PRÉNOM THIERRY
CGT
Révélation sur l'étrange
«prime de départ» négociée par
Thierry Lepaon
Lepaon a négocié en 2013 une rupture conventionnelle de contrat en quittant le comité régional CGT de Basse-Normandie. Quelques semaines plus tard, il succédait à Bernard Thibault à la tête du syndicat. AFP/Bertrand Guay
LA PETITE INTRODUCTION DE BBR
Le successeur de Bernard Thibaut, une belle image du syndicalisme, proche des ouvriers, prêt à se sacrifier pour eux, comme le MARTIN de Florange qui voulait tout casser dont l usine à néanmoins fermer mais qui ...... ouvrir le lien
http://pourquinousprendton.blogspot.fr/2013/12/edouard-martin-cfdt-le-nouveau-leche-du_20.html
ou comme le CHEREQUE
http://pourquinousprendton.blogspot.fr/2013/12/syndicat-chereque-cfdt-recompense-par.html
qui se sont prostitués pour obtenir du gouvernement des postes de choix.
LE PAON fait tourner la roue de la fortune , pour un pauvre syndicaliste il faut bien reconnaitre qu il a des goûts de luxe.
Mais n est ce pas le goût de tous nos dirigeants de syndicats, d avoir des goûts de luxe et mener la vie de château - Je suis sur que l ouverture de ce lien va vous plaire
http://pourquinousprendton.blogspot.fr/2013/12/la-vie-de-chateau-des-grosses-tetes-des.html
Alors vous comprenez tout maintenant --- impossibilité d avoir confiance en notre président, en son gouvernement, à tous les politiques, mais aussi à ceux qui sont censés aider les travailleurs, les soutenir ( ils ont du confondre avec les soutirer)
Je persiste à dire que s il fut un temps où les syndicats avaient leurs utilités, ils sont devenus depuis absolument inutiles, et surtout lorsque le pouvoir se situe à gauche.
Vous n avez qu à observer le nombre de mouvements, le nombre de manifestations auxquelles ils font participer les travailleurs mécontents, ils ne sont même pas foutus de s entendre et être du même avis, aussi chacun fait sa petite grève dans son coin, ne risquant pas d affoler nos dirigeants politiques alors que rien ne va.
VALLS peut dormir tranquille sur ses deux oreilles, CAZENEUVE aussi -
-----ooo0ooo-----
Les tourments de Thierry Lepaon sont loin d'être terminés. Le secrétaire général de la CGT, empêtré dans l'histoire de son appartement de fonction rénové pour 105 000 € et de son bureau refait à neuf pour plus de 60 000 €, risque d'être affaibli par une nouvelle révélation.
Ce lundi, l'Expansion révèle que le n°1 du plus gros syndicat de France a touché d'étonnantes indemnités de départ en 2013.
Avant de succéder à Bernard Thibault,
Thierry Lepaon a négocié avec la CGT de Basse-Normandie, dont il était
alors le secrétaire général, une rupture conventionnelle de
contrat. Joint par l'Express, le syndicaliste a confirmé l'existence de
cette étrange «prime de départ». Sans se démonter, le numéro un de la
CGT a expliqué au magazine : «Je changeais d'employeur», s'est-il
justifié, sans préciser toutefois le montant. «Ce n'était pas
grand-chose puisqu'il n'avait que cinq ou six années d'ancienneté» dans
la fonction, a-t-il assuré.
Surtout, plaider le changement d'employeur tout en restant au sein de la
même organisation risque de faire grincer quelques dents à la CGT.
Enfin, même si négocier une rupture conventionnelle est tout à fait
légal, elle a de quoi étonner venant de la part de Thierry Lepaon. En
effet, la CGT a toujours critiqué ce dispositif créé en 2008 car elle le
juge trop favorable au patronat, rappelle l'
-----ooo0ooo-----
Le syndicalisme français est malade : la preuve par l’affaire Lepaon…
Le 10 décembre 2014
Le symbole le plus éloquent de l’imposture de notre système est
aujourd’hui le secrétaire général de la CGT, Thierry Lepaon.
