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jeudi 4 septembre 2014

RUSSIE - UKRAINE - FRANCE




                                                        RUSSIE - UKRAINE - FRANCE



                                                          L INTRODUCTION DE BBR


     Si ne nous étions pas autant impliqués à vouloir suivre la parole de obama nous n en serions surement pas à ce stade des ennuis.

     Concrètement il c est passé quoi. M.Poutine a voulu reprendre la Crimée, et alors c est une affaire entre Russe et Ukrainien - De quoi se mêle t on ?

     Le problème c est tout simplement que l Ukraine veut se rallier à l  Euro moyennant des millions d euros et que tout cela arrange bien les Américains pour les deux raisons suivantes :

*d une part parce que plus il y aura de pays dans l Europe, , plus il fera des affaires avec son traité transatlantique,
*d autre part l alliance de toute la Zone Euro contre Poutine pourrait  empêcher le Géant Russe de reconstruire une URSS capable de rivaliser avec les Etats.Unis et ainsi ne pas laisser l Amérique seule maître du Monde et tout diriger.

     Notre grand mou a t il réfléchi a toutes les conséquences de ses décisions (c est déjà rare quand il en prend une) mais quand il l a prend c est une catastrophe.

     Notre économie va de plus en plus mal, notre déficit se creuse, notre chômage progresse et Monsieur fait la fine bouche, annule des contrats de millions ou milliards d euros pour la programmation des bateaux destinés et commandés par la Russie, qui va peut être nécessiter des licenciements, nous faire perdre un wagon de rentrée d argent, comme si on avait besoin encore de ça dans une période qu il appelle "de crise" mais la Crise c est juste pour nous, pas pour son portefeuille.

     Toute cette répression Russe ne pourra durer qu un temps, nous avons besoin de la Russie et M. Poutine saura aussi appliquer des sanctions. J avais publié un article sur l effet Boomerang. Ce sera un juste retour des choses.

     Et il est facile aussi pour le grand Américains d affirmer les responsabilité Russe sur le tir de missile sur l avion de tourisme,  sans aucune preuve,  de la même manière qu il avait certifié la possession  des armes de destructions massives en  Iran qui n ont jamais été découvertes.  Alors les preuves Américaines vous voyez ce que j en pense........

Regardez ces deux liens et vous verrez comment est apprécié Poutine dune part et le discours qu il tien.

                                                      https://www.youtube.com/watch?v=L2Dj4CREQss


                                                      https://www.youtube.com/watch?v=FhqYdRJ58AQ



             POUTINE PATRIOTE RUSSE




     Le 18 août 2014

     L’Europe, si elle veut encore compter, ne se fera pas sans la Russie, elle se fera encore moins contre la Russie.

     Comme il est de règle en temps de guerre – et l’Occident, depuis six mois, mène contre la Russie, sous la direction éclairée des États-Unis, une guerre idéologique qui n’ose pas dire son nom –, les bulldozers de la propagande, conduits par les serviteurs zélés de l’empire américain, écrasent tout sous leurs chenilles et les esprits faibles, soumis à un pilonnage incessant, finissent par croire ce qu’on leur dit et avalent toutes crues les salades qu’on leur sert.

     Ancien des services spéciaux soviétiques – est-ce tellement moins honorable que d’avoir été ou d’être, comme tant de nos dirigeants, l’employé d’une grande banque d’affaires ou d’une multinationale ? –, Vladimir Poutine nous est dépeint sous les traits les plus noirs et l’on nous assène sans rire que la Russie d’aujourd’hui n’est qu’un clone de l’Union soviétique, que le pays est de nouveau soumis à une dictature.

     À en croire la plupart de nos médias, pour trouver quelque chose de comparable à ce qui se passe actuellement en Ukraine, il faudrait remonter à l’immédiate avant-guerre de 1939, à l’Anschluß, à l’affaire des Sudètes, à Munich, au dernier partage de la Pologne…

     On connaît la suite, et l’on voit à quels moustachus, et à quels régimes font finement allusion les gros sabots de la désinformation.

