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mercredi 30 avril 2014

LES NULS AU POUVOIR (SOCIALISTES DITES VOUS)??




      Il faut ce genre de rappel, pour bien comprendre et se rendre compte à quel point nous sommes gouvernés par des incompétents et nuisibles pour la France et Les Français de souche.


                     LES NULS AU POUVOIR


     Être ministre, c'est un travail considérable nous disent-ils, un travail de chaque instant, sans vacances, sans week-ends. Et comme ils ont toutes et tous maris, épouses, amants et maîtresses, ont imaginé que leurs nuits sont bien remplies aussi.

     Comment font-ils alors pour trouver les centaines d'heures nécessaires à la rédaction d'un livre ? C'est pourtant l'exploit qu'a réussi Christiane Taubira avec Paroles de liberté. 

     Soit, ce livre n'est pas épais et ne lui vaudra pas le prix Nobel de littérature, loin s'en faut. La critique de la presse aux ordres est flatteuse, mais sent le moisi. Celle de l'opposition est dure, résumée par Dieudonné en une phrase lapidaire : "une nullité sans nom". Dieudonné a lu le livre de sa consœur en négritude Christiane parce qu'elle lui a consacré un chapitre entier. Un bien grand  honneur, pour ce sinistre pitre, que ce chapitre entier !

     Et Dieudonné n'y va pas de main morte ! Il faut d'ailleurs être africain en France pour pouvoir écrire ce qui vaudrait immédiatement à n'importe quel Français de souche les foudres de SOS Racisme, de la LICRA, etc. s'il disait la même chose en parlant de la noire Taubira : 
     "un style ampoulé de négresse de maison complexée qui connait trois mots compliqués et les place à la fin de chaque phrase". Mais, ajoute-t-il, "c'est bien, au moins il a fallu qu'elle connaisse un petit peu l'alphabet".

     Il est dur, M'Bala M'Bala mais il n'a pas tort, car il faut également être guyanaise en France pour écrire sans encourir les poursuites des pompeuses de subventions ci-dessus nommées : "Il faut lui (Dieudonné) intimer le respect".

     "Intimer" (Larousse) : "signifier un ordre à quelqu'un en le lui déclarant avec autorité – appeler quelqu'un devant la cour d'appel – ordonner - commander".

     Jamais un "Blanc" ne pourrait utiliser ce vocabulaire colonialiste "potentiellement offensant" à l'encontre d'un "Noir" souligne Dieudonné qui termine par "quand je te vois, je comprends mieux l'esclavagisme, tu es la honte des Noirs… ton parcours, c'est celui de la soumission , de la lâcheté, de la collaboration… un parcours plus atroce que le colonialisme et l'esclavagisme réunis".

     Effectivement, celui d'entre nous qui écrirait qu'il faut "intimer le respect" aux musulmans, ou aux africains se retrouverait illico à la 17ème chambre correctionnelle.

     C'est ça le paradoxe des socialistes : ils nous intiment de respecter les droits de l'Homme, les valeurs de la République et de la citoyenneté démocratique, mais il suffit d'être de couleur pour avoir le droit de les bafouer sans encourir la moindre sanction.

C'est tout le problème du malentendu sur lequel ils bernent les Français à chaque élection : ils ont des valeurs, des principes et des programmes que seuls doivent respecter les Français de souche et de droite, tous les autres, à commencer par les socialistes eux-mêmes, étant dispensés de les respecter. 
     Ce qui explique que ceux qui votent socialiste à chaque grande élection passent de l'espoir à la déception en peu de temps quand ils découvrent que le président et la République - qui doivent être exemplaires - ce sont celui et celle de la droite au pouvoir. 
     La gauche au pouvoir n'y est pas tenue, d'où ces ministres et conseillers du président, et probablement le président lui-même si les services fiscaux voulaient bien se donner la peine de gratter un peu, à qui l'on trouve au fil du temps des comptes off shore, des conflits d'intérêts, des emplois fictifs, de la, disons... "Complaisance" dans les marchés publics et des fortunes plus que coquettes.

