LA FRANCE QUE NOUS VOULONS !
LA FRANCE QUE NOUS NE VOULONS PLUS !
LA PETITE INTRODUCTION DE BBR
Les images parlent d elles mêmes - On sent le sourire forcée de cette homme qui croit encore à sa réélection en 2017. C est pourquoi j ai voulu me les mettre en suivant.
Les deux articles que je vous propose vous permettront de juger par vous même.
Comment un homme qui a fait couler la FRANCE aussi bas, peut il encore oser prétendre être réélu. Les Français seraient ils assez fou pour ne pas avoir compris ? Seraient ils assez fou pour en demander encore comme cela avait été fait avec son père mitterrand ?
La France a besoin d un homme ou femme PROVIDENTIEL, MAIS INTÈGRE, cherchant avant tout à relever la France qui en a grand besoin avant de rechercher son propre intérêt.
Mais cela est il encore possible de nos jours ?
Il semble qu avec toutes les promesses que nous entendons à l approche des élections nous allons faire le bon choix, mais non..... c est une toujours une suite de déceptions, de constatations de mensonges, de promesses incapables à être tenues, des promesses bidons - DU VENT.
Les années passent à la vitesse grand V, les présidents se succèdent (surtout dans l UMPS) mais rien ne change bien contraire tout est devenu pire, les trous se creusent, les déficits aussi, le chômage continuent de grimper, notre sécu bat de l aile et veut de moins en moins rembourser nos soins (sauf pour certains privilégiés) tous les chiffres ont atteints des records de chute, y compris l impopularité de l incapable en image.
Un homme têtu, borné, ne se s écoutant que lui, voulant poursuivre sa politique, son cap avec sa boite à outils vide, malgré tous les échecs visibles et constatés même dans son propre camp
La problématique vient du fait que plus personne ne sait pour qui voter, qui élire, qui pour le remplacer sachant que l abstentionnisme à pris de l ampleur et que plus personne ne fait confiance aux politiques car tous aussi menteurs les uns que les autres, tous aussi escroc, tous profiteurs, et pas un pour racheter l autre.
Les faux frères ennemis s entendent très bien pour foutre notre pays en l air et nous avec
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Le 27 décembre 2014
Un projet pour Boulevard Voltaire.
À l’UMP, on n’a pas d’idées, mais des
candidats. Au FN, on des idées mais peu de cadres. Au PS, on n’a plus
rien. Le paysage politique français ressemble de plus en plus à un vaste
terrain vague sur lequel, en 2017 et les années suivantes, il faudra
bien rebâtir une maison commune qui s’écroule par pans entiers.
Pourtant, des idées, la France d’en bas n’en manque pas. À l’UMP et ses amis, il suffirait de créer un shadow cabinet à l’anglaise, et d’user de sa majorité au Sénat pour y faire voter, dès maintenant, quelques textes fondamentaux qui auraient le mérite d’être discutés et prêts avant les échéances électorales.
Au Front national, outre la formation accélérée de cadres, il faudrait dès maintenant étudier la possibilité, en cas de victoire à la présidentielle sans majorité à l’Assemblée, de réformer le pays en profondeur à l’aide de quelques référendums qui, proposés dès le second semestre de 2017, redonneraient la parole au peuple pour forcer la main à des parlementaires plus soucieux de politiquement correct que de l’avenir du pays.
Dans l’ordre externe, indépendance de la France par rapport à ses partenaires européens et primat du droit interne sur le droit international. Dans l’ordre interne, démocratie directe, liberté d’expression, réforme fiscale, réduction des pouvoirs du Conseil constitutionnel désormais empêché de faire obstacle au législateur, obligation de recourir au référendum pour toute modification constitutionnelle, priorité nationale, réforme scolaire, etc.
Tout cela ne pourra s’envisager qu’à condition que renaisse en France un vaste mouvement de cohésion, de fierté nationale et de sain patriotisme. Mouvement qui ne naîtra pas des cogitations stériles de bureaux politiques, mais d’une société civile enfin convaincue que l’heure est venue de reprendre en main son destin. Parce que les partis politiques souffrent d’un mal incurable : l’absence d’anthropologie. Leur vision de l’Homme est inexistante. Seul leur importe l’individu roi, dont les hommes de bonne volonté voient désormais le résultat : une société déshumanisée.