     Eh bien non, Poutine n’est pas Hitler. Où sont les camps et le génocide ? Poutine n’est pas Staline ni Brejnev. Où est le goulag, où le parti unique, où les satellites, où les massacres et le coup de revolver dans la nuque, où l’entreprise d’infiltration et de subversion du « monde libre » ? Poutine n’est pas Pol Pot. Poutine n’est pas Kim Jong-un. On se calme…

     Ne soyons ni naïfs ni aveugles. Poutine n’est pas non plus un démocrate américain. Poutine n’est pas un conservateur britannique. Poutine n’est pas un socialiste français. Poutine n’est pas Barroso, Juncker, Schulz ou Bayrou. Ses modèles ne sont ni Willy Brandt, ni Henri Queuille, ni Jacques Chirac, ni le Mahatma Gandhi, ni Nelson Mandela, mais plutôt Richelieu ou Bismarck, et cela tombe bien, car c’est très précisément ce que souhaite l’immense majorité de son peuple, ce qui lui a permis d’être élu, réélu et aujourd’hui plébiscité chez lui, ce qui lui vaut une popularité et donc une légitimité dont ses homologues occidentaux affectent de s’offusquer et rêvent en secret.

     Vladimir Poutine est un patriote russe. Un homme qui n’a eu de cesse de redresser et de restaurer la puissance d’un État tombé en quenouille sous l’idéaliste Gorbatchev et le lamentable Eltsine. Un homme qui œuvre avec constance et détermination pour rendre à son pays, autant qu’il le pourra, sa grandeur perdue.
 
     Ces derniers temps, il a remporté dans le combat qu’il mène, en dépit des manœuvres nord-américaines et de la stupide hostilité de l’Union européenne, trois succès de taille dans des domaines différents, avec les Jeux olympiques de Sotchi, boudés par les mêmes grandes consciences qui ne se font pas scrupule de commercer, de causer et de pactiser avec la dictature chinoise ou avec les émirats pétroliers. Avec la constitution d’une Union eurasienne réduite pour l’instant, outre la Russie, à l’Arménie, l’Azerbaïdjan, le Kirghizistan et le Kazakhstan. Avec, enfin, le retour à la mère patrie, sans coup férir, de la Crimée, administrativement rattachée du temps de Nikita Khrouchtchev à une République soviétique qui n’était pas encore un État « indépendant ».

     Que Poutine rêve de faire rentrer dans le giron de la Russie par le biais d’une union économique et, s’il se peut, d’un rapprochement institutionnel, l’Ukraine et la Biélorussie, ces vieux pays neufs dont l’histoire et la culture sont si intimement et si anciennement liées à celles de son propre pays, qu’il rêve de la Grande Russie, ce n’est un secret pour personne.

     Mais qu’il soit prêt pour cela à franchir le seuil de l’irréparable, qu’il soit prêt, comme l’étaient justement Hitler ou Staline, à plonger le monde dans le chaos, à faire payer à l’humanité tout entière le prix d’une ambition démente, chaque jour qui passe nous démontre précisément le contraire.

     La politique étrangère de Poutine, comme celle de ses modèles, recourt tour à tour à la ruse, à la promesse, à la séduction, à l’intimidation. Elle ne se réduit pas, comme celle des États-Unis, à l’alternative entre le gros bâton et la démission.

     Elle procède par petits pas, elle compte sur le temps, la patience, les erreurs adverses pour arriver à ses fins. Elle tâte l’adversaire mais sait reconnaître et respecter ses limites.

     Depuis le début de la crise ukrainienne, Washington, Londres, Paris et, bien sûr, Varsovie, Riga, Tallinn ou Vilnius, qui ont au moins l’excuse de souvenirs encore brûlants, sans parler naturellement de Kiev et de son président brusquement passé de la chocolaterie oligarchique à la grande politique, ont perdu tout sang-froid et croient devoir répondre à une situation difficile par des injures, des sanctions, des menaces, des humiliations et des démonstrations de force qui masquent mal un extrême embarras et une grande faiblesse.

     Est-ce ainsi qu’il faut traiter avec Poutine, est-ce ainsi qu’il faut traiter la Russie, est-ce ainsi qu’on peut espérer en finir avec la dissidence d’une partie de la population ukrainienne ? L’intérêt à courte vue, l’intérêt mal compris des États-Unis est peut-être d’affaiblir et d’abattre la seule puissance et le seul homme (avec madame Merkel) qui soient en mesure de s’opposer à l’extension de leur emprise sur le Vieux Continent.

