DATI.... ET TOUS LES AUTRES PUISENT DANS NOTRE CAISSE

                  DATI,  PUISE AUSSI DANS LA CAISSE

                                                        Rendez l’argent, Mme Dati !

                                            LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

     TOUS VEULENT LA PART DE CET ÉNORME  GATEAU QUE NOUS LEUR OFFRONS SUR UN TAPIS  D IMPOTS

 

     La nouvelle vient de tomber, DATI  n échappe pas à CETTE LONGUE LISTE DE PROFITEURS DU SYSTEME , et je dis souvent que nous apprenons tout au compte gouttes.

 

                              LES CAISSES NE SONT VIDES QUE POUR LE PEUPLE

 

     Imaginez que nous sachions tout en même temps, ce serait un véritable cataclysme, un ras de marrée, un tsunami, toutes leurs sales affaires révélées et mise au grand jour, il faudrait un JT de 20 heures interminable qui durerait des mois, des années peut être, alors que là tout se passe en douceur, tantôt les uns tantôt les autres, tantôt un de gauche , tantôt un de droite, tantôt les enfants,  une petite info par ci, une petite par là, mais toutes les affaires sont aussi pourris les unes que les autres.

 

     La liste part du plus petit de nos politiciens et va jusqu au sommet de l échelle, les maires, les députés, sénateur, ministres, président ou ex ... tous font leur beurre, tous puisent dans cette grosse caisse soit disant vide pour nous mais dans laquelle ils savent trouver le nécessaire qui leur convient..

 

     Ils se servent, pour eux, pour leur amis qui s occupent d associations imaginaire, ils ont maison, appartement luxueux, châteaux, plusieurs résidences secondaires, argent placé dans des paradis fiscaux, ils truandent le fisc, oubli de déclarer leur impôts, certains de payer leur loyer, ils mentent, ils trichent, ils promettent sans tenir......

 

     MAIS, ils savent nous faire la morale, nous demandent  de participer à la crise, d être honnête, de payer nos impôts sans le moindre retard.

 

     Que dire de tous ces exemples, qui tentent le pourquoi pas nous, ......

 

     La différence est que eux,  ne sont jamais condamnés, jamais, et aussi loin que ma mémoire est bonne je n ai le souvenir  de politiciens ayant été incarcérés pour avoir puisé dans les caisses, avoir détourné de l argent, avoir fraudé, non ils sont tous blancs comme neige... Ils vous regardent tous droit dans les yeux avec un  aplomb du tonnerre et nient les faits même lorsqu on nous présente des preuves irréfutables. Bien sur que l école étant la même il ne peut en être autrement. LA JUSTICE DE DROITE ne peut faire condamner UN ELU DE GAUCHE sachant que le vent va tourner et que la réciproque devra être rendue.

 

      Et que dire de leurs enfants, fabius, taubira, touraine, ou de leurs frères dati, fabella amara, un gendarme pour entrer dans  cette institution une enquête est faite sur son milieu, sa famille et s il y a le moindre soucis, il ne peut y entrer.. mais chez nos ministres même de la justice, non seulement ils occupent ce poste important, mais en plus ils ne démissionnent pas, on ne les vire pas....

 

                                Quel exemple aussi pour cette sylvie ANDRIEU  PS - Je cite

 

"""""""""""""""Rappelons pourtant quelques faits : Sylvie Andrieux est cette députée PS condamnée pour détournement de fonds publics en 2013, puis en appel en 2014. Pourtant, elle est toujours présente à la Chambre des députés. Certes, elle s’est pourvue en cassation mais cette juridiction n’est là que pour examiner le respect des règles de procédure et la correcte application du droit par les juges du fond. Le jugement ou l’arrêt n’est annulé (ou cassé) que si la procédure a été irrégulière ou les règles de droit mal appliquées. On peut donc considérer qu’elle a bel et bien été reconnue coupable des faits qui lui sont reprochés. À noter qu’il a fallu 13 et 14 ans pour la condamner : la justice, bizarrement quand il s’agit des socialistes, se propulse à la vitesse d’un escargot.