Quand on lit ici ou là que Sarkozy doit mener des réformes au sein de son parti ou, dans un genre différent, La droite que nous voulons de Sens commun ; quand les pseudo-élites n’ont à la bouche que les pseudo-valeurs de la République ; quand le terrorisme intellectuel empêche non seulement les propositions, mais encore les constats, il faut que germe et lève en France un projet national : La France que nous voulons.
La France que nous voulons doit être une réflexion, un bouillonnement, une vaste boîte à idées, un rassemblement de bonnes volontés, sous l’égide d’un homme ou d’une femme au caractère fort, indépendant, sans exclusive politicienne, et dépourvu d’ambition nationale, qui saura collecter cette nouvelle forme de cahiers de doléances, s’entourer de quelques têtes bien faites, s’adjoindre une plume alerte, et proposer un manifeste. Libre à chacun, quelle que soit sa sensibilité politique, d’y adhérer ensuite avant qu’il soit rendu public.
La France que nous voulons doit servir de fil conducteur au vaste chantier de reconstruction de notre pays. Ce projet fédérateur inspiré par l’ancestrale tradition du retour au peuple doit être mis en œuvre dès maintenant s’il veut être incontournable début 2017.
Par son audience nationale et sa diffusion numérique, Boulevard Voltaire peut servir de point de départ à cette initiative, avec d’autres médias libres. En imaginant la manière dont mettre en œuvre ce projet, en proposant une ou plusieurs personnalités indépendantes, en lui passant ensuite la main tout en restant un relais médiatique quotidien, ce site accomplira un pas supplémentaire dans l’esprit qui est le sien : libérer la parole, permettre la libre confrontation des idées et contribuer au renouvellement de la vie publique.
On s’y met
François Hollande plus optimiste que jamais pour 2017
En un an, le chômage
aura donc progressé de 5,4 %. Un chiffre noir qui vient contrebalancer
les prévisions de l’Insee, plus optimistes que prévu, sur la croissance.
Le chef de l’État, qui reste impopulaire et critiqué, se projette
cependant dans le «match» de 2017 malgré les épreuves.
«Ma capacité à tenir, à avancer, est maintenant démontrée. Les Français l’ont vu.» Et le président d’ajouter: «On sait que je suis là. De toute manière, je serai là.»
Car si ces nuages noirs ont de quoi plomber cette fin 2014 et
hypothéquer l’année qui vient, le président semble plus optimiste et
résolu que jamais. La semaine dernière, il avait déjà regonflé à bloc
les sénateurs PS, en les appelant à se mobiliser pour les prochains
combats électoraux. En marge de sa visite à Saint-Pierre-et-Miquelon, le
chef de l’État s’est montré tout aussi guerrier: «Il faut se battre, on
se bat», a-t-il confié mardi soir, à la résidence du préfet. [...]
Ceux qui doutaient de sa détermination à se représenter, ou à tout mettre en œuvre pour rendre possible une candidature en 2017, en seront pour leurs frais.
Depuis quelques semaines, Hollande est reparti en campagne, multipliant les déplacements de terrain et les échanges avec des élus de sa majorité ou des Français.
Il a également changé de registre, y compris sémantique, se voulant plus proche des gens, et multiplie les signaux à l’intention de son électorat. «Ce n’est pas le même contexte, assume-t-il. On se rapproche de 2017. On est dans la conquête, la dynamique, le mouvement. »
Bien dit BBR - La seule chose dont je sois sure, c est que je ne veux plus de cet imbécile de pustule de tulle, que je ne veux ni de l homme au karcher, ni du duc de bordeaux, ni d un nouveau UMPS, ils me sortent tous des yeux, des orbites, des oreilles et même du nez et je vais rester polie.
RépondreSupprimerNous aurons à prendre des précautions lorsque nous découvrirons les candidats en 2017, et il nous appartiendra de faire vraiment le bon choix si nous ne voulons pas repartir dans ces travers pendant 5 longues années, si nous ne sommes pas parvenu a jeter la pustule avant la fin de son mandat bien entendu.