     Mais à quoi ressemble l’attitude des « puissances » européennes qui courent derrière leur maître comme autant de caniches, de setters ou de loulous de Poméranie ? Sur quelles bases avons-nous cru devoir prendre le parti de M. Porochenko et rejoindre son camp ? L’avenir de la France serait-il de devenir le cinquante et unième État américain ? L’Europe, si elle veut encore compter, ne se fera pas sans la Russie, elle se fera encore moins contre la Russie.


                UKRAINE : Et maintenant ?




     Le 29 août 2014

     Les aveugles et les somnambules dont nous dépendons pour notre malheur sont en train de créer les conditions d’une troisième guerre mondiale.

     Résumé des chapitres précédents :

1/ Une « révolution » d’un orange douteux, fortement inspirée, soutenue, subventionnée et instrumentalisée par l’Occident, chasse le président régulièrement élu mais indiscutablement impopulaire. Une des premières décisions du gouvernement issu de l’émeute est de retirer au russe son statut de deuxième langue officielle de l’Ukraine. Avantage à l’Occident.

2/ Les régions géographiquement, historiquement, culturellement, économiquement, ethniquement et politiquement les plus proches de la Russie se soulèvent contre les nouveaux oligarques de Kiev. Les séparatistes du Donbass, encouragés, soutenus, armés par Moscou, contestent la légitimité et récusent l’autorité du gouvernement de Kiev Ils prennent le contrôle des oblasts de Louhansk, Slaviansk et Donetsk. Avantage à la Russie.

3/ Après avoir hésité, tergiversé, procrastiné, le nouveau président ukrainien, élu dans des conditions d’une opacité chocolatière, décide de régler la question par la force. L’Ukraine, financièrement exsangue et affectivement divisée, lance pourtant l’assaut contre la « République populaire du Donbass ». L’armée ukrainienne, ressurgie du néant, met en difficulté puis en déroute les sécessionnistes. La liquidation de l’insurrection pro-russe semble n’être plus qu’une question d’heures. La Russie, méprisée, sanctionnée, mise à l’index, injuriée, calomniée par les gouvernements et les médias occidentaux, est fermement invitée à ne pas se mêler des affaires du pays voisin, qui sont l’affaire de Washington, de Bruxelles, de Varsovie et de Paris. Avantage à l’Occident.

4/ Comme on pouvait aisément le prévoir, Vladimir Poutine ne se résigne pas à laisser succomber, l’arme au pied, ceux qui se réclament de l’éternelle Russie et le supplient d’intervenir. L’intervention russe renverse le cours des événements et les forces loyalistes, stoppées, contrées, puis encerclées, prises au piège, sont menacées d’anéantissement. Avantage à la Russie.

5/ L’Ukraine, riveraine, comme chacun sait, des rives de l’Atlantique, sollicite son admission dans l’OTAN ! L’Union européenne et les Etats-Unis annoncent de nouvelles mesures de représailles contre la Russie. Là où il était possible et souhaitable de décentraliser, de fédéraliser, de finlandiser un pays dont l’unité nationale est une fiction, on a laissé les affrontements dégénérer en guerre fratricide puis on a internationalisé un conflit qui n’en méritait pas tant. Alors que les métastases du fondamentalisme islamiste s’étendent à l’ensemble du Proche et du Moyen-Orient, les aveugles et les somnambules dont nous dépendons pour notre malheur sont en train de créer, cent ans après Sarajevo, les conditions d’une troisième guerre mondiale.



LIVRAISON DES MISTRAL A LA RUSSIE  




            Hervé Morin passe à l’offensive…



     Le 2 septembre 2014

     Le Vladivostok devrait être livré, en théorie, cet automne. Quant au Sébastopol, cela dépendra de "l'attitude de la Russie".

     Le Vladivostok et le Sébastopol, du nom des deux navires Mistral porte-hélicoptères commandés par la Russie à la DCNS, société détenue majoritairement par l’État français, sont toujours en cours de construction sur les chantiers de Saint-Nazaire. Le Vladivostok devrait être livré, en théorie, cet automne.
 