     En 2012, les Français ont voulu changer de têtes, mais le président et les têtes qu'ils ont choisies veulent changer la France et changer les Français : la présidence socialiste est née sur ce malentendu.

     Soit, les torts sont partagés. Les Français n'ont pas compris que les socialistes croient au socialisme, ou plus exactement que la majorité des socialistes ont cru à un moment donné de leur jeunesse au socialisme, mais continuent à le pratiquer par intérêt bien compris.

     Ils n'ont pas compris non plus que le "socialisme à la française" ressemble comme un frère au "socialisme aux couleurs de la France" du PCF de Georges Marchais, que ce n'est que du stalinisme recyclé aux couleurs arc-en-ciel de LGBT.

     Les Français ont cru élire un homme libre : on leur annonce qu'ils ont signé irrévocablement pour 60 promesses qui n'engagent que ceux qui y ont bêtement cru.

     Ils ont adoubé ceux qui leur promettaient que leurs recettes économiques allaient mettre fin à la crise, ils découvrent que la construction socialiste ne fait nullement reculer la crise mais au contraire s'en arrange pour justifier sa prolongation à l'identique après la claque des municipales.

     Ils ont supposé que les socialistes garantiraient la paix sociale et la cohésion de la nation. Ils constatent qu'ils ont relancé la lutte des classes et cherchent à remplacer le peuple français par des populations africaines et musulmanes supposées plus dociles.

     Ce malentendu ne peut plus durer et ne durera pas, de quelque manière que les Français le fassent cesser. Le désaveu électoral aurait dû provoquer le départ du président et de son équipe en échec sur toute la ligne, le président lui-même l'avait promis quand il n'était que candidat.

     Les Français comprennent aujourd'hui que les socialistes sont plus attachés au pouvoir, à tous les avantages en  nature qu'ils en tirent et à leurs gros salaires qu'aux principes qu'ils brandissent à tout propos. Le socialisme ne choisira pas entre le dogme et son maintien aux commandes, il a dès son arrivée au pouvoir choisi le maintien au pouvoir et l'argent qui va avec.

     Finalement la voie qu'a choisi le président, c'est d'ériger le malentendu permanent en méthode de gouvernement.

     Reste à savoir ce que les hommes qui à droite prônent la liberté, le progrès et le bien-être du peuple français ont à lui offrir. Pour que le peuple ne passe pas de la déception à la révolte il est nécessaire de lui redonner de l'espoir, la seule certitude que nous ayons est que cet espoir ne viendra pas de gauche.

     Le gouvernement actuel est à 100 % composé de fonctionnaires qui n'ont aucune idée de l'économie réelle. Le nouveau gouvernement, pour mener le combat vigoureux qu'il nous annonce contre le chômage, devrait disposer pour cela de toutes les compétences nécessaires.

     En particulier en ayant une connaissance de l'emploi salarié, ou de la création ou gestion d'entreprise.

     Regardons les 18 biographies de ces "combattants" (le Président de la République, le Premier ministre et ses 16 ministres).
    
     Avant de sacrifier leur carrière privée au nom de l’'intérêt général, combien d'’années les membres de l’'état-major de la lutte contre le chômage ont-ils passé dans les tranchées de l’'économie réelle ?