Le symbole le plus éloquent de
l’imposture de notre système est aujourd’hui le secrétaire général de la
CGT, Thierry Lepaon. Ce syndicaliste de combat et de rupture qui
conteste tout et ne signe rien, au niveau national, vient de bénéficier
coup sur coup d’une prime de départ de son poste à la tête du comité
régional CGT de Basse-Normandie à la hauteur de 30.000 euros, d’un
appartement de fonction de 120 m2 en lisière du bois de Vincennes,
rénové pour un coût de 120.000 euros, et d’un bureau remis à neuf pour
62.000 euros.
Bien sûr, ces indiscrétions fâcheuses sont moins liées à
une exigence de justice et de transparence qu’aux sordides rivalités de
pouvoir à l’intérieur de l’organisation. Mais l’affaire jette surtout
une lumière crue sur le syndicalisme français à travers le syndicat le
plus important.
Le syndicalisme français est malade. Il est représentatif des
pathologies nationales à défaut de l’être des salariés.
Premier
symptôme : le taux de syndicalisation est l’un des plus bas du monde
avec à peine 7,7 % des salariés, contre une moyenne de 25 % en Europe et
67 % en Suède, là où on a su réformer, dans le consensus, le système
des retraites.
Second symptôme : il est plus important dans le secteur public que
dans le privé. Sur dix salariés syndiqués, 5 sont fonctionnaires, 1
travaille dans une entreprise publique et 4 seulement dans le privé. Les
syndicats sont financés à 80 % par de l’argent public et à 20 %
seulement par des cotisations. On mesure, une fois encore, la structure
socialiste de notre pays avec un secteur public démesuré, détenteur
d’avantages et où peuvent faire grève, par procuration et sans souci des
conséquences économiques, ceux dont l’emploi n’est nullement menacé.
Les fonctionnaires allemands n’ont pas le droit de grève.
Troisième symptôme : il y a plus de syndicats pour moins de
syndiqués. Il y a trois syndicats en Allemagne, le tout-puissant DGB
dans le privé, celui des fonctionnaires et un petit syndicat chrétien
peu représentatif.
Nous en avons cinq « historiques » plus quelques
autres qui regroupent 1,8 million d’adhérents, dont 400.000 retraités et
chômeurs face aux 7 millions de syndiqués allemands. Le résultat, c’est
la compétition électorale, la surenchère revendicative (marque de
fabrique de la CGT ou de SUD) qui empêchent le consensus, bloquent les
réformes parce que, la capacité de nuisance l’emportant sur la
représentativité, le syndicat fait peur au pouvoir. Mais chaque syndicat
est aussi un pouvoir, une niche à privilèges, que leurs détenteurs
veulent évidemment sauvegarder.
Partout dans le monde, le syndicalisme recule devant la montée de
l’individualisme, sauf dans les pays qui réservent le bénéfice des
services et des retombées des accords à leurs membres. Cette mesure
aurait l’avantage de pousser les salariés à participer davantage à
travers leur adhésion syndicale à la vie de leur entreprise et à la
politique économique et sociale, en général. Là où il y a plus de
syndiqués et moins de syndicats, le dialogue social est plus efficace.
La France est un pays de féodalités discrètes et d’inégalités masquées.
Dans le domaine syndical, comme ailleurs, la démocratie – la vraie –
doit progresser : l’affaire Lepaon nous y pousse à l’évidence.
Il faut en effet reconnaitre que nous ne sommes pas gâtés avec aussi par cette bande d inutiles qui dirigent nos syndicats -
RépondreSupprimerComme vous le dites BBR, ils ont servi (mais ça c était avant) et à les voir se remuer le C.... aussi lentement, aucun doute que nos difficultés puissent être prises en considération par l équipe d incapables du gouvernement.
Je me demande encore et toujours où va t on les chercher ?