     Quant au Sébastopol, cela dépendra de « l’attitude de la Russie » qui avait négocié depuis 2008 avec la France, et signé en 2011, l’achat de ces deux navires pour la coquette somme de 1,2 milliard d’euros. En ces temps de disette, il serait bien sage de ne pas faire la fine bouche, me diriez-vous.

     Que nenni. Au nom des grands principes et des grandes théories, Hervé Morin, lui, ne connaît ni la fine bouche et encore mois la langue de bois. Ancien candidat à la présidence de la République en 2012 – entre 0 % et 1 % d’intentions de vote, excusez du peu –, plus récemment à celle de l’UDI, ministre de la Défense sous Sarkozy, et sous l’égide duquel ces contrats de vente ont été initiés et officialisés, Hervé Morin passe à l’offensive.

     Il estime qu’« au nom des principes qui sont les nôtres, de la souveraineté d’un État, du respect des droits acquis qui sont pour nous la pierre angulaire de toute société », il serait « incompréhensible que la France livre à la Russie les deux navires. La Russie, aujourd’hui, très clairement, mène des actions militaires dans un État souverain, l’Ukraine [...] en piétinant toutes les règles internationales. » Et de conclure : « Le geste de livrer un bâtiment de guerre serait un symbole insupportable que la France ne peut se permettre. » On en a presque l’arme à l’œil.

     Hervé Morin, dont la nomination au ministère de la Défense fut saluée en son temps par ses alliés américains comme quelqu’un « qui assume son affection pour les États-Unis et est parmi les plus atlantistes des députés » (le meilleur d’entre tous, quoi) et qui, durant l’épisode du maintien de la paix et des valeurs démocratiques en Afghanistan, assurait sans ambiguïté devant l’Assemblée nationale le non-alignement de sa patrie – la France, pour ceux qui doutent encore – sur la position américaine (sic), peut s’honorer, outre d’être un atlantiste épanoui, de revendiquer également un européisme résolu.

     Ces coming out vont de pair, me diriez-vous. Mais paradoxalement, venant d’un homme qui se proclame du centre et lorgnant parfois vers la gauche, parfois vers la droite, louchant d’est en ouest, on ne peut s’empêcher d’être assez perplexe face à l’aversion de cet adepte de grands écarts à l’encontre du pays qui a vu naître le Bolchoï.

     En effet, M. Morin, en grand défenseur de l’honneur et de la souveraineté de la France, prône sans fausse pudibonderie un « approfondissement » de l’Union européenne, exalte « l’Europe gagnante dans la mondialisation », « l’Europe protectrice », « l’Europe des citoyens et des valeurs ».

      On reste sans voix devant tant de fougue et de passion de la part du grand promoteur du retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN, toujours durant son ministère au sein du dernier gouvernement gaulliste. Et dire qu’en 1966, le premier gaulliste en son genre, le Général, décidait de cesser la participation de la France aux commandements intégrés et de ne plus mettre de forces à la disposition de l’OTAN, afin de « recouvrer sur son territoire l’entier exercice de sa souveraineté, actuellement entamée par la présence permanente d’éléments militaires alliés ou par l’utilisation habituelle qui est faite de son ciel ».

     L’épineuse participation française à l’OTAN ! S’attendrait-on à moins de la part d’un homme qui prétend avoir assisté au débarquement des Alliés en Normandie en 1944. Morin, pas de Gaulle.

     Et si la France se refusait in fine d’honorer ses engagements, Hervé Morin, rarement à court d’idées, propose néanmoins des solutions radicales. Les bâtiments pourraient être affectés à la Marine nationale pour des actions humanitaires, voire mutualisés au sein de l’Union européenne ou de… l’OTAN ! On pourrait éventuellement en faire aussi des bateaux de croisière et les rebaptiser en conséquence le Hervé et le Morin.
   
     Pour que la croisière s’amuse.