François Hollande, 60 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 26 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Manuel Valls, 52 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 21 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Laurent Fabius, 58 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 28 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Ségolène Royal, 61 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 27 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Benoit Hamon, 47 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 24 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Christiane Taubira, 62 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 26 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Michel Sapin, 61 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 28 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Arnaud Montebourg, 51 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 28 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Marisol Touraine, 55 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 25 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

François Rebsamen, 62 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 25 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Jean-Yves Le Drian, 66 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 24 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Bernard Cazeneuve, 50 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 25 ans. Sa fiche Wikipedia et quelques articles de presse font état d’un début de carrière à la Banque Populaire, mais cet épisode n’apparaît pas sur la biographie officielle du nouveau ministre de l’Intérieur (par ailleurs très détaillée). Une tache sur son CV que l’homme politique a du mal à assumer vis-à-vis de ses collègues qui n’ont jamais mangé de ce pain-là ? Dans le doute, considérons que Bernard Cazeneuve a bel et bien vécu une courte expérience hors de la sphère publique. Nombre d’années passées en entreprise : 3.

Najat Vallaud-Belkacem, 36 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 23 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Marylise Lebranchu, 66 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 26 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Aurélie Filippetti, 40 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 24 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Stéphane Le Foll, 54 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 23 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Sylvia Pinel, 36 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 25 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

George Pau-Langevin, 65 ans, fonctionnaire depuis l’âge de 23 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Faisons les comptes : 0 + 0 +  0 + 0 + 0 +  0 + 0 + 0 +  0 + 0 + 0 +  3 + 0 + 0 +  0 + 0 + 0 +  0 = 3.

     Sur les 531 années d’activité professionnelle cumulées par notre nouveau gouvernement de combat contre le chômage, seulement trois se sont déroulées sur cette terra incognita appelée entreprise.

     Ce 0,5% nous montre à quel point nous avons affaire à des gens qui savent de quoi ils parlent.
Pas de blague, Monsieur le ministre de l’Intérieur. La France entière compte sur vos 36 mois à la Banque Populaire pour nous mener à la victoire.


10 commentaires:

  1. Ne riez pas... Ils sont quand même 18 millions d'inconscients à avoir voté pour ces nuls en 2012 !
    Au fait, où sont-ils, les électeurs de Hollande ? Ils se font bien discrets ces temps-ci...
    Il faudrait inventer un "permis de voter". Encore faudrait-il se mettre d'accord sur les critères de sélection. Je pressens quelque part que nous n'aurions pas les mêmes normes que le bobo gâteux de l'Ile Saint Louis.
    Quand on vous dit que tout cela c'est de la merde ! Mais il faut se rendre à l'évidence...selon les derniers sondages 75 % de nos concitoyens aiment la merde !
    @

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  2. Il est facile pour ses fainéant de faire travailler les autres pour encaisser. Moi j appelle ça des proxénètes.

    La Normande

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  3. Eux ont tous les droits, je ne répéterais jamais assez que le mot SOCIALISTE ne leur va pas du tout, ils sont tout le contraire de SOCIAL, la mariesol touraine sans majuscule me donne la gerbe.

    Olivier TREQUEL

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  4. Je pense qu ils ne vont pas digérer le 25 mai, ils nous font honte, de nombreux pays européens progressent, nous on régresse.

    Simon LAVILLE

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  5. Un scandale de voir tous ces fainéant nous gouverner. Des Branleurs -

    Grégoire

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  6. Malheureusement, tous ces donneurs de leçons tiennent actuellement les manettes de la France!!
    "pour faire de la politique,il faut savoir nager dans la merde"dixit mon père!!
    Eux sont les champions en natation,mais pour déboucher les canalisations on fait souvent appel à l'entreprise Farina,alors à quand le débouchage des syphons du gouvernement!!!
    Fleur de lys.

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  7. Une chanson disait c est a boire à boire qu il nous faut, je changerai juste le titre en disant c est la révolution, révolution qu il nous faut.

    Jean Jacques

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    1. Oui Jean Jacques c est bien une révolution qu il nous faut, ils ne partiront jamais d initiative, il faut les foutre dehors.

      André BERGERAC

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  8. S ils étaient payés au prorata de leu boulot, ils ne pourraient pas vivre.

    Jean BOUVARD

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  9. Les miettes ça devrait être que pour eux,pas pour les retraités.

    Z@vor

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