Comble du cynisme, alors qu’elle est toujours payée par des gens qu’elle a volés, elle ose écrire que « la France se doit d’être exemplaire » et que « la confiance est nécessaire »…"""""""""""""""

 

      JUSTICE dites vous, mais de quelle justice parle t on ? La prison n est même plus faite pour les criminels, pour les récidivistes, pour les violeurs et pédophiles, pourquoi le serait elle pour nos politiques... non la Justice ne condamne que les pauvres qui se ratent, qui ont voulu copier sur les modèles de la haute volée, ceux qui ont oublier de payer impôts, factures, ceux qui se sont défendus,  mais que l on a vite fait de rattraper et faire payer au prix fort pour compenser tous ceux qu on ne peut ou veut  pas faire payer ....

 

                           LE GLAIVE EST LA  MAIS LA BALANCE EST DETRAQUÉE

 

 

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      Mme Rachida Dati, ancien garde des Sceaux, vient de se faire épingler par la Cour des comptes.

 

      Mme Rachida Dati, ancien garde des Sceaux, vient de se faire épingler par la Cour des comptes. Les magistrats de la rue Cambon lui reprochent des dépenses indues lors de son passage au ministère de la Justice : achats d’accessoires de luxe, frais de bouche et dépenses de communication jugées suspectes. Montant du préjudice : 190.000 euros, dont 180.000 euros de sondages.

 

     À regarder de près les attendus de la Cour, on constate que c’est plus la forme que le fond, c’est-à-dire le bien-fondé des dépenses qui est en cause. Autrement dit, Rachida Dati avait tout à fait le droit, dans le cadre de ses fonctions de ministre de la Justice, de dépenser de l’argent public pour accueillir des délégations étrangères. La circulaire B-2E-94 du 24 septembre 1992 l’y autorise. Et puis 10.000 euros de frais divers en trois ans d’exercice, c’est largement moins que les frais de bouche de Jacques Chirac pendant son mandat à la mairie de Paris ! Le problème, c’est que le comptable public n’a pas respecté les formes.

 

     Le plus surprenant concerne les sondages. Selon la Cour des comptes, les magistrats reprochent au comptable de ne pas avoir contrôlé systématiquement la validité de l’exécution de la prestation avant d’autoriser le versement des sommes à l’entreprise, comme le prévoit la loi. Plus prosaïquement, les factures sont insuffisamment précises pour pouvoir justifier de la réalité du travail effectué par la société de Pierre Giacometti, un proche de Nicolas Sarkozy.

 

       Ce n’est pas la première fois que cette société prend des libertés avec la loi car elle a déjà été épinglée au moins quatre fois par la Cour des comptes pour des marchés conclus sans aucune mise en concurrence. Le doute est par conséquent très grand sur la sincérité de la prestation… Reste que si le comptable n’a pas fait correctement son travail, il mérite d’être sanctionné. C’est la loi : dura lex, sed lex.

 

     Au-delà de l’aspect comptable et juridique, n’oublions pas que le ministre, pendant l’exercice de sa fonction, est le chef de son administration. En ce sens, il est pleinement responsable des actes de ses subordonnés. Dans l’administration, la chaîne de responsabilité est ainsi faite que c’est le chef qui doit trinquer. Ainsi, quand a eu lieu le drame de Carcassonne en 2008 (un membre du groupement commandos parachutistes du 3e RPIMa avait blessé 17 personnes à balles réelles), c’est le colonel commandant ce régiment qui avait trinqué, même s’il n’avait pas tiré. Même le chef d’état-major des armées, le général Cuche, avait démissionné.

 

     Les exemples sont légion. Il serait par conséquent logique, au nom de la morale, que Mme Dati, qui doit beaucoup à la France, rende l’argent.

 

     Mais se réfugiant derrière le paravent législatif et réglementaire, l’ancienne ministre a fait savoir qu’elle ne débourserait pas un kopeck. Mieux ! Voici qu’elle porte le sujet sur le terrain politique, accusant ses adversaires au sein de l’UMP de la jeter en pâture sur la place publique.

 

     En arrière plan, des accusations de racisme à peine voilées : « S’ils veulent me qualifier, comme certains dans l’entourage de Nicolas Sarkozy, de voleuse de poules, d’Arabe, de beurette… Certains me traitant de “zoubida”… Maintenant, stop », a-t-elle déclaré en ajoutant : « Pour être défendue contre toute polémique, il vaut mieux s’appeler Christiane Taubira ou Najat Vallaud-Belkacem et être à gauche ! »

 

      Qu’on se rassure. Mme Dati continue de bien dormir sur ses deux oreilles et jamais la justice n’ira l’inquiéter sur ce dossier !

 

Henri Saint-Amand