TUERIE DE SYDNEY

                    DE PARIS A SYDNEY

                L’Occident est une autruche !

                      LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

  Non Mme RAVINEL, On ne fait pas l Autruche, personne ne peut oublier le massacre qui vient d avoir lieu au Pakistan et personne ne peut se réjouir et oublier un acte aussi odieux. (140 personnes dont 130 enfants avec une balle dans la tête) Il n y a que des sauvages pour commettre de tels actes.

     Nous ne pouvons pas aussi oublier les divers massacres qu il y a eu en Amérique, en Norvège dont le lien ci-dessous permettra de voir qu on ne peut pas oublier

http://pourquinousprendton.blogspot.fr/2013/08/un-monde-deenfou-et-avec-quelle-justice.html 

comme on ne peut oublier les affaires en Belgique AVEC LE TUEUR NEMMOUCHE,  

 http://pourquinousprendton.blogspot.fr/2014/06/nemmouche-le-tueur-presume-de-belgique.html

en France avec le tueur MERAH

Tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban 

au Canada  avec le tueur Michael Zihab-Bibeau

http://pourquinousprendton.blogspot.fr/2014/10/ottawa.html

     Aujourd hui nous avons la tuerie d otages en Autriche, et nous ne sommes pas d accord non plus Mme Sophie RAVINEL, tous ces actes de barbarie, toutes ces sauvageries pratiquées par le monde islamiste radicalisée nous dépasse quelque peu, et on ne sait même pas qui pourra y mettre un terme, elles vont de la décapitation d otages, aux massacres de chrétiens en passant par de nombreux attentats.

      On peut en effet se demander pourquoi cet homme violent, au passé criminel était toujours en liberté pour commettre de nouveaux actes irréparables.

     Qui seront les victimes de demain ? Nul ne peut le savoir -   Il s agit d une guerre, une guerre que nous à déclaré certains fous au nom de l ISMAM, créant même un ÉTAT comme s ils n étaient pas fous et qu ils avaient besoin pour nous le prouver.

     Oui nous vivons bien dans un monde fou, où on massacre aussi bien des adultes que des enfants innocents et le pire c est que ce fléau du terrorisme islamiste a pris de l ampleur arrivant même à endoctriner de jeunes Européens qu on appellera Djihadistes,  pour défendre leur cause qui ne veut rien dire, qui n a aucuns sens à part d avoir des armes à la main et jouer à la guerre, sans craindre la mort et en étant capable de se foutre en l air.

     Nos dirigeants politiques de l occident qu ils soient Américains ou Européens n ont pas pris le  taureau par les cornes au bon moment, ils ont  laissez faire, laissez les choses s amplifier en réfléchissant encore et encore, en ne prenant aucune décision rapide, pour mettre un terme à se conflit qui commence a durer et s aggraver et se retrouvent aujourd hui complètement dépassés.

     Nos journalistes évoquent peu le sujet, trop brûlant disent ils, et lorsque des malheureux en parlent, ils sont aussitôt traités de racistes, d anti musulmans, anti islamistes, ils n osent même pas donner leur avis sur la suppression des crèches dans des lieux publics, trouvant cela peut être normal ou par crainte de froisser, ou simplement par peur de représailles.

     Serions nous racistes ou serions nous en train de le devenir ??

 http://pourquinousprendton.blogspot.fr/2012/07/raciste-dites-vous-pas-du-tout.html

LE MONDE EST EN DEUIL, Mme RAVINEL, le monde voudrait voir le bout du tunnel dans lequel on nous a plongé sans que nous ayons compris POURQUOI.

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     Le 17 décembre 2014

     L’affaire Man Haron Monis, comme l’affaire Merah, est un bâton de dynamite.

     Sur Twitter, la journaliste Sophie de Ravinel s’indignait : lundi, en Australie, toutes les chaînes d’info étaient en permanence sur la prise d’otage, mais pas le lendemain à Peshawar avec les 130 morts.

     Deux morts australiens vaudraient-ils plus que 130 morts pakistanais ?

     Inutile de le nier. La vieille Europe — et notamment la France — s’apitoie sur le sort des enfants pakistanais, mais de façon détachée, comme s’il était entendu, n’est-ce pas, que ces régions-là avaient toujours été à feu et à sang. On pouvait pleurer, mais pas s’étonner. Quand elles ont observé avec fascination et horreur la prise d’otage de Sydney parce que celle-ci, pour s’être déroulée à l’autre bout du monde, était aussi la leur.

     Les deux otages, pimpantes comme deux Occidentales partant travailler, qu’un photographe a prises au télé-objectif, accrochant maladroitement sur la vitrine du café un drapeau noir avec la chahada (« Il n’y a de Dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète ») juste au-dessus de l’inscription « Merry Christmas » (tout un symbole…), étaient australiennes, elles auraient pu être françaises. Le jeune gérant du café, l’avocate mère de trois enfants qui y ont laissé la vie, aussi.

     L’affaire Man Haron Monis, comme l’affaire Merah, est un bâton de dynamite, une déflagration de plus qui ébranle, sans – encore – le faire tomber, le bel édifice « occidental way of life », où l’on s’était persuadé que la guerre avait été éradiquée aussi sûrement que le virus de la variole, et que le bonheur ne s’y mesurait plus qu’au chiffre du PIB, à la libéralité des mœurs, et au degré de précaution en matière sanitaire.     

     La guerre existe de par le monde, bien sûr. Mais chez les autres.

     Que l’on accueille d’ailleurs bien volontiers. Avec l’orgueil fou de penser que, sitôt passé le seuil doux et ouaté de l’Occident, la magie opérera, qu’ils s’y sentiront si bien qu’ils laisseront sur le paillasson, comme de vieux godillots crottés, leur paradigme, leur référentiel et leurs idées belliqueuses.

     Man Haron Monis était un réfugié iranien. En Australie depuis 1996. Accusé d’une cinquantaine d’agressions sexuelles, il était aussi soupçonné d’avoir poignardé sa femme. Il avait aussi été condamné à 300 heures de travaux d’intérêt collectif pour lettres d’insultes et menaces à des familles de soldats australiens tués en Afghanistan. Mais il avait toujours le statut de « réfugié ». Et n’était pas en prison mais en liberté surveillée. Pourquoi ?

     De Paris à Sydney, l’Occident est une autruche, et une autruche incrédule.

     Sur i, le « spécialiste du terrorisme » Mathieu Guidère, commentant en direct la prise d’otage, ne « [croyait] pas à la piste islamiste ». Selon lui, il devait s’agir d’un individu « souhaitant mettre cet acte sur le dos des musulmans » puisque l’islamophobie est « très forte » en Australie.

     Le premier réflexe est donc la dénégation. Vient ensuite la minimisation.

Comme en France dans semblable cas, les autorités australiennes parlent « d’un déséquilibré mental » et d’un « loup isolé ».

Bref, un dingue solitaire, pas un réseau terroriste. Ça rassure, hein ? Comme si un islamiste preneur d’otages pouvait être parfois un homme équilibré et pondéré. comme si ces loups isolés ne finissaient pas, à eux tous, par constituer une meute.