     Michel Janva
     Posté le 3 septembre 2014 à 20h53 | Lien permanent | Commentaires (7)

      La France remet en cause la vente du Mistral à la Russie, et sa crédibilité

     Les conditions pour que la France autorise la livraison du premier navire Mistral à la Russie "ne sont pas à ce jour réunies", a déclaré l'Elysée aujourd'hui à l'issue d'un Conseil de défense. Cette remise en cause d'un contrat déjà signé met en cause la crédibilité de la France sur la scène internationale :
"«Ce qui est en jeu, c'est la crédibilité de la signature de l'Etat». En privé, le patron de l'une des grandes entreprises françaises de l'armement ne cache pas son inquiétude sur l'affaire du Mistral, ce contrat de vente de deux bâtiments de guerre à la Russie. «En cas d'annulation par Paris, nos grands clients se sentiront à la merci d'une décision politique unilatérale de la France» explique-t-il en substance. Tous les regards se tournent vers l'Inde, avec laquelle la France négocie la vente de 126 Rafale, qui serait le premier succès à l'exportation de l'avion de combat de Dassault Aviation. Le sujet embarrasse les milieux officiels où l'on reconnaît du bout des lèvres qu'un refus de livrer les Mistral aurait «un coût, d'abord avec l'Inde». D'autres voix font remarquer que dans les monarchies arabes du Golfe aussi, nos perspectives d'exportation pourraient être pénalisées

      Il vaudrait mieux se battre contre le califat irakien que contre Poutine

Dans un entretien à Valeurs Actuelles, Philippe de Villiers salue le président russe Vladimir Poutine :
«Il se comporte comme un vrai chef d'État, patriote, cherchant à restaurer les valeurs politiques, culturelles et morales de la grande Russie [...]. Il est l'homme qui fait sortir la Russie de l'ère communiste et qui lui rend sa grandeur [...]. Poutine est assurément le plus grand chef d'État actuel».
 «Quitte à se battre, il vaudrait mieux le faire contre le califat irakien que contre Poutine, qui est le seul chef d'État à faire reculer l'islamisme. Mais il ne faut pas oublier la défense de notre territoire. La France devra bientôt envoyer l'armée “nettoyer” les banlieues où le djihad se prépare».

17 commentaires:

  1. Bravo BBR, je suis entièrement de votre avis, il faut toujours que La France se mêle de tout et de ce qui la concerne pas Mali, Centre Afrique etc... et maintenant Ukraine- Russie.

    Que hollande s occupe correctement de la France (ce qui es loin d être le cas) et après des autres.

    On veut trop écouter tellement le grand Américain qui va nous avoir avec son traité, que nous l aurons aussi "in the baba" avec la Russie.

    hollande se fou bien de notre économie, il n y a qu à voir comment il l a traite. A coup de milliards jetés par les fenêtres. Tout cela aura de lourdes conséquences. Il n y aura pas que les bateaux, le reste suit.

    Qu il foute la paix à Poutine et qu il s occupe aussi de la sécurité de notre Pays (il a de quoi faire).

    Ça me fatigue de les voir tous agir comme ça. Belle intro BBR

    La Normande

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  2. Peur, ils ont peur de la Russie, voila tout, peur de voir resurgir une nouvelle URSS, mieux dirigée, plus moderne, une nouvelle puissance pour faire front avec les USA.

    Je ne pense pas que de suivre les sollicitations permanentes de l Américain qui n a pour l instant aucune preuve de ce qu il avance soit une bonne chose.

    Nous serons perdants c est évident, et l Europe aussi perdra, quant à l Ukraine, il va encore falloir faire entrer un pauvre dans l Europe pour après lui accorder des prêts qui ne seront jamais remboursés comme la Grèce.

    C est vrai, commençons par bien s occuper de notre pays et seulement après nous pourrons voir ce qu il y a faire pour les autres.

    Nicole PLEY

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  3. Oui BBR, oui Mesdames, nous subissons en permanence la parole américaine comme les islamistes suivent la parole de leurs imams. On voit où ça nous mène. Dans le mur, et pourtant nous y sommes déjà bien dedans, mais notre président a décidé qu il fallait reculer et foncer à nouveau dedans, afin qu il ne reste plus rien.

    C est quoi pour lui quelques milliards d euros perdus, quelques chômeurs de plus- De la rigolade, il va bien nous promettre d inverser la tendance Bis.