Comment peut on toujours gouverner avec un pourcentage aussi bas d opinions favorables ?
Comment peut on faire confiance à tous ces dirigeants de syndicats qui comme de nombreux journalistes sont à la botte et lèchent le pouvoir en place ? ( Encore un fois PAR INTÉRÊT) Les exemples ne manquent pas ......
Nous sommes écœurés de tous les côtés.... Un véritable calvaire dans la mesure où ne sait plus de quel côté se tourner.
Merci pour les liens en rappel mais surtout pour ces belles images des châteaux.
La Normande
SYNDICAT - GOUVERNEMENT - Même combat - Même Inutilité - Des Bons à rien - Des Piquent Sous - Des menteurs - Des profiteurs - Et qui payent - NOUS, TOUJOURS NOUS.
RépondreSupprimerOui , merci pour ces belles images des châteaux - Eux au moins sont beaux et font parties de l Héritage , même si c est eux qui en profitent. Espérons qu on ne vendra pas tout aux Émirats ou au Qatar.
Jean BOUVARD
C est exactement comme ça que je vois les choses Jean -
SupprimerFinalement quand on regarde bien, si on retire tous les pourris (inutile de les énumérer, la liste est trop longue) , il ne reste plus que quelques honnêtes, quelques travailleurs et quelques retraités c est à dire LES PAYEURS que l on retrouve parmi les sans dents, les illettrés, les pauvres cons. C est Lamentable et de pire en pire.
Comme Jean et La Normande Merci pour les images de ces magnifiques châteaux.
Nicole PLEY
Comme le dit si bien Jean - Politiciens ou dirigeants de syndicats, associations ou banques - Même Merde -
RépondreSupprimerA force on ne croira plus en rien, Tout est pourri, comme des fruits qu on oubli sur l arbre. Lorsqu on regarde ceux que je viens de citer, on entend le mot Argent qui sonne, intérêt qui sonne à nouveau, c est la seule chose qui compte à leur yeux, et pour leur porte feuilles.
Je ne suis même pas surprise de voir encore l étalement de cette merde.
Ce paon comme tous ses amis n a même pas honte, il est fier de lui, fier de dépenser autant d argent sur les comptes publics malgré la crise contre laquelle il devrait se battre et être en tant que responsable de syndicats, l un des premiers à montrer l exemple. Quelle honte.
Nathalie
Des Vampires, des rapaces, des vautours, c est ainsi qu on peut tous les nommer, du plus bas de l échelle, à la plus haute marche - Je pense qu ils ont tous la gangrène et qu elle est contagieuse, car ils arrivent fort bien à se la transmettre rien qu en respirant.
RépondreSupprimerC est un véritable désastre - Dans tous les domaines - Comment est ce possible d en être arriver là ? Les Français en sont ils vraiment conscient ? On peut se poser des questions.
Combien de temps cela va t il encore durer ainsi ? Combien de temps va t on encore accepter ça ?
FRANCE OU VAS TU ???????????
Z@vor
Oui Z@vor où va t on ? En qui peut on encore avoir confiance, nous sommes de plus en plus déçus par toutes les personnes en qui nous devrions avoir confiance et qui nous trahissent d une manière ou d une autre, s ils peuvent tirer profit de la situation.
SupprimerSommes nous encore sur la bonne planète, ou sommes nous des extra terrestres avec une vison différente de celle que nous vivons ? Il y a des jours où je me le demande!!!!!!!!
Alice
LE PAON reflète bien la situation telle que tous les autres nous ont montré jusqu à présent, il y en a eu d autres des MARTIN, des CHEREQUE et il y en aura encore, qu on ne soit pas surpris, on dit que les cons ça osent tout, les preuves sont bien là, mais le problème c est qu il y a encore plus de CONS qu on ne l aurait cru.
RépondreSupprimerOn essaye toujours de minimiser les choses, mais il faut croire que malgré tous les efforts que nous consentons tout empire, et il n y en a pas un pour racheter l autre - Tous pleurent, pleurent pour de l argent. Toujours plus d argent, mais ils n arrivent même plus à se cacher tellement c est flagrant. Je trouve tout cela PITOYABLE.