La Normande
Et le pire c est que nous ne savons même plus à qui bénéficie l abstention, de cela aussi il faudra se méfier.
RépondreSupprimerMême de ce coté là, nous connaissons la déchéance, en plus de la descente aux enfers dans laquelle ils nous entrainent. Nous avons les mêmes têtes d affreux.
C est vrai que si tout le peuple acceptait de ne plus payer les impôts, nous les tiendrions par les couilles, c est à dire ce à quoi ils tiennent le plus ( Je ne parle pas des couilles, ils en ont pas) je parle du fric.
Nicole PLEY
Une super annonce photo - Trop cool BBR
RépondreSupprimerHihihiih Nicole, vous avez entièrement raison, ils n ont rien, ni dans le slip, ni dans le pantalon, juste quelques poches qu ils emplissent avec nos billets.
J ai déjà annoncé la couleur, même avec une droite qui se veut raisonnable avec encore et toujours des belles paroles que je ne crois plus, je ne voterai pour aucun UMPS.
C est mon dernier mot BBR.
Nathalie
Oui BBR, toute la difficulté réside là, pour qui allons nous voter en 2017 .Oui Nathalie, il n est pas question je mettre mon bulletin dans l urne pour un candidat UMPS aussi souriant soit il. Ça sonne déjà faux. Il pue tous.
RépondreSupprimerZ@vor
Il n y a pas 50 façons de vouloir la France. On veut une France Digne, un gouvernement qui respecte le peuple, qui arrête de l accabler d impôts et de taxes en réclamant des efforts, à ceux qui travaillent, aux retraités.
RépondreSupprimerOui nous savons ce que nous voulons, on veut un homme ou une femme qui ne cherche pas son propre intérêt, qui prendra notre défense, prendra les bonnes décisions, sera à notre écoute, nous voulons aussi une vrai justice, nous ne voulons pas des quantités de choses, nous voulons la qualité.
Pas besoin d avoir 577 députés 350 sénateurs et 40 ministres mauvais, il vaut mieux 100 députés 50 sénateurs et 10 ministres utiles et compétents.
Nous avons besoin de replacer des référendums pour toutes les décisions importantes ET CE SANS TRICHE, SANS MAGOUILLE.
Nous aurons besoin de prendre nos ministres à l essai, nous aurons besoin du détecteur de mensonges, bien sur que nous savons ce que nous voulons. Moi je le sais.
Jean BOUVARD
"Nos élites politiques,économiques,administratives,médiatiques,intellectuelles,artistiques crachent sur sa tombe et piétinent son cadavre fumant.Elles en tirent gratification sociale et financière.Toutes observent,goguenardes et faussement affectées,la France qu'on abat;et écrivent d'un air las et dédaigneux,"les dernières pages de l'Histoire de France".dit Éric Zemmour à la fin de son livre "Le suicide Français".
RépondreSupprimerComment ne pas être d'accord avec son analyse!!et ils se battent tous toutes tendances confondues pour le condamner,pour le censurer!!!
Amis du blogue,nous avons le bon sens pour nous,preuve en est que nous avons couché sur papier toutes nos doléances,mais preuve en est aussi que toutes nos zélites n'en ont rien affaire préférant obéir à leurs maîtres via les puissants lobbies!!!
Nous avons tout dit dans notre manifeste,nous avons apporté des solutions,nous avons établi la France que nous voulions et éliminé tous ceux qui voulaient enterrer notre France ,ses valeurs son prestige, mais ce qu'il nous manque c'est une force coordinatrice qui nous permettrait de faire poids et de peser!!!!
Ce temps viendra mes amis,encore une fois leur arrogance les perdra!!!
Que 2015 nous apporte ce Chef patriote et que vive la France et son peuple.
Fleur de lys.
La France a-t-elle la classe politique de réformer le pays ?
RépondreSupprimerEn regardant le triste panorama politique français, on ne peut que se demander si le pays est réformable sans une modification profonde de sa classe politique qui souffre de deux maux fondamentaux : une surabondance de parlementaires qui conduit à la surenchère permanente et à l’immobilisme.