    Comme nous ne le dirons jamais assez - "Les regrets c est après" -

    André BERGERAC

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  4. Comment arriver à comprendre tout ça. Je suis assez d accord avec votre introduction BBR, lamais nous n aurions du nous mêler du problème Ukrainien (on dit souvent chacun sa merde) personne ne vient nous en sortir quand nous y sommes et Dieu sait qu avec hollande on y est en plein dedans., alors de grâce occupons nous de notre pays, de notre économie, et de nos emplois.
    Je me fou des Américains en ce sens qu ils n ont pas à jouer les grands chefs et à nous imposer toutes leurs décisions.

    On va surement nous féliciter de l excellente décision d abandonner ou reculer la vente des bateaux à la Russie, Poutine va leur faire un procès, j espère de tout cœur qu il va gagner et faire payer le prix fort pour cette rupture de contrat ( on parle déjà de 3 milliards d euros).

    Jean BOUVARD

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  5. Le plus grave, me semble-t-il, dans cette affaire des navires commandés par la Russie et que la France, par la voix de mollasson refuse de livrer, ce n'est pas le contrat perdu, les milliards envolés, les emplois supprimés, les pénalités à payer.
    Ce qui est le plus grave c'est qu'après cette rupture unilatérale du contrat, plus personne ne pourra faire confiance à la parole de la France. Tous ceux qui commandent à la France des avions, des hélicoptères, des armes de guerre...seront en droit de penser que sur un coup de tête du président, les contrats pourront ne pas être honorés.
    Nous étions ridiculisés par nos petits guignols, nous voilà maintenant décrédibilisés.
    Comme dit la trieiweiller : merci pour ce gouffre au fond duquel tu nous a jetés !
    L'Indien.

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    1. Oui, l Indien vous avez raison , mais je trouve que tout est grave dans cette affaire, à commencer par cette prise de position anti Poutine, mais aussi les milliards perdus qui seraient plus utiles aux Français en cette période trouble, même noire, économiquement parlant bien sur. BBR

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  6. Toute cette affaire a été montée en épingle si bien que maintenant la situation se complique de plus en plus. Si nous avions laissé les deux protagonistes Russe et Ukrainien se débrouiller tout seul, nous n en serions certainement pas là aujourd hui.

    La Faute à Qui - DEVINEZ ?

    Toute le monde est bien conscient de cet acharnement sur Poutine. Est ce bien raisonnable ? Est ce bien nécessaire ou utile ? N avons nous pas plus à perdre qu à y gagner ? Il semblerait que oui, mais est ce que notre président en est lui en est conscient, mais là il semblerait que non. Une fois de plus il a inversé la situation, cela devient une habitude. Le mot inversion lui convient à merveille sauf que c est toujours à l envers.

    Z@vor

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    1. Vous avez raison, Z@vor, cet acharnement de l'Europe contre Poutine n'est pas raisonnable;
      C'est l'intérêt de l'Amérique de pousser l'Europe à mettre la Russie hors jeu. Elle pourra, ainsi, plus facilement se faire obéir de ses caniches.
      L'intelligence voudrait que l'Europe soit ouverte à la Russie qui serait le nécessaire contre poids à cette situation. L'Europe est prête à accueillir la turquie, pays islamiste au double jeu et rejette la Russie qui nous est proche par la religion, la culture, la civilisation.
      Ce que nous, simples citoyens sommes à même de voir et de comprendre, semble tout à fait échapper à nos élites sorties de l'ENA. Il est vrai que l’anagramme de ENA est ANE.
      Fleur de lys.

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  7. Je pense pour ma part que la remise en question de la vente de Mistral à la Russie est le chantage du moment. Il y a plusieurs semaines, Hollande s'était engagé à effectuer la livraison conformément à la commande qui ne date pas de la veille.... Où est l'intérêt de la France, s'il décidait de ne pas livrer?

    Quant à Poutine, Hollande devrait s'en inspirer.

    Comment expliquer au mois d'août, pour Poutine, un record, avec un taux de satisfaction de ses compatriotes de 87%.

    "Qui n'entend qu'une cloche, n'entend qu'un son".
    Je lis la Voix de la Russie et comme j'ai du temps devant moi, le 9 mai, j'ai pris le temps de regarder le défilé de la fête de la Victoire sur la Place Rouge de Moscou.
    Impressionnant! Tout comme son discours, qu'à l'époque j'avais retrouvé traduit sur youtube. Je n'y remets pas la main dessus, j'aurai dû le mettre dans les favoris.