Olivier TREQUEL
Syndicat des mots grecs sun=avec et dike=procès,justice.
RépondreSupprimer"Syndicat :association de personnes qui a pour but de défendre les interêts professionnels et économiques de ses membres."
Vous avez raison,mes amis ,quand on voit le nombre d'entreprises qui ferment,quand on voit le nombre de salariés à la rue ,on se demande alors pourquoi les syndicats ne défendent -ils pas les interêts des travailleurs!!!
Le nouveau syndicalisme n'a rien avoir avec l'ancien.
Les délégués syndicaux défendent leurs propres interêts,se placent et placent les membres de leur famille dans les hauts postes où ils seront à l'abri du besoin!!!
Les travailleurs enfin ceux qui travaillent encore ne peuvent compter que sur eux mêmes et le discours des syndicalistes d'aujourd'hui est un tissu de mensonges profitant du thème de la pauvreté et de la précarité pour soit-disant livrer bataille aux dirigeants mais en omettant de dire aux salariés tout ce qu'ils reçoivent des dirigeants à condition de se la fermer!!
Encore une fois,nous sommes les vaches à lait,encore une fois l'Argent pourrit tout,et ce n'est pas chérèque,thibbaut,le paon,martin ou l'ancien hors la loi du Larzac qui trône maintenant au conseil de l'Europe qui peuvent se vanter de nous avoir défendus!!!
Ils n'ont pas honte tous ces vendus de nous avoir trahis,ils n'ont pas honte d'encaisser sur le compte de la misère!!!
Marre de tous ces minables qui se rajoutent à la liste des autres minables!!!
Fleur de lys.
Dire qu ils sont censés nous représenter, pour faire savoir au gouvernement ce que l on ressent, mais ils ne servent à rien, le gouvernement le sait déjà, et ce n est pas les manifestations groupées qu ils occasionnent qui va changer le cours des choses- Combien y a t il des syndicats ? Un certain nombre, d accord, mais combien y a t il donc d incapables ?
RépondreSupprimerJe n en suis toujours pas revenu des affaires chérèque et Martin qui nous donnaient l impression de tout vouloir casser et qui ont accepter des super postes offert par le gouvernement pour la fermer. chèreque = tel père tel fils. hollande = tel mitterrand. Nous voici donc avec une nouvelle affaire le paon.
Voyez vous une différence entre nos dirigeants des syndicats et nos hommes politiques ?
Moi je n en vois aucune.
IL TIRE SUR LA FICÈLE et LA FICÈLE C EST ENCORE NOUS
Même le patronat ne veut que du Fric, seul les millions d euros pour le pacte de solidarité compte. L emploi il s en tape.
Incroyable quand je pense à toutes ces manifestations qu il y avaient lorsque le remuant sarko était aux commandes, le gouvernement actuel + les syndicats tous se donnant la main faisant une barrière aux décisions prises, j en suis encore sur le cul, quand je vois leur comportement maintenant.
Et heureusement que je ne suis pas pour sarkozy non plus, on pourrait le croire, ce qui me fait vomir, c est la façon de pratiquer. De voir des idiots nous faire croire qu ils sont là pour nous aider, nous soutenir (comme le dit si justement BBR) c est plutôt pour nous soutirer.
Merci BBR - Les châteaux sont magnifiques
André BERGERAC
Que dire de plus, mes amis ? Tout a été dit.
RépondreSupprimerMon grand-père, qui était un sage parmi les sages, avait coutume de dire : on a les maîtres que l'on mérite. S'il était encore de ce monde, il ajouterait : on a les syndicats que l'on mérite.
Et nous devons bien mériter toute cette pourriture puisque nous la gardons .
Mais viendra sans doute le temps où le mouton devenant enragé finira bien par étriper toute cette racaille et la laisser en pâture aux charognards.
L'Indien.