Pour remédier à ces deux maux, deux mesures, qui ont fait leurs preuves ailleurs, pourraient amener un changement profond.
La première mesure à prendre est de réduire drastiquement le nombre de députés et de sénateurs.
La seconde mesure est de contraindre les fonctionnaires et autres agents publics de démissionner s’ils sont élus, sans évidemment aucun retour automatique dans leur corps d’origine. Compte tenu du courage et de l’esprit aventurier de cette population, gageons que cela fera fondre sa représentation au parlement.
La France est entrée dans une phase de longue, très longue stagnation. La sortir de cette ornière n’est probablement pas une question d’années mais de décennies. Le pays n’a pas la classe politique capable de tirer la France hors de la boue et nous avons besoin d’un futur président qui commencera par réformer la classe politique pour mener à bien des réformes dures mais indispensables.
Notre problème est de savoir qui aujourd’hui, pourrait faire l’affaire. Autrement dit : j’ai écrits pour rien, je n’apporte aucune réponse, mais n’est-ce pas cela, faire de la politique ?
@
Non @ la France n a ni la personne capable de mener à bien cette reforme ni les moyens. Aucun politique ne voudra reformer le système, aucun ne voudra supprimer le nombre de députés et de sénateurs comme le dit haut et Fort BBR dans de nombreux articles qu il a publié, aucun politique n acceptera qu on lui retire ses avantages, les lois ils les votent pour eux.
SupprimerIl continueront d entrainer la France au plus bas Niveau qui puisse exister, peut être même seront ils capables de la vendre, comme on vend une baguette de pain.
Il n y a que l argent qui compte et le fait qu ils continuent à créer d autres impôts d autres taxes et que nous continuons de payer même en râlant leur donne du poids.
Comme pour les enfants, ils nous, poussent poussent dans nos nerfs pour savoir jusqu où ils peuvent aller, pour ensuite donner un peu de lest et repartir comme en 40.
Plus que du dégout, ils me donnent envie de vomir à chaque vois que je les vois ou les entends.
Olivier TREQUEL
Vous avez raison Olivier, ils savent bien s arranger, et se foutent bien que ça nous dérange.
SupprimerIls sont dans leur monde, ils ne voient qu eux, ne pensent qu à eux, ne vivent que pour eux et si un petit truc les titilles, ils remuent la queue, ils reniflent et cherchent à savoir pourquoi ils ont une petite merde qui les gêne et qui n arrive pas à sortir.
Ils ont tous cette facilité (qu ils ont du apprendre à l ENA), celle de nous soutirer de l argent, celle que l on ne puisse pas toucher à tous leurs avantages en commençant par leur poste de députés ou de sénateurs.
Il faut une révolution pour pourvoir supprimer tout ça, une vrai révolution et le jour ou elle se fera, beaucoup de choses changeront. Comment est née LA RÉPUBLIQUE ?
Alice
Comment tout cela a t il pu changer à ce point ? Comment en sommes nous arriver là ?
RépondreSupprimerQuand je repense au Général De Gaulle qui régler quelques unes de ses factures, et que maintenant ils nous prennent tout même les dirigeants syndicaux s y mettent, s ils pouvaient prendre nos slips ils les prendraient aussi.
Nous sommes vraiment dans l incompréhensible, le plus total......., ils vont faire quoi de leur fric pourri, se le mettre dans le cul, l emmener dans leur tombe pour que les vers aient encore plus à manger, ou à l incinération pour qu il brule avec eux.
C est sur et certain qu ils ne vont pas changer tout ça. Alice à raison mis à part UNE RÉVOLUTION les choses resteront en l état et nous subirons leur dictature avantageuse pour eux, jusqu à ce qu il y en ai une.
En attendant l UMPS n aura jamais ma voix.
André BERGERAC
Au risque de me répéter, je prétends que nos bulletins de vote ne suffiront pas à rendre à la France son intégrité, sa souveraineté, sa culture, son économie.
RépondreSupprimerLa classe politique qui se passe le relai tous les 5 ans n'est capable de satisfaire qu'elle même.
Sans un sursaut patriotique, rien ne sera possible.
L'Indien.