    Poutine, est à un troisième mandat. Je ne pense pas que l'on mette le couteau sous la gorge des électeurs pour qu'ils votent pour lui.

    Monique


    Le défilé du 09 mai 2014

    https://www.youtube.com/watch?v=L2Dj4CREQss

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    1. Merci Monique, vous avez entièrement raison et je suis de votre avis, j avais moi même vu le défilé qui était impressionnant, et j avais surtout écouté Monsieur POUTINE. Il sait ce qu il dit et de quoi il parle. Il s occupe de son pays avant tout et évite de se mêler des affaires des autres, c est surement aussi pour cela qu il attire les convoitise et une certaine jalousie. L Europe aura du mal à poursuivre sa route sans la Russie, et aura encore plus de mal si le traité transatlantique voulu par l Amérique est signé.
      Si hollande obtenait te tel score lors des élections, il serait surement ravi au lieu de cela M. Sondage est arrivé à 13% la semaine dernière ce qui signifie qu il est peut être à 10% maintenant. Quant à valls il arrive péniblement à 30%. L avenir nous dira. BBR

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    2. Je l'ai retrouvé le discours empreint de respect et d'amour de son Pays!

      Monique

      https://www.youtube.com/watch?v=FhqYdRJ58AQ

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    3. Merci encore Monique, je me suis permis d insérer vos deux liens dans l article afin que les prochains lecteurs puissent s en inspirer en les visionnant si aucun de ceux qui l on lu de revient en arrière.
      Avez vous lu Brasserie - Sandwiches ? BBR.

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    4. Bien sûr que j'ai lu Brasserie-sandwiches! Je suis tout ça de près mais parfois, je reste muette..... Cela ne veut pas dire que je ne suis pas sur le blog!

      Monique

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  8. On ne sait plus quoi inventer pour créer des situations à tension. A Israël et Gaza on ne fait rien, on ne sanctionne personne (surtout pas Israël), on ne va pas sanctionner l Ukraine future candidate à l Europe, on se plie à l Islam, et on veut à tout prix sanctionner et faire fléchir Poutine. C est vraiment un comble.

    On cherche des tas de preuves contre lui, mais aussi n a été présenté comme étant sure et concrète, dès lors il est facile d accuser, de monter le ton, de s allier pour anéantir plus facilement avec les aides.

    Où sont les relations diplomatiques, où en sont les discussions avec les intéressés, il semble que nous en laissions toujours un de côté et il se trouve que c est toujours le même. L a t on écouté seulement ?

    Quant à nos l économie Française ce n est pas la mévente des bateaux à la Russie qui va l arranger, et si on en croit les infos , le montant de la rupture du contrat s élèverait à 3 milliards d Euros. hollande va les sortir de sa poche, comme pour la SNCM.

    Nathalie

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  9. Je pense aussi très sérieusement qu on a pourri la situation qui aurait du se calmer, et au lieu de ça obama à fait en sorte d envenimer les choses ( on sent très nettement l anti Poutine ) et cet acharnement qui fait que ça sent une certaine peur de voir grandir le géant Russe.

    Alice

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  10. J avoue que cette situation me dépasse. Elle s aggrave de jours en jours. On ne cherche pas à discuter avec Poutine -

    On fait des réunions entre amis ou alliés (comme on veut) et on parle sanctions , représailles, embargo enfin toutes sorte de mots nuisibles pour la Russie , vous l aurez deviné.

    On cherche aussi toutes les preuves d une éventuelle culpabilité, ou erreur provenant de la Russie , bien sur , jamais on évoque celle possible de l Ukraine - Bizarre Non - Vous ne trouvez pas.

    Sur le plan Economique c est sur que nous allons le payer très très cher.

    Olivier TREQUEL

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    1. Oui Olivier je suis tout a fait d accord avec vous, et ce n est pas en agissant de la sorte que le problème ou conflit va être résolu ou solutionné.

      Chercher des preuves est une chose, en trouver en est une autre et encore que celles que l on trouve puisse être des vrais. J ai souvent vu l Amérique trouver des preuves avec la Langue, c est beaucoup plus facile, aussi quand je les écoute eux aussi (c est comme hollande), je ne les crois plus.

      Alain

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