the question.